Non seulement le Québec a-t-il évité la récession au troisième trimestre, mais il a enregistré sa plus forte croissance en deux ans et demi.
En dépit des nombreux avertissements servis par le gouvernement fédéral et la Banque du Canada, les consommateurs du pays vont continuer d’emprunter pour porter leur endettement à un record.
Malgré les nombreuses campagnes de sensibilisation et la présence d’organismes de charité bien connus dans la province, les Québécois demeurent parmi les moins généreux en Amérique du Nord.
Il n’y a pas que la Bourse de New York qui franchit une nouvelle marque historique lundi. Tandis que le Dow Jones dépasse pour la première fois la barre des 16 000 points, la Bourse québécoise touche également un sommet annuel.
La Banque du Canada va certainement répéter qu'elle entend relever les taux d'intérêt dès que le contexte économique le permettra, mais certains observateurs prévoient qu’elle réduira ses prévisions de croissance pour le pays.
La tendance des mises en chantier à Montréal s’est légèrement améliorée en août, mais après huit mois cette année, force est de constater que le marché des nouvelles constructions a considérablement ralenti par rapport à l’an dernier.
Les Canadiens ne sont pas demeurés frugaux très longtemps. Après avoir réduit leur endettement pour la première fois en deux ans au premier trimestre de 2013, les consommateurs ont emprunté davantage au deuxième trimestre, selon l’étude d’une agence de crédit. Les Québécois sont ceux qui ont accru leurs emprunts au rythme le plus rapide au pays.
Si la tendance se maintient, la Bourse québécoise affichera encore un rendement supérieur à la Bourse canadienne en juillet, soulevée par la bonne performance de plusieurs titres phares, dont Groupe CGI, Gildan et Metro.
Les États-Unis en récession depuis un an? Voilà l’affirmation troublante d’un économiste américain respecté.
Même si des observateurs comme Neil Gregson, spécialiste des matières premières chez JPMorgan, affirmaient encore tout récemment que les conditions favorables pour les producteurs demeuraient en raison de la vigueur de la demande des pays émergents, la question est sur les lèvres de bien des investisseurs.