Nouvelles – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 22 Jan 2025 12:06:04 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Nouvelles – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Innocap accélère son expansion mondiale https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/innocap-accelere-son-expansion-mondiale/ Wed, 22 Jan 2025 12:06:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105002 La fintech montréalaise s’allie à un géant du Moyen-Orient.

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La fintech montréalaise Gestion de placements Innocap a conclu un partenariat stratégique avec une filiale de l’Abu Dhabi Investment Authority (ADIA). Cet important investisseur institutionnel des Émirats arabes unis a choisi Innocap pour gérer une partie de son exposition aux fonds de couverture et aux actions via des plateformes de comptes dédiés.

Dans le cadre de cette alliance, la filiale de l’ADIA compte augmenter progressivement sa participation dans Innocap jusqu’à atteindre 10 % au cours des prochaines années. Une fois ce seuil atteint, Mohammed Sghayer Khalaf Al Qubaisi, directeur adjoint du département des investissements alternatifs du fonds, rejoindra le conseil d’administration d’Innocap. Selon lui, la plateforme d’Innocap permettra à l’ADIA d’améliorer l’efficacité de sa gestion de trésorerie tout en offrant une plus grande flexibilité pour ses investissements dans les fonds de couverture et les actions.

Ce partenariat s’inscrit dans une stratégie plus large de l’ADIA, qui cherche à diversifier ses investissements dans les fonds spéculatifs, en collaborant avec des gestionnaires proposant des stratégies innovantes sur les actions et les produits dérivés, afin d’optimiser les rendements tout en répondant à une volatilité accrue des marchés, rapporte Bloomberg.

Pour François Rivard, chef de la direction d’Innocap, ce partenariat offre une occasion d’accélérer la croissance de la plateforme technologique développée par l’entreprise. Le nouvel actionnaire rejoint une liste qui inclut notamment la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), BNY Mellon, Gestion d’actifs mondiale Walter et BNP Paribas.

Dans cette stratégie de croissance, Innocap considère le Moyen-Orient comme un marché clé. La firme emploie 440 personnes dans sept pays et prévoit d’ouvrir un bureau à Abu Dhabi en 2025. La fintech, qui gère à ce jour 120 milliards de dollars (G$) d’actifs, vise à doubler ce chiffre d’ici cinq à dix ans.

Pour soutenir son développement, Innocap mise sur la demande croissante des investisseurs institutionnels pour les plateformes de comptes dédiés gérés qui offrent une transparence accrue, un contrôle renforcé et des solutions adaptées aux stratégies alternatives pour répondre à la volatilité des marchés et respecter les obligations fiduciaires.

Plus important investisseur institutionnel du Moyen-Orient avec des actifs de 1000 G$, l’ADIA, créée en 1976 pour investir les excédents de recettes énergétiques de l’émirat et diversifier son économie, est l’un des principaux bailleurs de fonds des fonds spéculatifs dans le monde, selon Bloomberg.

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Invesco Canada veut apporter des changements à ses fonds https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/invesco-canada-veut-apporter-des-changements-a-ses-fonds/ Wed, 22 Jan 2025 12:06:01 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104990 PRODUITS – Sept produits sont concernés.

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Invesco Canada veut apporter des changements à sept de ses fonds, notamment au niveau de leurs noms et de leurs stratégies de placement.

Vers le 24 mars prochain :

  • le Invesco FTSE RAFI Global Small-Mid ETF deviendra le Invesco RAFI Global Small-Mid ETF ;
  • le Fonds FNB mondiaux+ FTSE RAFI Invesco sera renommé le Fonds FNB mondiaux+ RAFI Invesco ;
  • et le Fonds FNB américain FTSE RAFI Invesco deviendra le Fonds FNB américain RAFI Invesco.

Les stratégies de placement de ces fonds Invesco seront modifiées pour mieux correspondre aux nouvelles stratégies de placement des FNB Invesco actuellement détenus par ces fonds Invesco.

Toujours aux alentours du 24 mars, Invesco propose de modifier les objectifs de placement des fonds Invesco de quatre de ses produits. Les modifications apportées aux objectifs de placement permettront à ces fonds de suivre des indices fournis par Research Affiliates au lieu de ceux fournis par FTSE International Limited.

