Un Canadien sur dix a l’intention de quitter son conseiller et de gérer lui-même ses placements, selon un sondage réalisé par Finder.com
Les membres de la génération Y sont les plus susceptibles d’avoir des doutes sur la possibilité de travailler avec un conseiller, 33,7 % d’entre eux ayant déclaré qu’ils prévoyaient de quitter leur conseiller ou qu’ils envisageaient sérieusement de le faire. Seuls 11 % des baby-boomers affirment la même chose.
Les répondants qui envisageaient de se débarrasser de leur conseiller ont déclaré qu’ils étaient motivés par l’économie d’argent sur les frais (54 %) et par le fait d’avoir un meilleur contrôle sur leur argent (42 %).
Les répondants de la génération X étaient plus préoccupés par l’économie de frais (56 %), tandis que les membres de la génération Y étaient plus susceptibles d’apprécier la commodité des options d’investissement en ligne (25 %). Les répondants de la génération Z sont les plus susceptibles de vouloir avoir le contrôle de leurs investissements (48 %).
Les répondants mariés sont les plus à même de dire qu’ils congédieraient ou envisageraient de congédier leur conseiller (29 %). Ils étaient également les plus susceptibles d’avoir travaillé avec un conseiller (66 %).
Près de la moitié des répondants (43 %) ont déclaré n’avoir jamais travaillé avec un conseiller.
Les hommes (30 %) étaient plus susceptibles que les femmes (20 %) d’envisager de se séparer de leur conseiller. Plus du quart (29 %) des hommes ont déclaré qu’ils se sentaient bien informés sur leurs placements, contre 22 % des femmes.
Les répondants de l’Alberta (13 %), de l’Ontario (11 %) et du Québec (10 %) étaient les plus susceptibles de dire qu’ils envisageaient de congédier leur conseiller.
Finder a chargé Pure Profile de réaliser un sondage en ligne auprès de 1 143 adultes au Canada en novembre 2020. Les sondages en ligne ne peuvent pas se voir attribuer une marge d’erreur car ils ne constituent pas un échantillon aléatoire de la population.