Carrière – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Tue, 17 Dec 2024 12:18:04 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Carrière – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Choisir les bons logiciels de planification de mi-carrière https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/choisir-les-bons-logiciels-de-planification-de-mi-carriere/ Tue, 17 Dec 2024 12:18:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104476 DÉVELOPPEMENT — Que recherchent les conseillers ?

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Les conseillers sélectionnent divers logiciels en fonction des besoins spécifiques de leur cabinet. Dans la première partie de cette série, nous avons exploré la manière dont les quatre principaux fournisseurs de logiciels de planification et d’analyse financière au Canada — Conquest Planning, Naviplan, RazorPlan et Snap Projections — s’adaptent à la planification de la retraite. Cette deuxième partie se concentre sur les caractéristiques de la planification à mi-carrière.

Advisor.ca a contacté des utilisateurs expérimentés et des représentants de fournisseurs pour en savoir plus sur les fonctions d’établissement d’objectifs, la capacité de modéliser les achats futurs et les outils de planification d’entreprise des logiciels. Bien que ces quatre outils soient adéquats pour aider les clients à déterminer s’ils sont sur la bonne voie pour leur plan financier, ils offrent aux conseillers différents niveaux de profondeur pour la modélisation des achats et des sociétés privées.

Il est préférable d’avoir quelques logiciels que de ne pas en avoir du tout. Toutefois, les conseillers devraient prendre le temps de choisir un logiciel avec lequel ils se sentent à l’aise et se rappeler que certains abonnements d’entrée de gamme excluent les fonctions avancées.

Par exemple :

  • Conquest n’offre qu’une planification fiduciaire détaillée dans son édition de haut niveau,
  • les utilisateurs individuels de Snap paient pour des fonctions supplémentaires sous forme d’add-ons,
  • Naviplan n’analyse l’impact d’une société privée sur la valeur nette que dans l’abonnement le plus cher
  • et RazorPlan n’offre pas de modélisation d’achats futurs dans sa version de base.

Définition des objectifs

Les conseillers demandent généralement à leurs clients quels sont leurs objectifs financiers au cours du processus de connaissance du client. Pour les clients en milieu de carrière, ces objectifs peuvent concerner le fonds d’études d’un enfant, l’une épargne d’urgence ou la mise de fonds pour l’achat d’une maison. Une fois les objectifs fixés, le conseiller peut utiliser un logiciel de planification financière pour suivre l’évolution de chaque objectif lors des entretiens ultérieurs avec le client.

Avec Conquest, la page de progression des objectifs est personnalisable. Les conseillers peuvent ajouter un nombre quelconque d’horloges pour représenter les principaux indicateurs de performance dans le logiciel, tels que la valeur nette, les actifs de retraite ou les objectifs patrimoniaux. Les pourcentages de réalisation peuvent être remplacés par des valeurs en dollars pour répondre aux préférences des clients. Des diagrammes à barres supplémentaires montrent comment la collaboration avec un conseiller a contribué à améliorer les progrès, rappelant ainsi au client la valeur du conseiller.

Snap, de son côté, exprime chacun des objectifs du client sous la forme d’une puce et affiche un suivi de l’état d’avancement des objectifs afin de fournir une projection de haut niveau. Le tableau de suivi fournit également des recommandations en fonction de la réalisation des objectifs. En outre, un encadré récapitulatif des recommandations à la fin du plan indique les mesures à prendre pour atteindre les objectifs.

La page d’analyse de la retraite de RazorPlan modélise quant à elle les objectifs de style de vie à la retraite. Au lieu d’afficher une barre de progression, quatre options sont proposées : mode de vie, âge de la retraite, risque et répartition des actifs. Ces recommandations changent au fur et à mesure que les objectifs financiers sont créés, montrant ainsi comment les objectifs affectent le plan financier à long terme d’un client. Si le client ne sait pas de combien il aura besoin pour sa retraite, le système calculera le montant qu’il peut se permettre.

Modélisation des dépenses futures et récurrentes

Une partie de la définition des objectifs peut inclure un achat futur ou récurrent. Par exemple, une famille de clients en milieu de carrière peut vouloir acheter une maison, se marier ou partir en vacances chaque année. Les conseillers peuvent aider le client à déterminer le montant de la maison qu’il peut se permettre d’acheter, le moment optimal pour procéder à l’achat, la meilleure façon d’épargner pour l’acheter et l’impact de cet achat sur son plan financier global.

Conquest peut modéliser une dépense future en tant qu’objectif distinct ou dans le cadre d’un objectif de style de vie à la retraite. Le module de planification des dépenses du logiciel peut également prendre en compte des événements non annuels, tels qu’une croisière tous les cinq ans.

Snap peut saisir des achats forfaitaires dans le plan financier pour montrer si le client sera toujours en mesure d’atteindre d’autres objectifs grâce au suivi de l’état de l’objectif sur la page de résumé. Le montant de l’achat sera reflété dans le tableau des flux de trésorerie.

Naviplan peut présenter les dépenses futures comme un objectif supplémentaire. Le logiciel calculera si la stratégie existante couvre les dépenses, identifiera les objectifs qui pourraient être sous-financés et de combien.

Razor peut calculer les achats uniques sur la base de la valeur actuelle ou future de la dépense. Le conseiller peut également sélectionner des hypothèses d’indexation pour les paiements récurrents tels qu’un prêt hypothécaire.

Sociétés privées

Les sociétés ont des règles fiscales complexes. Les conseillers au service de professionnels tels que des médecins ou des avocats ayant leur propre cabinet peuvent vouloir voir les flux de trésorerie de la société, tandis que ceux qui planifient pour des familles peuvent vouloir voir ce qui se passe lorsque des fonds sont distribués aux actionnaires d’une fiducie.

La fonction de planification des sociétés de Conquest peut prendre en compte tous les numéros de ligne du formulaire T2 de déclaration de revenus des sociétés de l’Agence du revenu du Canada. Elle permet de suivre la valeur des comptes théoriques et de créer des stratégies de dividendes pour une variété de structures comme les sociétés privées sous contrôle canadien, les propriétés agricoles ou de pêche admissibles, les sociétés de portefeuille, les franchises et les fiducies familiales.

Avec Snap, chaque société dispose de sa propre section de planification. Les conseillers peuvent modéliser les revenus, les dépenses et les dividendes de la société, ainsi que calculer le revenu imposable de la société. Chaque année du tableau des flux de trésorerie est également associée à l’âge du client pour faciliter la consultation.

