Banque Scotia – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 17 Apr 2025 09:50:51 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Banque Scotia – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Découvrez les résultats de l’élection des administrateurs de la Banque Scotia https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/decouvrez-les-resultats-de-lelection-des-administrateurs-de-la-banque-scotia/ Thu, 17 Apr 2025 09:50:51 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106708 NOUVELLES DU MONDE – Ces derniers ont obtenu plus de 90 % des votes.

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Les candidats inscrits dans la circulaire de sollicitation des procurations datée du 5 février 2025 de la Banque Scotia ont été élus administrateurs de l’institution le 8 avril dernier.

Ainsi, 12 candidats ont été élus comme administrateur de la Banque, soit :

  • Nora A. Aufreiter, Nora Aufreiter est administratrice de sociétés et elle était auparavant associée principale de McKinsey & Company — Membre du comité du capital humain et de la rémunération (Présidente) et du comité d’évaluation des risques
  • Guillermo E. Babatz, associé directeur d’Atik Capital, S. C., société de services‑conseils — Membre du comité d’évaluation des risques (Président) et du comité du capital humain et de la rémunération
  • Daniel (Don) H. Callahan, administrateur de sociétés et est président du conseil non dirigeant de Time USA LLC — Membre du comité d’évaluation des risques et comité de la technologie
  • Dave Dowrich, vice‑président à la direction et chef des affaires financières de la Teachers Insurance and Annuity Association of America (TIAA) — Membre du comité d’audit et de révision (expert financier désigné) et du comité d’évaluation des risques
  • Michael B. Medline, président et chef de la direction de Sobeys et d’Empire Company Limited — Membre du comité d’audit et de révision et du comité de gouvernance
  • Lynn K. Patterson, administratrice de sociétés et a été sous‑gouverneure de la Banque du Canada — Membre du comité du capital humain et de la rémunération et du comité d’évaluation des risques
  • Una M. Power, administratrice de sociétés et a été auparavant chef des finances de Nexen Energy ULC — Membre du comité d’évaluation des risques et du comité du capital humain et de la rémunération
  • Aaron W. Regent, préside le conseil de la Banque Scotia. Il est le fondateur, président du conseil et chef de la direction de Magris Performance Materials — Membre du comité d’audit et de révision (expert financier désigné), du comité de gouvernance, du comité d’évaluation des risques, du comité du capital humain et de la rémunération et comité de la technologie
  • Sandra J. Stuart, ancienne présidente et chef de la direction de la Banque HSBC Canada — Membre du comité d’évaluation des risques et comité de la technologie
  • Scott Thomson, en charge les fonctions de président de la Banque Scotia le 1erdécembre 2022 et est devenu président et chef de la direction de la banque le 1er février 2023
  • Steven C. Van Wyk, chef de groupe, Information sortant de HSBC Bank PLC — Membre du comité d’audit et de révision (expert financier désigné) et comité de la technologie (président)
  • Benita M. Warmbold, administratrice de sociétés et a été directrice générale principale et chef des finances de l’Office d’investissement du Régime de pensions du Canada (RPC) — Membre du comité d’audit et de révision (Présidente et expert financier désigné) et du comité de gouvernance

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Google veut être l’allié de la finance pour accélérer l’IA https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/google-veut-etre-lallie-de-la-finance-pour-accelerer-lia/ Mon, 14 Apr 2025 10:45:14 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106176 Des défis limitent l’adoption de cette technologie.

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Avec la numérisation qui s’accélère, les institutions financières doivent évoluer rapidement. Or, leur prudence excessive freine parfois l’innovation, observe Marc Boyer, responsable de l’infonuagique de Google Canada.

Dans la transition vers l’intelligence artificielle (IA), le nuage (cloud) ne se limite pas au stockage des données. Il devient l’ossature des nouvelles applications d’IA, selon l’expert. « L’adoption du nuage permet aux institutions financières de dépasser les limites des infrastructures traditionnelles. Elles peuvent tester et déployer des technologies beaucoup plus rapidement, avec une puissance de calcul inégalée », souligne le directeur de Google Cloud pour l’Est et l’Ouest du Canada.

Google accompagne plusieurs acteurs du secteur dans cette transformation, dont Desjardins, la Banque Scotia, Valeurs mobilières TD et iA Groupe financier, ainsi que des investisseurs institutionnels comme la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) et Investissements PSP.

IA de première génération : l’automatisation des interactions

L’implantation de l’IA en services financiers se fait en intégrant progressivement des solutions automatisées, d’abord basées sur des modèles simples, puis sur des technologies plus avancées.

