FI RELÈVE - Le financement de l'achat d'une clientèle s'avère toujours un exercice sensible. Voici trois façons de procéder.
FI RELÈVE - On ne peut pas éliminer tout risque dans une transaction d'achat de clientèle, mais il y a moyen de les atténuer au minimum.
Selon Morningstar, bon nombre de fonds négociés en Bourse (FNB) n'ont pas de frais de gestion plus faibles que les fonds indiciels qui répliquent le même indice. Ainsi, pendant plusieurs années, les fonds communs de placement indiciels (FCI) ont souffert de la comparaison avec les FNB.Les frais de gestion des FNB étaient tellement avantageux «que ceux-ci ont acquis un halo d'invincibilité jamais remis en question depuis par les investisseurs», dit John Gabriel, stratège chez Morningstar Manager Research, à Chicago.
La traditionnelle règle empirique selon laquelle il est convenable pour un client retraité de retirer 4 % de son portefeuille par an ne tient plus, selon une récente recherche de Morningstar. En raison de la faiblesse des taux d'intérêt, ce pourcentage devrait s'établir à 2,8 %.La fameuse règle du 4 % avait été mise au point par le planificateur financier américain William P. Bengen, rappelle dans un blog Charlie Gipple, directeur national des produits indexés chez Genworth. À partir de données historiques s'étalant de 1926 à 1976, William P. Bengen a composé une série de portefeuilles équilibrés 50/50 fictifs. Son objectif était de déterminer à quel rythme un retraité devait procéder à un décaissement de son actif, indexé à l'inflation, sans l'épuiser avant 30 ans.
Les allégations d'activités de placement illégal portées contre un agent d'assurance de l'Ordre des Chevaliers de Colomb (CdeC) braquent les projecteurs sur cette société qui, à l'instar d'une douzaine d'autres, bénéficie d'un statut légal privilégié au Québec.En avril 2014, après la réception de plaintes d'investisseurs et de membres des CdeC qui se jugeaient lésés, l'Autorité des marchés financiers (AMF) a obtenu de son Bureau de décision et de révision (BDR) une série d'ordonnances interdisant à Yvon Perreault, de Joliette, d'exercer toute activité à titre de conseiller et d'effectuer toute entrée ou sortie de fonds de ses comptes bancaires.
Le titulaire d'un régime volontaire d'épargne-retraite (RVER) ne dispose pas de la latitude que lui confère un REER et ne peut pas léguer son RVER à qui il veut. Au décès, les sommes vont nécessairement à son conjoint, même s'il demande expressément de changer le bénéficiaire.«Le détenteur d'un REER qui meurt n'est soumis à aucune réglementation de régime de retraite, souligne Natalie Hotte, fiscaliste et planificateur financier chez Banque Nationale Gestion privée 1859, à Montréal. Il n'a aucune obligation de laisser son actif à qui ce soit.» Il peut donc léguer son REER à son épouse, à son enfant, et même à sa maîtresse s'il le veut.
Plusieurs entreprises québécoises devront mettre en place un Régime volontaire d'épargne-retraite (RVER) pour leurs employés d'ici 2018. Cependant, le cadre légal de ce régime prévoit certaines exemptions.D'abord, tout employeur qui, au 31 décembre d'une année, comptait au moins cinq employés peut souscrire un RVER et y inscrire automatiquement ces employés.
La vague des conseillers-robots (robo-advisors) gagne à peine le Canada, et déjà ces services automatisés prennent une nouvelle tournure : ils ne veulent pas seulement séduire les clients particuliers, mais aussi les représentants. Un conseiller-robot est un site Internet qui offre des services de conseil et de placement financier aux épargnants, avec ou sans l'intervention d'un spécialiste humain.
DOSSIER IMMOBILIER - Un client qui cotise à un régime volontaire d'épargne-retraite (RVER) ne pourra retirer des sommes de ce régime qu'indirectement afin de profiter du régime d'accession à la propriété (RAP) ou du régime d'encouragement à l'éducation permanente (REEP), d'après une table ronde avec le ministère fédéral des Finances, organisée lors du dernier congrès de l'Association de planification fiscale et financière (APFF).En effet, les sommes accumulées dans le cadre d'un régime de pension agréé collectif (RPAC), comme le RVER, ne peuvent servir au RAP, selon le cadre réglementaire actuel.
Est-il temps de miser sur une hausse des cours du pétrole ? C'est ce que croient de plus en plus d'investisseurs et d'analystes. Toutefois, les vents contraires demeurent très forts.Plusieurs investisseurs envisagent une remontée du prix du baril de pétrole, si l'on en croit l'afflux d'argent dans deux fonds négociés en Bourse (FNB) spécialisés de Horizons : le FNB Horizons BetaPro NYMEX Pétrole brut Haussier (symbole HOU) et le FNB Horizons BetaPro NYMEX Pétrole brut Baissier (symbole HOD).