Naviplan peut générer des tableaux distincts pour les soldes projetés d’une société (y compris l’actif, le passif et les valeurs notionnelles), l’impôt sur le revenu ventilé aux niveaux provincial et fédéral et la valeur de la participation de chaque actionnaire.

La planification d’entreprise de RazorPlan adopte une approche différente. Au lieu de planifier les actifs de l’entreprise détenus par un client à l’aide d’informations structurelles détaillées, il se concentre sur l’effet de la propriété sur le plan. Les colonnes couvrent la propriété des actifs, l’existence ou non d’un impôt remboursable sur les dividendes et la valeur des actions.

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Ce que les conseillers recherchent dans un logiciel de planification de la retraite https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/ce-que-les-conseillers-recherchent-dans-un-logiciel-de-planification-de-la-retraite/ Thu, 12 Dec 2024 11:31:41 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104351 DÉVELOPPEMENT - Les différences sont nuancées ; les conseillers devraient les essayer avant de s’engager.

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Le choix d’un logiciel de planification et d’analyse financière peut sembler un peu compliqué, même pour les professionnels chevronnés. Advisor.ca s’est adressé à des utilisateurs expérimentés et à des représentants de fournisseurs pour savoir comment faire le bon choix. Leurs conseils : recherchez des moteurs de recommandation, des fonctions de planification de la retraite et de la succession, ainsi qu’une présentation facile à lire.

Il existe quatre principaux fournisseurs sur le marché canadien :

  • Conquest Planning,
  • Naviplan,
  • RazorPlan
  • et Snap Projections.

Bien que les logiciels soient fonctionnellement similaires, ils offrent aux conseillers différents degrés de contrôle sur la stratégie de décaissement de la retraite, de sorte que le choix pourrait se résumer à la préférence personnelle du conseiller.

Les conseillers qui n’ont jamais utilisé de logiciel de planification et d’analyse financière peuvent profiter des essais gratuits pour déterminer celui qui leur convient le mieux. Ceux qui l’ont déjà fait peuvent s’adresser aux éditeurs de logiciels pour obtenir des suggestions.

Moteurs de recommandation

Certains conseillers aiment tester l’impact d’une variable sur le plan financier d’un client. Par exemple, un conseiller peut voir comment un client qui touche sa pension du Régime de pensions du Canada (RPC) à 70 ans au lieu de 65 ans peut augmenter son revenu de retraite total à long terme, mais entraîner un écart de revenu à court terme.

Le gestionnaire de conseils stratégiques (SAM) de Conquest, alimenté par l’intelligence artificielle, part d’un âge de retraite par défaut de 65 ans et suggère le montant d’argent dont le client aura besoin à la retraite en fonction du style de vie qu’il souhaite adopter. Si le client atteint 120 % de son objectif, il peut prendre sa retraite plus tôt ou laisser un héritage plus important.

De même, Snap Projections indique le retard ou l’avance d’un client par rapport à son objectif de retraite. Son moteur de recommandation peut calculer l’impact de ce retard sur ce que le client pourra se permettre de dépenser à la retraite.

RazorPlan a adopté une approche différente ; il présente quatre options de retraite :

  • le mode de vie,
  • l’âge de la retraite,
  • le risque
  • et l’allocation d’actifs.

Par exemple, si un client est en avance sur ses objectifs de retraite, il peut se permettre de dépenser plus par an, de prendre sa retraite plus tôt, de prendre moins de risques avec ses investissements ou de revoir son portefeuille. Les options aident le conseiller à déterminer si les objectifs de retraite d’un client sont réalistes.

Formules de pension

Les clients de la fonction publique ont accès à des régimes de retraite qui fonctionnent avec une variété de règles pour déterminer les prestations de retraite. La fonction « formules de pension » d’un logiciel peut aider un conseiller à calculer le revenu de pension d’un client en fonction de la date prévue de son départ à la retraite. Par exemple, le Régime de pension de la fonction publique du Canada utilise le facteur 85, selon lequel l’âge et les années de service ouvrant droit à la pension d’un employé doivent totaliser 85 pour qu’il ait droit à une pension complète.

Alors que Naviplan, Snap et Conquest permettent tous le calcul automatique de la pension, cette fonction n’est pas disponible dans RazorPlan. RazorPlan explique qu’il existe de nombreuses formules de retraite différentes et que les conseillers n’ont pas demandé cette fonction.

Planification successorale

Après avoir déterminé le mode de vie souhaité par le client à la retraite, le conseiller travaille avec lui pour fixer des objectifs successoraux et trouver des stratégies permettant de minimiser la charge fiscale au moment du décès, par exemple dans le cadre de dons en fin de vie.

Snap et Conquest peuvent tous deux tester plusieurs stratégies de succession et de décumulation. La fonction de comparaison de scénarios de Snap et la fonction SAM de Conquest peuvent montrer plusieurs stratégies côte à côte.

RazorPlan calcule la valeur de l’actif net de la succession pour chaque année de l’analyse, de sorte qu’un conseiller peut fixer un objectif de succession en fin de vie pour savoir combien un client doit épargner en plus pour atteindre cet objectif dans le cadre du plan de dépenses de retraite existant. Le logiciel peut également recommander des produits d’assurance pour atteindre cet objectif.

Naviplan dispose d’un module d’assurance qui permet de déterminer le montant de l’assurance nécessaire pour atteindre les objectifs patrimoniaux. Ce module s’ajoute au module de planification successorale qui permet notamment d’estimer les frais d’homologation, les droits de succession et de planifier les legs.

Tableaux et graphiques 

Les flux de revenus de retraite tels que les régimes enregistrés d’épargne-retraite, le RPC et les prestations de la Sécurité de la vieillesse sont liés à l’âge d’une personne, de sorte que les clients trouvent généralement plus facile de lire des plans présentant des projections basées sur leur âge plutôt que sur les années civiles. Par exemple, il est plus facile de montrer à un client qu’il peut maximiser ses prestations du RPC en commençant à recevoir les versements à l’âge de 70 ans plutôt qu’en 2047.

Les conseillers peuvent alterner entre l’âge du client et l’année civile sur Snap, RazorPlan et Conquest. Naviplan ne permet pas aux conseillers d’alterner entre les deux options. Alors que les tableaux tels que l’analyse des flux de trésorerie affichent à la fois l’année civile et l’âge du client dans Naviplan, l’année civile est le paramètre par défaut pour certains graphiques.