Dans un premier temps, l’IA a été utilisée dans les services financiers pour automatiser les interactions de base avec la clientèle, rappelle Marc Boyer. Chez Desjardins, par exemple, cela s’est traduit par la mise en place d’agents conversationnels capables de répondre aux questions fréquentes des utilisateurs.

« Les appels entrants sont analysés et filtrés par un agent virtuel basé sur les technologies de Google. Le robot est en mesure de comprendre l’intention du client, de produire un résumé de la discussion et d’aiguiller la requête au bon service, avec le bon contexte. »

Ces solutions permettent de réduire le temps d’attente et d’améliorer l’expérience client en éliminant les transferts d’appels inutiles.

IA avancée : l’analyse des données en temps réel

Le perfectionnement des algorithmes a permis aux institutions financières de commencer à exploiter l’IA pour analyser les données en temps réel et soutenir leurs conseillers. iA Groupe financier, par exemple, utilise un robot (chatbot) interne basé sur l’IA pour assister les équipes de gestion de patrimoine.

« Ce robot répond aux questions des conseillers en temps réel sur une vaste gamme de produits financiers. Il leur permet d’accéder à une information à jour et de personnaliser leurs recommandations », signale le dirigeant.

Dans cet exemple, l’IA ne se contente plus d’interagir avec les clients : elle devient un outil d’aide à la décision pour les professionnels du secteur.

IA multimodale : la convergence des données et des formats

La prochaine avancée ?

Une IA capable de traiter simultanément texte, images et audio.

« Avec des outils comme Notebook LM, l’IA peut assembler et analyser divers contenus, puis en extraire des podcasts interactifs en quelques minutes », explique Marc Boyer.

Cette technologie pourrait transformer le travail des analystes financiers, leur permettant d’agréger instantanément des documents réglementaires, des rapports économiques et des notes internes pour obtenir une synthèse personnalisée.

Autre évolution majeure : l’informatique quantique. « Les avancées sont fulgurantes dans ce domaine. On parle d’applications concrètes non pas dans 10 ou 15 ans, mais d’ici 3 à 4 ans », précise-t-il.

Cette technologie qui réunit l’informatique, la physique et les mathématiques promet d’accélérer le traitement des données complexes grâce à des puces inspirées des réseaux de neurones, comme celles utilisées par ChatGPT et Gemini.

Une adoption encore prudente

Malgré les gains potentiels, l’adoption de l’IA reste prudente. Trop ? Une étude menée par le Conseil du patronat du Québec estime que l’IA pourrait générer jusqu’à 230 milliards d’économies annuelles et faire gagner 175 heures de travail par employé. Pourtant, son déploiement reste limité.

« Les entreprises avancent à petits pas. La confidentialité des données et les risques de fuite les préoccupent. Les régulations du secteur financier, bien que nécessaires, ralentissent aussi l’implantation de nouvelles technologies. Trouver l’équilibre entre sécurité et performance est délicat », souligne Marc Boyer.

L’un des enjeux majeurs pour les institutions financières consiste à garantir que les données utilisées par les systèmes d’IA restent internes aux entreprises et ne servent pas à entraîner des modèles externes. Un défi important à relever.

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Revenus en hausse pour BMO, Scotia et Desjardins https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/revenus-en-hausse-pour-bmo-scotia-et-desjardins/ Wed, 26 Feb 2025 14:41:44 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105904 Pour le premier trimestre 2025.

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Le bénéfice net de Groupe financier BMO a bondi au premier trimestre de 2025 par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Il est passé de 1,292 milliard de dollars (G$) à 2 138 G$. Le bénéfice net par action comptable a grimpé de 1,73 $ à 2,83 $.

Au cours de la même période, le bénéfice net ajusté a augmenté de 1 893 G$ à 2 289 G$. Le bénéfice net ajusté par action est passé de 2,56 $ à 3,04 $.

Quant au total des revenus, il a progressé de 1,6 G$ en un an, de 7 672 G$ à 9 266 G$.

La dotation à la provision pour pertes sur créances de Groupe financier BMO a augmenté d’un premier trimestre à l’autre de 627 millions de dollars (M$) à 1 011 G$.

Le rendement des capitaux propres s’est élevé au premier trimestre de 2025 à 7,2 %, comparativement à 0,6 % un an plus tôt.

Le chef de la direction de BMO Groupe financier, Darryl White, croit que la diversification géographique et commerciale a permis au groupe de bien se positionner pour faire face à la concurrence et croître dans un contexte opérationnel dynamique.

Au cours du premier trimestre, Groupe financier BMO a racheté 1,2 million d’actions ordinaires aux fins d’annulation aux termes d’une offre publique de rachat dans le cours normal des activités. Un dividende de 1,59 $ par action ordinaire a été déclaré pour le deuxième trimestre de 2025, en hausse de 0,08 $, ou de 5 %, par rapport à l’exercice précédent.

