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Avant que centre financier Agence Labelle, à Laval, n'implante le bureau sans papier, ses conseillers ne consacraient que 50 % de leur temps aux contacts avec les clients. L'autre moitié était engloutie dans des tâches administratives. Maintenant, «75 % du temps est consacré au client», affirme Jean-Benoît Laurin, directeur adjoint, épargne, à l'Agence Labelle.C'est le gain le plus notable du bureau sans papier. Mais certainement pas le seul. Par exemple, la numérisation des dossiers fait en sorte que tout le personnel de soutien est lui aussi davantage axé sur les clients et «peut monter des dossiers beaucoup plus personnalisés», ajoute Jean-Benoît Laurin.

  • 15 janvier 2013 18 août 2020
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«L'époque où l'on recourait à des emprunts de 25 000 ou 30 000 $ pour rattraper des cotisations passées et maximiser son REER est finie», constate Larry Bathurst, associé chez Planex Solutions financières, à Saint-Jérôme. Aujourd'hui, les épargnants empruntent des sommes beaucoup plus modestes et les remboursent le plus souvent en moins de deux ans, en moins d'un an même.«La demande de ce produit a baissé au cours des 10 dernières années, déclare une porte-parole de la Banque Nationale. En moyenne, on ne prête qu'environ 5 000 $ et l'emprunt est remboursé en 12 à 24 mois. On croit que les gens sont plus sensibilisés à la nécessité de contribuer de façon régulière. C'est un produit qu'on offre essentiellement pour "dépanner" nos clients.»

  • 15 janvier 2013 18 août 2020
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les taux d'intérêt remonteront un jour ou l'autre. Et ce ne sera probablement pas une remontée temporaire. La question reste à savoir quand.Une fois la tendance à la hausse amorcée, «ce sera sans doute le début du renversement de la grande tendance baissière qui déferle depuis les années 1980», fait remarquer Yves Rebetez, président d'ETF insight, à Toronto.

  • 15 janvier 2013 18 août 2020
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Voilà un produit qui répond à une attente spécifique des planificateurs financiers. Ils «se plaignaient de l'accès très limité à des instruments alternatifs qui sont coûteux et peu liquides», dit Pierre Laroche, directeur général de la recherche en produits dérivés chez Banque Nationale Marchés financiers. «En 2007, nous avions créé une première génération réservée à des investisseurs institutionnels, puis nous en avons fait un produit pour les individus.»Premier du genre au Canada, le FNB Horizons Indice de fonds spéculatifs Morningstar (HHF) propose de suivre l'indice Morningstar Broad Hedge Fund Index (MBHFI). On sait que les fonds de couverture sont en général une catégorie réservée des placements alternatifs. Pour y avoir accès, il faut faire la preuve qu'on est un investisseur qualifié, sans compter que les frais de participation sont fort élevés, la plupart du temps de 2 %, auxquels s'ajoute une ponction de 20 % à la performance. D'autres difficultés se dressent, même pour l'investisseur qualifié : souvent, il doit détenir le fonds pour une période déterminée, il ne connaît pas les positions du fonds dans lequel il investit et il ne peut certainement pas le négocier sur une base quotidienne.

  • 15 janvier 2013 18 août 2020
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Presque invisible au Québec il y a cinq ans, le programme de revenu résidentiel CHIP (Canadian Home Income Plan) prend du galon. «On observe de plus en plus de demande en raison de l'arrivée à la retraite des boomers», affirme Éric Bisaillon, directeur général et vice-président régional, Québec, chez Banque HomeEquity, seul fournisseur du programme au Canada.Au Québec, HomeEquity n'avait que 2 M$ d'hypothèques inversées en portefeuille à la fin de 2007. Quatre ans plus tard, ce montant s'élevait à 30 M$. Cette croissance prédomine partout au Canada : de 89 M$ en 2007, l'enveloppe annuelle de prêts a bondi à 239 M$ en 2011, selon les chiffres les plus récents fournis par l'entreprise.

  • 15 janvier 2013 18 août 2020
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On pourrait croire que la solidité attribuée aux institutions financières québécoises et canadiennes se résume au fait d'avoir su résister aux mauvais vents financiers qui soufflent sur la planète depuis la crise financière de 2008. Mais ce n'est pas tout.Partout ailleurs sur la planète, on licencie. Au Québec comme ailleurs au pays, nos banques embauchent à pleines portes. Partout ailleurs, on se départ de divisions entières. Au Canada, on en fait le plein.

  • 15 janvier 2013 18 août 2020
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Bombardier produits récréatifs (BRP) a implanté un compte d'épargne libre d'impôt (CELI) collectif dès le lancement du programme par Ottawa, en janvier 2009. «Le but de l'employeur était de favoriser l'épargne des employés et de les faire bénéficier de son pouvoir d'achat», indique Camil Hébert, directeur de la rémunération globale chez BRP, à Valcourt.BRP faisait partie de l'avant-garde lors de l'implantation de cette initiative fédérale, à laquelle «la réponse a été tiède», note Bruce Moir, directeur associé chez ScotiaMcLeod, à Toronto. «Il faut dire qu'en 2009, on sortait de la crise et les employeurs n'étaient pas ardents à ce moment-là», fait remarquer Louis-Georges Mongeau, conseiller principal, régimes d'épargne-retraite collectifs, chez Standard Life, à Montréal.

  • 15 janvier 2013 18 août 2020
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