Le gouvernement du Québec étudie actuellement la mise en place du nouveau régime volontaire d'épargne-retraite (RVER) à partir de janvier 2014.D'autres provinces, notamment l'Alberta et la Saskatchewan, viennent d'instaurer des régimes plus ou moins similaires, issus d'un canevas mis en avant par Ottawa : les régimes de pension agréés collectifs (RPAC).«Fausse solution !» lance la Fédération des femmes du Québec (FFQ) qui réclame plutôt de bonifier les prestations du Régime des rentes du Québec (RRQ) et du Régime de pension du Canada (RPC), à l'instar d'autres groupes sociaux et syndicaux, comme le Congrès du travail du Canada (CTC).
Le CFA Institute américain vient de produire une étude internationale intitulée CFA Institute & Edelman Investor Trust Study 2013, qui porte sur le niveau de confiance que les investisseurs, individuels surtout, mais institutionnels aussi, entretiennent à l'endroit de l'industrie financière.Plus faible coteL'étude montre que «bien qu'elle existe, la confiance des investisseurs dans l'industrie de gestion de fonds est fragile».
Il y a encore loin de la coupe aux lèvres. Car, au moment d'écrire ces lignes, les débats à l'Assemblée nationale n'avaient pas encore commencé. Et il est loin d'être certain que le projet sera accepté tel qu'il aura été soumis si on en juge par la teneur des mémoires présentés en consultation parlementaire au cours des deux premières semaines de septembre.L'objectif du RVER est d'inciter le plus grand nombre de travailleurs à mettre en place une épargne-retraite. Pour cela, le projet de loi 39 entend obliger 90 000 employeurs d'au moins cinq travailleurs au Québec à offrir à ceux-ci un RVER deux ans après la date d'entrée en vigueur de la loi.
Cette occasion tient à la nuance suivante dans le projet de loi 39 sur les RVER : un employeur ne sera pas tenu d'offrir à ses employés un RVER s'il leur offre déjà un régime collectif d'épargne (REER, CELI, RPDB, RPA).Résultat : un conseiller a tout intérêt à offrir des régimes enregistrés d'épargne-retraite collectifs, des comptes d'épargne libre d'impôt collectifs, des régimes de participation différée aux bénéfices (RPDB) ou des régimes de pension agréés (RPA) aux entreprises avant que la loi n'entre en vigueur.
Depuis mars 2012, le prix du platine ne cesse d'atteindre un pic autour de 1 700 $ US l'once et de replonger ensuite vers un plancher d'environ 1 300 $. En juin dernier, le prix de l'once a atteint un creux de 1 295 $, et est remonté depuis à environ 1 520 $. De son côté, l'once de palladium, tombée au même moment à 633 $ US, est remontée depuis à 721 $.«Chaque fois que le prix atteignait un sommet ces derniers temps, bon nombre d'investisseurs s'empressaient de vendre à découvert, ramenant le prix plus bas», explique Bart Melek, vice-président et directeur, stratégie et recherche des produits de base, chez Valeurs mobilières TD, à Toronto.
Le 20 juin dernier, le mécanisme de règlement interbancaire, appelé Shibor (Shanghai Interbank Offered Rate, calqué sur le Libor européen), s'est enrayé pour des raisons qui demeu-rent obscures. Le taux auquel les banques empruntent quotidiennement les unes des autres est passé à 30 %, alors qu'il est normalement d'environ 2,5 %.Or, la banque centrale n'a rien fait et n'est pas intervenue pour ramener les taux à l'ordre... Tous les analystes en ont conclu que celle-ci voulait contraindre les acteurs financiers à faire preuve de plus de discipline. Or, bon nombre se demandent si une telle discipline peut être rétablie avant que l'économie chinoise, et une grande partie de la planète économique à sa suite, n'en souf-frent péniblement.
Depuis la crise financière, l'idée s'est répandue que la croissance économique s'est réfugiée dans les pays émergents et que l'investisseur qui cherche le rendement doit y consacrer une bonne partie de son portefeuille.Cependant, cette proposition ne semble plus tenir. La croissance s'atténue dans les pays émergents, en Chine au premier chef, tandis qu'elle semble reprendre dans les pays développés. Et les places boursières reproduisent cette dynamique.
Quels sont les meilleurs indicateurs de performance future en Bourse et que nous disent-ils des rendements au cours de la prochaine décennie ? C'est la question qui anime une étude de la grande firme américaine d'investissement Vanguard (Forecasting Stock Returns, What Signals Matter, and What Do They Say Now? Octobre 2012).Malgré la phase extrêmement effervescente que connaît la Bourse américaine en ce moment, plusieurs investisseurs n'y croient pas. Sur la foi d'une économie léthargique, de profits déjà très élevés des entreprises, de dettes gouvernementales colossales et de taux d'intérêt très bas, ils jugent que le potentiel boursier à long terme est faible, pour ne pas dire négatif.
Selon quelques spécialistes, le prix de l'or semble avoir atteint son plancher. Quelques-uns croient même que certaines conditions sont propices à ce qu'il connaisse une nouvelle hausse spectaculaire. Mais c'est loin d'être certain. Tout dépend de l'économie des États-Unis et de la Réserve Fédérale américaine.D'un sommet de 1900 $ US atteint en juillet 2011, l'or a vu son prix baisser inexorablement jusqu'à un creux de 1 200 $ US atteint en juin 2013. Depuis ce moment, il est remonté aux environs de 1 320 $ US.
Vous aimez les téléphones intelligents, le iPhone en particulier, et bien sûr, le iPad ? Vous n'êtes pas seul.Selon un sondage récent réalisé auprès de conseillers américains (2013 Investment News Adviser Technology Study), 92 % des répondants disent avoir un téléphone intelligent ; les propriétaires d'un iPhone d'Apple représentent 60 % des utilisateurs, et ceux qui possèdent un appareil Android, 31 %.Côté tablettes, 63 % des répondants américains disent en avoir une, et de ce groupe, 84 % possèdent un iPad d'Apple.Selon un sondage mené au printemps 2012 par BlueRush Media, en partenariat avec Finance et Investissement (FI), au Québec, ce sont les planificateurs financiers qui utilisent le plus les technologies mobiles, et 71 % d'entre eux détiennent un téléphone intelligent et/ou une tablette électronique, par rapport à 69,2 % des conseillers de plein exercice, à 64,8 % des conseillers en sécurité financière et à 56,2 % des conseillers en épargne collective.