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11 questions à poser à vos clients https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/11-questions-a-poser-a-vos-clients/ Tue, 10 Dec 2024 12:41:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104178 DÉVELOPPEMENT — Les lecteurs d’Advisor.ca font part de leurs questions préférées pour susciter la conversation et découvrir les motivations.

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Lorsque les conseillers en services financiers posent des questions efficaces, ils suscitent des conversations intéressantes, découvrent les motivations des clients et éclairent le processus de planification financière.

Sybil Verch, conseillère principale en gestion de patrimoine et gestionnaire de portefeuille chez Wealthy Life Group, Raymond James à Victoria, travaille principalement avec des clients fortunés de la catégorie C. Cependant, lorsqu’elle travaillait avec des clients plus modestes, elle leur demandait souvent :

« Si vous gagniez 25 millions de dollars à la loterie, que feriez-vous de cet argent ? »

« Tout d’un coup, ils se débarrassent de toutes ces croyances qui les empêchent de se fixer des objectifs ambitieux et ils se mettent à rêver, explique-t-elle. Et c’est amusant ! »

Toutefois, pour que les conseillers puissent poser cette question, ils doivent « être prêts à aider le client à réfléchir à d’autres moyens d’atteindre ses objectifs et à faire de la planification financière un élément essentiel de leur proposition de valeur », prévient Sylbil Verch. « Cela va bien au-delà de la simple gestion de portefeuille. »

Après avoir aidé les clients à noter leurs réponses à la question, « je leur montre comment ils peuvent accomplir tout ce qu’ils veulent », sans avoir besoin de gagner à la loterie, explique Sylbil Verch. Par exemple, l’un de ces moyens pourrait être de rendre un grand voyage plus abordable grâce à un échange de maisons.

D’autres questions à envisager

Plus tôt cette année, Advisor.ca a demandé à ses lecteurs de partager leurs questions préférées pour générer des conversations efficaces avec les clients.

Steve Bridge, planificateur financier chez Money Coaches Canada à North Vancouver, nous a fait part de ses questions préférées :

  • Où en êtes-vous et où aimeriez-vous arriver ?
  • Qu’est-ce qui vous a incité à prendre contact avec nous aujourd’hui ?
  • Quelles sont vos préoccupations ou questions financières urgentes ?
  • Qu’aimeriez-vous accomplir grâce à notre collaboration ?

« Ces questions et d’autres m’aident à comprendre le “pourquoi” des clients (comme le dit Simon Sinek) et à créer un plan aligné sur leurs objectifs », a écrit Steve Bridge dans un courriel.

En règle générale, les clients et les prospects peuvent facilement répondre à ces questions, affirme-t-il. « Une fois que quelqu’un s’est donné la peine de trouver un [conseiller en services financiers], de me contacter, de prendre rendez-vous, etc., il a beaucoup réfléchi à la planification financière et à la planification de la retraite, y compris à ce qu’il veut accomplir, ainsi qu’à son “pourquoi”. »

Hash Assad, conseiller exécutif, à Assad Wealth Management, IG Gestion privée de patrimoine, à Calgary, a fourni quelques exemples de questions « pourquoi » :

  • Je suis curieux de savoir pourquoi il est si important que vos enfants fassent des études universitaires.
  • Si je peux me permettre, pourquoi êtes-vous si frustré par votre… ?

« Le vendeur traditionnel se concentre sur ce que le client veut acheter », a expliqué Hash Assad dans un courriel. Le professionnel se concentre sur le « pourquoi » du client, ce qui révèle sa motivation.

Hash Assad a également fait remarquer que les conversations efficaces avec les clients nécessitent une écoute active. Son invitation à la conversation préférée commence par « Parlez-moi de… » et l’aide à approfondir les sujets avec les clients :

  • Expliquez-moi comment vous avez créé la richesse que vous possédez.
  • Parlez-moi de ce qui est arrivé à votre père lorsque…

Christine Culbertson, chargée de compte, avantages sociaux collectifs et épargne-retraite, iA Groupe financier à Toronto, suggère que les questions soient « posées avec douceur, dans un esprit de conversation et de curiosité ». « Les questions directes et indiscrètes peuvent mettre les clients potentiels en “mode alerte” et les amener à penser qu’on leur vend quelque chose », avertit Christine Culbertson dans un courriel. Les questions doivent également faire appel aux émotions, recommande-t-elle, et l’une de ses préférées est la suivante :

  • Qu’est-ce qui vous empêche de dormir la nuit ?

Une autre des questions préférées de Christine Culbertson conduit à un « engagement total » du client, dit-elle, en s’adressant à la fois à son côté émotionnel et à son côté analytique :

  • Si je pouvais vous montrer comment envoyer moins d’impôts à Ottawa et avoir plus de richesse à la retraite, voudriez-vous en savoir plus ?

Et vous quelle est votre question favorite ?

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(Re) trouver l’enthousiasme au travail https://www.finance-investissement.com/fi-releve/re-trouver-lenthousiasme-au-travail/ Tue, 05 Nov 2024 12:26:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103620 DÉVELOPPEMENT – Grâce à des changements simples.

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Après un été plus détendu, la rentrée d’automne impose des horaires plus stricts et une charge de travail accrue. La baisse de lumière naturelle et les journées grises affectent l’énergie et la motivation. De plus, pour les parents, la rentrée scolaire ajoute stress et responsabilités, amplifiant la fatigue. Tous ces facteurs combinés créent un décalage qui peut donner l’impression d’avoir les batteries à plat. Cependant, selon les auteurs de 50 conseils pour retrouver l’énergie, il est tout à fait possible de retrouver de l’énergie au travail. Ces derniers proposent plusieurs astuces originales et simples à mettre en œuvre pour raviver l’enthousiasme dans son environnement professionnel.

  1. Riez pour évacuer le stress

Le rire est un puissant antistress naturel. Selon les auteurs, Denis Pennel et Gilone de Maigret, un enseignant à Science Po et une formatrice-coach, une minute de rire aurait les mêmes bienfaits que dix minutes de gymnastique ou trente minutes de relaxation. Lorsque vous riez, votre corps libère des endorphines, des hormones qui réduisent l’angoisse et améliorent l’humeur. Vous pouvez même essayer de vous détendre en pratiquant le « yoga du rire », créé par le médecin indien Madan Kataria, qui associe le rire simulé avec des exercices de respiration, rapporte le journal français Les Échos, qui a sélectionné quelques conseils parmi les plus originaux.

