BlackRock – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 31 Oct 2024 19:59:17 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png BlackRock – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 De nouveaux FNB à revenu fixe tirent parti de la baisse des taux d’intérêt https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/de-nouveaux-fnb-a-revenu-fixe-tirent-parti-de-la-baisse-des-taux-dinteret/ Tue, 29 Oct 2024 11:20:38 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103702 Les lancements d’Evolve ETFs et de BlackRock interviennent dans un contexte d’assouplissement des banques centrales.

L’article De nouveaux FNB à revenu fixe tirent parti de la baisse des taux d’intérêt est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les gestionnaires d’actifs saisissent l’opportunité d’offrir de nouveaux produits à revenu fixe, car les investisseurs cherchent à prendre de la durée et du risque dans le cadre d’une politique monétaire plus souple.

Les investisseurs ont anticipé « un environnement de réduction des taux d’intérêt et un regain d’intérêt pour les titres à revenu fixe, en particulier pour les durées plus longues, observe Raj Lala, PDG d’Evolve ETFs à Toronto. Nous nous sommes donc dit qu’il s’agissait d’un domaine intéressant […]. Comment allons-nous faire face à la concurrence ? »

Evolve ETFs a lancé le Evolve Canadian Aggregate Bond Enhanced Yield Fund (TSX : AGG) à la fin du mois de septembre.

Ce fond négocié en Bourse (FNB) géré activement comprend le FINB BMO obligations totales (TSX : ZAG) et le FINB iShares Core Canadian Universe Bond (TSX : XBB). Il utilise une stratégie d’options d’achat couvertes et ses frais de gestion s’élèvent à 0,45 %.

Le nouveau fonds s’inspire du Fonds rendement amélioré d’obligations Evolve (TSX : BOND), d’une valeur de 268 millions de dollars (M$), qui a été lancé en octobre 2023 et qui investit principalement dans des FNB de titres à revenu fixe cotés aux États-Unis et qui utilise une stratégie d’options d’achat couvertes.

AGG, cependant, cherche à tirer parti de la préférence nationale des investisseurs canadiens, de la baisse des taux d’intérêt et du fait que le marché obligataire canadien a tendance à être plus conservateur et moins volatil que le marché du Trésor américain, précise Raj Lala.

Le portefeuille sous-jacent d’AGG est composé d’environ 1 685 obligations — y compris des obligations fédérales, provinciales, municipales et de sociétés — avec une cote de crédit moyenne pondérée de AA et une durée moyenne pondérée de 7,36 ans, spécifie Raj Lala.

« Celui-ci a une durée d’un peu plus de sept ans, mais suffisamment longue pour que, si l’on anticipe de nouvelles baisses de taux, ce que la plupart des gens anticipent au Canada, les obligations à plus long terme devraient en bénéficier », assure-t-il.

En vendant des options d’achat couvertes sur 50 % de l’exposition du FNB, Evolve ETFs vise à atteindre un rendement cible de 6 % — « bien meilleur que ce que vous obtiendriez en détenant simplement l’obligation individuelle », souligne Raj Lala.

Fin septembre également, BlackRock a lancé un nouveau FNB actif qui offre une exposition aux titres à revenu fixe mondiaux : le iShares Flexible Monthly Income ETF (TSX : XFLI, XFLI.U). Il existe également une version couverte en dollars canadiens (TSX : XFLX).

Les avoirs comprennent le iShares Flexible Income Active ETF (TSX : BINC), d’une valeur de 5,9 milliards de dollars (G$), ainsi que des liquidités (en dollars canadiens et américains).

Le fonds cherche à maximiser le revenu à long terme « d’une manière flexible, globale et en allouant principalement à ce que nous percevons comme des secteurs plus difficiles à atteindre du marché des revenus fixes — des choses comme le haut rendement et la dette des marchés émergents, les actifs titrisés », explique Rachel Siu, responsable de la stratégie des revenus fixes au Canada chez BlackRock.

L’objectif est de maximiser le revenu « efficacement à travers différents cycles et différents environnements de marché », continue Rachel Siu. Elle précise que « nous avons traversé une période où les banques centrales ont commencé à réduire leurs taux, et les rendements ont beaucoup bougé au cours de l’été ».

Dans un rapport récent, FTSE Russell observe que « l’assouplissement des banques centrales et la baisse de l’inflation ont soutenu les marchés obligataires mondiaux » au troisième trimestre 2024, et que la courbe de rendement canadienne s’est normalisée après trois réductions des taux d’intérêt par la Banque du Canada (BdC).

Alors que la BdC et d’autres banques centrales devraient procéder à de nouvelles baisses de taux, Raj Lala et Rachel Siu ont tous deux exprimé un point de vue optimiste sur les titres à revenu fixe.

