À mesure que l’écosystème financier adopte les technologies, il se concentre sur les données, tant dans leur valeur stratégique que dans la façon dont elles sont traitées et protégées.
Ainsi, « la fourniture de produits de paiement, de crédit, d’assurance et d’investissement dépend du stockage, du traitement et de la transmission d’éléments de données qui représentent des actifs et des passifs financiers, ainsi que des informations sensibles sur les clients », constate l’Institute of International Finance (IIF), dans un rapport publié le 6 juillet 2018.
À cet égard, le défi pour les entreprises consiste à satisfaire leur obligation d’énoncer clairement ce qu’elles vont faire des renseignements personnels récoltés.
« Historiquement, beaucoup de clauses de consentement étaient : “ou pour toute autre utilisation en lien avec la recherche, l’optimisation de nos services, l’amélioration de nos processus », donc étaient des fourre-tout permettant d’englober beaucoup d’utilisations qui, au moment de la collecte, demeuraient ésotériques et indéterminées », indique Jean-François de Rico, associé chez Langlois avocats.
Aujourd’hui, cette réalité pose un défi aux institutions financières désirant faire affaire avec une fintech.
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