En raison du vieillissement de la population et de l'augmentation de l'espérance de vie ces dernières années, de plus en plus de clients font face au risque de longévité, soit d'épuiser leurs épargnes avant de décéder.D'après les statistiques du gouvernement fédéral, «37,5 % des hommes de 50 ans et 48,8 % des femmes de 50 ans devraient vivre jusqu'à 90 ans», fait ressortir Christine Benz, directrice du service des finances personnelles chez Morningstar Canada, à Toronto.
Les fonds d'investissement qui ont pour objectif principal de protéger le capital en cas de correction boursière ont rempli leurs promesses au début de l'automne 2014. Ces fonds, relativement nouveaux au Canada, n'avaient jamais eu l'occasion de faire leurs preuves jusqu'au début de septembre, lorsque le S&P/TSX a connu, sur une période de six semaines, sa première correction officielle depuis 2009.
les agences générales (ag) de l'industrie de l'assurance doivent s'attendre à superviser davantage les conseillers en sécurité financière avec lesquels elles font affaire.L'Association canadienne des compagnies d'assurances de personnes (ACCAP) prévoit que les AG évaluent les risques que les représentants présentent, d'après un document de référence sur la conformité des AG publié récemment.
À défaut d'une entente pancanadienne permettant de bonifier le Régime de pensions du Canada (RPC), l'Ontario propose de créer un nouveau régime de retraite provincial obligatoire s'appuyant sur les caractéristiques du RPC.Le régime de retraite de la province d'Ontario (RRPO), tel que présenté dans le budget 2014 de la province, «est un miroir du RPC», constate Karen Tarbox, consultante senior chez Towers Watson, à Toronto.
Le débat continue de faire rage : l'anticipation des marchés, communément appelée «market timing», est-elle une approche payante ou au contraire, nuisible et dangereuse ? Les avis sont partagés.Il y a plusieurs définitions du market timing. Le plus fréquemment, le market timing consiste à «tenter de prédire la direction future du marché en ayant recours, le plus souvent, à des indicateurs techniques ou à des données économiques», comme l'indique le site Investopedia.
Bien que généreux, le régime enregistré d'épargne-invalidité (REEI) est encore méconnu, et par conséquent sous-utilisé.Depuis le lancement du régime en 2008, environ 12 000 REEI ont été créés chaque année, soit au total 78 000 REEI. C'est ce qu'indique le rapport du Comité sénatorial permanent des banques et du commerce intitulé «Le régime enregistré d'épargne-invalidité : pourquoi n'est-il pas plus utile ?» paru cette année (http://tinyurl.com/kp9clap).Ces 78 000 adhérents représentent seulement 15 % des quelque 500 000 personnes handicapées admissibles qui vivent au Canada.
Une nouvelle tendance de marketing émerge dans l'industrie du courtage aux États-Unis : offrir des rabais de frais de gestion aux clients si la valeur de leur portefeuille décline.TD Amerivest, courtier au détail de TD Ameritrade aux États-Unis, s'apprête à lancer ce type d'offre qui n'existe pas encore au Canada.
À quel point la santé financière des épargnants sera- t-elle touchée par le report de 65 à 67 ans de l'âge d'admissibilité aux prestations de retraite fédérales ? Il est difficile de le prédire, mais certains groupes, comme le CIRANO, aimeraient qu'Ottawa envisage d'autres solutions pour maintenir son programme à flot.À partir de 2023, le gouvernement fédéral entend reporter progressivement de quatre mois par an l'âge d'admissibilité aux prestations de la Sécurité de vieillesse (PSV) et du Supplément de revenu garanti (SRG). Ainsi, en 2029, l'âge d'admissibilité sera de 67 ans.
La plupart des employeurs devraient offrir à leurs employés une solution de rechange au Régime volontaire d'épargne-retraite (RVER) afin d'éviter la complexité et la rigidité du RVER en matière de réglementation, selon la firme Brassard Goulet Yargeau Services financiers intégrés (BGY) de Québec.«Le RVER n'est pas le bon remède au problème» de l'épargne-retraite des travailleurs, lequel réside plutôt dans «le manque cruel de connaissances dans la gestion de leurs finances personnelles» et au besoin de conseils financiers personnalisés, lit-on dans l'essai Le RVER : un regard critique, diffusé par BGY en septembre dernier.
La plupart des employeurs devraient offrir une solution de rechange au Régime volontaire d’épargne-retraite (RVER) à leurs employés afin d’éviter la complexité et la rigidité du RVER en matière de réglementation, selon la firme Brassard Goulet Yargeau Services financier intégrés (BGY) de Québec.