Si les investisseurs approuvent les modifications des objectifs de placement lors des assemblées des investisseurs auront lieu le 20 mars 2025, les noms et les stratégies de placement de ces fonds Invesco seront également ajustés en fonction des nouveaux objectifs de placement, comme suit :

  • le Invesco FTSE RAFI Canadian Index ETF deviendra le Invesco RAFI Canadian Index ETF ;
  • le Invesco FTSE RAFI U.S. Index ETF changera pour devenir le Invesco RAFI U.S. Index ETF ;
  • le Invesco FTSE RAFI U.S. Index ETF deviendra le Invesco RAFI U.S. Index ETF II ;
  • et la Catégorie FNB indice canadien FTSE RAFI Invesco changera pour devenir la Catégorie FNB indice canadien RAFI Invesco.

Aucun changement ne sera apporté aux symboles boursiers.

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Être locataire, souvent plus avantageux https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/etre-locataire-souvent-plus-avantageux/ Wed, 22 Jan 2025 12:05:52 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105062 Par rapport à l’achat d’une première propriété.

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Alors que la crise du logement s’intensifie au Québec, de nombreux clients se demandent s’ils pourront devenir propriétaires et s’il vaut mieux acheter maintenant ou attendre. Lors du dernier congrès de l’Institut de planification financière (IPF), Nathalie Bachand, actuaire et planificatrice financière chez Bachand Lafleur, Groupe conseil, a comparé les coûts de l’achat d’une première maison à ceux de la location à long terme pour un couple de clients de 30 ans. Elle a également analysé la pertinence d’acheter maintenant ou dans cinq ans, une question qui taraude plusieurs personnes en raison de l’incertitude relative aux taux d’intérêt sur les prêts hypothécaires et à l’évolution du marché de l’immobilier.

Selon l’analyse, si le coût de vie d’un couple de clients reste stable, la location s’avère souvent plus avantageuse à long terme que l’achat d’une propriété immobilière. Cela dépend toutefois de la croissance du prix des loyers et d’autres hypothèses.

La planificatrice financière a pris l’exemple d’un couple qui envisage d’acquérir une première maison de 500 000 $ et a accumulé 50 000 $ en compte d’épargne libre d’impôt (CELI). Elle a étudié trois scénarios : un couple avec un revenu modéré (120 000 $/an) et un loyer faible (1 200 $/mois). Un couple avec un revenu modéré et un loyer élevé (2 000 $/mois). Un couple avec un revenu supérieur (200 000 $/an) et un loyer élevé.

Pour chaque scénario, elle a comparé la valeur nette des clients selon qu’ils choisissent de rester à loyer à vie, d’acheter maintenant ou d’acheter dans cinq ans en maximisant le compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété (CELIAPP) et le régime d’accession à la propriété (RAP), ou finalement d’acheter dans cinq ans en maximisant le CELIAPP et sans le RAP. Dans tous les cas, le couple épargne en utilisant judicieusement les régimes enregistrés pertinents, dont le régime enregistré d’épargne-retraite (REER) et le CELI.

Pour établir ces projections, elle a utilisé un taux de rendement des investissements de 3 % avant achat et 4,5 % après achat, un taux d’augmentation des revenus de 3,10 %, un taux d’augmentation des dépenses et un taux de croissance de la valeur de la résidence de 2,10 %, et enfin un taux hypothécaire de 5 % si l’achat a lieu maintenant et de 4,30 % dans 5 ans.

Résultat : la location arrive gagnante à long terme, sauf si le loyer augmente fortement. Par exemple, pour un logement à 1 200 $ par mois, une hausse annuelle de plus de 7 % rendrait l’achat plus intéressant que la location. Pour un loyer élevé, la location est gagnante à long terme sauf si la hausse annuelle des loyers se situe entre 3,5 % et 4 %, a indiqué Nathalie Bachand.

« Ce n’est pas vrai que cela ne vaut pas la peine de rester à loyer et qu’il faut absolument acheter une maison. Cependant, d’autres raisons comme la qualité de vie peuvent faire que l’on souhaite devenir propriétaire. Le fait d’être conscient de cela permet aux planificateurs financiers de casser certains mythes et d’aider des clients à faire des choix », a signalé Nathalie Bachand.

