Et ce ne sera pas pour des vétilles, car selon une autre statistique percutante citée par l’assureur, les actifs à investir des 55 à 74 ans devraient presque doubler d’ici 2023.
Or, la majorité semble mal préparée à en gérer les conséquences, car seulement 11 % des gens qui accrocheront leurs patins d’ici quatre ans ont un programme écrit sur la gestion de leurs finances à la retraite.
Comment devenir le conseiller de choix de ces clients en mal de planification de retraite ? En faisant valoir les avantages de la «certitude» et de la «sécurité», rétorque Canada-Vie qui suggère de miser sur les options de revenu garanti à vie typiques des compagnies d’assurance.
Comme l’affirme Canada-Vie dans ses «Ressources destinées aux conseillers», «les autres institutions financières, comme les banques, ne peuvent simplement pas offrir des produits comme les rentes de revenu, les fonds distincts et l’option de garantie de revenu viager».