Du côté de BMO Gestion de patrimoine, le bénéfice net comptable a augmenté pour atteindre 369 M$, soit 129 M$ de plus par rapport à l’exercice précédent. Le bénéfice net ajusté a quant à lui progressé de 130 M$ pour se situer à 371 M$. Le bénéfice net comptable de la division Gestion d’actifs et de patrimoine a augmenté pour sa part de 52 % (99 M$) pour totaliser 286 M$, en raison du raffermissement des marchés mondiaux et la croissance des ventes nettes, précise le groupe.

La division Marchés des capitaux a enregistré un bénéfice net comptable de 587 M$, en hausse de 49 %, par rapport à l’exercice précédent. Le bénéfice net ajusté s’est fixé à 591 M$, en hausse de 183 M$. La croissance de ce secteur a cependant été tempérée par la hausse des charges et la dotation à la provision pour pertes sur créances plus élevée.

Le total des dotations à la provision pour pertes sur créances de BMO s’est chiffré à 1, 011 G$, comparativement 627 M$ à l’exercice précédent. La dotation liée aux prêts douteux a augmenté de 386 M$ en un an, s’établissant à 859 M$, poussée par les secteurs des services bancaires aux grandes entreprises et du crédit à la consommation non garanti.

Banque Scotia : des progrès malgré l’incertitude

Le bénéfice net de la Banque Scotia a diminué en un an au premier trimestre, de 2 199 G$
à 993 M$ en raison d’une perte de valeur de 1 355 M$ liée à la vente annoncée des activités bancaires de la Scotia en Colombie, au Costa Rica et au Panama. Le bénéfice par action dilué s’est établi à 0,66 $, comparativement à 1,68 $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Malgré cela, le bénéfice net ajusté de la banque est en hausse pour le premier trimestre. Il s’est établi à 2 362 G$ comparativement à 2 212 G$ au T1 2024. Le bénéfice par action dilué a augmenté de 1,69 à 1,76 $, tandis que le rendement des capitaux propres s’est établi à 11,8 %, comparativement à 11,9 % au premier trimestre 2024.

Le président et chef de la direction de la Banque Scotia, Scott Thomson, croit que, compte tenu de l’incertitude économique, la banque progresse vers la réalisation de ses objectifs financiers à court terme, notamment grâce à la diversification de ses activités et à l’approfondissement des relations avec les clients.

Le secteur Gestion de patrimoine mondiale a dégagé un bénéfice net ajusté de 416 M$, en augmentation de 22 % sur un an. Ce résultat est dû à la hausse des honoraires liés aux fonds communs de placement, des commissions de courtage et des revenus d’intérêts nets dans les activités de gestion de patrimoine au Canada et à l’international, précise la banque. Les actifs sous gestion ont progressé de 16 % pour s’élever à 396 G$.

Le réseau canadien de la Scotia a enregistré une baisse du bénéfice net ajusté de 6 %, ce qui le porte à 914 M$, grâce à l’augmentation de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances et des charges autres que d’intérêts. La division des services bancaires et marchés mondiaux est celle qui affiche la plus forte hausse du bénéfice net, soit 33 % au premier trimestre, à 517 M$.

La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances de la Scotia s’est chiffrée à 1 162 G$, soit une hausse de 200 M$ en un an. Le montant brut des prêts douteux a quant à lui augmenté pour s’établir à 7 064 G$ au 31 janvier 2025, par rapport à 6 739 G$ au trimestre précédent. Pour le réseau canadien de la banque, des prêts nouvellement classés comme douteux ont fait grimper ce montant de 87 M$ au premier trimestre pour atteindre 1 588 G$.

Desjardins met plus d’argent de côté pour les pertes de crédits

Le Mouvement Desjardins a augmenté ses excédents de plus de 1 G$ en 2024. Malgré une forte croissance, la coopérative met de côté plus d’argent pour d’éventuelles pertes dans un contexte économique incertain.

L’excédent avant ristourne, l’équivalent des profits pour une coopérative, atteint 3,4 G$ au cours de l’exercice 2024, selon les résultats dévoilés mardi en début d’après-midi. Il s’agit d’une augmentation de 32,7 %. La coopérative a souligné que les revenus d’intérêts et les revenus du secteur de l’assurance-dommages sont en croissance.

Desjardins met toutefois plus d’argent de côté en cas de pertes. La dotation pour pertes de crédit en 2024 atteint 597 M$, en hausse de 68 M$.

