L’Agence France-Presse rappelle que ce jour-là, le S&P 500 avait clôturé à 676,53 points, portant son effondrement total à 57 % en 17 mois. Il avait même atteint les 666 points, avant de remonter très légèrement. « Ça faisait des mois que le marché dégringolait et rien ne semblait l’arrêter », se souvient Art Hogan, stratège en chef à National Holdings.
Malgré un petit rebond en octobre 2008, personne ne voulait se commettre en premier et initier la reprise. « Tous les jours on entendait de mauvaises nouvelles, poursuit Art Hogan. La faillite de Bear Stearns, le rachat de Merryll Lynch, le sauvetage d’AIG, de Ford, de GM. Des politiques monétaires dont on n’avait jamais entendu parler. C’était juste incroyable. On mourait à petit feu. »
Personne n’arrivait alors à prédire exactement où se situait le plancher. Pourtant, à partir de ce jour funeste…
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