La location engendre une valeur nette plus élevée notamment parce qu’elle est synonyme d’un coût de vie inférieur par rapport à l’achat d’une première maison. Dans l’étude de cas présentée par Nathalie Bachand, le coût de vie annuel du ménage qui devient propriétaire augmente de 34 115 $ après l’achat (passant de 50 000 $ à 84 115 $). Le couple de locataires a ainsi une capacité d’épargne supérieure. Le couple de propriétaires a des dépenses annuelles supérieures, ce qui réduit sa capacité d’épargne et peut nuire au coussin financier d’un ménage en prévision de la retraite, a fait remarquer la planificatrice financière.

Une fois cela établi, si un client tient à acquérir une propriété, est-il mieux de le faire maintenant ou dans cinq ans ? C’est la croissance annuelle de la valeur des maisons durant ces cinq années qui détermine la réponse. Si ce taux est faible, attendre avant d’acheter est plus avantageux. « Avec le CELIAPP, il devient toujours intéressant de reporter l’achat dans 5 ans, sauf si la valeur des maisons augmente d’ici 5 ans (entre 4,5 % et 8 % par an selon les scénarios », lit-on dans la présentation de Nathalie Bachand.

Le CELIAPP permet à un acheteur d’une première habitation d’épargner à l’abri de l’impôt 8 000 $ par année pour un total de 40 000 $ à vie, pour acheter ou construire une habitation admissible.

Ses clients posent fréquemment des questions sur l’accession à la propriété. Il s’agit de parents inquiets de savoir si leurs enfants ont les capacités financières d’acheter une propriété et de clients retraités qui songent à vendre leur maison pour déménager dans un condo qui se demandent s’il vaut mieux acheter maintenant ou attendre que le marché se stabilise.

Analyse budgétaire préalable

Pour prendre une décision éclairée, les nouveaux acheteurs devraient effectuer une analyse budgétaire approfondie avant d’acheter, car de nombreuses dépenses sont en général sous-estimées, a souligné Nathalie Bachand.

Un budget préachat devrait inclure les dépenses liées directement à l’acquisition, telles que les versements hypothécaires, les taxes municipales et scolaires, les frais d’entretien et de réparations ainsi que les frais de déménagement et possiblement les frais de transport supplémentaires si la maison est plus éloignée du travail.

Le budget doit également tenir compte d’autres dépenses récurrentes qui risquent d’augmenter après l’achat, comme les primes d’assurance habitation, les frais de chauffage et d’électricité de même que les frais d’ameublement. Des dépenses supplémentaires, comme l’achat d’une deuxième voiture ou l’augmentation des protections d’assurance-vie et invalidité pour couvrir un coût de vie plus élevé, doivent aussi être prises en compte.

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L’inflation recule à 1,8 % en décembre https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/linflation-recule-a-18-en-decembre/ Tue, 21 Jan 2025 17:58:56 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105074 En partie à cause du congé de TPS.

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L’indice des prix à la consommation a augmenté de 1,8 % d’une année à l’autre en décembre au pays, ce qui représente une baisse par rapport à la hausse de 1,9 % enregistrée en novembre, en grande partie en raison de l’allègement fiscal temporaire accordé par le gouvernement fédéral.

Le rapport sur l’inflation de Statistique Canada publié mardi indique les prix des aliments achetés au restaurant et des boissons alcoolisées achetées en magasin ont contribué le plus au ralentissement de la croissance.

Le gouvernement fédéral a instauré un congé de taxe temporaire sur ces articles à la mi-décembre. La mesure touchait aussi les vêtements et certains jouets, entre autres.

Sans le congé de TPS, Statistique Canada estime que l’inflation aurait été de 2,3 %.

La croissance des prix des produits d’épicerie a également ralenti en décembre par rapport au mois précédent, tombant à 1,9 % d’une année sur l’autre, contre 2,6 % en novembre.

D’une année à l’autre, les prix de l’essence ont augmenté de 3,5 % en décembre après avoir reculé de 0,5 % en novembre. La progression est principalement attribuable à un effet de glissement annuel.

Les prix des logements ont affiché un léger ralentissement de la croissance en décembre, tout en demeurant élevés. Ils ont augmenté de 4,5 %. La croissance des prix des loyers a aussi ralenti d’une année à l’autre en décembre, à 7,1 %.

