il y a plusieurs avantages à adopter la rémunération sur honoraires, tant pour le client que pour le conseiller.Quand il a commencé dans le métier de conseiller, dans la jeune vingtaine, Guy Côté a fait pendant une dizaine d'années ce que faisaient tous ses confrères : il vendait des titres boursiers en étant rémunéré à commission.Parvenu à la trentaine au début du millénaire, le jeune conseiller en placement a entrepris un virage majeur vers une rémunération sur honoraires.
Des entreprises alimentaires connaissent de belles poussées en marge des performances boursières très médiatisées de géants du secteur techno comme Facebook et Google.Whole Food Markets en est un exemple éloquent. Il s'agit du plus important distributeur d'aliments naturels et biologiques des États-Unis. L'entreprise compte 368 magasins, dont quelques-uns au Royaume-Uni et au Canada (quatre en Ontario et autant en Colombie-Britannique).
«L'investissement improductif, par nature, est ultimement déflationniste», écrit Michala Marcussen, chef économiste, Monde, de la Société Générale, à Londres.C'est l'essentiel de son argument, selon lequel la politique monétaire américaine actuelle est déflationniste. La déflation est une baisse soutenue des prix qui, à long terme, freine l'activité économique.
Le 27 novembre dernier, Ian Soutar, cofondateur de la firme d'investissement Pembroke, de Montréal, a reçu le prix Morningstar pour les réalisations de toute une carrière dans le monde de l'investissement lors du 19e gala annuel des prix Morningstar, à Toronto. Ian Soutar a obtenu un baccalauréat en génie minier de l'Université McGill avant d'aller travailler quelques années chez Sun Life et Power Corporation. En 1968, il a été cofondateur, avec Scott Taylor, de Pembroke, une des principales firmes d'investissement indépendantes au Canada spécialisée dans les titres de croissance et dont les rendements à long terme ont toujours surpassé la moyenne de ses pairs.
Le gouvernement du Québec envisage la création d'une assurance autonomie, une initiative qui permettrait de financer les soins de longue durée des adultes atteints d'incapacité.Si la mise en oeuvre de ce projet semble incertaine, celui-ci offre aux représentants l'occasion de faire valoir les produits d'assurance de soins de longue durée des assureurs privés.
Avant d'acheter une copropriété aux États-Unis, les clients devraient réfléchir sérieusement au mode de détention de cet actif.D'abord, toute personne intéressée par l'acquisition d'un actif en terre américaine devrait retenir la règle générale suivante, soumise par Shlomi Steve Levy, avocat associé au cabinet Altro Levy, spécialisé en fiscalité transfrontalière, en planification successorale et en immobilier.
«Développer l'aspect relationnel avec les clients est primordial aujourd'hui», affirme Sara Gilbert, présidente de Strategist(e) Développement des affaires, à Montréal.«Le conseiller qui ne développe pas sa pratique en ayant une vision du côté relationnel perdra sûrement.»Selon Sara Gilbert, un conseiller ne peut plus se démarquer uniquement par les produits qu'il offre.«Les gens s'attendent à beaucoup plus. La croissance du capital est moins importante que sa préservation ; les baby-boomers veulent entendre parler de planification financière et successorale, et de préparation à la retraite. À produits égaux, celui qui offre du conseil attirera les clients.»
Plusieurs changements de la règlementation prévus sont susceptibles d'ébranler la profession de conseiller.«Ce qui vient est très gros et entraînera des changements dramatiques dans la profession», juge Dan Hallett, vice-président et directeur, gestion d'actifs, chez Highview Financial Group, à Toronto.De quoi s'agit-il ? De deux vagues de changements, l'une prévue par l'Autorité des marchés financiers (AMF), l'autre anticipée.
«Nous connaissons des niveaux records de vente», lance Claude Paquin, président du conseil des gouverneurs au Conseil des fonds d'investissement du Québec.Pour 2013, à ce jour, «les ventes totales et les ventes nettes sont au même niveau qu'en 2007, la plus haute année jamais enregistrée», complète Carlos Cardone, consultant sénior et directeur exécutif chez Investor Economics.
La réserve fédérale américaine (Fed) fonctionne déjà selon des principes mis en avant par Janet Yellen. On s'attend donc à ce que la Fed continue sur son élan sous sa gouverne, peut-être même en mieux.«Nous aurons une bonne me-sure de continuité, car le travail de la Fed n'est pas fini, dit Neil Matheson, premier vice-président, stratégies d'investissement, chez Investissements Standard Life, à Montréal. De plus, Janet Yellen est quasiment la meilleure personne pour finir ce qui a été commencé.»