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Bien qu’il soit difficile d’ignorer l’attention accrue portée au changement climatique au cours des derniers mois et des dernières années, un autre point important a émergé parallèlement : le rôle de la biodiversité dans l’atténuation du changement climatique et l’amélioration de l’adaptation à ce changement.
Le lien entre la biodiversité et l’atténuation du changement climatique et l’adaptation à celui-ci porte à accorder plus d’importance à la détermination, à la mesure et à la gestion des risques et des solutions fondés sur la nature. L’année 2021 a été décisive non seulement pour le changement climatique, mais aussi pour la biodiversité, et nous espérons que cette tendance se poursuivra.
Le saviez-vous ?
- Le rôle de la biodiversité et du fonctionnement des écosystèmes dans la lutte contre le changement climatique est inclus dans l’Accord de Paris et sera examiné lors de la prochaine Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP 26) en novembre 2021.
- Un nouveau cadre mondial pour la biodiversité a été publié en vertu de la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique et devrait être adopté à l’occasion de la Conférence des Nations Unies sur la diversité biologique (COP 15 de la CDB) qui aura lieu en deux parties, en octobre 2021 et en avril-mai 2022.
- La perte de biodiversité a été définie comme l’un des cinq risques mondiaux majeurs pendant deux années consécutives par les chefs d’entreprise dans le Rapport annuel sur les risques mondiaux 2021.1
- Les ministres de l’Environnement et du Climat du G7 ont annoncé en mai 2021 un engagement commun à protéger 30 % des terres et 30 % des océans d’ici 2030 (initiative 30 x 30).2
Pourquoi la biodiversité est-elle importante ?
La biodiversité constitue le fondement et l’infrastructure de la nature ; en termes simples, la variété de toute vie sur Terre, sous toutes ses formes et fonctions. Elle englobe les plantes, les bactéries, les animaux et les humains. Selon le Forum économique mondial, plus de la moitié du PIB mondial, soit environ 44 billions de dollars américains, dépend modérément ou fortement de la nature et de ses services.3 Ces services dont dépendent les économies, les marchés et la société comprennent la nourriture, la pollinisation, l’eau, l’air pur, les médicaments, le carburant, la protection contre les inondations, la séquestration du carbone et une gamme remarquable de biens et services que nous utilisons quotidiennement.
La valeur et les contributions de la nature et de la biodiversité à l’économie attirent de plus en plus l’attention des gouvernements, des économistes, des entreprises et des investisseurs. En 2019, le gouvernement du Royaume-Uni a commandé un examen indépendant à l’échelle mondiale de l’aspect économique de la biodiversité. Le rapport qui en a résulté (The Dasgupta Review4) a été publié en février 2021. Ce rapport montre en détail le lien direct et étroit entre la nature et la prospérité économique. L’une des observations clés du rapport réside dans sa description du « capital naturel », qui inclut tous les avantages et services apportés par la biodiversité, en tant qu’actif économique, de manière très comparable au capital produit et au capital humain (voir le diagramme5). Tout comme la perte de capital humain peut causer une perte financière tangible, la perte de capital naturel a selon le rapport une incidence macroéconomique et financière considérable sur les économies.
Les menaces qui pèsent sur le capital naturel comprennent la production alimentaire, la surexploitation des ressources naturelles, la pollution, la croissance démographique et le changement climatique. Principales causes de la perte de biodiversité, l’expansion et l’intensification de l’agriculture devraient s’accroître à mesure que la demande de nourriture et de bioénergie augmentera parallèlement à la croissance rapide de la population. La dynamique du commerce et des chaînes logistiques compte également parmi les facteurs clés de la perte de biodiversité, la production passant souvent des pays développés disposant d’une réglementation environnementale aux pays en développement, qui abritent souvent une plus grande biodiversité et sont assujettis à moins de restrictions. Les recherches indiquent que 33 % des incidences sur la biodiversité en Amérique centrale et du Sud et 26 % en Afrique sont attribuables à la consommation dans d’autres régions.6
Comment la biodiversité se répercute-t-elle sur le changement climatique et vice-versa ?
Le lien entre la biodiversité et le changement climatique va dans les deux sens. La biodiversité contribue aux mesures d’atténuation du changement climatique et d’adaptation à celui-ci et les améliore, tandis que le changement climatique entraîne la dégradation et la perte de la biodiversité terrestre et marine. Ce lien justifie l’accent croissant mis sur le maintien et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes dans la poursuite d’objectifs et de cibles plus larges de changement climatique.
