Revenus: les recettes pour les augmenter varient
  • Je suis le marché, en ce moment, les États-Unis performent bien. Je prête tout de même attention à l’Europe et à la Chine, même si je reste prudent.
  • Je fais des révisions trimestrielles tout en restant prudent. Je regarde ce qui se passe du côté des marchés américains et européens.
  • Je suis plutôt conservateur et je préfère éviter que les clients ne s’emballent pour rien.
  • Disons que je suis plus actif du côté des États-Unis.
  • Je cherche plus de rendements sécuritaires.
  • J’avoue que pour le moment il n’y a pas beaucoup de taux de rotation dans mes portefeuilles.
  • Pour augmenter les revenus, je préfère demander du référencement à mes clients pour avoir de nouveaux clients.
  • Je n’ai pas de stratégie particulière, je reste ultraconservateur.
  • Je m’adapte aux changements économiques. J’actualisation les portefeuilles. Depuis les trois dernières années, j’ai augmenté de 7 % les titres à revenus dans les portefeuilles.
  • Je fais beaucoup de recherches et je fais du cas par cas dans les portefeuilles.
  • Je n’ai pas de stratégie vraiment arrêtée. J’ai augmenté la pondération dans les comptes américains depuis deux ans, et depuis l’an dernier pour l’international.
  • Je vais vers le marché américain, c’est là où il faut être en ce moment.
  • J’essaie d’équilibrer les dividendes et les produits garantis.
  • Je crois vraiment dans les actions à conserver sur du long terme et à diversifier.
  • Je cherche des rendements supérieurs aux indices des marchés. J’achète du côté des États-Unis et délaisse les obligations qui comptent pour moins de 1 % dans mes portefeuilles.
  • Je mise beaucoup sur les actions américaines et les marchés émergents.
  • Je m’intéresse aux secteurs d’avenir comme celui de l’eau potable et je me positionne en conséquence. Je pense qu’il y a aussi une renaissance de l’industrialisation aux États-Unis.
  • J’analyse les titres et mes clients ne se plaignent pas des rendements.
  • J’essaie de bonifier mes revenus par honoraires et d’en générer d’autres avec des produits comme de l’assurance.
  • Je n’ai pas de plan d’action à l’intérieur des portefeuilles, mais étant à honoraires, je n’en ai pas besoin. Je recherche de nouveaux actifs et à faire de l’assurance.
  • Il faut aller chercher plus de clients pour augmenter les revenus.
  • Je prospecte du côté des fonds défensifs qui génèrent des dividendes. Je diversifie au maximum les portefeuilles avec les gestionnaires.
  • Je maximise les comptes déjà existants, car je travaille à honoraires pour 85 % des comptes de mes clients.
  • J’opte surtout pour des actions américaines, c’est un marché « bullish » actuellement.
  • Je vise les meilleurs rendements possible, mais la recette dépend de l’état de l’économie.
  • J’achète des actions qui génèrent de bons dividendes.
  • Je m’efforce d’obtenir de meilleurs rendements, car plus mes clients gagnent, plus je gagne moi-même.
  • Je m’oriente plus vers les activités à honoraires. Je m’assure de la satisfaction de ma clientèle, qui par la suite me réfère.
  • Je tente d’accroître ma clientèle, de travailler mon référencement avec des clients existants.
  • Je m’appuie sur la fiscalité. En élaborant des planifications financières précises, je trouve les meilleurs produits pour mes clients.
  • Je m’oriente vers les comptes gérés pour baisser les frais de gestions des portefeuilles. Je privilégie aussi les comptes clients à forte valeur ajoutée.
  • J’encaisse les obligations à long terme et je réinvestis dans les obligations à court terme. Du côté des actions, je regarde du côté des États-Unis.
  • Je fais le ménage dans les petits comptes, c’est la politique de la firme. Du côté du marché américain, j’ai déjà modifié les portefeuilles en 2012.
  • Les changements d’allocation d’actifs ne changent pas beaucoup les revenus, il faut donc avoir de nouveaux clients.
  • Les taux d’intérêt sont bas, donc j’ai succombé aux FCP. Ils me permettent d’étoffer mes portefeuilles et ils répondent à un besoin pour ma clientèle.
  • Je mise un peu plus sur les obligations corporatives qui rapportent sur une base mensuelle et de manière plus générale sur la diversification des portefeuilles.
  • Je n’ai pas de stratégie, je continue à faire ce que j’ai toujours fait : donne le meilleur service possible.
  • Je m’attends à de la volatilité en 2013. J’étais plus agressif les deux dernières années, mais je vais prendre une position plus défensive cette année.
  • J’améliore les revenus en faisant plus de « stock-picking ».
  • C’est au cas par cas. Pour ce qui est de l’orientation plus américaine des portefeuilles, j’ai déjà enclenché le processus depuis deux ans.
  • Je raisonne beaucoup plus en terme de développement des affaires et de nouveaux clients.
  • Je mise beaucoup plus sur le marché américain que canadien depuis près d’un an et demi.
  • Je recherche plus de fonds avec une distribution mensuelle.
  • J’élabore des portefeuilles plus diversifiés et équilibrés en actions, actions privilégiées et en obligations, car mes clients sont des entrepreneurs en fin de carrière qui vendent leur entreprise.
  • J’opte pour des portefeuilles avec des commissions de suivi plus importantes, des produits gérés plus payants.
  • Depuis 20 ans, je ne m’intéresse qu’aux compagnies canadiennes qui ont un monopole ou un oligopole.
  • J’essaie d’avoir les meilleurs produits, notamment du côté du marché américain, mais je reste frileux para rapport à l’Europe.
  • Je me tourne de plus en plus vers une pratique à honoraires. Je travaille dans ce que je connais le mieux : le marché canadien.
