Voici ce que les participants à notre sondage avaient à répondre à la question : « Y a-t-il une stratégie de vente croisée dans votre firme? »
- Je compte en faire plus que ce que je fais actuellement, car c’est rentable.
- J’en fais peu, donc je ne pense pas qu’il y ait une stratégie de vente croisée.
- C’est rentable et c’est une manière de retenir notre clientèle et faire plus d’affaires avec elle.
- Je vois que c’est une tendance, ça démarre, mais personnellement, je n’en fais pas.
- Je ne fais pas de vente croisée, en revanche, je fais du référencement.
- Le conseiller avec qui je travaille en fait beaucoup et je vois le résultat, je pense donc m’y mettre aussi.
- J’en fais en complément, car c’est très rentable. Toutefois, il n’y a pas de stratégie de la part de la firme en tant que telle. Je dois dire que, personnellement, je n’en fais pas.
- Je fais de la vente croisée et c’est rentable, notamment en période creuse pour les conseillers.
- Je n’en fais pas ou peu, mais c’est va commencer. C’est une tendance récente au sein de la firme.
- Je dirais que j’en fais plus ou moins. C’est rentable pour la firme, mais pas nécessairement pour les clients.
- J’appellerais plutôt ça un travail de planification pour les besoins clients. J’ai mon permis en assurance, donc je suis à la page!
- J’en fais parce que c’est lucratif.
- C’est une initiative que je mets en place, mais je ne peux pas dire pour autant que la vente croisée fait partie de la stratégie de la compagnie.
- Pour le moment, j’en fais peu. Je me concentre surtout sur les placements, la vente croisée n’est pas automatique.
- Je fais beaucoup de vente croisée lorsque je fais de la gestion de patrimoine.
- C’est assez nouveau pour moi. J’en fais depuis environ trois-quatre ans et c’est très rémunérateur.
- J’avoue que je devrais en faire, mais pour le moment, ce n’est pas encore à l’ordre du jour.
- Je procède au cas par cas. Je l’intègre si c’est une opportunité pour moi, mais je ne cours pas après!
- Nous pourrions en faire plus, mais nous ne sommes pas très actifs pour le moment. Cependant, je pense que ce serait rentable si nous en faisions beaucoup.
- Personnellement, je n’ai pas de permis en assurance, mais je travaille avec un excellent spécialiste en assurance qui me permet de faire de la vente croisée.
- J’essaie de faire de plus en plus de ventes croisées, mais je n’ai pas beaucoup de succès.
- C’est très rémunérateur et j’en fais beaucoup lorsque je présente des planifications financières.
- Je pense que cela fait partie de la stratégie de la firme. J’en fais un maximum!
- La vente croisée fait partie de notre développement d’affaires donc on cherche à en faire le plus possible.
- En général, je le propose aux clients, mais je n’insiste pas trop.
- Je n’ai pas le permis en assurance pour pouvoir le faire, mais je fais du référencement.
- C’est une pratique que j’ai intégrée. D’une part, c’est rentable, d’autre part, c’est un bon outil de développement des affaires et de rétention de la clientèle.
- Ma firme ne la met pas vraiment en place. Je sais que c’est rentable pour moi, mais surtout pour le client.
- Je pense que c’est payant si l’on en fait beaucoup, mais pour le moment je me concentre sur la gestion de placement.
- Je trouve que le risque de perdre mes clients est tellement important s’ils sont déçus que je limite au maximum la vente croisée.
- J’avoue que j’en fais lorsque l’occasion se présente. C’est rentable à moyen terme, mais pas à court terme.
- Je travaille à développer la vente croisée. Je ne pense que ça soit rémunérateur pour moi, mais c’est une activité complémentaire utile pour entretenir la relation avec les clients.
- C’est payant pour la firme, mais pas pour moi!
- Je développe de plus en plus le côté assurance dans ma pratique, donc je devrais en faire de plus en plus.
- Je ne trouve pas ça rentable, mais ça permet de faire de la rétention de la clientèle.
- Je commence tout juste à en faire. Ce n’est pas encore avantageux, mais je pense que ça va le devenir rapidement.
- Je suis en fin de carrière, donc c’est une stratégie qui ne m’intéresse pas.
- Disons que j’en fais modérément et d’ailleurs, je ne subis pas de pression de ma firme pour en faire plus.
- Nous commençons à en faire, nous venons d’ailleurs de recruter un nouveau planificateur financier pour nous aider dans ce sens.
- Je le fais surtout par souci de complémentarité de services pour le client.
- Je sais que ça existe, mais je n’en fais pas.
- J’en fais parce que j’ai une approche de planification financière et que c’est un plus au niveau de la qualité de la relation avec le client.
- Je vais la proposer au client si c’est lui qui amorce la conversation à ce sujet.
- C’est intéressant, mais je ne pense pas que cela soit adapté à tous les clients.
- Faire plus de ventes croisées fait partie de mes défis pour les prochaines années.
- La firme nous pousse à en faire plus, mais nous ne sommes pas bons à ce niveau-là.
- Je néglige un peu la vente croisée, je trouve que cela prend trop de temps.
Photo Bloomberg