Répercussions de la biodiversité sur le changement climatique : | Effets du changement climatique sur la biodiversité : |
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• La biodiversité est importante pour la séquestration du carbone, c’est-à-dire le carbone stocké dans les arbres, le sol, les tourbières et d’autres masses terrestres.
• Les écosystèmes marins jouent un rôle important dans l’absorption des émissions et de la chaleur, contribuant ainsi à atténuer le changement climatique. Selon les estimations, l’océan absorbe environ 30 % des émissions produites par l’homme.7 • Des écosystèmes sains et biodiversifiés améliorent la capacité d’adaptation et de résistance aux catastrophes naturelles. Par exemple, les plaines inondables et les zones humides offrent une protection contre les inondations ; les récifs coralliens, les herbiers marins et les mangroves protègent les littoraux contre les vagues et les tempêtes ; les pentes boisées assurent une protection contre les glissements de terrain, etc. |
• La hausse des températures et les variations de précipitations perturbent les habitats fauniques et floristiques, les saisons de croissance et la taille des populations, ce qui entraîne la disparition et l’extinction d’espèces.
• Le réchauffement et l’acidification des océans nuisent aux pêches, aux récifs coralliens et à d’autres formes de vie marine dont dépendent les entreprises et les collectivités. • L’évolution du changement climatique accroît la fréquence des infections parasitaires et des flambées épidémiques (p. ex. dendroctone du pin ponderosa, maladie de Lyme). • Le changement climatique a une incidence sur la diversité des cultures, les rendements et les saisons de croissance, et entraîne des répercussions potentielles importantes sur le secteur agricole et la sécurité alimentaire mondiale.8 |
Comment la biodiversité se répercute-t-elle sur les entreprises et les bénéfices ?
La rentabilité et la survie à long terme d’un certain nombre de secteurs et d’activités dépendent directement d’écosystèmes biodiversifiés et fonctionnels.9 Par exemple, l’eau douce est essentielle à de nombreux secteurs, notamment l’agriculture, l’exploitation minière et la vente au détail de produits alimentaires ; la diversité génétique dans la nature est essentielle à l’industrie pharmaceutique ; et les zones humides et les forêts intacts protègent les bâtiments et les infrastructures contre les inondations, les tempêtes et les catastrophes naturelles.
Voici des exemples de la contribution de la biodiversité aux industries clés :
- Services de pollinisation pour les industries agricoles : La production alimentaire mondiale annuelle de 235 à 577 milliards de dollars américains repose sur les contributions directes des pollinisateurs.10
- Produits forestiers pour les industries du bois d’œuvre et des pâtes et papiers : Les produits forestiers génèrent des exportations mondiales de 247 milliards de dollars américains.11
- Approvisionnement en eau pour les industries des biens de consommation : L’industrie du vêtement et de la chaussure est responsable (et dépend) d’environ 20 % de l’utilisation mondiale des eaux usées.12
- Les récifs coralliens et les industries de l’écotourisme : Les récifs coralliens fonctionnels rapportent des recettes annuelles de 36 milliards de dollars américains à l’industrie du tourisme mondial.12
Les risques liés à la biodiversité pour les entreprises se manifestent principalement par la dépendance des entreprises à l’égard de la biodiversité et leur incidence sur celle-ci (pour de plus amples renseignements à ce sujet, voir la liste ci-dessous).14 Ces risques peuvent avoir une incidence sur les chaînes de valeur, faire augmenter le coût des intrants et des matières premières, perturber les activités, entraîner des amendes ou des responsabilités légales et, en définitive, se répercuter sur la rentabilité.
- Les risques écologiques sont principalement des risques opérationnels associés à la dépendance vis-à-vis des ressources, à la rareté et à la qualité. Ils peuvent être liés à l’augmentation des coûts des matières premières ou des ressources, à la détérioration des chaînes logistiques ou à la perturbation des activités commerciales.
- Les risques réglementaires comprennent les restrictions résultant de l’accès aux terres et aux ressources, les coûts de nettoyage et d’indemnisation, les normes d’approvisionnement, les procédures de délivrance de licences et de permis, et les moratoires sur les nouveaux permis.
- Les risques réputationnels sont liés aux préférences et aux attentes des consommateurs, ce qui peut mener à des boycottages (p. ex. huile de palme, thon rouge) et à une détérioration de l’image de marque.
- Les risques de marché peuvent découler de l’évolution des préférences des consommateurs ou de nouvelles exigences, qui créent des risques supplémentaires pour les entreprises si elles ne peuvent les respecter.