  • Les revenus ne sont souvent pas la première préoccupation des portefeuilles de mes clients, ils cherchent plutôt la sécurité.
  • Depuis six mois, j’oriente mes portefeuilles vers le marché américain, mais depuis trois mois je m’intéresse aux marchés émergents et aux obligations corporatives.
  • J’analyse ce qui rapporte le plus et je change le style ou la répartition du portefeuille selon ce dont le client à besoin.
  • Je me dirige plus vers le marché américain et je délaisse les produits à revenu fixe.
  • Je regarde s’il y a des lacunes dans les portefeuilles. Si un client n’est pas du tout investi dans le marché américain, je vais lui recommander de le faire.
  • Je pense que pour générer plus de revenus, je n’ai pas d’autres choix que de m’orienter vers une pratique à honoraires, d’autant plus que la clientèle devient de plus en âgée et décaisse.
  • Je surveille de très près le marché obligataire corporatif à haut rendement, les fonds négociés en bourse et certaines actions privilégiées.
  • J’augmente mes honoraires.
  • J’augmente l’actif sous gestion en allant chercher des titres qui prennent de la valeur.
  • Je tente d’intégrer plus d’obligations structurées.
  • J’essaie d’augmenter le nombre de mes clients et de créer du référencement avec la clientèle existante.
  • Depuis un certain temps, je sous-pondère les obligations et je surpondère les actions américaines et celles des pays émergents.
  • Je remplace les titres gouvernementaux par des titres et obligations d’entreprises à dividendes plus élevés et j’ajoute des actions privilégiées.
  • De manière générale, je regarde les cycles boursiers de chaque produit, je demeure proactif et vigilant au quotidien.
  • Je vois au cas par cas, je n’impose pas une stratégie globale à ma clientèle.
  • Je m’intéresse aux marchés émergents et européens avec des produits structurés. Les États-Unis c’était il y a trois mois déjà!
  • État donné que je travaille véritablement en gestion de patrimoine, j’utilise plutôt la vente croisée.
  • J’essaie de ne pas me tromper, de ne pas tomber dans les pièges. Du côté du marché américain, j’investis dans les secteurs des soins de santé et de la consommation de base, mais pas dans les technologies.
  • La stratégie pour tous les conseillers devrait être d’arrêter de se laisser fondre au soleil quand les marchés chutent et faire preuve de proactivité.
  • Tranquillement, je m’oriente vers l’Amérique latine : Brésil, Mexique, Pérou, Chili, Argentine… J’attends la fin de l’année avant de lorgner du côté de l’Europe, je crois qu’il ne faut pas considérer que le marché canadien.
  • J’essaie avant tout de préserver le capital de mes clients avec un revenu modéré, mais réaliste.
  • Pour augmenter les revenus, j’ajoute des fonds négociés en bourse notamment des marchés émergents. J’augmente aussi ma position sur le marché américain et je réduis mon exposition dans le secteur de l’énergie.
  • Dans mon cas, je n’ai pas de stratégie particulière, car je vais vendre ma clientèle.
  • Je pense qu’il faut choisir des fonds qui génèrent des revenus mensuels.
  • J’opte pour une meilleure exposition au marché américain et des obligations convertibles à rendement plus élevé.
  • Lorsque c’est pertinent, je transfère les clients vers des honoraires.
  • Je mise sur les dividendes. Nos titres en action contiennent des dividendes à plus de 3 %.
  • Je compte équilibrer le rendement face au risque, composer avec des actions à dividendes pour obtenir une croissance du capital à long terme.
  • J’augmente le nombre de mes clients et à la demande de ma firme, j’élimine les petits comptes.
  • J’utilise des produits spéciaux et je travaille sur des portefeuilles modèles en fonction des profils et des stratégies fiscales.
  • Je fais de la gestion discrétionnaire. Nous avons testé nos portefeuilles sur de longues périodes et ils fonctionnent très bien, donc nous les appliquons de manière systématique.
  • Pour augmenter nos revenus, nous voudrions nous tourner vers plus de gestion discrétionnaire. Aujourd’hui, elle représente 30 % et nous aimerions atteindre 100 %.
  • Je mets l’accent sur le rendement, sur les actions et sur les revenus fixes. J’utilise plus de billets à capital non protégé.
  • Le marché américain a toujours fait partie de ma stratégie.
  • Je me tourne vers les actions américaines à dividendes.
  • J’utilise plus de fonds communs de placement et d’assurance pour augmenter les revenus.
  • J’augmente la part des produits gérés, comme les FCP.
  • Je vais à l’église et je mets des chandelles!
  • Nous étudions les statistiques avec Pricemetrix, chaque mois, et nous nous adaptons pour tester les tendances.
  • Les clients veulent protéger leur capital, donc j’investis de manière conservatrice dans les actions et les obligations.
  • J’opte pour les honoraires, avec lesquels j’ai plus de flexibilité pour le client et une rémunération plus stable pour moi.
  • Je rencontre plus souvent les clients pour trouver la meilleure stratégie.
  • Je combine des fonds à revenu fixe et une portion en actions en suivant la conjoncture, je m’intéresse au marché américain et à l’international à hauteur de 20 %.
  • Face au marché actuel, je compose des portefeuilles en conséquence avec moins d’obligations gouvernementales, plus de corporatives et plus de mondiales notamment les pays émergents.
  • Je propose plus de planification financière et de service à la clientèle.
  • Je préconise la gestion de patrimoine pour rapatrier l’ensemble des actifs et je récupère les dossiers d’assurances des clients.
  • Je suis en fin de carrière et je ne compte pas vraiment augmenter mes revenus, je cherche davantage la stabilité.

Photo Bloomberg