« D’une manière générale, nous sommes très enthousiastes quant aux opportunités offertes par les titres à revenu fixe dans le contexte actuel, affirme Rachel Siu. Maintenant que les banques centrales sont sur la voie de l’assouplissement, nous pensons que les investisseurs ont la possibilité de bénéficier d’un bon rapport prix-rendement. »

L’article De nouveaux FNB à revenu fixe tirent parti de la baisse des taux d’intérêt est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
RBC iShares lance deux nouveaux FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/rbc-ishares-lance-deux-nouveaux-fnb/ Tue, 08 Oct 2024 11:08:12 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103235 PRODUITS – Élargissant ainsi l’accès à la plateforme de placements de BlackRock.

L’article RBC iShares lance deux nouveaux FNB est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
RBC iShares lance deux fonds négociés en Bourse (FNB) obligataires en gestion active. Ces fonds permettent aux clients de bénéficier de l’expérience de BlackRock en matière de placement dans des titres à revenu fixe, avec des FNB qui sont liquides, transparents et abordables.

Le iShares Flexible Monthly Income ETF (XFLI, XFLI.U) investit dans le BlackRock Flexible Income ETF, qui est géré par Rick Rieder, chef des placements, Titres à revenu fixe mondiaux de BlackRock. La stratégie sera également disponible en version couverte par rapport au dollar canadien au moment de l’inscription du iShares Flexible Monthly Income ETF (CAD-Hedged) (XFLX).

Les parts du iShares Flexible Monthly Income ETF sont inscrites à la cote de la Bourse de Toronto depuis le 26 septembre. Les parts du iSahres Flexible Monthly Income ETF (CAD-Hedged) quant à elles ont été inscrites à la cote de la TSX le 1er octobre 2024.

Ces produits sont conçus pour compléter les expositions obligataires de base en offrant un rendement supérieur dans l’ensemble des portefeuilles de titres à revenu fixe mondiaux, sans les contraintes des indices de référence traditionnels.

Les frais de gestion de ces produits s’élèvent à 0,55 %.

« Le contexte économique actuel est une période prospère pour les titres à revenu fixe. Les investisseurs sont en mesure de réaliser des rendements élevés sans pour autant s’exposer à des risques excessifs. En demeurant actifs, agiles et largement diversifiés, ces FNB tentent de saisir des occasions historiques dans l’ensemble des marchés des titres à revenu fixe, à mesure qu’elles se présentent », explique Rick Rieder.

L’article RBC iShares lance deux nouveaux FNB est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
FNB vs FCP https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fnb-vs-fcp/ Wed, 04 Sep 2024 11:48:28 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102532 Les FNB mènent définitivement le bal.

L’article FNB vs FCP est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
En Amérique du Nord, les fonds négociés en Bourse (FNB) ont poursuivi leur forte lancée dans la première moitié de 2024, tandis que les fonds communs de placement (FCP) continuaient leur saignée d’actifs, rapporte Gestion de placements TD (GPTD). Par ailleurs, les FCP ne sont certainement pas impotents, la gestion active qui les caractérise « infiltrant » de plus en plus les FNB.

Les FNB sont assurément devenus « la seule force motrice de l’industrie des fonds d’investissement », affirme une récente étude de GPTD. Tout particulièrement en 2024, les entrées de fonds dans les FNB canadiens étaient suffisamment larges pour couvrir les sommes qui ont quitté les FCP. Ainsi, dans la première moitié de 2024, les FNB canadiens ont attiré 33 milliards de dollars (G$) de nouvelles entrées, tandis que les FCP ont perdu 8 G$. « Cela veut dire que, non seulement les FNB ravissent des parts de marché aux FCP, mais ils accroissent par eux-mêmes l’étendue de l’industrie des fonds d’investissement, » observe GPTD.

On assiste à la même dynamique au sud de la frontière, où les FNB ont vu affluer des entrées de 423 G$ tandis que les FCP laissaient échapper 151 G$. Là aussi, l’afflux du côté des FNB compense largement pour les pertes dans les FCP.

Les titres à revenu fixe profitent à tous

Les trois grandes catégories des fonds d’action, des fonds obligataires et des fonds équilibrés évoluent de façon fort différente. La catégorie obligataire est celle qui connaît la plus forte montée du côté des FNB, où les stratégies de gestion active propulsent la hausse. Par contre, elle a aussi gagné du côté des FNB, constate GPTD.

Dans la première moitié de 2024, les FNB d’actions ont accaparé 60 % des entrées au Canada et plus de 70 % du côté américain. « Par contre, quand on tient compte des flux dans les FCP, les titres obligataires dominent les afflux de l’année », note l’étude. En effet, même si les FNB de titres à revenu fixe abritent 30 % de l’actif total des FNB au Canada, « il y a encore plus d’entrées dans les FCP obligataires (incluant les marchés monétaires) que dans les FNB », rapporte GPTD.

La répartition d’actifs diverge considérablement entre le Canada et les États-Unis. Au Canada, les fonds équilibrés occupent une importante part des actifs, logeant du côté des FCP avec une forte proportion de 45 %. Aux États-Unis, les actions dominent totalement les FNB avec une part de 81 %, tandis qu’ils accaparent une portion de 54 % des FCP. Par ailleurs, toujours aux États-Unis, les titres obligataires sont plus populaires du côté des FCP, occupant une part de 40 % des actifs, alors que la proportion du côté des FNB est de seulement 17 %.

