Josh Wilson se joint à l’équipe de Gestion de capital LionGuard en tant que chef de la conformité. À ce titre, il est responsable du suivi, de la supervision et de la gestion du respect des normes réglementaires au sein de l’organisation.
« Josh apporte une expérience considérable en tant que professionnel de la conformité, ayant travaillé dans de nombreuses juridictions et pour certaines des plus grandes organisations du monde », a déclaré Andrey Omelchak, président et chef des investissements de LionGuard dans un communiqué.
Josh Wilson possède plus de 25 ans d’expérience dans le domaine de la conformité et de la gestion des risques. Né aux États-Unis et installé au Canada depuis 2013, il a œuvré notamment pour le bureau montréalais du groupe financier suisse Pictet, chez Valeurs mobilières Banque Laurentienne et chez Lombard Odier.
Il a débuté sa carrière dans divers postes de conformité auprès de la Financial Industry Regulatory Authority (FINRA) aux États-Unis. Il a été également formateur à la FINRA Examiner University et à l’Advanced University. De 2007 à 2008, il a été directeur des examens à la National Stock Exchange (NSX), où il a dirigé le programme de vérification des membres.
Il détient un baccalauréat en finance de l’Université Washburn à Topeka, au Kansas, et a suivi le cours à l’intention des associés, administrateurs et dirigeants ainsi que l’examen d’aptitude pour les chefs de la conformité de l’Institut canadien des valeurs mobilières. Il possède également les licences FINRA série 7 et série 24.
« Je suis vraiment honoré d’avoir le privilège de rejoindre cette organisation extraordinaire. Le personnel de LionGuard est vraiment exceptionnel. La réflexion prospective, l’esprit d’investissement à long terme et l’accent mis sur un service client exceptionnel sont au cœur de leurs valeurs », indique Josh Wilson sur son profil LinkedIn.
« Les gestionnaires de portefeuille montréalais offrent des solutions de placement de grande qualité qui sont sous-représentées à l’échelle mondiale. Nous sommes enthousiastes à l’idée de contribuer à combler une partie de cet écart », ajoute Andrey Omelchak.