L’attention se tourne maintenant vers la Banque du Canada, qui doit dévoiler sa plus récente décision sur les taux d’intérêt la semaine prochaine.

Au Québec, l’inflation s’est établie à 1,6 % en décembre, après avoir été de 1,5 % en novembre.

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GPTD bonifie son offre de placements https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/gptd-bonifie-son-offre-de-placements/ Tue, 21 Jan 2025 12:58:14 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104988 PRODUITS – Et lance deux nouveaux FNB en dollars américains et une gamme élargie de FNB d’obligations à échéance cible.

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Gestion de Placements TD (GPTD) ajoute cinq nouveaux fonds négociés en Bourse (FNB) à sa gamme de produits, dont deux nouveaux FNB en dollars américains. Ces derniers se négocient à la Bourse de Toronto depuis le 14 janvier.

Le FNB d’actions américaines à petite et moyenne capitalisation Q TD (TQSM.U) est basé sur une approche de placement à gestion quantitative pour sélectionner des titres afin de procurer une croissance du capital à long terme. Il investit essentiellement dans des titres de participation d’émetteurs de petite taille ou de moyenne taille aux États-Unis.

Le FNB de gestion de la trésorerie américaine TD (TUSD.U) cherche à offrir à ses investisseurs un revenu d’intérêt à taux élevé tout en préservant le capital et en maintenant la liquidité. Pour cela, il investit principalement dans des titres de créance de haute qualité comme des titres à revenu fixe à court terme et des titres du marché monétaire libellés en dollars américains.

« Nos nouveaux FNB en dollars américains peuvent aider à réduire la volatilité potentielle liée aux devises, tandis que l’élargissement de notre gamme de FNB d’obligations à échéance cible offre aux investisseurs des moyens supplémentaires de réduire la volatilité à court terme », affirme David Sykes, premier vice-président et chef des placements, GPTD.

GPTD a également lancé trois nouveaux FNB d’obligations à échéance cibles, soit :

  • le FNB d’obligations de qualité supérieure à échéance cible 2028 TD (TBCH),
  • le FNB d’obligations de qualité supérieure à échéance cible 2029 TD (TBCI)
  • et le FNB d’obligations de qualité supérieure à échéance cible 2030 TD (TBCJ).

Ces produits visent à procurer un revenu régulier tout en préservant le capital en investissant principalement dans un portefeuille d’obligations de sociétés canadiennes de qualité investissement libellées en dollars canadiens.

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Remaniement à la haute direction de JPMorgan https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/remaniement-a-la-haute-direction-de-jpmorgan/ Tue, 21 Jan 2025 12:58:12 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104992 NOUVELLES DU MONDE – Jennifer Piepszak succède à Daniel Pinto à la direction des opérations.

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JPMorgan Chase & Co nomme Jennifer Piepszak au poste de directrice des opérations (COO). Elle succède à Daniel Pinto, qui prendra sa retraite à la fin de 2026, après plus de 40 ans de services au sein de la banque américaine. Daniel Pinto cèdera graduellement ses responsabilités au sein de la firme avant de quitter ses fonctions le 30 juin prochain.

Jennifer Piepszak, dont la nomination prend effet immédiatement, était jusqu’ici co-directrice générale de la branche de banque commerciale et d’investissement (CIB) de JPMorgan. Dans ses nouvelles fonctions, elle sera responsable des activités ayant trait à la technologie, aux opérations, aux questions administratives, à la stratégie d’entreprise, à la diversité, à l’égalité et à l’inclusion (DEI).

Gestionnaire depuis près de 30 ans chez JPMorgan, Jennifer Piepszak a gravi les échelons et a notamment occupé les postes de directrice financière de 2019 à 2021 et de directeur financier pour la banque hypothécaire ainsi que pour le portefeuille de crédit de la banque d’investissement. Elle a également été contrôleur de gestion pour Global Equities and Prime Services. Elle sera remplacée à la codirection de CIB par Doug Petno, actuellement codirecteur de la branche Banque mondiale.

Cette nomination survient alors que la succession de Jamie Dimon, qui occupe le poste de PDG de JPMorgan depuis près de deux décennies, est ouverte. Jennifer Piepszak a été considérée comme l’une des principales candidates pour lui succéder. Cependant, elle a déclaré qu’elle ne souhaitait pas briguer les fonctions de PDG pour le moment, selon des propos rapportés par Bloomberg.

