Développement des affaires – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 28 Mar 2025 10:57:39 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Développement des affaires – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Manuvie se dote d’un nouveau président et chef de la direction, Asie https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/manuvie-se-dote-dun-nouveau-president-et-chef-de-la-direction-asie/ Fri, 28 Mar 2025 10:57:39 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106264 NOUVELLES DU MONDE – Steve Finch vient d’être nommé à ce poste.

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Steve Finch a été nommé au poste de président et chef de la direction, Manuvie Asie, succédant ainsi à Phil Witherington, qui a été nommé président et chef de la direction de Manuvie. Les deux hommes débuteront leurs nouvelles fonctions le 9 mai prochain.

Steve Finch, qui fait partie de l’équipe de direction de la firme depuis 2016, occupe actuellement la fonction d’actuaire en chef de Manuvie. À ce poste, il a notamment aidé à la transition vers les normes comptables IFRS 17 et IFRS 9.

Avant ce travail, il a occupé plusieurs autres postes à responsabilités. Il a notamment été chef des finances de John Hancock, la division américaine de Manuvie ; directeur général du secteur de l’assurance vie aux États-Unis, dont il a fait le chef de file du marché de la vente d’assurance vie.

« Steve nous a aidés à mener à bien notre transformation et à obtenir de bons résultats financiers en remodelant notre portefeuille pour obtenir un rendement supérieur et un risque plus faible, et en confirmant le caractère prudent de nos réserves, commente Roy Gori, président et chef de la direction de Manuvie. Nous avons des ambitions audacieuses pour l’Asie, et sa grande compréhension de nos activités sur les plans commercial et fonctionnel, sa connaissance approfondie de nos produits et de nos réseaux de distribution en Asie et sa passion pour la direction d’équipes contribueront à accélérer notre programme de croissance pour cette partie essentielle de nos activités. »

Diplômé de l’Université Queen’s et titulaire d’un baccalauréat spécialisé en statistique, il a occupé diverses fonctions au cours de ses 32 années de service au sein de Manuvie, notamment dans les domaines de la réassurance, du développement de produits et du marketing.

Steve Finch a obtenu le titre de membre titulaire de l’Institut canadien des actuaires et de Fellow de la Society of Actuaries.

« Steve est un leader chevronné qui a développé nos talents actuariels à l’échelle mondiale pour en faire l’une des meilleures équipes du secteur, conclut Phil Witherington. Il adoptera la même approche pour soutenir notre équipe en Asie, nous aider à produire une croissance durable de haute qualité et à réaliser notre ambition d’être le premier choix des clients, et contribuer à dégager plus de 50 % des revenus de base de Manuvie — un objectif que nous sommes en bonne voie d’atteindre. »

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Innocap renforce son équipe d’investissement durable https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/innocap-renforce-son-equipe-dinvestissement-durable/ Thu, 27 Mar 2025 11:07:14 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106258 NOUVELLES DU MONDE – Pour le PGEQ et le fond Investi.

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Marc Natal se joint à l’équipe ESG (environnement, social, gouvernance) et solutions d’impact d’Innocap. Comme directeur, développement des affaires du programme des gestionnaires en émergence du Québec (PGEQ) et du fonds d’innovation durable Investi, il sera responsable de promouvoir le PGEQ et ses gestionnaires ainsi que les fonds Investi auprès de la clientèle institutionnelle du Québec.

Avant de se joindre à Innocap, Marc Natal a occupé des postes de gestion de relations clients auprès de Montrusco Bolton, Gestion financière MD et Banque Scotia. Durant ces années, il a principalement travaillé auprès de la clientèle institutionnelle, dont des régimes de retraite, des fondations et des assureurs. Portant le titre de CFA, il détient des certifications en investissement durable de l’Université Concordia et du programme RI Fundamentals de la PRI Academy.

Le fonds Investi en finance durable a été lancé à l’initiative de douze organisations financières québécoises en 2024. Il vise à lever jusqu’à 1 milliard de dollars dans le but de confier des mandats de gestion à des firmes spécialisées en approches ESG et en investissement d’impact dans les actions, les titres à revenu fixe, les fonds de couverture et les placements privés. Les trois premiers gestionnaires sélectionnés sont Addenda Capital, Beutel Goodman et Fiera Capital.