La coopérative avait déjà augmenté significativement sa dotation pour perte en 2023. Elle avait presque doublé pour atteindre 529 M$, tandis qu’on observait un ralentissement dans les secteurs les plus touchés par la baisse des dépenses discrétionnaires.

Le président et chef de la direction du Mouvement Desjardins, Guy Cormier, a souligné que la menace de tarifs brandie par l’administration Trump est une source d’incertitude pour ses membres et clients.

« Ce n’est pas la première fois que nous faisons face à une telle situation, et nous continuerons d’accompagner nos membres et clients, peu importe le contexte », assure-t-il dans un communiqué.

Guy Cormier doit tenir une conférence de presse plus tard en après-midi.

La coopérative a augmenté sa ristourne de 25 M$ pour atteindre 437 M$, toujours au cours de l’exercice 2024. En ajoutant les commandites, dons et bourses d’études, Desjardins a remis 557 M$ à la collectivité.

Avec la collaboration de La Presse Canadienne

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Une leader « passionnée des gens » arrive chez IG https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/une-leader-passionnee-des-gens-arrive-chez-ig/ Wed, 05 Feb 2025 12:03:17 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105203 NOUVELLES DU MONDE — Léa Saadé est nommée VP régionale Montréal — Rive Sud.

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IG gestion de patrimoine a recruté Léa Saadé pour occuper le poste de vice-présidente régionale pour son bureau de Montréal — Rive-Sud. Léa Saadé a occupé des postes clés dans différentes institutions financières, chez BMO, à la Banque Nationale et à la Banque Scotia, avant de faire le saut à la Financière des professionnels, en 2018, comme vice-présidente régionale, Montréal centre, Rive-Nord, Gestion privée, où elle était en poste jusqu’à récemment.

« Forte de plus de 20 ans d’expérience en gestion financière, Léa se distingue par son leadership stratégique et son approche axée sur les résultats. Son engagement auprès d’organisations telles que l’Institut de planification financière, témoigne de sa volonté de faire progresser la profession. Sa vision et son expertise feront d’elle un atout majeur pour notre équipe et nos clients », a indiqué IG dans un communiqué.

Léa Saadé, qui se décrit comme une « leader d’influence passionnée des gens » qui aime propulser au quotidien le talent autour d’elle, a été élue vice-présidente du conseil d’administration de l’Institut de planification financière en 2024, où elle siège depuis 2021. Récipiendaire du prix Coup de cœur du jury lors du dernier gala de l’Association des femmes en finance du Québec (AFFQ), elle est titulaire d’un MBA en commerce de l’ESG UQAM et diplômée en finance et entrepreneuriat de l’Université Mc Gill. Elle porte les titres de planificatrice financière (Pl. Fin.) et d’administratrice agréée (Adm.A.), et est Fellow du Canadian Securities Institute (CSI).

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La Banque Scotia poursuit ses investissements en Amérique du Nord https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/la-banque-scotia-poursuit-ses-investissements-en-amerique-du-nord/ Fri, 10 Jan 2025 11:57:50 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104819 Les autorités réglementaires autorisent sa participation supplémentaire dans KeyCorp. 

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La Banque Scotia a conclu l’acquisition d’une participation pro forma additionnelle d’environ 10 % dans KeyCorp. Cet investissement, effectué en contrepartie en espèces est d’environ 2,0 milliards de dollars américains, fait suite à l’obtention d’une approbation réglementaire du conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale américaine.

Le 12 août 2024, la Banque Scotia a déclaré avoir conclu une entente visant l’acquisition d’une participation pro forma d’environ 14,9 % dans KeyCorp pour une contrepartie totale d’environ 2,8 milliards de dollars américains. Un investissement initial d’environ 4,9 % a été clôturé le 30 août 2024, alors que la présente transaction conclut la deuxième étape de l’investissement.

« Notre investissement dans KeyCorp nous permet de déployer des capitaux aux États‑Unis de manière efficiente et peu risquée tout en augmentant le rendement pour nos actionnaires, a déclaré Scott Thomson, président et chef de la direction de la Banque Scotia. Nous sommes heureux d’avoir conclu cette transaction, qui témoigne de notre engagement à réaffecter le capital dans des marchés développés en Amérique du Nord plutôt que dans des marchés en développement. »

La réalisation des deux étapes de cette transaction devrait entraîner une diminution d’environ 55 points de base du ratio des actions ordinaires et assimilées de T1. Aux fins de la comptabilité, la participation d’environ 14,9 % de la Banque Scotia sera classée comme une participation dans une société associée.

Les actifs de la Banque Scotia sont évalués à environ 1 400 G$ de dollars canadiens au 31 octobre 2024.

