Définitivement, même les riches ne sont pas à l’abri de l’impôt. La mannequin Bar Refaeli l’a appris à la dure. Un tribunal israélien l’a condamné à neuf mois de travaux généraux, et a condamné sa mère à 16 mois de prison, après qu’elles aient plaidé coupables d’avoir fourni de fausses déclarations concernant leurs périodes de résidence à l’étranger afin d’éviter des taxes israéliennes, selon The Guardian.

Bar et Tzipi Refaeli sont accusées d’avoir créé une résidence fictive à l’étranger pour payer moins d’impôts, car les citoyens israéliens résidant à l’étranger n’ont pas l’obligation de déclarer leurs revenus à l’extérieur du pays.

En plus de leur peine, la top-modèle et sa mère, qui fut également mannequin dans les années 1970, devront s’acquitter d’une amende de 2,5 millions de shekels (990 000 $) et du remboursement de leurs arriérés fiscaux, rapporte le journal La Presse.

Cette condamnation met fin à une affaire qui dure depuis plusieurs années puisque la top-modèle avait été arrêtée pour la première fois en 2015.

Bar Refaeli a déjà suscité la controverse il y a de cela plusieurs années, en épousant un ami de son père, dont elle a divorcé peu de temps après, pour échapper aux deux ans de service militaire obligatoire en Israël. Il faut savoir que les femmes mariées ou enceintes sont exemptes de ce service militaire.

Bar Refaeli, qui a posé pour des marques comme Subaru, Dim et Garnier, est notamment apparue en couverture du magazine Sports Illustrated, est également connue pour avoir eu une liaison avec l’interprète du Loup de Wall Street Leonardo DiCaprio. Il avait été lui-même mis sous les feux des projecteurs pour un scandale financier. Elle est actuellement mariée à l’homme d’affaires israélien Adi Ezra.