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MNP acquiert la société de conseil en assurance Sterling Park https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/mnp-acquiert-la-societe-de-conseil-en-assurance-sterling-park/ Wed, 26 Mar 2025 11:05:45 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106208 Les cofondateurs de Sterling Park rejoignent MNP en tant qu’associés.

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Sterling Park Financial Group, une société de conseil en assurance basée à Toronto, fait désormais partie du cabinet de services commerciaux et comptables MNP.

Zak Goldman et Jonah Mayles, associés cofondateurs de Sterling Park, ont tous deux rejoint MNP en tant qu’associés, renforçant ainsi les capacités de MNP en matière d’assurance et de planification fiscale. Leur offre comprend des plans successoraux, le préfinancement de l’impôt sur les successions, la planification du transfert de patrimoine intergénérationnel et des stratégies de dons caritatifs.

La marque Sterling Park a été retirée le 3 mars, a indiqué Zak Goldman par courriel.

« Nous avons eu l’occasion de travailler avec les partenaires de MNP pour des clients communs au cours des dernières années, raconte Zak Goldman. Lors du processus de fusion, nous n’aurions pas pu imaginer une meilleure adéquation. »

« Nous sommes ravis d’accueillir l’équipe de Sterling Park au sein de MNP, assure Tanya Knight, vice-présidente exécutive des clients et des services de MNP, dans un communiqué. Nous sommes impatients de travailler en étroite collaboration avec eux et leur équipe pour les intégrer à notre offre de family office. »

Zak Goldman et Jonah Mayles ont rejoint Gluskin Sheff Financial Services en 2022, en tant que vice-présidents des spécialistes de l’assurance et de la planification successorale. Lorsque Gluskin Sheff a été transféré à RBC en 2023, le duo a décidé de ne pas rejoindre RBC et est retourné à Sterling Park jusqu’à cette fusion, explique Zak Goldman.

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Une nouvelle PVP chez Gestion privée 1859 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/une-nouvelle-pvp-chez-gestion-privee-1859/ Mon, 24 Mar 2025 11:21:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106189 NOUVELLES DU MONDE – Judith Ménard devient la patronne du secteur Entreprises-Gestion privée au plan national.

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Depuis le 1er mars, Judith Ménard occupe le poste de première vice-présidente à la direction, Entreprises et Gestion privée 1859 de la Banque Nationale. Elle a repris les fonctions occupées jusqu’alors par Michael Denham, qui agit désormais comme premier vice-président à la direction et vice-président du conseil de la banque.

L’institution financière avait annoncé en décembre des changements à venir dans son équipe de direction, afin d’appuyer sa croissance dans certains marchés, notamment dans le contexte de l’acquisition de la Banque canadienne de l’Ouest (CWB).

Judith Ménard devient ainsi responsable de la croissance et de l’ensemble des activités du secteur Entreprises-Gestion privée, ainsi que de la transformation du modèle d’affaires. Elle est également chargée du développement des comptes nationaux à l’échelle pancanadienne. Elle a joint l’équipe de direction, où elle relève directement de Laurent Ferreira.

À l’emploi de la Banque Nationale depuis près de 25 ans, Judith Ménard occupait précédemment les fonctions de leader, comptes nationaux, Canada, et première vice-présidente, Entreprises et Gestion privée 1859 pour la Colombie-Britannique, les Prairies, l’Ontario et les provinces atlantiques. Elle a également été cheffe de la conformité de la banque.

Diplômée en droit de l’Université de Sherbrooke, Judith Ménard détient une maîtrise en droit commercial international de l’Université d’Édimbourg, en Écosse.

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L’OCRI devient responsable de l’inscription des sociétés et des représentants de FCP en Ontario https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/locri-devient-responsable-de-linscription-des-societes-et-des-representants-de-fcp-en-ontario/ Fri, 21 Mar 2025 11:27:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106185 Ce changement aura des effets bénéfiques pour les représentants qui se voient retirer leur licence à la suite d’une enquête en application de la loi.

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À partir du 1er avril, l’Organisme canadien de réglementation des investissements (OCRI) prendra en charge l’enregistrement des courtiers et des titulaires de licences pour les fonds communs de placement (FCP) en Ontario. Ce changement devrait entraîner des répercussions positives sur l’application de la loi ainsi que sur les représentants.

