Non. Ça prend de la diversité.
Oui. Ça éviterait bien des problèmes, mais il faudrait uniformiser la rémunération.
Oui. Pour une surveillance plus étroite et moins de possibilités de travail mal fait.
Non. Parfois la vision des affaires est différente chez d’autres agents et chez notre agent général principal.
Oui. La relation sera plus rigoureuse, avec un meilleur suivi.
Je suis d’accord. Comme conseiller autonome, c’est du sport de trouver le bon agent général.
Oui. Tout est regroupé à la même place avec un service complet. Ça fait beaucoup moins de gestion.
Non. Vive la concurrence, qui est le meilleur ami de l’humain.
Oui, à condition qu’il soit assez important pour offrir tous les services.
Oui, pour une meilleure conformité en étant mieux suivi par un seul agent.
Non. Ça créerait un lien trop fort avec l’agent général qui détiendrait 100 % de nos affaires. Il aurait la mainmise sur notre bloc d’affaires. Les agents généraux ne sont pas tous égaux, donc on bénéficie actuellement d’une certaine indépendance.
Oui, ça ne me dérange pas à condition qu’il offre une vaste gamme de compagnies d’assurance.
Oui. Ça permet au conseiller indépendant d’être plus cohérent. Si on est sur plusieurs plateformes, ça demande plus de suivi. En épargne collective, on a la preuve de l’efficacité d’une telle mesure.
Non. Prenons l’exemple de CMA qui a été vendu à Horizons. Quand on fait affaire avec un deuxième ou un troisième, on est plus à l’aise.
Oui. Parce que ça favorise le contrôle de conformité et la formation.
Non. J’en ai deux et ils n’ont pas la même approche. Je n’aime pas la pensée unique.
Non. Car autrement, on se ferait pogner par les couilles. Je suis devenu autonome afin de donner le meilleur à mes clients. Si j’avais un seul agent général, je deviendrais captif, on ne pourrait pas offrir ce qu’il y a de mieux aux clients.
Oui, à condition d’avoir la possibilité de pouvoir transférer son bloc d’affaire si jamais il y avait un conflit ou un problème avec l’agent général unique.
Non ! Ça serait le rêve des agents généraux. Or, la concurrence force l’amélioration des procédés, de l’éthique et de l’écoute.
Ce serait beaucoup plus simple pour le conseiller pour la tenue des dossiers, le suivi des anciens clients, les changements d’adresse et autres. Cependant, les firmes d’assurances ont supprimé dans les dernières années les contrats directs avec les agents généraux, il faudrait les mettre au pas. Le but est d’éviter qu’il n’y ait que quelques méga agents généraux qui pourraient distribuer toutes les compagnies d’assurance.
Oui, moins il y a de nouilles dans la soupe, moins c’est compliqué. Plus on implique d’intervenants, plus les risques de dérapage et de paperasse augmentent, et surtout plus les coûts montent.