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Les bénéfices des six grandes banques devraient augmenter en 2025 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-benefices-des-six-grandes-banques-devraient-augmenter-en-2025/ Fri, 10 Jan 2025 11:45:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104868 Selon DBRS.

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Avec la reprise attendue de la croissance économique et les nouvelles baisses de taux d’intérêt à venir, les perspectives pour les six grandes banques sont favorables, mais les risques sont fortement orientés à la baisse, prévient Morningstar DBRS.

Dans un nouveau rapport, l’agence de notation a déclaré que les perspectives économiques pour l’Amérique du Nord sont « généralement positives », ce qui devrait soutenir l’amélioration des bénéfices des six grandes banques au cours de l’exercice 2025.

« Nous prévoyons une croissance modeste du PIB au Canada, de 1,1 % en 2024, qui atteindra 1,8 % en 2025 et 1,9 % en 2026 », indique l’agence.

Et, comme les pressions inflationnistes s’atténuent au Canada, permettant une politique monétaire plus souple, cela devrait réduire la pression financière sur les ménages fortement endettés et améliorer les conditions de crédit.

En retour, les bénéfices des banques devraient bénéficier de la modération des provisions pour pertes de crédit au cours de l’exercice 2025, a déclaré DBRS.

« L’environnement de taux d’intérêt plus bas à l’approche de l’exercice 2025 apportera un certain soulagement en ce qui concerne les coûts du service de la dette, atténuant certaines inquiétudes liées aux prêts immobiliers garantis et aux risques hypothécaires ainsi qu’aux risques de crédit de gros », a déclaré l’agence.

L’agence de notation a ajouté qu’elle s’attendait également à ce que les banques génèrent une croissance progressive de leurs revenus au cours de l’année à venir.

« Nous prévoyons une croissance des activités de souscription et de conseil sur les marchés de capitaux, bien que la croissance des revenus de commissions provenant du négoce et de la gestion de patrimoine puisse être plus modérée après les bons résultats de [l’exercice] 2024 », a-t-elle noté.

Toutefois, l’incertitude politique accrue et les vents contraires géopolitiques pourraient mettre en péril le tableau économique positif et les perspectives d’amélioration des bénéfices des banques.

En particulier, les changements potentiels dans la politique commerciale des États-Unis et les risques posés par les conflits régionaux représentent des menaces potentielles pour les perspectives autrement améliorées, a noté le rapport.

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La Scotia vend ses activités en Colombie, au Costa Rica et au Panama https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-scotia-vend-ses-activites-en-colombie-au-costa-rica-et-au-panama/ Thu, 09 Jan 2025 11:26:50 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104850 En échange d’une participation dans une institution financière colombienne.

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La Banque Scotia annonce lundi avoir signé une entente pour vendre ses activités bancaires en Colombie, au Costa Rica et au Panama à Davivienda en échange d’une participation de 20 % dans l’institution financière colombienne.

La banque torontoise affirme que l’accord soutient ses efforts d’efficacité opérationnelle sur ses marchés non essentiels.

Elle ajoute que la transaction lui donne également l’occasion de participer à une entreprise comptant une équipe de gestion chevronnée permettant d’être un acteur de premier plan.

Davivienda a plus de 50 ans d’expérience dans les opérations en Colombie, au Costa Rica, au Salvador, au Honduras, au Panama et à Miami.

La Banque Scotia indique qu’elle subira une perte de valeur après impôts d’environ 1,4 milliard de dollars (G$) au premier trimestre de 2025 dans le cadre de l’opération.

Elle estime également qu’elle essuiera environ 300 M$ de pertes supplémentaires à la clôture, principalement liées aux pertes de change.

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Hausse des bénéfices pour les banques au T4 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/hausse-des-benefices-pour-les-banques-au-t4/ Thu, 05 Dec 2024 12:20:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104466 Un excellent trimestre pour ces trois institutions.

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Au quatrième trimestre (T4) de 2024, la Banque Royale du Canada (RBC), la Banque Scotia et la Banque Nationale ont toutes trois enregistré une hausse de leurs bénéfices.

4,22 G$ de bénéfice pour la RBC

La RBC a surmonté les effets du ralentissement de l’économie canadienne pour annoncer un bénéfice de 4,22 G$ au quatrième trimestre et de 16,2 G$ pour l’année.

Les bénéfices de la plus grande entreprise canadienne ont augmenté de 7 % au cours du trimestre par rapport à l’année dernière, stimulés en partie par l’acquisition de HSBC Canada, tandis que les bénéfices ajustés pour le trimestre ont grimpé de 18 %, a-t-elle dévoilé mercredi.

L’augmentation de ses résultats est survenue malgré une croissance économique timide et une hausse du chômage au Canada qui ont fait pression sur les emprunteurs et la croissance des prêts, mais ces facteurs ont été compensés par une forte croissance des bénéfices dans ses divisions de gestion de patrimoine et d’actifs.

