Addenda Capital lance deux fonds communs ayant pour but de soutenir les entreprises canadiennes et internationales qui travaillent à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre (GES).
Le Fonds commun Addenda de transition climatique – actions canadiennes et le Fonds commun Addenda de transition climatique – actions internationales répondent aux besoins des investisseurs institutionnels ainsi que des clients à valeur nette élevée.
« Ces fonds sont le fruit d’une réflexion approfondie au sein de nos équipes, qui ont travaillé sans relâche pour définir le rôle concret que doit jouer le secteur financier dans la transition, explique Roger Beauchemin,Président et chef de la direction d’Addenda Capital. Notre approche se veut plus constructive que le désinvestissement. Elle a pour but d’accompagner et d’encourager les entreprises dans leurs efforts de réduction de GES, cette transition nécessaire étant appelée à transformer l’économie canadienne et la société dans son ensemble pour les générations à venir. »
Ces fonds investissent ainsi dans des titres d’entreprises à capital ouvert qui s’engagent dans la transition. Les gestionnaires du fonds maintiendront un dialogue avec ces dernières pour les soutenir dans leurs efforts.
Il ne s’agit pas d’un premier geste en faveur de l’investissement responsable pour Addenda. La firme intègre depuis quelques années déjà les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) à ses processus de placement. Elle est également signataire des Principes pour l’investissement responsable (PRI), lancés par les Nations Unies, de l’Engagement de Montréal sur le carbone et de la Déclaration des investisseurs canadiens sur la diversité et l’inclusion.
« À nos yeux, la création de valeur à long terme pour nos clients passe inévitablement par l’investissement durable », affirme Roger Beauchemin.
Ces deux nouveaux produits sont lancés au moment où le gouvernement du Canada annonce de nouvelles cibles de réduction de GES. Le pays vise ainsi une diminution de 40-45 % d’ici 2030 des émissions de GES par rapport aux niveaux de 2005. Rappelons que l’objectif de l’Accord de Paris est une baisse de 30 % dans la même période.