L’exigence de la période de survie a été supprimée en octobre, à l’exception des maladies cardiovasculaires telles que les infarctus et les accidents vasculaires cérébraux.
Les clients pourront ainsi toucher leurs prestations plus rapidement. L’assureur présente ce changement comme une «première sur le marché».
Sun Life précise que les prix restent inchangés. D’autre part, le nombre de maladies à prestation partielle est passé de six à huit.
Soulignons que l’assureur a revu des éléments de vocabulaire afin de faciliter l’effort de vente. L’expression «mettant la vie en danger», qui faisait partie de la définition du cancer, a été éliminée. Sun Life a constaté que «ces mots sont malheureusement devenus un obstacle pour les clients».
Dorénavant, poursuit l’assureur, les conseillers pourront «plus facilement parler aux clients de l’AMG Sun Life».
L’assureur rappelle que les conseillers doivent examiner la définition du cancer avec leurs clients et «leur préciser que certains cancers à des stades précoces ne donnent pas droit à la prestation complète».