  1. Revivez des souvenirs heureux

Se replonger dans des souvenirs heureux est bien plus qu’un moment agréable. Les auteurs du livre affirment que la réminiscence positive, un concept étudié en psychologie depuis les années 1980, peut raviver votre motivation et stimuler votre créativité. Vous pouvez par exemple afficher une photo de vacances sur votre bureau ou garder un objet symbolique à portée de main. Ces petits rappels de moments joyeux peuvent stimuler votre bonne humeur et votre énergie.

  1. Dites non aux tâches superflues

Se surcharger de travail peut être contre-productif. Dans l’ouvrage, les auteurs insistent sur l’importance de savoir dire non. Ils encouragent ce qu’ils appellent « le devoir de rébellion », qui consiste à refuser certaines tâches non essentielles pour préserver son énergie. Le fait de vous concentrer sur les activités qui apportent de la valeur à vos clients tout en respectant vos limites peut vous aider à être plus efficace tout en réduisant le stress.

  1. Avancez votre montre de dix minutes

Cela a l’air tout bête, mais le fait d’avancer votre montre de quelques minutes peut vous donner une longueur d’avance. Cela vous permet d’arriver un peu plus tôt avant le début d’une réunion ou chez un client et de commencer ainsi vos rencontres dans un état d’esprit calme et préparé. Ce court laps de temps peut également vous permettre de revoir vos arguments, d’échanger avec des collègues ou de finaliser les derniers détails logistiques. Cette approche proactive témoigne de votre engagement envers vos responsabilités tout en contribuant à améliorer vos performances.

  1. Évitez les rages de sucre

Votre niveau d’énergie au cours de la journée est souvent influencé par ce que vous mangez. Pour éviter les chutes de glycémie et les baisses de concentration, les auteurs recommandent de privilégier des collations riches en fibres, protéines et graisses saines. Au revoir les barres chocolatées ! Optez pour des aliments comme les légumes secs, le riz complet ou les fruits à coque. Tenir un journal de ce que vous mangez dans la journée peut aussi vous aider à mieux comprendre l’impact de votre alimentation sur votre énergie au quotidien.

  1. Mangez en pleine conscience

Dîner tout en travaillant ou en regardant votre téléphone, ou encore dévorer le contenu de votre assiette en quelques minutes, sont autant d’habitudes qui peuvent affecter non seulement votre digestion, mais aussi impacter votre niveau d’anxiété et de stress. La solution : pratiquer la « pleine conscience » lors de vos repas. Prenez le temps de savourer chaque bouchée, sans vous laisser distraire par ce qui vous entoure. Cette pause consciente peut devenir un moment régénérant qui vous permettra de débuter votre après-midi de travail avec plus d’énergie.

  1. Accédez à l’état de « flow »

Le « flow » est un état de concentration intense qui procure un sentiment de satisfaction et accroît la productivité. Pour atteindre cet état optimal au travail, les auteurs du livre suggèrent d’éviter le multitâche, d’éliminer les distractions comme les notifications de votre téléphone et de vous fixer des objectifs clairs. Si la musique vous aide à être plus productif, optez pour des listes d’écoute de musique classique ou électronique, sans paroles, pour améliorer votre concentration.

En intégrant quelques changements simples dans votre routine, vous pourrez non seulement retrouver de l’énergie, mais aussi améliorer votre productivité et votre bien-être au travail.

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Ne négligez pas votre propre santé https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/ne-negligez-pas-votre-propre-sante/ Thu, 24 Oct 2024 11:50:07 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103397 DÉVELOPPEMENT — Avant de se soucier des autres, il est bon de se pencher sur soi-même.

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Bien que la majorité des dirigeants reconnaissent l’importance de ne pas négliger la santé physique et mentale de leurs employés pour garantir le bon fonctionnement de l’entreprise, il en va différemment en ce qui concerne leur propre bien-être. Trop de dirigeants oublient ainsi de prendre soin d’eux-mêmes, un manquement qui pourrait finalement affecter leur performance au travail et celle de leur équipe.

Dans un article du Harvard Business Review, Palena Neale, fondatrice de unabridged, un cabinet de développement du leadership s’est penché sur la question. En plus d’explorer les raisons pour lesquelles de nombreux dirigeants négligent leur bien-être, dans son article, elle suggère également une approche pour inverser cette tendance.

L’experte note ainsi que cet « oubli » peut être attribué notamment à des facteurs culturels, sociétaux et organisationnels. Selon le type de mentalité, certaines cultures organisationnelles valorisent ce que certains clients qualifient de « force et d’héroïsme », au détriment des soins personnels.

De plus, les dirigeants affirment souvent qu’ils manquent de temps et de connaissances, ce qui explique les obstacles à leur engagement envers l’autosoin.

Se préparer à réussir

Avant même de proposer de se lancer dans cette pratique, Palena Neale suggère de changer d’état d’esprit. La première étape, selon elle, consiste à se donner la permission de prendre soin de soi et à faire preuve d’empathie envers soi-même. Le dirigeant devrait ainsi se questionner sur ce qui le retient de prendre soin de lui.

Si l’idée semble trop étrange, le dirigeant devrait partir de ce qui existe déjà pour lui en ce sens, comme son examen médical annuel. Il est alors temps de faire le point sur les améliorations possibles en matière d’alimentation et d’exercice pour vos voyages. Pourquoi ne pas utiliser également la prochaine réunion d’équipe pour identifier des domaines où vous pouvez demander de l’aide et du soutien aux autres ?

Il est bon d’éviter de penser que c’est tout ou rien. La pratique de l’autosoin est complexe, il est ainsi impossible de ne passer d’aucun soin à une pratique parfaite. Celle-ci devrait être dynamique. Il est normal d’essuyer quelques échecs au début, tout est une question d’ajustement, assure Palena Neale.

Le but est d’y aller graduellement, en identifiant par exemple une ou deux petites modifications à apporter dans la semaine et en s’engageant à les mettre en œuvre régulièrement. Cela peut être très simple, comme prendre les escaliers au travail ou profiter de sa pause pour écouter une musique que l’on aime au lieu de travailler.

Une liste de vérification

Palena Neale propose une liste de vérification qui englobe cinq éléments essentiels de l’autosoin :

  • le corps,
  • l’esprit,
  • les relations,
  • la capacité à faire des choix
  • et le développement personnel.
  • Le corps

Prendre soin du corps n’est pas évident. Le cerveau anticipe les besoins énergétiques de votre corps, déterminant ce qui est nécessaire pour vous maintenir en vie et vous épanouir, en s’appuyant sur vos expériences passées comme référence. On dépense de l’énergie lorsqu’on est en mouvement, mais on la régénère en mangeant, en buvant et en dormant et on diminue cette dépense dans les moments de détente.