La Commission des valeurs mobilières de l’Ontario (CVMO) a récemment déclaré qu’elle déléguerait à l’OCRI la responsabilité de l’inscription des courtiers en valeurs mobilières, des courtiers en fonds communs de placement, des négociants en contrats à terme, ainsi que des personnes physiques travaillant pour des courtiers en fonds communs de placement, y compris les représentants en valeurs mobilières. L’OCRI est déjà responsable de l’enregistrement des courtiers en fonds communs de placement et de leurs représentants au Québec.

Actuellement, en Ontario, seule la fonction d’inscription des personnes physiques et l’examen des personnes physiques autorisées chez les courtiers en valeurs mobilières et les négociants en contrats à terme sont délégués à l’OCRI.

La nouvelle délégation « comprend l’examen et l’approbation des demandes d’inscription initiales et des modifications continues des renseignements relatifs à l’inscription », indique l’OCRI sur son site Web.

« Le transfert de la responsabilité de l’enregistrement à l’OCRI est cohérent avec les autres délégations de la CVMO à l’OCRI, commente John Fabello, associé chez Torys à Toronto, dans un courriel. C’est logique, étant donné que l’OCRI se taille la part du lion en matière de réglementation des courtiers. »

Ellen Bessner, avocate chez Babin Bessner Spry à Toronto, considère que ce changement présente des avantages pour les représentants de fonds communs de placement faisant l’objet d’une enquête. Elle a illustré cette situation par un scénario où un courtier licencie un représentant qui fait l’objet d’une enquête — menée par l’ancienne Association des courtiers de fonds mutuels (ACFM) — pour une infraction mineure, comme l’utilisation de formulaires présignés. (Elle précise qu’elle ne fait pas référence à des infractions graves telles que la fraude.)

Si un autre courtier voulait parrainer l’enregistrement du représentant, il devait jusqu’à présent s’adresser à la CVMO.

Celle-ci disait alors : « Nous ne sommes pas en mesure de vous enregistrer pour le moment. Nous devons d’abord attendre la conclusion de l’enquête [sur l’application de la loi], que ce soit par une lettre d’avertissement, un règlement, ou une décision finale de l’audience contestée. Nous ne procéderons pas à votre enregistrement dans l’intervalle », rapporte-t-elle.

Ellen Bessner a noté une approche différente du côté des courtiers en valeurs mobilières : le prédécesseur de l’OCRI, l’Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières (OCRCVM), enregistrait généralement un représentant dans une telle situation, mais sous certaines conditions, comme une supervision stricte, précise-t-elle.

Du côté des courtiers en fonds communs de placement, « ce conseiller se retrouvait au chômage, exclu du secteur des services financiers », souligne l’experte. « Et cela pouvait prendre jusqu’à deux ans pour que le groupe d’application de la loi de l’ACFM résolve l’affaire. Une fois celle-ci réglée, la CVMO lançait sa propre enquête pour évaluer l’aptitude du conseiller à s’inscrire, ce qui prolongeait encore le processus. »

En outre, si un cas d’application de la loi par l’ACFM se terminait par une suspension temporaire, cette période retardait encore le processus d’enregistrement.

Même si l’affaire se concluait sans suspension, un représentant de fonds communs de placement « se retrouvait effectivement exclu du secteur pendant plusieurs mois supplémentaires, jusqu’à ce que la CVMO soit convaincue de son aptitude à l’enregistrement, avec ou sans conditions comme une supervision stricte », explique-t-elle.

Ellen Bessner remarque que la période prolongée d’inactivité du conseiller agissait également comme une sanction pour les clients, soulignant que ces derniers ne s’inquiètent généralement pas d’infractions mineures telles que des formulaires présignés. Elle précise que les conseillers doivent éviter tout contact avec leurs clients durant cette période : « Ne tentez même pas de jouer au golf avec votre client. […] Si vous croisez un client à l’épicerie, notez ensuite ce dont vous avez parlé, car il ne faudrait pas que l’ACFM vous accuse de fournir des conseils de manière furtive. »

La délégation de l’enregistrement par la CVMO à l’OCRI est « bien meilleure pour les conseillers et pour les clients, car les fonctions d’application et d’enregistrement sont sous le même toit », commente Ellen Bessner.

Le site Web de la CVMO indique que d’autres organismes provinciaux de réglementation des valeurs mobilières s’efforcent de déléguer certaines fonctions d’inscription à l’OCRI. « Nous encourageons les personnes inscrites à contacter leur organisme de réglementation principal ou le personnel de l’OCRI pour toute question », indique le site.

