ARASQ – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 18 Dec 2024 12:45:53 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png ARASQ – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Nomination stratégique chez BeeQuest https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nomination-strategique-chez-beequest/ Wed, 18 Dec 2024 12:45:53 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104610 NOUVELLES DU MONDE — Pour renforcer l’expérience client.

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La firme de gestion d’actifs spécialisée en investissement responsable BeeQuest a annoncé l’arrivée de Nadine Tabet au poste de vice-présidente, Expérience client et Solutions institutionnelles. Ce recrutement s’inscrit dans une stratégie de croissance appuyée récemment par une deuxième allocation du Programme des gestionnaires en émergence du Québec (PGEQ), d’un montant de 50 millions de dollars.

Actuaire expérimentée, Nadine Tabet quitte AON, où elle occupait depuis avril 2022 le poste d’associée au sein de l’équipe des services-conseils en régimes de retraite. Forte de plus de 18 années d’expérience dans l’industrie, elle s’est spécialisée dans les régimes de retraite, notamment dans le secteur public.

Une grande partie de sa carrière s’est déroulée chez Solutions Mieux-être LifeWorks (anciennement Morneau Shepell), où elle occupait le poste d’associée adjointe, Solutions de retraite et financières, avant que l’entreprise soit acquise par Telus.

Outre son parcours professionnel, Nadine Tabet s’est investie dans l’enseignement universitaire. Elle a donné plusieurs cours en conception et évaluation des régimes de retraite dans le cadre du programme d’actuariat de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), où elle a obtenu un baccalauréat en actuariat en 2004.

Elle siège également au conseil d’administration de l’Association de la retraite et des avantages sociaux du Québec (ARASQ) et détient les titres de Fellow de la Society of Actuaries (FSA) et de l’Institut canadien des actuaires (FICA).

« Profondément engagée à assurer la satisfaction de ses clients, Nadine s’est toujours consacrée à trouver des solutions innovantes pour aider ses clients à atteindre leurs objectifs », a souligné BeeQuest dans un message publié sur LinkedIn.

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Leaders de l’investissement ESG https://www.finance-investissement.com/edition-papier/top-des-leaders-de-lindustrie-financiere/leaders-de-linvestissement-esg/ Tue, 13 Feb 2024 23:38:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98809 Leur firme a connu une poussée de croissance.

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Expert du domaine de l’investissement responsable (IR), ­AlphaFixe ­Capital vient de connaître une forte croissance. Au 30 juin 2023, la société de gestion de placements spécialisée en revenu fixe gérait un actif de 13 milliards de dollars (G$) répartis en 84 mandats, par rapport à 7,1 G$ répartis en 83 mandats un an plus tôt. L’actif géré a crû à un rythme annuel composé de 29 % de janvier 2020 à juin 2023.

Ce progrès découle non seulement du bon rendement de ses portefeuilles et fonds, mais aussi de son inclinaison vers l’IR.

Fondée en 2008, ­AlphaFixe inclut l’analyse des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) depuis 2009 dans toutes ses solutions d’investissement, qui sont également « zéro combustible fossile ». Ses stratégies liées aux enjeux climatiques, qui sont les premières du genre au ­Canada, comptent près de 2,4 G$ en actifs sous gestion, incluant 800 M$ dans le fonds d’obligations vertes, lancé en 2017. AlphaFixe a remporté la catégorie Revenu fixe du ­Grand ­Championnat canadien ­ESG en novembre 2022.

« ­Les obligations vertes, pour quelqu’un qui n’a pas encore commencé à investir dans l’économie du futur, une économie avec moins de carbone, c’est la transaction la plus facile à faire », affirme ­Stéphane Corriveau, président et directeur principal d’AlphaFixe.

Ses critères et son rendement sont les mêmes que ceux des fonds d’AlphaFixe, « mais on vient diminuer l’empreinte carbone de 80 % dans les portefeuilles par rapport à l’indice de référence, ­explique-t-il. Donc, pour ceux qui étaient un peu moins verts et un peu plus taux, on le montre depuis 2017 : quand on investit dans des obligations vertes, on ne laisse pas de rendements sur la table ».

AlphaFixe gère le plus gros fonds négocié en ­Bourse ­ESG en investissement durable de revenu fixe au ­Canada, comptant plus d’un milliard d’actifs sous gestion.

La firme de ­Montréal est aussi le plus important gestionnaire institutionnel canadien de prêts bancaires, avec près de 1,5 G$ d’actifs sous gestion dans cette stratégie. Le fonds commun AlphaFixe – RendementPlus a généré près de 112 points de base (pb) de plus que l’indice ­FTSE Univers par année jusqu’ici, en date du 30 septembre 2023. Cela classe ce fonds parmi les stratégies « ­Core ­Plus » les plus performantes au ­Canada, avec une valeur ajoutée de plus de 120 pb annualisée depuis 2015, mentionne Stéphane Corriveau.