Comme n’importe quel budget, il faut s’assurer que les dépenses ne dépassent pas les gains. Palena Neale suggère aux dirigeants d’évaluer leurs habitudes d’exercice, de sommeil et d’alimentation avant de chercher un moyen de les améliorer.

Parmi ses petites suggestions, elle propose :

  • de réduire le nombre de réunions Zoom tôt le matin ou tard le soir ;
  • d’investir dans la planification des repas ;
  • d’intégrer des microséances d’entraînement dans sa routine ;
  • et de pratiquer une consommation d’alcool consciente ou nulle lors des déplacements.
  • L’esprit

Il est important d’apprendre à réguler les émotions et de savoir se détendre.

Pour cela, il faut prendre conscience des grandes émotions que l’on ressent. Sous l’influence de ces dernières, il n’est pas évident d’être créatif et de résoudre des problèmes.

Il faut également comprendre ce qui se cache sous ces émotions fortes. C’est la meilleure façon d’apaiser ces dernières.

Finalement, la communication est essentielle. Il est bon de savoir parler de ces émotions et problèmes avec la personne à l’origine de ces émotions ou une personne qui pourra vous écouter et vous aider à les surmonter.

Un autre point essentiel est d’apprendre à se détendre. La pratique de la détente varie d’une personne à l’autre : cela peut consister à passer du temps dans la nature, à retrouver des amis, à caresser un animal de compagnie ou à pratiquer des exercices de relaxation. Trouvez ce qui fonctionne le mieux pour vous.

  • La relation

Un dirigeant doit réfléchir à sa manière d’interagir avec les autres, en se demandant comment il donne, reçoit et collabore, notamment avec ses collègues.

Le leadership repose avant tout sur les relations et la communauté, ce qui rend d’autant plus crucial le fait de modéliser des relations positives et de collaborer de manière intentionnelle.

Parfois, il suffit de modifier son approche lors d’une conversation pour tout changer. Par exemple, un « bonjour » enthousiaste au début d’une réunion peut transformer l’ambiance de cette dernière.

  • La capacité à faire des choix

Selon les recherches scientifiques, les êtres humains aspirent à l’autonomie, ce qui implique la possibilité de choisir. En effet, une étude a démontré que l’autonomie et le choix sont fondamentaux pour le bonheur.

Nous pouvons reprendre le contrôle en multipliant les occasions de choisir — ces moments où nous réalisons que le choix est à notre portée. Cela peut inclure la décision de demander de l’aide ou celle d’engager une conversation difficile.

Certains dirigeants peinent à demander de l’aide de peur d’être perçus comme vulnérables ou par manque de confiance.

Pour les aider, Palena Neale suggère de se questionner sur ses propres limites. Petit conseil : ressentir de l’accablement ou du ressentiment est souvent le signe d’un besoin de poser des limites. Dans ce cas, elle propose d’identifier trois tâches que l’on peut déléguer. Cela créera une habitude saine et prouvera au dirigeant qu’il est pratique de se reposer parfois sur les autres.

  • Développement personnel

Ce point touche à votre autoréalisation ; ce qui vous épanouit à ce stade de votre vie et de votre carrière. Pour les jeunes dirigeants, cela implique souvent la nécessité de dégager du temps pour la parentalité, l’apprentissage ou l’engagement communautaire.

Pour les dirigeants en milieu de carrière on parle davantage d’activités enrichissantes telles que le chant, les visites de collèges, la pratique de la pleine conscience et le temps passé avec leurs parents.

Il est essentiel pour le dirigeant de cerner ce qu’il désire approfondir et prendre du temps pour cela.

Toutes ces pratiques contribueront à un mode de vie plus sain et réduiront le risque de burn-out. Petit rappel pour les dirigeants qui n’ont pas encore intégré ces habitudes dans leur vie : faites-le progressivement, afin d’éviter d’abandonner l’idée d’améliorer votre santé à la première difficulté.

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Cinq trucs pour continuer à apprendre au travail https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/cinq-trucs-pour-continuer-a-apprendre-au-travail/ Tue, 22 Oct 2024 10:10:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103333 DÉVELOPPEMENT — Même lorsque vous êtes épuisé.

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En plus d’être un facteur d’épanouissement personnel, apprendre de manière continue est essentiel pour réussir. Dans un monde où les changements technologiques s’accélèrent et où les compétences nécessaires pour accomplir votre profession évoluent, si vous ne vous adaptez pas, vous risquez d’être rapidement dépassé par la concurrence. Avec un horaire de travail qui déborde, il n’est toutefois pas évident de trouver du temps pour se former.

Dans un article publié dans Harvard Business Review, Nihar Chhaya, coach exécutif, partage cinq conseils pour continuer à apprendre au travail, même lorsque vous vous sentez épuisé ou submergé.

  • Remettez en question vos croyances sur votre capacité

Quand vous vous sentez fatigué, il est facile de se laisser submerger par cette sensation d’épuisement. Elle prend toute la place, au point d’oublier que vous avez encore un certain contrôle sur vos pensées. Chaque fois que vous vous dites « Je suis tellement fatigué ! », vous conditionnez votre cerveau à croire qu’il est impossible d’apprendre dans cet état.

Nihar Chhaya suggère plutôt d’observer votre fatigue sans jugement ni désir de vous en débarrasser. En somme, de l’accueillir. Demandez-vous ce qu’il vous est encore possible de faire, même dans cet état. Cela vous aidera à voir la situation sous un angle nouveau.

  • Commencez par des défis urgents

Votre motivation à apprendre sera plus forte si vous commencez par des sujets qui ont un lien direct avec des défis que vous rencontrez en ce moment. Au lieu de vous forcer à étudier des sujets qui ne semblent ni urgents ni pertinents, concentrez-vous sur des thématiques qui répondent à des besoins immédiats. Développez vos connaissances actuelles pour trouver de l’énergie et de la motivation. Cela vous permettra d’avancer plus rapidement.

Un client de Nihar Chhaya qui était submergé par le travail a découvert lors d’une évaluation qu’il était perçu comme lent à prendre des décisions. Il a commencé par rejeter cette critique. Puis, il a réalisé que quand il évitait de prendre des décisions, les tâches s’accumulaient et son stress augmentait. Apprendre à mieux décider est alors devenu essentiel pour alléger sa charge de travail.

