La valeur totale du CoinField Coin (CFC) est fixée à un milliard de coins. L’offre initiale d’échange (IEO) commencera le 7 décembre, avec une quantité initiale pouvant atteindre 300 millions de CFC. L’offre initiale sera de 1 $ par unité.
Cette monnaie virtuelle est offerte par la plateforme d’échange de cryptomonnaies Coinfield, dont le siège social est situé à Talinn, en Estonie. La société est présente dans 186 pays, notamment au Nigeria, en Afrique, grâce à un partenariat stratégique avec Tingo Mobile, filiale de Tingo, basée aux États-Unis et cotée en bourse sous IWBB sur OTC Markets.
Les CFC ainsi émis feront partie de la plateforme technologique agrofinancière de Nwassa, utilisée par quelque dix millions de clients de Tingo, et les plateformes commerciales agricoles et alimentaires connexes. Les transactions susceptibles de profiter au CFC dans cet environnement totalisent plus de 20 milliards de dollars (G$) par an.
La cryptomonnaie jouera un rôle central dans cet écosystème, selon ses promoteurs, les coins provenant de plateformes d’échange crypto centralisées offrant un accès moins coûteux à la négociation de crypto, de fiat, et à d’autres biens et services.
Dix pour cent du milliard de CoinField (100 millions de coins) seront reversés à des organismes de bienfaisance, en particulier ceux qui soutiennent les agriculteurs, et à la création d’innovations pour cultiver des aliments et améliorer la qualité nutritionnelle des aliments.
Le 10 novembre, CoinField a traité 61 millions de dollars (M$) de transactions et prévoit environ 17 G$ de transactions pour l’année 2021. L’objectif des promoteurs est de multiplier le volume de négociation par 10 en 2022 par rapport à 2021.
CoinField projette d’émettre des CFC sur différentes blockchains pour permettre l’interopérabilité de son écosystème avec les principaux écosystèmes cryptographiques. L’équipe de développement de CoinField prévoit de créer sa propre blockchain CFC, qui sera composée de DEX et de DeFis.
« Le CoinField Coin ne va pas seulement permettre de réduire le coût des transactions dans 186 pays, mais elle va également améliorer et préserver le pouvoir d’achat des acheteurs et des vendeurs de produits alimentaires en Afrique, a affirmé Alex Lightman, auteur du livre blanc Coinfield. Si les gens achètent le CFC et que celui-ci augmente, cela permettra d’en utiliser davantage pour des dons à des oeuvres de bienfaisance, pour l’écologisation du désert et pour innover l’agriculture du 21e siècle. »
Coinfield est supervisée par la Financial Intelligence Unit (FIU) sous les numéros de licence FVT000111.