« Compte tenu des avantages qu’un régime d’inscription pancanadien procurerait aux courtiers en valeurs mobilières et en fonds communs de placement, aux négociants en contrats à terme et à leur personnel inscrit, en particulier pour les sociétés qui exercent leurs activités à l’échelle nationale ou dans plusieurs territoires, nous demandons instamment à tous les organismes provinciaux et territoriaux de réglementation des valeurs mobilières de prendre les mesures nécessaires pour déléguer les mêmes pouvoirs d’inscription à l’OCRI dans les meilleurs délais », insiste Arnie Hochman, premier vice-président et avocat général de l’Institut des fonds d’investissement du Canada, dans une déclaration envoyée par courriel.

Le site Web de la CVMO indique que l’OCRI accordera une dispense des exigences de compétence aux représentants et aux chefs de la conformité des courtiers en fonds communs de placement (ainsi qu’aux personnes inscrites auprès des négociants en contrats à terme).

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Le CQFF recrute une directrice de la fiscalité https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/le-cqff-recrute-une-directrice-de-la-fiscalite/ Fri, 21 Mar 2025 11:27:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106172 NOUVELLES DU MONDE — Érika Vallières occupe ce poste.

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Érika Vallières se joint à l’équipe du Centre québécois de formation en fiscalité (CQFF) en tant que directrice de la fiscalité.

Titulaire d’une maîtrise en fiscalité de l’université de Sherbrooke, Érika Vallières a travaillé pendant plus de 6 ans à l’Agence du revenu du Canada (ARC), où elle a occupé diverses responsabilités, notamment celle de formatrice technique principale et de chef d’équipe en planification fiscale abusive.

Le CQFF souligne que sa passion pour la recherche fiscale et son talent pour vulgariser des concepts complexes font d’Érika Vallières un atout majeur pour l’équipe.

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Trois nouveaux membres au conseil de l’OSBI https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/trois-nouveaux-membres-au-conseil-de-losbi/ Mon, 17 Mar 2025 11:45:52 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106047 NOUVELLES DU MONDE – Ils représentent les consommateurs et l’industrie.
L’Ombudsman des services bancaires et d’investissement (OSBI) a nommé trois nouveaux administrateurs.

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Il s’agit de Maureen L. Buckley, qui se joint au conseil à titre de directrice communautaire. Ancienne contrôleuse provinciale pour la fonction publique de l’Ontario, elle a dirigé plusieurs ministères provinciaux. Elle est diplômée de l’Université de York a obtenu le titre de comptable professionnelle agréée (CPA) chez Price Waterhouse.

Jason Enouy, vice-président principal et responsable de la conformité chez Raymond James, a été nommé directeur de l’industrie. Avant de se joindre à Raymond James, il a dirigé des fonctions de conformité et de gestion des risques au sein de deux grandes firmes canadiennes de gestion de patrimoine et de valeurs mobilières, ainsi que d’une banque à charte. Membre du Barreau de l’Ontario, il siège au conseil d’administration de la Fondation Raymond James Canada.

Marina Pavlovi sera chargée de la protection des intérêts des consommateurs. Professeure agrégée à la faculté de droit de l’Université d’Ottawa, elle se spécialise dans les droits des consommateurs et la politique technologique. Elle a travaillé dans les domaines de la recherche et de la réforme du droit des consommateurs. Membre du Barreau de l’Ontario, elle est diplômée en droit de l’Université de Belgrade, et en droit et technologie de l’Université d’Ottawa.

La majorité des administrateurs de l’OSBI sont indépendants. Pour être désignés, ils doivent avoir quitté le secteur ou le gouvernement depuis au moins deux ans. Les administrateurs communautaires, au nombre de trois, sont issus de la collectivité et sont chargés de la protection des intérêts des consommateurs. Le conseil comprend également trois administrateurs de l’industrie affiliés à une firme participante.

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L’EDI crée des occasions d’affaires https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/ledi-cree-des-occasions-daffaires/ Mon, 17 Mar 2025 10:45:30 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106156 L’industrie doit s’adapter au visage changeant de la clientèle.

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Bien préparer les actions en matière d’équité, de diversité et d’inclusion (EDI) afin qu’ils soient synonymes d’avantage concurrentiel plutôt qu’appréhension et résistance constitue un défi pour de nombreuses firmes. Tel est le message d’expertes en EDI et d’observateurs de l’industrie financière, qui constatent que les firmes s’adaptent à leur rythme à l’évolution de la population canadienne.