  • Ne vous limitez pas aux programmes formels

La formation est souvent associée à un diplôme universitaire ou une certification. Or, ces programmes ne sont pas toujours pratiques ou accessibles : souvent coûteux, trop théoriques ou trop longs. Plutôt que de viser l’un de ces programmes, vous pourriez envisager des méthodes alternatives plus efficaces à court terme comme l’apprentissage entre pairs, le mentorat, ou encore les retours d’évaluation à 360°.

Ces méthodes sont moins chronophages que des programmes plus formels et souvent directement applicables dans votre travail quotidien.

  • Créez un lien émotionnel avec l’apprentissage

Lorsque ce que vous apprenez vous passionne réellement, l’apprentissage s’intègre agréablement dans votre routine plutôt que de devenir une tâche supplémentaire à réaliser. En vous y investissant émotionnellement, la formation peut devenir une source d’inspiration qui vous aide à surmonter la fatigue et à continuer à absorber de nouvelles informations. Pour une formation efficace et pleinement appréciée, recherchez des expériences qui s’alignent avec vos valeurs profondes plutôt qu’avec les attentes des autres.

Une cliente de Nihar Chhaya, occupant un poste de cadre, était souvent recommandée par ses supérieurs pour des formations et conférences de leadership. Bien que flattée, elle trouvait ces opportunités difficiles à gérer en plus de son travail. En réfléchissant à ses valeurs, elle a réalisé qu’elle aimait résoudre de grands problèmes et provoquer des changements, mais qu’elle voulait aussi passer plus de temps avec sa famille. Elle a donc décidé de revoir ses priorités, en cherchant à concilier ses aspirations professionnelles et personnelles.

  • Travaillez avec votre cerveau, pas contre lui

Il est inutile d’essayer d’absorber de nouvelles informations si votre cerveau ne les retient pas, affirme le coach professionnel. Il recommande plutôt de suivre les préférences de votre cerveau pour faciliter la rétention des informations. Des techniques comme la répétition espacée ou des tests de connaissance aident à améliorer votre capacité à retenir des concepts complexes sur le long terme. Vous pouvez aussi vous exercer à revoir régulièrement les informations reçues et à vous mettre au défi de les mémoriser jusqu’à ce qu’elles deviennent naturelles pour vous. De plus, selon des recherches, plus vous ajoutez de contenu original à ce que vous apprenez, plus vous ralentissez la courbe d’oubli.

En appliquant ces stratégies, vous pourrez continuer à apprendre et à évoluer professionnellement, même lorsque la fatigue vous ralentit.

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Êtes-vous un conseiller champion ? https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/etes-vous-un-conseiller-champion/ Thu, 17 Oct 2024 10:40:22 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103293 DÉVELOPPEMENT — Dix signes qui ne trompent pas.

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Dans un secteur aussi compétitif que la gestion de patrimoine, se distinguer est essentiel pour réussir. Les conseillers dits « superstars » ne se contentent pas de gérer des portefeuilles : ils créent des relations de confiance durables, offrent une transparence exemplaire et incarnent l’excellence.

Ces conseillers hors pair se démarquent par leur capacité à naviguer à travers les cycles économiques, à préserver leur réputation et à se concentrer sur les besoins à long terme de leurs clients. Mais qu’est-ce qui fait réellement la différence entre un bon conseiller et un conseiller champion ? Voici quelques éléments clés qui définissent la crème de la profession, selon Advisorpedia.

Vous naviguez avec confiance
Les marchés évoluent constamment, avec des hauts et des bas. Face à ces mouvements, vous restez serein. Votre rôle est d’aider les clients à naviguer dans ces eaux parfois turbulentes, et votre expertise fait de vous un pilier, même en période de crise. En gérant les risques et en offrant des solutions à l’épreuve des cycles du marché, vous vous démarquez par votre capacité à rester stable malgré les tempêtes économiques.

Vous avez des clients fidèles
Vos clients vous considèrent comme un membre de leur famille. Ils vous restent loyaux même pendant les périodes difficiles, car ils savent que vous œuvrez dans leur intérêt. Ils vous appellent pour des conseils, vous font confiance et considèrent votre relation comme une collaboration à long terme. Ils ne se laissent pas séduire par la saveur du moment. Cette fidélité est le résultat de votre engagement à toujours agir au mieux de leur intérêt.

Vous êtes transparent sur les frais
Vous expliquez clairement vos honoraires et les coûts. Vos clients comprennent comment vous gagnez de l’argent et ils considèrent votre relation comme une collaboration. Cette transparence crée un solide climat de confiance. Elle permet aux clients de comprendre que leur relation avec vous est basée sur l’honnêteté. Vous collaborez avec eux, plutôt que d’entrer dans une relation basée sur les questions financières.

Votre réputation est irréprochable
Votre pratique est sans tache. Aucun litige avec des clients ou les régulateurs ne vient ternir votre nom. Vous respectez les règles de manière rigoureuse. Dans un secteur où les pratiques douteuses ne sont pas rares, vous avez su préserver votre intégrité. Aucun client ne vous a poursuivi en justice, et vous n’avez jamais eu de problèmes avec les autorités de régulation. Votre réputation irréprochable vous aide à attirer de nouveaux clients et à garder ceux que vous avez déjà.

Vous dites la vérité, même quand elle dérange
Certains trouvent difficile de dire à un client ce qu’il ne veut pas entendre, mais pas vous. Vous effectuez des révisions régulières des portefeuilles et vous abordez franchement des sujets comme l’allocation d’actifs et le rééquilibrage. Même si vos clients ne suivent pas toujours vos conseils, ils se souviennent que vous les avez avertis des risques ou des occasions à saisir. Votre approche proactive démontre votre engagement à les aider à atteindre leurs objectifs financiers, même si cela signifie avoir des discussions parfois délicates.

Vous évitez les recommandations hasardeuses
Vous vous tenez à l’écart des pièges des investissements hasardeux. Vous n’êtes pas tenté par les escroqueries ou les investissements douteux. Vos conseils reposent sur des recherches solides. Si un client vous fait part d’une proposition d’investissement non sollicité, vous prenez le temps d’analyser la situation avec soin. En évitant les conseils douteux, vous protégez non seulement votre client, mais aussi votre réputation.