Selon certaines organisations industrielles, la perte de biodiversité peut également être considérée comme un risque systémique potentiel.15 Un risque systémique est le risque qu’un événement unique ait des répercussions généralisées sur les marchés financiers, les régions et la société. La crise des prêts hypothécaires à risque de 2008 et la pandémie de COVID-19 sont généralement considérées comme des événements présentant un risque systémique.
Comment mesurez-vous et gérez-vous les risques financiers liés à la nature ?
Les méthodes de mesure, de surveillance et de gestion du capital naturel et des risques financiers liés à la nature suscitent un intérêt et une attention accrus. La création, en septembre 2020, d’un nouveau Groupe de travail sur la divulgation de l’information financière liée à la nature, d’ordre mondial, a constitué un pas important dans cette direction. Ce groupe de travail vise à établir un cadre permettant aux entreprises de mesurer et de communiquer leurs risques financiers et leurs possibilités financières liés à la nature, en s’appuyant sur le succès du Groupe de travail sur l’information financière relative aux changements climatiques, dont les recommandations ont été publiées en juin 2017. Les recommandations du Groupe de travail sur l’information financière relative aux changements climatiques sont obligatoires au Royaume-Uni pour les secteurs financiers et non financiers de l’économie d’ici 2025, et elles ont été appliquées de manière volontaire par plus de 2 300 entreprises de 88 pays.16
Malgré ces progrès parmi d’autres dans la définition des risques financiers liés à la nature, il reste encore beaucoup à faire tant pour établir des mesures efficaces des répercussions financières des risques et des possibilités liés à la nature que pour recueillir les données nécessaires afin de les calculer. Pour les investisseurs, l’examen de l’incidence des risques financiers importants liés à la nature sur le profil risque-rendement des sociétés dans lesquelles ils investissent, ainsi que des mesures qu’elles prennent pour gérer et atténuer ces risques, est un élément important du processus de placement.
Quelles sont les solutions fondées sur la nature et quel rôle jouent-elles dans le changement climatique ?
Les solutions fondées sur la nature renvoient à tout projet ou mesure apte à protéger et à restaurer les écosystèmes naturels et à remédier à des problèmes environnementaux comme la perte de biodiversité, l’érosion des sols, la rareté de l’eau et la déforestation. Tout comme la prise de conscience du lien entre la biodiversité et le changement climatique, l’accent sur le rôle des solutions fondées sur la nature s’est accru. Selon le Forum économique mondial, les solutions fondées sur la nature pourraient générer une valeur commerciale pouvant atteindre 10,1 billions de dollars américains annuellement et créer 395 millions d’emplois d’ici 2030.17
Le rôle que joue la nature dans le stockage du carbone et l’apport de défenses naturelles contre les inondations, les tempêtes et d’autres catastrophes est essentiel aux efforts d’atténuation du changement climatique et d’adaptation à celui-ci. Alors que les entreprises et les pays cherchent à réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) et à respecter leurs engagements en matière de climat, leurs objectifs exigeront un accroissement des investissements et des mesures visant à restaurer la biodiversité et les écosystèmes. Étant donné que l’agriculture, la foresterie et l’utilisation des terres représentent à elles seules environ 23 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre,18 l’incidence potentielle de la protection, de la restauration et de l’utilisation durable des forêts, des prairies et des zones humides est considérable.
La collaboration et la réglementation gouvernementales commencent également à stimuler l’action en matière de biodiversité et l’avancement des solutions fondées sur la nature. Le projet de cadre mondial pour la biodiversité qui est examiné en vertu de la Convention sur la diversité biologique nécessitera que les pays participants s’entendent sur le pourcentage de réduction des émissions que chaque pays atteindra grâce à des solutions fondées sur la nature. Dans l’Union européenne (UE), les règlements qui ont été établis pour soutenir la mise en œuvre du Pacte vert pour l’Europe comptent « la protection et la restauration de la biodiversité et des écosystèmes » parmi les six objectifs environnementaux des activités pour une économie durable dans le cadre de la taxonomie de l’UE.19
Quelle est l’approche de RBC Gestion mondiale d’actifs en matière d’intégration des critères ESG ?
