Cette variation est essentiellement attribuable à une hausse de 102 M$ de la juste valeur de billets restructurés dans les résultats de l’an dernier.

En excluant les éléments non récurrents, la sixième plus grande banque du Canada a engrangé un bénéfice de 375 M$, en hausse de sept pour cent par rapport à celui de 352 M$ l’an dernier.

L’institution financière a par ailleurs annoncé mardi la hausse du dividende sur ses actions ordinaires de 0,46 $ à 0,48 $ pour le trimestre se terminant le 31 juillet 2014.

Les opérations bancaires pour les clients particuliers et commerciaux ont permis de générer un bénéfice net de 162 M$, une augmentation de 6 % par rapport à la même période l’an dernier.

En excluant les éléments exceptionnels, le bénéfice net a grimpé de 40 % dans la division de gestion de patrimoine pour atteindre 77 M$.

Les profits tirés des activités sur les marchés financiers ont pour leur part enregistré une diminution de neuf pour cent comparativement à 2013, atteignant cette fois 128 M$, toujours en excluant les éléments exceptionnels.

Le revenu total a chuté de huit pour cent, passant de 1,383 G$ au deuxième trimestre de 2013 à 1,276 G$ pour celui qui vient de se terminer en raison de la chute des revenus du côté de la division des marchés financiers.

Les analystes sondés par Thomson Reuters s’attendaient à ce que la Banque Nationale affiche un bénéfice par action de 1,04 $ et des revenus de 1,34 G$ pour ce deuxième trimestre.

Ces résultats ont été rendus publics après la clôture des marchés boursiers.