Cependant, les vents contraires économiques, qui incluaient une baisse de l’immigration et la menace du protectionnisme, ont amené la banque à avertir que la situation pourrait s’aggraver avant de s’améliorer.

« Du côté du crédit, nous sommes prudents, mais optimistes », a affirmé le président et chef de la direction Dave McKay.

L’incertitude a conduit l’entreprise à être un peu plus prudente en matière de capital, a-t-il souligné.

Bien que la banque ait annoncé une augmentation de 4 % du dividende, elle a réduit ses rachats d’actions au cours du dernier trimestre, a précisé Dave McKay.

« Nous avons été prudents dans nos rachats d’actions ce trimestre, étant donné le degré plus élevé de volatilité autour des résultats des élections et de la politique monétaire à venir. »

Au cours du trimestre, la RBC a augmenté ses provisions pour pertes de crédit de 17 % par rapport à il y a un an, à 840 M$, principalement en provenance des services bancaires aux particuliers et aux entreprises au Canada.

La banque a bénéficié d’une certaine amélioration des prêts irrécouvrables dans sa division de capital, mais la tendance ne devrait pas durer, a expliqué le chef de la gestion du risque Graeme Hepworth.

« Bien que cette tendance soit encourageante, nous ne nous attendons pas à ce que les pertes restent aussi faibles », a-t-il déclaré.

Les provisions n’ont cependant pas eu d’effet sur les bénéfices, avec un bénéfice par action de 2,91 $ pour le trimestre clos le 31 octobre, en hausse par rapport à un bénéfice de 2,76 $ par action au même trimestre de l’année dernière, tandis que les revenus ont totalisé 15,07 G$, en augmentation par rapport à 12,69 G$ il y a un an.

Sur une base ajustée, RBC indique avoir gagné 3,07 $ par action au cours de son dernier trimestre, en hausse par rapport à un bénéfice ajusté de 2,65 $ par action un an plus tôt.

L’estimation moyenne des analystes était d’un bénéfice ajusté de 3,01 $ par action, selon les données fournies par LSEG Data & Analytics.

Le trimestre a été solide en ce qui concerne les marges, l’effet de levier d’exploitation et les niveaux de capital, la principale question étant de savoir si les résultats justifient la prime de valorisation de la RBC, a-t-il ajouté.

La RBC a spécifié que ses activités bancaires aux particuliers ont généré 1,58 G$, en hausse par rapport à 1,37 G$ un an plus tôt. Ses activités de banque aux entreprises ont généré 774 M$, en augmentation par rapport à 668 M$. Les deux unités ont été aidées par l’ajout de HSBC Canada.

Les activités de gestion de patrimoine de la RBC ont généré 969 M$, en hausse par rapport à 272 M$, tandis que ses activités d’assurance ont produit 162 M$, en augmentation par rapport à 97 M$ il y a un an.

Les activités de marchés des capitaux de la banque ont généré 985 M$ pour le trimestre, en baisse par rapport à 987 M$ il y a un an.

Le segment des services de soutien généraux de la RBC a enregistré une perte de 247 M$, principalement en raison de l’incidence après impôts des coûts de la transaction et d’intégration de HSBC Canada, contre un bénéfice de 549 M$ il y a un an.

La Banque Nationale bonifie son dividende

La Banque Nationale du Canada a augmenté son dividende après avoir annoncé une hausse annuelle de son bénéfice au quatrième trimestre.

La banque montréalaise a indiqué qu’elle verserait désormais un dividende trimestriel de 1,14 $ par action, en hausse par rapport à 1,10 $ par action.

La Banque Nationale a rapporté un bénéfice net de 955 M$, ou 2,66 $ par action, lors de son trimestre qui a pris fin le 31 octobre. Ce résultat se compare à un bénéfice de 751 M$, ou 2,09 $ par action, au même trimestre l’année dernière.

Ses revenus ont totalisé 2,94 G$, en hausse par rapport à 2,56 G$ un an plus tôt, au quatrième trimestre, tandis que sa provision pour pertes sur créances s’est élevée à 162 M$, en hausse par rapport à 115 M$ il y a un an.

Sur une base ajustée, la Banque Nationale a déclaré avoir gagné 2,58 $ par action au cours de son dernier trimestre, en hausse par rapport à un bénéfice ajusté de 2,39 $ par action au même trimestre l’année dernière.

L’estimation moyenne des analystes était d’un bénéfice ajusté de 2,57 $ par action, selon les données fournies par LSEG Data & Analytics.

