Les conseillers accordent les pires notes aux courtiers en ce qui a trait au marketing, au soutien aux ventes et à l’utilisation des médias sociaux. Explications. Le soutien à l’utilisation des médias sociaux constitue le talon d’Achille de l’industrie.«Ce n’est pas facile. Les autorités nous imposent un devoir de surveillance très élevé. On doit avoir à l’oeil le site Web des conseillers, les courriels qui entrent et qui sortent, etc.», remarque Paul Balthazard, vice-président et directeur régional, Québec et provinces de l’Atlantique chez RBC Dominion valeurs mobilières.