Vous protégez vos clients des décisions risquées
Avant que vos clients ne s’aventurent dans des investissements inhabituels, vous prenez le temps d’en discuter avec eux et de les guider pour prendre des décisions éclairées. Vous effectuez des recherches approfondies pour déterminer si ces idées sont valables ou si elles pourraient être frauduleuses. En dissuadant vos clients de faire des choix qui pourraient leur coûter cher, vous montrez que vous vous souciez réellement de leur bien-être financier à long terme.

Vous privilégiez la croissance lente et stable
Plutôt que de courir après les gains rapides, vous prônez la diversification et la qualité à long terme. Vous privilégiez une approche plus prudente. Vous expliquez à vos clients qu’il est préférable de générer des gains de manière stable, en investissant dans des actions de qualité et diversifiées. Vos clients récoltent des résultats constants sans subir les chutes spectaculaires du marché. Ce faisant, vous aidez vos clients à sécuriser leur avenir financier.

Vos clients vous recommandent à leurs proches
Votre meilleure publicité vient de la satisfaction de vos clients. Votre intégrité et votre dévouement sont remarqués. Vos clients vous recommandent à leurs amis, à leur famille et à leurs collègues, car ils savent que vous prendrez le temps de comprendre leurs besoins. Ils apprécient votre engagement sur le long terme et votre approche personnalisée. Ces recommandations montrent que vous avez non seulement gagné la confiance, mais aussi l’estime de vos clients.

Vous restez fidèle au poste
Plutôt que de succomber aux sirènes d’autres carrières ou de vous laisser décourager par les obstacles, vous êtes toujours là. Vous avez traversé des périodes de turbulence et avez vu de nombreux collègues quitter le navire. Mais vous, vous êtes resté. Vous aimez ce que vous faites, vous êtes bon dans votre travail, et vos résultats le démontrent. Cette stabilité est l’un des aspects qui rassurent vos clients, car ils savent qu’ils peuvent compter sur vous, peu importe les défis à venir.

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Cinq façons de fournir de meilleurs conseils https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/cinq-facons-de-fournir-de-meilleurs-conseils/ Tue, 08 Oct 2024 11:08:05 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103282 DÉVELOPPEMENT - Améliorez l’engagement de vos clients en comprenant le comportement humain.

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« Qui a déjà eu l’impression d’être le thérapeute ou le conseiller de son client ? » a demandé Brian Portnoy, fondateur de Shaping Wealth, une plateforme d’apprentissage pour les professionnels du patrimoine basée à Chicago, lors du symposium annuel de l’Institut des planificateurs financiers avancés, le 26 septembre dernier.

« Vous êtes un expert technique en matière d’assurance, d’investissements, de successions [et] d’impôts, a-t-il résumé. Mais vous êtes aussi un guide qui aide d’autres êtres humains à faire face à l’incertitude et au changement. »

Il a présenté cinq façons dont les conseillers peuvent mieux guider leurs clients, en se fondant sur une compréhension du comportement humain.

  • Communiquer délibérément

Les clients sont plus susceptibles de se souvenir de la première et de la dernière chose que vous leur dites, a souligné Brian Portnoy. Sachant cela, ne placez pas les messages importants au milieu des réunions.

  • Inclure les émotions dans le processus de planification

« L’émotion précède la décision », a affirmé Brian Portnoy.

Nous ressentons l’émotion avant que l’activité cognitive n’ait lieu. Brian Portnoy a donc suggéré que les conseillers et les clients s’exercent à identifier leurs émotions nuancées, au-delà des descriptions générales telles que « triste » ou « craintif ». Ce type de conscience de soi, tant chez le conseiller que chez le client, peut améliorer l’intelligence émotionnelle et la qualité du service, selon lui.

  • Introduire de la rigueur dans le processus de prise de décision financière

Par exemple, un exercice pré-mortem, dans lequel le conseiller imagine des échecs possibles et travaille à rebours pour évaluer les actions qui auraient conduit à ces échecs, peut minimiser les risques.

  • Automatiser les décisions

Selon Brian Portnoy, il faut environ deux mois pour créer une nouvelle habitude et, une fois créée, il est difficile de s’en défaire.

Aidez votre client à créer de bonnes habitudes financières et à réduire la charge cognitive en automatisant, par exemple, un dépôt d’épargne mensuel.

  • Parlez de sens

Selon Brian Portnoy, il incombe aux conseillers d’aider leurs clients à atteindre le bien-être financier, ce qui implique de donner un sens à leur vie. Il suggère donc aux conseillers de demander à leurs clients ce qui leur ferait aimer leur vie, puis de déterminer comment financer une telle vie.

Advisor.ca était un commanditaire média du symposium. Aucune couverture n’a été garantie en échange de la commandite.

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Utiliser la curiosité pour diriger https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/utiliser-la-curiosite-pour-diriger/ Thu, 12 Sep 2024 10:05:39 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102504 DÉVELOPPEMENT – Plutôt que de tout contrôler.

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Pour être un bon leader, il ne suffit pas de maîtriser ses compétences et de savoir prendre des décisions difficiles. Il est essentiel de développer des relations de confiance avec son équipe. Selon Advisorpedia, privilégier la curiosité plutôt que le contrôle dans son approche du leadership peut transformer profondément la dynamique de travail.

Le contrôle démotive, la curiosité renforce l’engagement

Lorsqu’un leader dissimule des informations pour obtenir un avantage, cela nuit à sa crédibilité.

Vous avez sans doute déjà vécu une situation où un collègue ou un supérieur retenait intentionnellement des informations importantes, puis les révélait lors d’une réunion afin de paraître plus compétent. Cela a probablement contribué à diminuer votre motivation et a changé la relation que vous entreteniez avec cette personne.

En revanche, lorsque vos collègues vous sollicitent pour enrichir une proposition, vous vous sentez automatiquement plus impliqué. Ils font preuve de curiosité en vous posant des questions telles que :

  • Que pensez-vous de notre orientation actuelle ?
  • Que pourriez-vous ajouter ou retirer pour améliorer le résultat final ?
  • Seriez-vous prêt à faire la présentation, étant donné votre expertise sur ce sujet ?

Ces questions montrent que votre contribution est valorisée, ce qui renforce votre engagement.

La curiosité ouvre des perspectives

 

Un leader qui impose une vision rigide et refuse d’écouter d’autres avis finit par étouffer la communication. Lorsque ce comportement devient habituel, les membres de l’équipe cessent de partager leurs idées. En conséquence, le projet se réalise souvent sans collaboration, laissant le leader seul à supporter l’ensemble de la charge.