Daniel Pinto a quant à lui débuté sa carrière en 1983 au sein d’une des entités précédentes de JPMorgan. Il a gravi les échelons en tant que négociateur de devises à Buenos Aires, puis a dirigé des bureaux émergents de la firme, notamment au Brésil et en Russie. En 2014, il a été nommé responsable de la division banque d’investissement, et, en 2017, président et COO de la firme.

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Climat et finance : des banques américaines abandonnent l’alliance Net-Zero https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/climat-et-finance-des-banques-americaines-abandonnent-lalliance-net-zero/ Tue, 21 Jan 2025 12:58:09 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104933 Les institutions canadiennes suivent leur exemple.

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Un mouvement agite le secteur financier : les principales institutions financières américaines quittent tour à tour la Net-Zero Banking Alliance (NZBA), un regroupement international créé en 2021 lors de la COP26 à Glasgow. Morgan Stanley et BlackRock sont les dernières en date à annoncer leur départ, rejoignant ainsi Bank of America, Goldman Sachs, Citigroup, JP Morgan Chase et Wells Fargo qui ont déjà quitté l’alliance ces dernières semaines, rapporte bfmtv.com.

Cette vague de défections affaiblit considérablement la NZBA, qui rassemblait initialement plus de 140 banques issues d’une quarantaine de pays. L’alliance avait pour objectif d’atteindre zéro émission nette de gaz à effet de serre dans les activités de prêts, d’investissements et de marchés de capitaux d’ici 2050.

L’ESG, un terrain de bataille devenu politique
Ces départs s’expliquent principalement par un contexte politique tendu aux États-Unis, où l’ESG (environnement, social et gouvernance) est devenu un sujet de polarisation. Tandis que les progressistes soutiennent ces mesures, les conservateurs dénoncent un « capitalisme woke », relate un article de Zone Bourse. Les républicains accusent les banques de restreindre le financement des énergies fossiles, créant ainsi une distorsion de la concurrence. Certains États, notamment le Texas, menacent même d’entamer des poursuites judiciaires.

Dans ce climat de tensions, les banques américaines tentent de maintenir leur engagement environnemental tout en se distanciant de l’alliance. Morgan Stanley, par exemple, affirme vouloir « contribuer à la décarbonisation de l’économie réelle » et maintenir ses objectifs de réduction d’émissions pour 2030, mais en dehors du cadre de la NZBA.

Cette tendance dépasse le secteur bancaire : l’Alliance de Glasgow, regroupant les assureurs, a perdu deux tiers de ses membres récemment. Les gestionnaires d’actifs comme Vanguard réduisent également leur soutien aux résolutions ESG, illustrant un mouvement plus large de recul face aux pressions politiques.

À l’inverse, les principales banques françaises, dont BNP Paribas, Crédit Agricole SA, et Société Générale, maintiennent leur engagement au sein de la NZBA, marquant une différence d’approche significative entre les deux côtés de l’Atlantique.

Des banques canadiennes suivent le pas

Récemment, la Banque de Montréal (BMO), la Banque Toronto-Dominion (TD), la Banque canadienne impériale de commerce (CIBC) et la Banque Nationale (BNC) ont aussi annoncé leur retrait.

Leurs dirigeants avancent des arguments similaires à ceux de leurs homologues américains : l’alliance, bien qu’ambitieuse, n’est peut-être pas le meilleur mécanisme pour atteindre les objectifs climatiques. La BMO a affirmé son intention de poursuivre une stratégie indépendante, soulignant qu’elle possède les capacités nécessaires pour atteindre ses objectifs sans l’appui de la NZBA. La Banque Nationale, quant à elle, justifie sa décision par une volonté de rationaliser ses processus de reporting tout en continuant de collaborer avec des entreprises de tous secteurs, y compris celles fortement émettrices de gaz à effet de serre.

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Les tarifs de Trump repoussé au 1er février https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-tarifs-de-trump-repousse-au-1er-fevrier/ Tue, 21 Jan 2025 12:50:50 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105058 Ottawa n’y voit « rien de nouveau »

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Le président américain Donald Trump a signalé, lundi, qu’il pourrait toujours mettre à exécution sa menace d’imposer des tarifs de 25 % sur les importations canadiennes et qu’il pense le faire dès février, ce à quoi Ottawa répond que son plan reste le même et qu’il « n’y a rien de nouveau ».

