Les autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) ont soumis à l'industrie des fonds communs une méthode de classification du risque des fonds communs qui se veut uniforme afin d'en discuter.Il s'agit en fait de la mesure classique d'écart-type de la volatilité. Plusieurs jugent qu'une meilleure mesure devrait être mise en avant, mais à quel prix ?
Les intérêts de l'industrie des fonds communs et ceux des investisseurs seraient diamétralement opposés.C'est ce qui ressort du compte rendu, dévoilé en décembre dernier, d'une vaste consultation menée pendant un an par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM).Dans leur «Avis 81-323», les ACVM font le point sur les questions relatives aux frais des fonds communs de placement (FCP) et sur les conditions de travail des conseillers.
En décembre dernier, la ministre québécoise de l'Emploi et de la Solidarité sociale, Agnès Maltais, a décidé de s'attaquer au problème et de procéder à une réforme très attendue des régimes de retraite à prestations déterminées (RPD).Dans ces régimes, le montant de la rente est fixé à l'avance selon une formule précise.Ironie du sort, la situation des régimes de retraite est meilleure que depuis de nombreuses années, rapporte Claude Lockhead, associé exécutif pour les pratiques Retraite et Gestion des placements, chez Aon Hewitt.
En 2001, lors d'un reportage sur l'Afrique, un journaliste du magazine The Economist s'était fait tirer dessus, avait dû faire de grands détours entre les pays et subir de nombreux inconvénients (The Economist, 2 mars 2013).En 2013, un autre reporter a pu couvrir 25 400 kilomètres sur des routes le plus souvent pavées ou en train. On ne lui a jamais demandé de pot-de-vin et son service de courriel par cellulaire n'a été interrompu que neuf jours sur les 112 qu'a duré son périple.
En 2001, l'analyste jim O'Neill, de Goldman Sachs, a conçu l'acronyme BRIC, dont la carrière a été si remarquable que les quatre pays concernés (Brésil, Russie, Inde et Chine) ont créé une association commerciale informelle.En 2005, Jim O'Neill a aussi mis de l'avant l'expression Next Eleven. Il désigne ainsi 11 «pays frontières» émergents aussi différents que le Bangladesh, l'Égypte, l'Indonésie, l'Iran, la Corée du Sud, le Mexique, le Nigéria, le Pakistan, les Philippines, la Turquie et le Vietnam.
Cette année encore, certains groupes de pression du milieu financier ont soumis des demandes au gouvernement fédéral dans le cadre de son exercice prébudgétaire.Certaines demandes soumises concernent directement le client ayant peu d'actif, d'autres le font plus indirectement.L'Institut des fonds d'investissement du Canada (IFIC) et l'Association canadienne du commerce des valeurs mobilières (ACCVM) ont fait l'une des demandes qui pourraient avoir un effet particulièrement important.
Le 8 juin dernier, le fabricant montréalais de vinaigrettes et sauces japonaises Wafu, qui emploie quatre personnes, devenait la première entreprise canadienne à obtenir un financement par l'intermédiaire du crowdfunding.Au terme d'une offre de trois mois sur le site américain CircleUp.com, l'entreprise a recueilli un capital de 230 000 $ auprès de plusieurs investisseurs accrédités en échange d'une participation de 8 % dans la propriété de l'entreprise.
Les régimes volontaires d'épargne-retraite (RVER) pourront être distribués sans représentant et sans conseil financier, prévoit la loi récemment adoptée par Québec. Au grand dam des conseillers spécialisés en régimes de rentes collectives de personnes et, peut-être, de certains clients.Ainsi, selon la loi actuelle, les employés d'un administrateur de RVER - qui peut être un gestionnaire de fonds d'investissement, une société de fiducie ou un assureur de personnes -, pourront offrir directement le régime aux employeurs et aux travailleurs autonomes.
«Ce projet de loi sera très, très bien accueilli par les représentants !» lance Claude Paquin, président du conseil des gouverneurs au Conseil des fonds d'investissement du Québec (CFIQ).«Québec était en retard par rapport à d'autres provinces, mais la nouvelle loi va combler une attente qui remonte à 10 ou 15 ans.»
Pour plusieurs, la pension de la Sécurité de la vieillesse (PSV) et le Supplément de revenu garanti (SRG) remplissent pleinement leur mission, qui est, entre autres, de contrecarrer la pauvreté chez les aînés.À preuve, selon l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), le taux de pauvreté chez les personnes âgées au Canada n'est que de 6 %, un des plus bas du monde.