Quant à la solution composite univers d’AlphaFixe, elle a une valeur ajoutée annualisée de 89 pb sur l’indice ­FTSE Univers depuis sa création en 2008.

Le gestionnaire poursuit aussi le développement de nouvelles solutions. AlphaFixe a ainsi lancé un fonds de crédit de court terme ainsi qu’un fonds de crédit alternatif en 2023.

Sur le plan du développement des affaires, les solutions de placement d’AlphaFixe sont maintenant accessibles par l’intermédiaire de Fundserv et Banque Nationale Investissements par l’entremise de véhicules uniques qui cumulent plus de 2,3 G$. La firme a également fourni des efforts pour assurer une présence plus grande auprès des courtiers au détail ainsi que des firmes de gestion de patrimoine multifamilial. Elle rejoint ainsi de nouvelles clientèles, alors qu’elle s’adressait surtout aux investisseurs institutionnels depuis ses débuts.

Le jury du ­Top des leaders a été séduit par les innovations qui jalonnent le parcours d’AlphaFixe ainsi que par ses résultats et sa croissance. C’est pourquoi il a nommé Stéphane Corriveau, son cofondateur, lauréat de la catégorie ­Sociétés de gestion indépendante pour 2023. Il avait remporté le même titre en 2018.

« ­Stéphane Corriveau est un dirigeant exceptionnel, dont la firme connaît une croissance remarquable des actifs et une bonne performance des fonds qu’elle gère. Ses solutions d’investissement, qui incluent le suivi des facteurs ­ESG depuis 2009, ainsi que son engagement envers la communauté au sein du Programme des gestionnaires en émergence du Québec (PGEQ) et de l’Association de la retraite et des avantages sociaux du Québec (ARASQ), sont dignes de mention. Bravo ! » mentionne le jury.

Comment expliquer le parcours d’AlphaFixe ? « ­On maîtrisait notre métier. Ça faisait déjà de 10 à 15 ans qu’on le pratiquait. On avait eu beaucoup de succès et on était confiants », répond Sébastien Rhéaume, directeur principal et cofondateur d’AlphaFixe avec Stéphane Corriveau et un autre partenaire qui a quitté l’entreprise depuis.

Sébastien ­Rhéaume convient néanmoins que souvent, cela ne suffit pas pour assurer l’essor d’un gestionnaire. Les gestionnaires sont bons dans leur métier, ils sont devant leurs écrans et font leurs affaires, mais trop souvent, ils n’investissent pas d’efforts pour ouvrir des portes, analyse-t-il.

« ­AlphaFixe, ce n’est pas un one man show. Nous avons développé une équipe robuste – qui est passée de cinq au départ à 22 personnes aujourd’hui – et nous avons pu compter sur ­Stéphane [Corriveau], qui est également gestionnaire et comprend très bien le métier, pour aller cogner aux portes en ayant justement la capacité de bien présenter les choses et de développer des relations de confiance », affirme Sébastien ­Rhéaume.

Dans les dernières années, le gestionnaire a remporté des mandats de 500 M$, de 1 G$ et même de 2 G$, confirme Stéphane Corriveau. Il en est heureux, mais il se dit reconnaissant envers les premiers clients qui leur ont fait confiance, malgré l’absence d’historique de rendements.

Outre la stabilité et la qualité de l’équipe, Stéphane Corriveau ajoute que l’un des avantages d’AlphaFixe est de ne sêtre jamais « laissé distraire ».

« Ça fait 15 ans qu’on fait juste du revenu fixe. On est resté fidèles à ce qu’on faisait au départ, on est bons ­là-dedans et on est disciplinés. Cette concentration nous a permis d’innover », ­juge-t-il.

AlphaFixe investit depuis 15 ans dans l’investissement responsable, et aujourd’hui, il s’agit d’un segment en demande. « ­Les gens cherchent des solutions d’impact et il n’y en a pas encore tellement de disponibles en revenu fixe, parce qu’il n’y a pas beaucoup d’autres joueurs dans ce créneau », constate Sébastien Rhéaume.

Malgré cela, il faut continuer d’innover, ­estime-t-il. « ­Nos obligations vertes reposent sur un modèle qui encourage le bon comportement », en récompensant par exemple une entreprise qui investit dans un projet qui va réduire l’empreinte carbone. Toutefois, la structure du produit fait qu’il ne peut pas investir dans une société du secteur pétrolier.