« C’est exactement ce qu’il avait dit il y a déjà plusieurs semaines », a plaidé, en soirée, le ministre fédéral des Finances, Dominic LeBlanc, qui préside le comité du cabinet sur les relations canado-américaines.

Il a fait valoir que le gouvernement était déjà « prêt à toute éventualité » et continue de l’être, notant au passage le caractère imprévisible de Donald Trump. Accompagné de la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly, pour faire une déclaration devant les médias sans répondre à aucune de leurs questions, il a évoqué le plan de riposte sur lequel travaille l’équipe du premier ministre sortant, Justin Trudeau.

Or, Dominic LeBlanc a voulu se montrer toujours optimiste, quoique prudent, que Washington change d’avis.

« Nous croyons que l’industrie américaine, que les représentants (et) les gouverneurs vont comprendre que ça va augmenter le coût de la vie aux États-Unis, ça va rendre les chaînes d’approvisionnement plus compliquées, a-t-il dit. Ce sont les arguments que nous allons continuer de faire. »

En après-midi, les ministres tout juste arrivés à Montebello, en Outaouais, semblaient pousser quelques soupirs de soulagement, tout en restant sur leurs gardes. Des médias américains rapportaient, dès le matin, qu’aucune entrée en vigueur de tarifs n’était prévue au jour un de l’assermentation de Donald Trump.

« Sursis, c’est un gros mot », avait répondu le ministre des Finances, en mêlée de presse, dans la foulée d’une retraite du conseil des ministres, à un journaliste qui suggérait que Washington accordait une période de grâce à Ottawa.

En début de soirée, Donald Trump indiquait dans le Bureau ovale qu’il comptait aller de l’avant avec la surtaxe et qu’il avait en tête une entrée en vigueur en date du 1er février.

Certains joueurs du gouvernement canadien — le ministre de l’Innovation, François-Philippe Champagne, et celle du Commerce international, Mary Ng — étaient, le jour même, à Washington.

« Pour le moment, les plans de l’administration ne sont pas tout à fait connus », avait dit Dominic LeBlanc.

Ainsi, le « plan » d’Ottawa « est le même », avait renchéri la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly.

« On doit prévenir les tarifs. On a fait le travail, justement, pour prévenir les tarifs avec une série d’interlocuteurs. On va continuer à le faire », avait-elle dit.

Son message était pratiquement le même, en soirée. « Le plan est en trois étapes : première étape, prévenir les tarifs ; deuxième étape, préparer notre réponse — c’est pour ça qu’on est ici, avec les collègues, à préparer notre réponse avec le premier ministre — ; et troisième étape, préparer la réponse à long terme pour le pays. »

Depuis des semaines, les représentants du gouvernement canadien martèlent sur toutes les tribunes que des tarifs douaniers américains sur les produits canadiens auraient des impacts négatifs des deux côtés de la frontière.

Donald Trump, durant son discours d’assermentation, n’a pas mentionné le Canada. Peu de temps avant, le « New York Times » et le « Wall Street Journal » faisaient savoir que, dans l’immédiat, le président n’imposerait pas de tarifs douaniers et signerait plutôt lundi un décret pour une enquête sur de prétendues pratiques commerciales et monétaires déloyales du Canada, du Mexique et de la Chine.

« S’ils décident d’étudier la relation économique avec le Canada, ben tant mieux. Nous pensons que nous avons une histoire positive à raconter », s’est réjoui le ministre LeBlanc.

Le Canada maintient qu’il est prêt à répondre par des contre-mesures si Donald Trump met ses menaces à exécution. Ottawa injecte également 1,3 milliard de dollars (G$) de nouvelles ressources pour la sécurité aux frontières, dans l’espoir de convaincre Donald Trump de ne pas imposer de tarifs. Sur ce front, le ministre de la Sécurité publique, David McGuinty, a affirmé que le niveau de collaboration entre autorités canadiennes et américaines est très fort.

