Les fonds à date cible (FDC) constituent l'option par défaut offerte aux épargnants qui souscrivent au Régime volontaire d'épargne-retraite (RVER) du Québec, une mesure qui a fait l'objet de critiques. Or, une récente étude américaine de Morningstar vient appuyer le bien-fondé de ce type de placement.L'étude, intitulée «2015 Target-Date Fund Landscape», porte sur la dizaine de FDC et leurs nombreuses séries à échéances diverses qui ont été les premiers à voir le jour aux États-Unis il y a 10 ans (http://tinyurl.com/protf63). Les conclusions de Morningstar, au terme d'une décennie qui a connu une crise financière, sont positives.
L'Inde a été la destination de prédilection des investisseurs étrangers au cours du premier semestre de 2015.Avec des investissements directs de l'étranger de 31 G$ US, le pays devance même la Chine et les États-Unis, qui ont enregistré 28 G$ US et 27 G$ US respectivement au cours de la même période, selon le Financial Times (http://tinyurl.com/qbyqzwn).
Bon nombre connaissent les avantages des fonds négociés en Bourse (FNB), mais ceux-ci ne sont pas pour autant exempts d'imperfections. En voici quelques-unes, dont il vaut la peine de tenir compte.En outre, on tend à sous-estimer les coûts réels des FNB, selon Dave Paterson, président de Paterson & Associates, à Toronto. Certes, les frais de gestion de ces outils de placement sont très bas et tendent à diminuer.
L'attaque très médiatisée d'«hacktivistes» contre le site de rencontres extraconjugales Ashley Madison en mai dernier a remis à l'honneur le cyberpiratage. L'événement, comme d'autres avant lui, lègue quelques leçons précieuses tant aux entreprises qui hébergent des informations sensibles qu'à leurs clients.Première leçon à dégager de l'affaire Ashley Madison : les cyberpirates ne cherchent pas toujours à tirer un profit financier de leur geste. Dans ce cas-ci, les cyberpirates voulaient simplement dénoncer un site dont les activités leur déplaisaient.
Great-West compagnie d'assurance-vie a récemment lancé Bonjour la vie qu'elle présente non pas comme un «produit», mais comme un «programme complet», qui permet au client d'établir un plan de dépenses qui durera tout au long de sa retraite. Le conseiller y trouvera, quant à lui, une manière de l'aider à gérer l'ensemble des actifs financiers des clients.«Nous avons vu beaucoup de statistiques qui indiquent une forte tendance à la consolidation chez les investisseurs au moment de la retraite», rapporte George Turpie, vice-président principal, produits d'investissement chez Great West, London Life et Canada-Vie.
Coup sur coup, deux transactions majeures ont donné une superbe impulsion au secteur des conseillers-robots et ont renforcé sa crédibilité en Amérique du Nord.Au Canada, le colosse Corporation Financière Power a annoncé ce printemps qu'il investira jusqu'à 30 M$ dans Wealthsimple Financial, un site de conseil-robot canadien qui existait depuis moins d'un an.
Les flux d'argent qui se déversent en ce moment dans les fonds négociés en Bourse (FNB) axés sur les titres américains privilégient nettement les fonds qui offrent une couverture contre les risques de taux de change.Il s'agit d'un retournement de la situation par rapport à 2014. En effet, c'étaient plutôt les FNB non couverts qui avaient alors la faveur des investisseurs au Canada, rapporte Daniel Straus, chef de la recherche et de la stratégie sur les FNB à la Financière Banque Nationale, à Toronto.
Aux prises avec des tracas réglementaires dans différents pays, comme plusieurs autres grandes banques, RBC Banque Royale se retire de plusieurs marchés à l'international où elle menait des activités en gestion de patrimoine. Toutefois, il s'agit plus d'un recentrage et d'un redéploiement d'activité que d'un retrait pur et simple.Ainsi, en juillet et en août, la RBC a conclu la vente tant de ses activités bancaires au Suriname que de banque privée en Suisse. L'institution financière souhaite ainsi recentrer ses activités de gestion de patrimoine.
GUIDE MRCC 2 2015 - Certains craignent l'arbitrage règlementaire et la vente massive de fonds à frais d'acquisition reportés. La mise en oeuvre de la deuxième phase du Modèle de relation client-conseiller (MRCC 2) engendre un risque pour le client que certains redoutent depuis quelque temps. On craint que des conseillers n'adoptent des pratiques qui ne sont pas dans le meilleur intérêt du client afin d'échapper aux exigences du MRCC 2. Les cas restent rares. Et même si ces pratiques semblent avoir cours, selon différentes sources, elles n'apparaissent pas encore clairement dans les différents chiffres de l'industrie.Dan Hallett, vice-président et directeur chez Highview Financial détermine deux principales pratiques : l'arbitrage règlementaire et le recours inapproprié aux fonds à frais d'acquisition reportés.
GUIDE MRCC 2 2015 - Qu'ils soient salariés, rémunérés sur honoraire ou à commission, tous les représentants devront justifier leurs frais.Comment les exigences de la phase 2 du Modèle de relation client conseiller (MRCC 2) s'appliquent-elles aux représentants en épargne collective qui travaillent à salaire, souvent dans une succursale bancaire ? Exactement de la même façon qu'elles s'appliquent aux représentants indépendants rémunérés à commission ou sur honoraires.