« Grâce à une exécution disciplinée, à une forte croissance organique et à une performance du crédit résiliente, nous avons atteint l’ensemble de nos objectifs financiers à moyen terme en 2024 », a soutenu le président et chef de la direction de la Banque Nationale, Laurent Ferreira.

La Banque Nationale a fait savoir que son secteur des particuliers et entreprises a généré des profits de 327 M$, en hausse par rapport à 271 M$ à la même période l’an dernier, tandis que ses activités de gestion de patrimoine ont généré un bénéfice de 219 M$, en hausse par rapport à 155 M$ il y a un an.

Son secteur des marchés financiers a généré 306 M$, comparativement à 284 M$ un an plus tôt.

Les activités de financement spécialisé et internationales de la Banque Nationale aux États-Unis, qui comprennent principalement ses filiales Credigy et Advanced Bank of Asia, ont généré un bénéfice de 157 M$, contre 145 M$ au même trimestre l’année dernière.

La rubrique « autres » de la banque a enregistré une perte de 54 M$, contre une perte de 104 M$ un an plus tôt.

La Banque Scotia a augmenté son bénéfice

La banque a annoncé un bénéfice de 1,69 G$ au quatrième trimestre, en hausse par rapport à 1,35 G$ pour la même période de l’exercice précédent, en ayant mis de côté un montant moins important pour les créances douteuses par rapport à l’année dernière.

Les profits ont été affectés par les impôts et une dépréciation de sa participation dans une banque chinoise, tandis que ses activités canadiennes ont été touchées par le ralentissement de l’économie, a déclaré le chef de la direction, Scott Thomson.

Les craintes d’une augmentation des défauts de paiement hypothécaires ont conduit toutes les banques à constituer des provisions pour les prêts potentiellement douteux, mais une baisse de 1,25 point de pourcentage du taux directeur de la Banque du Canada apaise déjà certaines inquiétudes.

La Banque Scotia a mis de côté 1,03 G$ au quatrième trimestre, contre 1,26 G$ il y a un an. Cette baisse s’explique par le fait que la banque a retiré en entier certains prêts moins préoccupants alors que la tendance des emprunteurs s’améliorait.

Mais la baisse globale des provisions comprend une augmentation de la catégorie plus sérieuse des provisions pour créances douteuses, celles dont la banque estime qu’elle ne pourra pas se faire rembourser. Pour le secteur bancaire canadien, les provisions pour créances douteuses ont atteint 461 M$, en hausse par rapport à 286 M$ l’an dernier.

Les effets des taux plus élevés ont contribué à une légère augmentation de 1 % des prêts hypothécaires et personnels ce trimestre par rapport à l’année précédente au Canada, tandis que les prêts sur carte de crédit ont augmenté de 12 %.

Le chiffre d’affaires du trimestre s’est élevé à 8,53 G$, en hausse par rapport à 8,27 G$ au quatrième trimestre de l’exercice précédent.

Le bénéfice s’est chiffré à 1,22 $ par action pour le trimestre clos le 31 octobre, contre 99 cents au même trimestre il y a un an.

Les bénéfices ont augmenté même si, au cours du trimestre, la Banque Scotia a enregistré une charge de 343 M$ liée à la dépréciation de son investissement dans Bank of Xi’an en Chine en raison de l’affaiblissement de l’économie du pays.

Sur une base ajustée, la Banque Scotia a indiqué avoir gagné 1,57 $ par action au cours de son plus récent trimestre, en hausse par rapport à un bénéfice ajusté de 1,23 $ par action l’an dernier.

Les analystes s’attendaient toutefois en moyenne à un bénéfice ajusté de 1,60 $ par action, selon les données fournies par LSEG Data & Analytics.

L’analyste de Jeffries John Aiken a indiqué que le résultat inférieur aux attentes était en grande partie attribuable à un taux d’imposition plus élevé que prévu, tandis que la banque a également connu des vents contraires en matière de revenus et des performances mitigées en matière d’efficacité.

La Banque Scotia a indiqué que ses activités bancaires canadiennes se sont élevées à 1,06 milliard $ pour le trimestre, en hausse par rapport à 793 M$ au même trimestre de l’année dernière, en raison principalement d’une baisse des provisions pour pertes sur créances et d’une hausse des revenus, en partie contrebalancées par une augmentation des dépenses hors intérêt.

Les activités bancaires internationales de la Banque Scotia ont généré un bénéfice de 628 M$ attribuable aux actionnaires de la banque, en hausse par rapport à 548 M$ un an plus tôt, tandis que les activités mondiales de gestion de patrimoine de la banque ont affiché 420 M$, en hausse par rapport à 327 M$ il y a un an.