Ainsi, le visage de la clientèle de l’industrie financière évolue. On compte plus de femmes et davantage de personnes issues de diverses communautés. L’industrie pivote lentement pour s’adapter au changement. Cependant, l’adaptation se fait à des rythmes variés : alors que certaines firmes renforcent leurs initiatives en matière d’EDI, d’autres prennent le chemin inverse chez nos voisins du Sud. En février, le géant de Wall Street Goldman Sachs a déclaré avoir mis fin à un engagement EDI lié à l’activité d’introduction en bourse de la banque d’investissement. JPMorgan Chase fait pour sa part face à des critiques sur ses pratiques d’affaires en EDI. Le secteur financier canadien semble pour l’instant épargné par ce mouvement.

Il reste que l’industrie financière du Québec demeure dominée par les hommes. Cependant, les signes de changement se multiplient. Les dirigeants de courtiers recrutent davantage de conseillères et multiplient les efforts afin d’en attirer d’autres. Chez les firmes de courtage, on parle davantage de diversité et des avantages, sur le plan du développement des affaires, de refléter la diversité des communautés locales.

Jean Morissette, consultant dans le secteur du courtage de plein exercice, observe qu’un véritable « momentum » s’est installé ces dernières années et qu’il se poursuit. « Les inégalités qui existaient auparavant persistent, mais dans une moindre mesure », affirme-t-il.

L’un des principaux moteurs de cette évolution est la transition générationnelle. Le départ progressif de nombreux conseillers baby-boomers engendre une vague de renouvellement des groupes de conseillers, d’adjoints ou encore de membres de l’équipe de soutien.

Sur le plan des représentants, Jean Morissette souligne que les nouvelles générations qui entrent dans l’industrie ont un profil différent : « On le constate déjà dans les universités, où les femmes sont de plus en plus nombreuses à étudier en finance. »

Toutefois, les développements aux États-Unis, notamment la suppression de certaines politiques EDI, suscitent des inquiétudes. Jean Morissette fait remarquer que cette tendance pourrait avoir un effet d’entraînement au Canada. Il estime que cette évolution pourrait notamment conforter ceux qui sont déjà sceptiques face aux initiatives EDI. Toutefois, il rappelle que le pays est déjà bien engagé dans une transition vers la diversité et que la relève contribuera naturellement à renforcer cette dynamique.

La transformation de la clientèle pousse également les acteurs de l’industrie à revoir leurs approches. Jean Morissette note que le marché devient de plus en plus fragmenté et que les attentes des clients ont évolué. « Aujourd’hui, les jeunes s’impliquent davantage en finance et les attentes sont plus diverses », constate-t-il. Cette situation impose aux entreprises de diversifier non seulement leurs produits et services, mais aussi leurs équipes.

Dans certains secteurs, cette nécessité est encore plus marquée. Paul Balthazard, ancien vice-président et directeur régional, Québec, de RBC Dominion valeurs mobilières, précise que, pour répondre efficacement à une clientèle multiculturelle, une équipe diversifiée est essentielle. Il insiste sur le fait que la diversité ne doit pas être vue comme une mode. Selon lui, « on engage un conseiller pour son potentiel de succès, pas juste pour répondre à une tendance ». Il indique que le recrutement d’un conseiller représente un investissement important et que des initiatives EDI « mal ciblées » risquent d’être perçues comme inefficaces.

Occasion d’amélioration

Pour les entreprises, la diversité représente aussi une occasion stratégique. Christian Laroche, consultant en distribution de services financiers, souligne que l’industrie doit se réinventer pour attirer une nouvelle génération de conseillers, surtout avec la pénurie de main-d’œuvre qui s’annonce. « Les firmes qui sauront s’adapter auront un net avantage concurrentiel », affirme-t-il.

Malgré cette réalité, certaines grandes firmes peinent à recruter des femmes ou des personnes issues de la diversité. Selon Christian Laroche, cela découle souvent du fait que les offres d’emploi ne répondent pas à leurs attentes. « Si les candidats ne se présentent pas, c’est souvent parce que les offres ne leur parlent pas. Les firmes qui adoptent une approche inclusive obtiennent toutefois de bons résultats », dit-il.

