En fait, 44 % des mauvais conseils de carrière des travailleurs canadiens provenaient d’ami (22 %) ou de parent (22 %).
Voici des exemples de « pires conseils » répertoriés par la société de recherche d’emploi :
« Si ton patron est compétent, endure-le » ;
« Tu vas devoir sacrifier tes passions si tu veux poursuivre une brillante carrière » ;
« Ne négocie pas pour avoir un salaire de départ plus élevé. Peu importe ce qu’on t’offre, accepte-le ».
Accountemps propose cinq conseils pour contrebalancer ces conseils nuisibles à l’avancement professionnel.
Bien planifier
Avant d’entrer dans l’industrie des services financiers, le futur conseiller devrait se renseigner sur les différentes entreprises et personnaliser ses envois avant d’envoyer sa candidature.
Être honnête
«Ne déformez jamais la vérité dans vos documents de candidature. Si l’on découvre votre petit mensonge, cela pourrait entacher votre réputation à long terme », écrivent-ils.
La transparence et l’honnêteté sont des qualités importantes dans l’industrie. Dès lors, il appert que le futur conseiller doit agir avec intégrité.
Négocier
Le conseiller qui débute doit être prêt à négocier son salaire, et ce, même s’il s’agit d’une question délicate.
Plusieurs guides et sites Internet permettent de bien cibler les tendances de rémunération d’un emploi dans une région donnée.
Ces outils permettent de bien se préparer lors d’une entrevue d’embauche et de ne pas être pris au dépourvu.
Se permettre de changer
Si le conseiller n’est pas heureux dans son rôle actuel, il devrait mettre sur papier les éléments qui l’empêchent d’être satisfait.
En le faisant, il pourra cibler ce qu’il doit atteindre afin d’être heureux. Ce qui peut signifier changer d’emploi ou d’employeur.
Rechercher les défis
«Peu importe où vous en êtes dans votre carrière, fixez-vous des objectifs professionnels et réévaluez-les au besoin », indiquent-ils.
Les résultats du sondage d’Accountemps regroupent les réponses de plus de 400 travailleurs canadiens âgés de 18 ans ou plus.