- J’estime qu’il y a peu de changements dans leur comportement. Au niveau de leurs portefeuilles, certaines liquidités sont allées vers des produits plus équilibrés.
- Je constate une évolution, mais les clients ne sont pas devenus des preneurs de risques pour autant.
- Il y a une amélioration dans ce sens depuis environ un an notamment par rapport au marché américain et depuis six mois, au marché européen.
- Je ne trouve pas qu’ils aient de nouveau l’appétit pour le risque.
- Les clients sont un peu plus enthousiastes, mais j’essaie justement de tempérer leur engouement pour le moment.
- J’estime qu’il y a peu de changements dans leur comportement. Au niveau de leurs portefeuilles, certaines liquidités sont allées vers des produits plus équilibrés.
- Je constate une évolution, mais les clients ne sont pas devenus des preneurs de risques pour autant.
- Il y a une amélioration dans ce sens depuis environ un an notamment par rapport au marché américain et depuis six mois, au marché européen.
- Je ne trouve pas qu’ils aient de nouveau l’appétit pour le risque.
- Les clients sont un peu plus enthousiastes, mais j’essaie justement de tempérer leur engouement pour le moment.
- Il n’y a eu aucun changement et de mon côté, j’insiste sur la sécurité.
- Le goût du risque revient et j’ai donc fait des modifications au niveau des portefeuilles. J’ai notamment investi dans des actions américaines et des produits qui génèrent des dividendes.
- J’ai des clients qui veulent changer de cap à chaque soubresaut du marché, donc j’essaie de les modérer.
- Je dirais que les « gros » clients sont plus fonceurs et les « petits » sont plus orientés revenus.
- Je pense que l’appétit pour le risque est de retour, mais il n’a pas atteint les niveaux que nous avons connus avant 2007-2008.
- Le comportement des clients a été très fluctuant ces dernières années, mais je pense qu’on revient à la « normale ».
- Les clients sont un peu plus sereins et j’ai donc effectué des changements au niveau des portefeuilles pour aller vers des titres de participation.
- J’ai la chance d’avoir une clientèle assez confiante. Crise ou pas, elle reste sereine.
- Le revirement de comportement commence et certains de mes clients me demandent de vendre pour pouvoir encaisser les actifs.
- J’ai vu un véritable changement depuis un an, mais je n’ai pas fait de modifications dans les portefeuilles.
- J’ai augmenté légèrement la partie actions des portefeuilles.
- Je dirais qu’à défaut d’être revenu, l’appétit pour le risque de mes clients n’a pas disparu.
- Depuis peu, je privilégie les actions privilégiées et les produits qui génèrent des dividendes pour répondre à la demande de mes clients.
- Je trouve que mes clients restent très conservateurs et veulent un marché moins volatil.
- Depuis l’an dernier, les clients qui avaient 70 % de leur portefeuille en revenu fixe et 30 % en actions ont demandé à augmenter le ratio, nous sommes donc passés à 60/40.
- J’ai le sentiment qu’on est encore sur une tendance conservatrice, malgré les changements dans le marché.
- Je dirais que les clients sont de meilleure humeur, un peu plus ouverts et rassurés, mais que leur appétit pour le risque n’est pas revenu.
- J’ai remarqué un net changement depuis six mois. J’ai donc modifié la répartition d’actifs, avec moins d’actions et plus d’obligations corporatives.
- Je pense que les gens sont prudents, mais confiants. Je remarque aussi qu’ils sont sensibles à ce qu’ils lisent dans la presse et que parfois, ils se déchaînaient un peu sur les conseillers en placement.
- Plutôt que de suivre l’agitation de mes clients, je respecte ma discipline de répartition d’action. Je procède à un rééquilibrage quand c’est nécessaire.
- Je mets désormais moins l’accent sur les titres à revenu fixe et je mise sur les valeurs sûres et les titres en croissance.
- L’aversion pour le risque est moins présente, donc j’investis plus dans des fonds négociés en bourse (FNB) américains.
- Le goût du risque n’est pas vraiment revenu en tant que tel, mais depuis peu, nous établissons des stratégies un peu plus risquées.
- J’apprends plutôt à mes clients à ne pas prendre trop de risques, mais je réduis tout de même la pondération en obligations.
- Étant donné que les taux d’intérêt sont bas, les clients se tournent vers des titres à dividendes.
- J’ai l’impression que les clients sont toujours frileux et qu’il faut les retenir.
- La confiance dans les marchés revient graduellement.
- Les clients sont de plus en plus âgés et deviennent donc plus conservateurs.
- Le bloc est légèrement décongelé! Les investisseurs sont encore très peureux et ce n’est pas vraiment un problème.
- J’ai le sentiment que c’est aux conseillers en placement de les convaincre d’augmenter la part de risque.
- Les clients ont encore le goût amer de 2009. Les changements dans les portefeuilles sont constants, car nous ne sommes pas des investisseurs à long terme, nous profitons du « momentum ». Nous restons vigilants, nous sommes convaincus qu’un nouveau krach qui arrive.
- Disons plutôt que les clients ont pris goût au rendement, mais pas au risque!
- Les clients de détails ne sont pas très friands de nous voir souvent remplacer des titres par d’autres. Les mouvements dans les portefeuilles sont restreints.
- Les changements que j’effectue dans les portefeuilles ne sont pas nécessairement liés à cette relance légère, cela s’intègre dans la discussion avec les clients.
- Les investisseurs reprennent légèrement confiance. J’oriente les portefeuilles en fonction des secteurs qui vont le mieux performer. Je sors du Canada pour investir davantage dans les actions du marché américain.
- Je mise sur les « blue chips » et les actions à l’international, notamment aux États-Unis.
- Le goût du risque chez les conseillers n’est pas revenu non plus. Je prends moins de risques qu’avant la crise. J’investis plus dans les fonds équilibrés et moins dans les spéculatifs.
- Les investisseurs estiment qu’il y a encore trop de volatilité dans les marchés et restent nerveux.
- Je n’ai pas constaté de véritables changements chez mes clients et j’avoue que je ne réagis pas à leur émotivité
- Les clients sont plus ouverts à la discussion, mais leur aversion pour le risque est toujours présente.
Photo Bloomberg