Il explique qu’ils n’auraient pas publié un rapport qui n’aurait pas été applicable sur le plan politique. « C’est une réforme qui est possible de moduler à court, moyen et long terme. Notre mandat n’était pas de faire le prochain budget. Certaines mesures s’y retrouveront peut-être et d’autres peut-être pas », mentionne-t-il.
Luc Godbout dit avoir observé que le Québec devenait trop dépendant de l’impôt sur le revenu, alors « nous proposons d’augmenter la taxe de ventes pour réagir à ça ».
En réponse à un journaliste, il avoue que certains comportements sont pénalisés par les mesures proposées, telle que la consommation d’énergie excessive.
« Mais tout le monde sort gagnant avec ce rapport », considère-t-il.