Goldman Sachs affirme qu’une récession guette bel et bien les États-Unis, et évoque l’intensification de la guerre commerciale entre la Chine et les États-Unis comme principale raison.
L’institution financière américaine ne voit aucun règlement de cette rivalité avant l’élection présidentielle, ce qui aura un effet négatif prolongé sur la croissance économique au pays de l’Oncle Sam.
Goldman Sachs a d’ailleurs réduit sa prévision de croissance pour la fin de l’année en cours de 0,2%, à 1,8%, rapporte Bloomberg.