À RBC Gestion mondiale d’actifs (RBC GMA), chaque équipe Placements évalue les critères ESG dans le cadre de son processus décisionnel de placement. Les critères pris en considération sont notamment la biodiversité et l’utilisation des terres, l’utilisation des ressources naturelles, le stress hydrique, la gestion durable des forêts et d’autres facteurs, lorsque ces facteurs sont importants financièrement pour un secteur ou un émetteur. Nous communiquons également nos opinions au moyen d’un vote par procuration et d’un dialogue réfléchis, et nous précisons la façon dont nous votons par procuration sur des questions dans nos Directives de vote par procuration. RBC GMA croit pouvoir améliorer le rendement à long terme ajusté au risque de nos portefeuilles en agissant comme un gestionnaire actif, dynamique et responsable, conscient de son devoir fiduciaire.
Renseignez-vous sur notre gestion des risques climatiques ou l’investissement responsable.
1. Rapport sur les risques mondiaux 2021, Forum économique mondial, janvier 2021
2. UK secures historic G7 commitments to tackle climate change and halt biodiversity loss by 2030 (Le Royaume-Uni obtient des engagements historiques du G7 à lutter contre le changement climatique et à mettre fin à la perte de biodiversité d’ici 2030), G7 R.-U. 2021, mai 2021
3. Nature risk rising: Why the Crisis Engulfing Nature Matters for Business and the Economy (Augmentation des risques liés à la nature : pourquoi la crise qui touche la nature est importante pour les entreprises et l’économie), Forum économique mondial, janvier 2020.(Lien)
4. The Economics of Biodiversity (L’aspect économique de la biodiversité) : The Dasgupta Review, gouvernement du Royaume-Uni, 2 février 2021
5. The Economics of Biodiversity (L’aspect économique de la biodiversité) : The Dasgupta Review, gouvernement du Royaume-Uni, 2 février 2021
6. Increasing impacts of land use on biodiversity and carbon sequestration driven by population and economic growth (Répercussions croissantes de l’utilisation des terres sur la biodiversité et la séquestration du carbone résultant de la croissance démographique et économique), Nature Ecology & Evolution, volume 3, pages 628-637 (2019)
7. Oceans absorb about 1/3 of global CO2 emissions, but at what cost? (Les océans absorbent le tiers des émissions mondiales de CO2, mais à quel prix ?), Forum économique mondial), mars 2019
8. Département des affaires économiques et sociales, Nations Unies. Policy Brief #102: Population, food security, nutrition and sustainable development (Exposé de politique no 102 : Population, sécurité alimentaire, nutrition et développement durable) , Nations Unies, avril 2021
9. Biodiversity: Finance and the Economic and Business Case for Action (Biodiversité : Finances et les arguments économiques et commerciaux en faveur de l’action), préparé par l’OCDE pour la présidence française du G7 et la réunion des ministres de l’Environnement du G7), les 5 et 6 mai 2019
10. Assessment Report on Pollinators, Pollination and Food Production (Rapport d’évaluation sur les pollinisateurs, la pollinisation et la production alimentaire), Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques, 2016 ,
11. FAOSTAT, base de données sur les forêts, 2017
12. UN launches drive to highlight environmental cost of staying fashionable (L’ONU lance une campagne visant à souligner le coût environnemental associé au fait de suivre la mode) Nations Unies, 2019
13. Mapping the global value and distribution of coral reef tourism, Marine Policy (Cartographier la valeur et la répartition mondiale du tourisme des récifs coralliens, Politique maritime), Volume 82, 2017, pages 104-113)
14. Biodiversity: Finance and the Economic and Business Case for Action (Biodiversité : Finances et les arguments économiques et commerciaux en faveur de l’action), préparé par l’OCDE pour la présidence française du G7 et la réunion des ministres de l’Environnement du G7), les 5 et 6 mai 2019
15. Investor action on biodiversity: A discussion paper (Action des investisseurs en matière de biodiversité : une proposition préliminaire), groupe PRI des Nations Unies), septembre 2020
16. Groupe de travail sur l’information financière relative aux changements climatiques , consultation le 6 août 2021
17. New Nature Economy Report II: The Future of Nature and Business (Nouveau rapport sur l’économie de la nature II : L’avenir de la nature et des affaires), Forum économique mondial, juillet 2020
18. IPCC Special Report on Climate Change, Desertification, Land Degradation, Sustainable Land Management, Food Security, and Greenhouse gas fluxes in Terrestrial Ecosystems (Rapport spécial du Groupe d’experts intergouvernemental sur le changement climatique, la désertification, la dégradation des terres, la gestion durable des terres, la sécurité alimentaire et les flux de gaz à effet de serre dans les écosystèmes terrestres), 2019
19. EU taxonomy for sustainable activities (Taxonomie de l’UE pour des activités durables), Commission européenne)
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Date de publication : 6 octobre 2021