Un gestionnaire devrait encourager les idées de ses équipes et créer un environnement où chacun se sent libre de s’exprimer. Même si toutes les idées ne sont pas retenues, les membres de l’équipe se sentent écoutés et valorisés. Pour cultiver cette ouverture, on peut :

  • Poser des questions pertinentes sur ce qui est important pour chaque membre de l’équipe.
  • Se montrer réceptif à différents points de vue.
  • Ne pas imposer uniquement ses propres idées.
  • Créer un environnement de travail inclusif et bienveillant.

La curiosité ne se limite pas à une exploration superficielle : elle prépare le cerveau à apprendre et à innover. Selon Cerveau & Psycho, la curiosité active plusieurs zones du cerveau, libérant de la dopamine, un neurotransmetteur lié au plaisir et à la mémoire.

Cette stimulation favorise non seulement l’apprentissage, mais aussi la créativité. En explorant de nouvelles idées, la curiosité aide à trouver des solutions inédites, même face à des problèmes complexes.

Un atout à double tranchant

 

Bien que la curiosité soit un moteur puissant pour apprendre et innover, elle peut également entraîner des pièges comme la dispersion ou la procrastination, comme passer trop de temps sur les réseaux sociaux ou se laisser distraire par des contenus peu enrichissants. Il est donc important de canaliser cette curiosité pour qu’elle reste productive.

Le psychologue américain Todd Kashdan identifie cinq dimensions de la curiosité :

  1. Sensibilité à la privation : le besoin de réponses à des questions spécifiques.
  2. Exploration joyeuse : un amour général pour l’apprentissage.
  3. Tolérance au stress : la capacité à gérer l’anxiété face à l’inconnu.
  4. Recherche de sensations fortes : le désir de vivre des expériences inédites.
  5. Curiosité sociale : un intérêt pour les pensées et les actions des autres.

Environ 28 % des personnes sont du type « fasciné », selon le psychologue, c’est-à-dire qu’elles combinent exploration joyeuse et tolérance au stress. Ces personnes ont souvent de multiples passions, un large réseau social et des revenus plus élevés.

Bien que la curiosité soit parfois perçue comme un défaut, elle peut se révéler un atout puissant pour diriger efficacement, à condition de rester ouvert à de nouvelles expériences, de discuter avec les autres et de gérer les émotions négatives qui peuvent survenir face à l’inconnu.

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Ne laissez plus vos émotions à la porte ! https://www.finance-investissement.com/fi-releve/carriere/ne-laissez-plus-vos-emotions-a-la-porte/ Tue, 03 Sep 2024 10:50:17 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102451 DÉVELOPPEMENT — Elles sont votre atout secret au travail.

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La pression de devoir apparaître inébranlable au travail, sans montrer de signes de stress ou de vulnérabilité, est non seulement épuisante, mais également contre-productive. Le monde professionnel exige souvent de vous que vous soyez efficace et résilient sans laisser transparaître vos émotions. Pourtant, vous n’êtes pas une machine. Ignorer vos émotions peut gravement nuire à votre bien-être et à votre productivité, signale un article de Forbes.

Souvent, les émotions sont perçues comme un obstacle au travail, sous prétexte qu’elles peuvent obscurcir le jugement et réduire la productivité. Cependant, cette vision est de plus en plus remise en question grâce aux nouvelles perspectives de l’intelligence émotionnelle, indique l’article.

L’intelligence émotionnelle englobe plusieurs compétences essentielles telles que la conscience de soi, l’autorégulation, la motivation, l’empathie et les compétences sociales. Cindy Chia, consultante en santé mentale, signale que l’intelligence émotionnelle est désormais reconnue comme un facteur déterminant pour un leadership efficace et une collaboration réussie.

Dans ce contexte, la capacité à comprendre et à exprimer ses émotions de manière constructive est désormais un atout essentiel dans le monde professionnel. Cette approche favorise une meilleure communication et renforce les relations avec les collègues.

Loin d’être une faiblesse, la vulnérabilité émotionnelle est une force, martèle Cindy Chia. En acceptant d’être vulnérable, vous ouvrez la porte à des interactions sincères, ce qui renforce la confiance et la collaboration.

Forbes souligne que le fait de demander de l’aide ou d’exprimer vos difficultés n’est pas un signe de faiblesse, mais plutôt une preuve de maturité émotionnelle. Cela démontre que vous êtes capable de reconnaître vos limites et de chercher les ressources nécessaires pour les surmonter, une qualité précieuse en milieu professionnel.

Pour mieux intégrer vos émotions au travail et en faire un atout, Cindy Chia propose plusieurs stratégies :

  • Pratiquez la conscience de soi: Apprenez à identifier et comprendre vos émotions pour mieux les gérer. Reconnaître quand vous vous sentez submergé est la première étape pour adopter une approche proactive face aux défis émotionnels.
  • Communiquez clairement: Exprimez clairement vos besoins et vos sentiments pour éviter les malentendus.
  • Cherchez du soutien N’hésitez pas à solliciter de l’aide. Que ce soit d’un collègue, d’un mentor ou d’un professionnel, le soutien est essentiel pour maintenir votre bien-être. Cette démarche montre que vous êtes proactif et soucieux de votre équilibre mental.
  • Fixez des limites: Établissez une frontière nette entre votre travail et votre vie personnelle. Pour ce faire, déconnectez-vous après les heures de travail et prenez des pauses régulières pour éviter l’épuisement professionnel.
  • Faites preuve d’empathie : Prendre des nouvelles de vos collègues et prêter une oreille attentive à leurs préoccupations contribue non seulement renforcer les liens au sein de l’équipe, mais aussi à créer un environnement de travail plus solidaire.
  • Montrez l’exemple: En tant que leader, il est important de montrer qu’il est acceptable d’être vulnérable et de demander de l’aide. Cela crée un climat de confiance et encourage les autres à faire de même.
  • Investissez dans la formation : Participez à des programmes de formation sur l’intelligence émotionnelle. Ces formations vous fourniront des outils pratiques pour gérer vos émotions de manière constructive, ce qui est essentiel pour maintenir un environnement de travail positif.

La notion selon laquelle les émotions doivent être laissées à la porte n’a plus sa place dans le monde professionnel, signale Forbes. On peut privilégier une approche plus équilibrée qui valorise à la fois la force et la douceur afin d’améliorer son bien-être, de réduire le stress lié au travail et d’enrichir sa vie personnelle, et également de redéfinir le concept de réussite professionnelle.

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