Le cours de l’action de la Banque Scotia à la Bourse de Toronto a clôturé en baisse de 2,69 $, ou 3,37 %, à 77,10 $.

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Nouveau membre au CA de la Scotia https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nouveau-membre-au-ca-de-la-scotia/ Tue, 26 Nov 2024 12:13:49 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104169 NOUVELLES DU MONDE – La Banque accueille Steven Van Wyk.

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Steven Van Wyk a été nommé au conseil d’administration (CA) de la Banque Scotia.

En tant qu’ancien chef de l’information de HSBC, ce dernier devrait être un atout pour le CA de la banque.

En plus de ce rôle, Steven Van Wyk a occupé de nombreux postes de haute direction dans le domaine des technologies, notamment celui de chef de l’information de PNC Financial Services Group et de chef de l’information mondial d’ING Group N. V. Il a également été chef de l’information et de chef de l’exploitation des services d’investissement aux particuliers à Morgan Stanley.

« Nous sommes heureux d’accueillir Steven au sein du conseil d’administration de la Banque Scotia. Sa vaste expérience et ses compétences éprouvées en matière de leadership dans le domaine de la technologie au sein de grandes institutions mondiales de services financiers sont un atout inestimable pour notre conseil d’administration, alors que nous continuons de soutenir la stratégie de la Banque et son objectif d’offrir une valeur ajoutée à sa clientèle », assure Aaron Regent, président du CA de la Banque Scotia.

Steven Van Wyk est diplômé d’un baccalauréat en gestion des affaires et comptabilité de la University of Central Iowa. En 2019, il a reçu un doctorat honorifique en service public du Central College. Il possède également les titres de CPA (Certified Public Accountant), CIA (Certified Internal Auditor) et de Financial and Operations Principal.

Avec cette nomination, Steven Van Wyk siègera désormais sur deux CA, puisqu’il est déjà au conseil du Banking Industry Architecture Network, une association à but non lucratif qui cherche à établir un cadre d’architecture commun pour permettre l’interopérabilité bancaire.

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Nouvelle présidente et cheffe de la direction de Tangerine https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nouvelle-presidente-et-cheffe-de-la-direction-de-tangerine/ Fri, 18 Oct 2024 11:35:19 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103557 NOUVELLES DU MONDE – Terri-Lee Weeks vient d’être nommée à ce poste.

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Terri-Lee Weeks a été désignée pour prendre la relève de Gillian Riley à titre de présidente et cheffe de la direction de Tangerine. Elle entrera en poste le 1er novembre prochain.

Gillian Riley a rejoint la Banque Scotia en 1994, où elle a occupé plusieurs postes de direction dans les Services bancaires commerciaux, les Services bancaires aux petites entreprises, les Services bancaires aux particuliers et la Gestion de patrimoine. Elle a également été vice-présidente des Services bancaires commerciaux et, depuis six ans, elle occupe le poste de présidente et cheffe de la direction de Tangerine.

Après 31 ans auprès de la Banque Scotia, Gillian Riley prendra sa retraite à la fin de 2024. Elle restera donc en poste jusqu’au 31 décembre pour assurer une transition en douceur.

« Dans toutes ses fonctions au sein de la Banque Scotia et de Tangerine, Gillian a dirigé en se concentrant sur la croissance des activités, la création de valeur pour la clientèle et le développement de ses équipes, souligne Aris Bogdaneris, chef de groupe, Réseau canadien à la Banque Scotia. En plus de ses nombreuses réalisations, elle laisse un héritage durable à la Banque : L’initiative Femmes de la Banque Scotia, qu’elle a fondée, et grâce à laquelle la Banque se démarque de la concurrence par son engagement à aider les femmes à faire croître leur entreprise, à faire progresser leur carrière et à investir dans leur avenir pour réussir à leur manière. »

Terri-Lee Weeks travaille pour la Banque Scotia depuis septembre 2021. Jusqu’à récemment, elle occupait le poste de vice-présidente à la direction, Clientèle de détail. À ce titre, elle est parvenue à créer de la valeur pour les clientes et les clients et à les fidéliser.

« Terri-Lee est une dirigeante chevronnée dotée d’une grande expérience des services bancaires aux particuliers, de la gestion de patrimoine et des marchés des capitaux, commente Aris Bogdaneris. Sa vaste expérience des services financiers, sa parfaite connaissance du contexte des services aux particuliers au Canada et sa feuille de route jalonnée de succès — qu’il s’agisse de l’expansion des activités numériques ou de la conception et de la transformation de l’expérience client interactive — en font la personne parfaite pour ce poste important au sein de notre équipe. J’ai pleinement confiance en sa capacité à concrétiser le fort potentiel de croissance de notre banque numérique. »

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