Dans un document (en anglais) daté du 14 novembre, ils réclament « un comité ad hoc des investisseurs de PlexCoin chargé de représenter les intérêts de tous les investisseurs […] et de défendre leurs intérêts ».
Cette requête vise également la nomination du cabinet Lavery, De Billy, L.L.P. à titre d’avocat représentant le groupe d’acheteurs ainsi que le prélèvement du paiement des honoraires professionnels et des débours raisonnables du conseil représentatif sur les fonds recouvrés, perçus et détenus par le séquestre pour être ensuite distribué aux investisseurs s’estimant lésés.
Rappelant que le mandat du séquestre est de « saisir, percevoir et recouvrer le plus grand nombre possible d’actifs de Dominic Lacroix et d’en redistribuer le produit aux investisseurs de PlexCoin », le groupe estime que les investisseurs, qui sont les principaux bénéficiaires de ces procédures, « devraient être dûment représentés devant la Cour ».
Or, souligne-t-il, il apparaît que l’identification des investisseurs et des transactions a été « difficile », et ce, d’autant plus que les transactions sont anonymes et que « le défendeur [Dominic Lacroix] n’a pas pleinement coopéré à la divulgation de l’information ».
Des données « essentielles » ont été détruites
Des milliers de personnes ont investi dans PlexCoin lors de sa prévente en août 2017 puis de son lancement officiel en octobre de la même année. Et le groupe rappelle que depuis l’ouverture de procédures au Québec, …
Lire la suite sur Conseiller.ca