Or, pour décarboniser l’économie, il faut également encourager ces dernières à réduire leur empreinte environnementale et non seulement augmenter le coût en capital des entreprises polluantes. C’est pourquoi AlphaFixe développe actuellement une solution de transition, confirme ­Stéphane Corriveau. « ­Le chef des finances de ­Suncor, quand on frappe à sa porte et qu’on dit : J’ai 100 M$ ou 200 M$ de capital qui est disponible, je vais te le prêter, mais je veux comprendre comment tu décarbonises, on vient d’ouvrir une porte qui était fermée avant », ­dit-il en confirmant que des discussions avec des émetteurs albertains ont été amorcées à cet égard.

Par ailleurs, ­Sébastien ­Rhéaume et Stéphane ­Corriveau ont contribué à l’idéation du PGEQ, qui a vu le jour en 2016 grâce aux travaux menés par le Chantier Entrepreneuriat de ­Finance Montréal ainsi qu’à la collaboration de nombreux acteurs de l’industrie, sous la gouverne de ­Vital ­Proulx, alors président d’Hexavest, et de ­Stéphane Corriveau.

L’actif sous gestion pour le ­PGEQ atteint maintenant plus de 450 M$ répartis entre 14 gestionnaires émergents (dont quatre nouveaux en 2022).

« ­Je suis très fier de ça parce qu’on a mis beaucoup de temps ­là-dedans pour se créer des concurrents pour que la place financière de ­Montréal et du Québec soit plus grande et plus prospère », ­estime-t-il. 

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Chine : les occasions sont nombreuses https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/chine-les-occasions-sont-nombreuses/ Wed, 18 Sep 2019 14:37:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=60991 Alors que la Chine peut sembler un marché difficile à comprendre, les occasions sont nombreuses pour les régimes de retraite qui consacrent les efforts pour y investir, lance Mark Kruger, consultant en économie et finance et ancien directeur à la Banque du Canada.

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Avant sa présentation lors de la conférence annuelle de l’ARASQ qui se tient cette semaine (18 et 19 septembre) à Québec, Avantages a discuté avec M. Kruger, qui est actuellement basé à Shanghaï.

« La croissance du marché, même selon les hypothèses conservatrices, va être énorme, explique-t-il. Il y a un potentiel immense de rattraper les pays développés, si on adopte de bonnes politiques et que la guerre commerciale [avec les États-Unis] s’avère temporaire. »

Mark Kruger note que les Chinois aiment référer à leur pays comme un champion des pays en voie de développement, mais qu’il s’agit dans les faits d’un pays à revenu moyen plutôt riche. Un col blanc à Shanghaï peut ainsi avoir un revenu d’environ 60 000 $.

Déboulonner les mythes

Alors que la guerre commerciale constitue l’un des principaux défis à l’heure actuelle, M. Kruger observe que…

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Les caisses de retraite sont-elles prêtes pour la prochaine crise? https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/les-caisses-de-retraite-sont-elles-pretes-pour-la-prochaine-crise/ Thu, 20 Sep 2018 12:28:03 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=51187 Il y a 10 ans presque jour pour jour, la banque d’investissement Lehman Brothers déclarait faillite, entraînant dans sa chute les marchés financiers mondiaux. Pour bien des régimes de retraite canadiens, mal préparés à encaisser un tel choc, les conséquences ont été catastrophiques. Grâce aux leçons apprises en 2008, sauront-ils traverser la prochaine crise financière avec plus de résilience?

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Pour Bernard Morency, professeur associé à HEC Montréal et ancien premier vice-président à la Caisse de dépôt et placement du Québec, rien n’est moins sûr. Les régimes de retraite ont certes mis en place différentes mesures pour améliorer leur gouvernance, mais leur exposition au risque demeure très élevée, a-t-il soutenu, la semaine dernière, lors de la conférence annuelle de l’Association de la retraite et des avantages sociaux du Québec (ARASQ), à La Malbaie.

Meilleure gouvernance, plus de risque

Les plus optimistes souligneront le fait que depuis la crise, les promoteurs ont épuré leurs portefeuilles en s’éloignant des produits d’investissement reposant sur l’ingénierie financière et en utilisant les produits dérivés de manière plus ciblée. Les risques de crédit et de liquidité font également l’objet d’un meilleur suivi, tandis que la révision de la législation au Québec, notamment la loi 29 et sa provision de stabilisation, laissent croire que les régimes de retraite seront un peu mieux protégés quand arrivera le prochain choc boursier.

N’empêche, Bernard Morency ne cache pas son inquiétude. « Les régimes de retraite demeurent beaucoup moins réglementés que les banques et les compagnies d’assurance. En matière de gestion des risques, c’est presque le jour et la nuit », fait-il remarquer.

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