Pour réussir l’intégration de la diversité, une approche bien pensée permet d’éviter certaines erreurs courantes, prévient Brigitte Lavallée, consultante et formatrice en EDI. Elle souligne que des initiatives mal préparées, comme l’organisation d’une conférence sur les biais inconscients sans préparation adéquate, risquent de provoquer des résistances. « Ces initiatives sont souvent déconnectées de la réalité de l’entreprise et suscitent des réactions négatives », observe-t-elle. Elle recommande de commencer par un diagnostic simple, qui permet à l’entreprise de mesurer où elle se situe sur ces enjeux et de définir des actions adaptées.

De plus, le langage utilisé pour aborder ces sujets joue un rôle clé. Dans le secteur financier, il est plus efficace de parler d’EDI en matière d’impact économique, en mettant en avant les coûts liés à l’absence de diversité pour capter l’attention des décideurs, signale la spécialiste.

Implication des dirigeants : un facteur de succès

Martine Lafrance, consultante chez Inclusio conseils, insiste pour sa part sur le fait que la réussite des initiatives en EDI repose sur une approche progressive et mesurable. « C’est un véritable exercice de gestion du changement », affirme-t-elle. Elle rappelle que sans l’adhésion de la haute direction, il est difficile de créer un véritable sentiment d’urgence et d’importance. Dans cette dynamique, la résistance au changement, qui peut se traduire par la crainte que ces initiatives menacent les acquis de certains groupes majoritaires, est un défi majeur. Elle suggère de structurer le processus de transformation en impliquant activement les équipes et en favorisant la communication ouverte.

Malgré les obstacles, la diversification de la clientèle canadienne rend les initiatives EDI incontournables. « On ne peut pas ignorer cette question. Une entreprise qui ne s’adapte pas aura des problèmes de recrutement, de fidélisation et d’image de marque », affirme Brigitte Lavallée. Le manque de diversité engendre en effet des conséquences négatives sur plusieurs aspects de l’entreprise : absentéisme, maladies, tensions internes et baisse de productivité.

« Peut-on vraiment faire marche arrière sur l’EDI ? C’est impensable », martèle la spécialiste. La diversité de la population canadienne étant croissante, les dirigeants n’auront d’autre choix que de se questionner sur l’équité et l’inclusivité de leur entreprise pour en assurer la pérennité et la compétitivité.

Ces paroles qui font mal

Certaines phrases prononcées dans le cadre du travail peuvent être particulièrement blessantes, souligne Brigitte Lavallée, consultante et formatrice en EDI. Elle raconte l’exemple d’un employé noir, qui, chaque matin, entendait des remarques comme : « Cachez vos sacoches ! » ou « Tu l’as volé où, ton manteau ? » De même, les femmes ne sont pas épargnées, avec des commentaires tels que : « Tu es un peu à pic, tu dois être dans tes périodes ». Si ces remarques relèvent des microagressions, certains propos vont encore plus loin. Parfois, des employés se font dire qu’ils ont été embauchés uniquement en raison de leur appartenance à un groupe minoritaire, une remarque dénigrante. Selon l’experte, de telles paroles peuvent gravement affecter la confiance en soi, entraîner des troubles comme la dépression et provoquer des conséquences négatives sur le bien-être des individus, avec des répercussions sur les risques psychosociaux au sein de l’entreprise.

– Carole Le Hirez

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Diversité : l’industrie doit se rendre attrayante https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/diversite-lindustrie-doit-se-rendre-attrayante/ Mon, 17 Mar 2025 10:25:10 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105877 Pour attirer du personnel diversifié et de qualité.

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L’industrie des services financiers a des efforts à faire afin d’accroître sa diversité et son inclusion de personnel. Pour y parvenir, le secteur devrait mieux se faire connaître auprès de la main-d’œuvre et créer des conditions favorables pour l’y attirer.

Voilà l’un des messages transmis par plusieurs dirigeants et cadres primés à l’occasion du Top des leaders de l’industrie financière du Québec en 2024, dont Renée Laflamme, vice-présidente exécutive, Assurance Épargne et Retraite individuelles chez iA Groupe financier.

Selon la dirigeante, l’industrie est souvent méconnue, ce qui fait que beaucoup de gens l’intègrent un peu par hasard. « Comme industrie, on a avantage à faire mieux connaître ce qu’on fait », souligne-t-elle.

Un message qui pourrait attirer la main-d’œuvre est que la mission de l’industrie est socialement responsable, soit l’un des volets des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). « C’est très ESG, l’assurance et l’épargne, parce que ça permet justement d’aider les gens à acquérir une littératie financière. C’est très social dans le sens où il faut épargner, il faut se protéger, il faut protéger nos gens », dit Renée Laflamme.