Quant au plan de riposte envisagé par le Canada, deux sources gouvernementales qui n’étaient pas autorisées à parler publiquement de ces questions ont indiqué à La Presse Canadienne que si Donald Trump fixait les tarifs à 25 %, la première salve du Canada serait des contre-tarifs d’une valeur d’environ 37 G$. Une possible deuxième vague de tarifs douaniers d’une valeur supplémentaire de 110 G$ serait aussi sur la table.

Le scénario envisagé inclut des milliards de dollars ciblant des secteurs clés de l’économie américaine comme les produits de la céramique, du plastique et de l’acier.

Le premier ministre Justin Trudeau doit tenir un point de presse mardi, au deuxième et dernier jour de la retraite de son conseil des ministres. Ce dernier a déclaré à maintes reprises que tout devait être sur la table, y compris l’énergie.

Le premier ministre du Québec, François Legault, a réagi dans la foulée de l’annonce du président américain.

Il a déclaré sur son compte Facebook que la priorité « demeure d’éviter ces tarifs ».

« Le Québec collabore avec le fédéral sur la mise en place d’un plan de représailles costaud, a déclaré François Legault. Nous serons également présents pour soutenir nos entreprises. Je continuerai de protéger les intérêts du Québec. »

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Fidelity réduit les frais de gestion d’un FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fidelity-reduit-les-frais-de-gestion-dun-fnb/ Mon, 20 Jan 2025 12:05:45 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104980 PRODUITS – Soit ceux du FNB Fidelity Avantage Bitcoin (FBTC-T).

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Fidelity Investments Canada réduit les frais de gestion du FNB Fidelity Avantage Bitcoin (FBTC-T) de 0,39 % à 0,32 %, ce qui se traduit par un ratio de frais de gestion (RFG) prospectif réduit.

Cette réduction est effective depuis le 13 janvier et se répercutera également sur le Fonds Fidelity FNB Avantage Bitcoin, puisque celui-ci investit directement dans le fonds négocié en Bourse (FNB).

Depuis qu’elle s’est lancée sur le marché des FNB en septembre 2018, Fidelity a vu la valeur de ses actifs gérés dans ces fonds atteindre 11,7 milliards de dollars (G$), dont 4,6 G$ dans les FNB Fidelity Simplifiés et 3,2 G$ dans la gamme des FNB Fidelity à gestion active (au 7 janvier 2025).

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Un trader quantitatif accusé d’avoir volé du code https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/un-trader-quantitatif-accuse-davoir-vole-du-code/ Mon, 20 Jan 2025 12:05:39 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104965 Les autorités américaines allèguent que des secrets commerciaux ont été volés pour aider à la création d’une entreprise rivale.

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Un trader américain a été inculpé pour avoir prétendument volé à son ancien employeur des secrets commerciaux, à savoir le code source des systèmes d’une société de trading quantitatif.

Dans un acte d’accusation publié à New York, Cheuk Fung Richard Ho a été inculpé d’un chef de vol et d’un chef de tentative de vol de secrets commerciaux, à savoir le code mis au point par son ancien employeur, une société internationale de trading quantitatif dont le nom n’a pas été révélé.

Selon l’acte d’accusation, en 2021, Cheuk Fung Richard Ho a secrètement créé sa propre société de trading quantitatif, exploitant son accès au code source de son employeur — qui aurait coûté plus d’un milliard de dollars américains et dont le développement aurait pris des années — pour construire les systèmes de courtage de sa propre société.

« En volant ces secrets commerciaux, Cheuk Fung Richard Ho a été en mesure de lancer rapidement [sa société] et de commencer à négocier avec succès », selon l’accusation.

Cheuk Fung Richard Ho aurait également cherché à dissimuler le vol en détruisant des preuves.

« Il a demandé à ses employés d’effacer leurs communications internes et de supprimer l’historique du code source de [son entreprise]. »

« Comme il est allégué, Cheuk Fung Richard Ho a abusé de la confiance que son ancien employeur avait placée en lui et a volé des secrets commerciaux pour les utiliser dans sa propre société de trading quantitatif », rapporte Edward Kim, le procureur intérimaire du district sud de New York, dans un communiqué.

Les allégations n’ont pas été prouvées et il est présumé innocent.

Cheuk Fung Richard Ho a été arrêté à Los Angeles afin de comparaître devant un juge du tribunal de district de Californie.

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