Une partie de ceux qui ont donné leur avis déplorent le service à la clientèle. Un conseiller souhaite que son AG mette «plus de personnel au service à la clientèle». Un autre aimerait «attendre moins longtemps sur la ligne lorsqu’on veut une information».

Une minorité souhaite qu’on améliore la qualité des communications, comme ce répondant qui se plaint qu’on «essaie tous de régler par courriel». Un autre témoigne : «La langue anglaise domine. Ça s’améliore pour le français, mais on pourrait faire encore mieux pour les conseillers francophones.»

Alors qu’une poignée de répondants citent comme faiblesse «l’accompagnement à l’entrée en carrière de nouveaux représentants», d’autres ciblent la rémunération et le manque de visibilité de leur AG auprès de leur clientèle.

Quelques conseillers ont indiqué la «gamme de produits» ou «l’offre de produits» comme élément à améliorer, ce qui laisse entendre que la leur est trop restreinte à leur goût.

Notons par ailleurs que 29 % des répondants ne trouvent aucune faiblesse à leur agent général ou n’en connaissaient pas au moment du sondage, souvent parce qu’ils ne faisaient affaire avec leur AG que depuis peu de temps. Dans ce groupe, certains semblent satisfaits et ne voient chez leur AG aucune possibilité d’amélioration, comme en témoigne l’un d’eux : «Rien jusqu’à présent. C’est très bon.»