Les conseillers et le secteur financier favorisent l’éducation financière des clients. Ils les aident à mettre en œuvre un plan financier qui peut protéger leur famille et avoir un effet décisif sur l’atteinte de leurs objectifs financiers, comme financer les études des enfants ou avoir un niveau de vie décent à la retraite.

« La sensibilisation à la littératie financière, c’est important. C’est aussi important les finances personnelles, la protection du patrimoine, la création et la gestion d’un patrimoine. On n’en parle peut-être pas assez dans les universités, dans les cégeps, dans les écoles secondaires », dit Patrick Cloutier, président du Groupe Cloutier. En parler davantage pourrait faire prendre conscience aux gens que c’est un domaine important et intéressant, et ainsi attirer de la main-d’œuvre diversifiée.

D’après Renée Laflamme, le personnel potentiel devrait également savoir que les emplois dans le secteur sont très variés. Au-delà du conseil financier, de la gestion des placements ou des assurances, toute la gestion technologique de l’expérience client et de l’expérience du conseiller requiert des talents différents, ce qui pourrait attirer une diversité de travailleurs.

« Il faut que l’industrie et (ses) métiers soient assez sexys, attirants, invitants pour que des gens de la diversité viennent naturellement », abonde dans le même sens Gino-Sébastian Savard, président de MICA Cabinets de services financiers.

L’industrie doit ainsi mieux se faire connaître auprès de l’ensemble de la population, laquelle compte davantage de personnes issues d’une pluralité de communautés d’appartenance. « Et ces gens-là aiment beaucoup être servis par des gens issus de leur communauté, donc tout naturellement, le besoin est là », poursuit le dirigeant.

Le secteur financier doit également bien promouvoir ses actions qui permettent la création de richesse collective ou avoir un effet sociétal positif. « Il y a des initiatives de la part de la Chambre de la sécurité financière (CSF) avec la création de la Chaire Argent, inégalités et société », dit-il.

Fruit d’un partenariat entre la CSF et l’Institut national de la recherche scientifique, elle vise notamment à outiller les conseillers à composer avec les inégalités entre conjoints au sein des ménages et entre divers groupes sociaux au Québec en lien avec la gestion des finances personnelles. « La Chaire a aussi comme objectif de mieux comprendre et de mieux faire connaître notre industrie aux gens dans la diversité », ajoute Gino-Sébastian Savard.

Accroître la diversité passe notamment par la promotion des métiers de l’assurance pour attirer les gens de divers horizons, particulièrement les jeunes, selon Jean-François Chalifoux, président et chef de la direction de Beneva : « L’industrie doit savoir innover en développant des projets de recrutement originaux, comme nous le faisons dans notre programme études-travail en assurance de dommages, lancé en collaboration avec le Cégep de Sainte-Foy. »

Selon le dirigeant, il est essentiel d’assurer une culture inclusive et bienveillante. Son organisation doit faire « que tous nos talents s’épanouissent et puissent progresser à leur plein potentiel et qu’ils intègrent et respectent les principes d’équité, de diversité et d’inclusion (EDI) dans leurs pratiques », note le dirigeant.

Denis Dubois, premier vice-président Gestion de patrimoine et Assurance de personnes, Mouvement Desjardins, et président et chef de l’exploitation, Desjardins Sécurité financière, partage cet avis. Il souligne par ailleurs que le départ à la retraite de plusieurs membres de la génération des baby-boomers crée une occasion pour faire de son organisation le reflet de sa communauté.

Accueillir la diversité

Pour que l’industrie soit davantage inclusive, il faut qu’elle sache accueillir la diversité d’opinions, d’origines et de parcours, souligne Janie C. Béïque, présidente et cheffe de la direction du Fonds de solidarité FTQ. « C’est un prérequis. Ce qui m’exaspère beaucoup, ce sont les gens qui font ça pour cocher la case (de la diversité). Dans ce cas, c’est mieux de ne pas le faire », juge-t-elle.

Selon elle, pour bien accueillir les gens issus de la diversité, « le rôle revient beaucoup aux leaders d’échanger, d’encourager, d’avoir des discussions avec eux. »

Janie C. Béïque voit d’ailleurs beaucoup d’avantages à long terme à le faire. «Dans mon parcours, des gens ont cru en moi, ont fait qu’il y a eu un déclic dans ma tête et que j’ai décidé de poursuivre mon rêve, mes ambitions, mon désir de faire une différence. C’est ça qui est important : de s’investir et d’y croire. Et d’ouvrir la porte à devenir mentor ou coach pour des gens qui lèvent la main. »

Selon Christian Mercier, président-directeur général d’UV Assurance, la haute direction doit créer des conditions favorables à la diversité et en parler.

« Chez nos gestionnaires, 75 % sont des femmes. Quand on regarde la haute direction, on est à parité, puis le conseil d’administration aussi. Sauf qu’il a fallu créer des conditions pour que ça arrive. Il faut créer des occasions », relate-t-il.

Par exemple, pour favoriser le leadership féminin, la direction devrait en parler, s’y conscientiser et aller à la rencontre de gens issus de la diversité pour comprendre leurs défis, leurs enjeux. Ce faisant, on augmente les chances de faire tomber les barrières.

« Les dirigeants, qui ne sont pas des femmes, devraient devenir des parrains de cette cause-là pour faciliter les choses », ajoute-t-il.

Par ailleurs, la mise en œuvre des principes d’EDI peut varier en fonction de la localisation d’une entreprise et de ses contraintes. « Je m’attends, comme organisation, à ce que ma succursale soit le reflet de la société où elle est. Donc, pour une succursale à Rimouski, le concept de diversité et d’inclusion ne se vit pas nécessairement de la même façon qu’à Brossard », estime David Lemieux, vice-président et directeur général de Valeurs mobilières Desjardins.

Malgré les nuances dans l’application, David Lemieux souligne la pertinence de l’EDI et le fait qu’elle favorise le développement des affaires des firmes et des conseillers. « Si je suis dans une région multiethnique et que je veux développer des affaires, je dois être multiethnique. »

Chez Evovest, l’une des manières de favoriser l’EDI consiste à offrir des stages ciblés à des étudiants. « Il y a une étudiante qu’on a depuis pratiquement un an, c’est elle qui m’a approchée pour faire un stage chez nous. On lui a fait une place. Elle évolue avec nous. C’est la même chose qu’on va essayer de faire cet été », note Carl Dussault, président-directeur général d’Evovest.

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Wealthica mise sur les family offices https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/wealthica-mise-sur-les-family-offices/ Fri, 14 Mar 2025 11:14:11 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106025 Et lance un nouveau logiciel.

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Technologie Financière Wealthica lance son logiciel Family Office. Celui-ci est conçu pour fournir un soutien et une supervision financière aux familles fortunées, à la gestion de patrimoine multigénérationnelle et aux conseillers.

Les bureaux de famille et les gestionnaires de patrimoine pourront ainsi bénéficier de nouveaux outils pour consolider, analyser et superviser efficacement des actifs diversifiés sur plusieurs portefeuilles. Cette version du logiciel de la plateforme canadienne d’agrégation d’investissements génère des rapports avancés, une agrégation interinstitutions et des portefeuilles personnalisables.

Avec cette nouveauté, Wealthica espère renforcer la collaboration entre les différents membres d’une famille, les conseillers et les fiduciaires.

« Gérer un patrimoine familial sur plusieurs générations pose des défis uniques, et notre nouvelle version “Family Office” est conçue pour simplifier et rationaliser ce processus, déclare Billy Kawasaki, Chef de l’exploitation de Wealthica. En offrant une plateforme centralisée, transparente et sécurisée, nous aidons les familles et leurs conseillers à prendre des décisions informées en toute confiance. »

Parmi les fonctionnalités de ce logiciel, on retrouve :

  • une agrégation complète des actifs : le logiciel permet de suivre en temps réel les investissements, comptes bancaires, biens immobiliers, capitaux privés, actifs numériques et placements alternatifs sur un tableau de bord unique.
  • des rapports et analyses approfondies : le logiciel peut générer des rapports détaillés sur l’allocation des actifs, l’évolution du patrimoine net, le suivi du coût de revient ajusté, l’évaluation des portefeuilles et l’analyse des performances.
  • une sécurité et une confidentialité renforcées : des mesures de sécurité et de chiffrement de pointe garantissent la protection des données financières sensibles.

Ce logiciel est destiné aux familles fortunées souhaitant optimiser leur gestion de patrimoine tout en ayant clarté et contrôle sur leur situation financière.

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