Des FCP « déséquilibrés »

Tandis que les titres à revenu fixe suscitaient des entrées d’argent tant dans les FNB que dans les FCP, ces derniers laissaient filer l’argent autant du côté des fonds d’action que des fonds équilibrés. Car les fonds équilibrés sont le point faible le plus notable des FCP. Alors qu’ils dominent dans l’univers des FCP, ils ont souffert le plus de sorties de fonds cette année, calcule GPTD, mais sans fournir de chiffres précis.

En contrepartie, les FNB en font leurs choux gras : « Malgré un relativement faible actif sous gestion, fait ressortir GPTD, les FNB équilibrés croissent très rapidement grâce à leur offre de guichet unique aux investisseurs individuels. » Selon une étude de Morningstar que cite GPTD, l’exode hors des FCP équilibrés est motivé par une quête de frais de gestion plus abordables. « En moyenne, les investisseurs payent 1,31 % et 0,58 % pour les FCP et FNB équilibrés respectivement. » GPTD prévoit que la tendance qui voit les FNB gagner en actifs d’actions et équilibrés va se poursuivre en 2024.

Contamination par les FCP

Un développement que traite marginalement l’étude de GPTD est celui où la gestion active — caractéristique essentielle des FCP — gagne du terrain dans l’univers des FNB. Par exemple, Morningstar constate que les FCP qui ont vu les plus fortes entrées d’argent étaient à gestion active. « Plus de FNB actifs sont requis pour gagner les investisseurs qui investissent présentement dans les FCP actifs », commente GPTD.

Car la gestion active fait des avancées importantes chez les FNB. Plusieurs grands manufacturiers de FNB ont étendu leur offre de FNB actifs, observe GPTD. Ainsi, BlackRock affirme que les FNB actifs ont représenté 76 % de tous les lancements de nouveaux FNB aux États-Unis en 2023, et 43 % au plan mondial. La grande société américaine prévoit que les actifs sous gestion active dans les FNB atteindront 4 billions de dollars en 2030, ce qui représenterait une hausse de 400 % sur six ans.

L’article FNB vs FCP est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Des FNB Bitcoin pour les clients de Morgan Stanley https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/des-fnb-bitcoin-pour-les-clients-de-morgan-stanley/ Wed, 07 Aug 2024 11:40:22 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102123 Les conseillers peuvent maintenant en proposer.

L’article Des FNB Bitcoin pour les clients de Morgan Stanley est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Depuis le 7 août, les conseillers de Morgan Stanley peuvent proposer des fonds négociés en Bourse (FNB) Bitcoin à certains clients, rapporte CNBC News.

Afin de répondre à la demande de leurs clients, Morgan Stanley permet à ses conseillers de proposer l’iShares Bitcoin Trust de BlackRock et le Fidelity Wise Origin Bitcoin Fund.

La société impose toutefois quelques restrictions. Les clients qui pourront investir dans de tels fonds sont uniquement ceux disposant d’un patrimoine net d’au moins 1,5 million de dollars et d’une tolérance au risque adaptée aux investissements spéculatifs.

De plus, les clients concernés ne pourront investir dans les fonds bitcoin que sur leurs comptes de courtage Morgan Stanley imposables et non dans leurs fonds de retraite.

Et finalement, la firme a promis qu’elle surveillerait de près les avoirs de ses clients afin de s’assurer qu’ils ne sont pas trop exposés aux fonds bitcoin.

Toutefois, cette nouvelle de Morgan Stanley montre bien que les milieux financiers traditionnels adoptent de plus en plus cette cryptomonnaie.

Les partisans de la cryptomonnaie se sont d’ailleurs réjouis de la nouvelle sur X (anciennement Twitter), rapporte Think Advisor.

« Morgan Stanley a donné le feu vert à ses conseillers pour offrir des FNB BTC à leurs clients. En commençant par IBIT et FBTC. L’intégration généralisée des FNB ne fait que commencer… », a publié un compte d’actualités et d’analyses cryptographiques sur le média social.

Pour rappel, en janvier, la Securities and Exchange Commission des États-Unis a approuvé les demandes de création de 11 FNB Bitcoin. Peu de temps après cette annonce, UBS a commencé à offrir des FNB de cryptomonnaie à certains clients. L’unité Merrill de Bank of America et l’unité de courtage de Wells Fargo ont suivi le même chemin en février.

L’article Des FNB Bitcoin pour les clients de Morgan Stanley est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Fractionnement de parts de certains FNB iShares https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fractionnement-de-parts-de-certains-fnb-ishares/ Mon, 29 Jul 2024 12:03:12 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101863 PRODUITS – Ces fractionnements visent des produits inscrits à la cote de la Bourse de Toronto (TSX).

L’article Fractionnement de parts de certains FNB iShares est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Gestion d’actifs BlackRock Canada annonce le fractionnement imminent de parts de trois produits inscrits à la Bourse de Toronto soit :

  • le iShares NASDAQ 100 Index ETF (CAD-Hedged) (XQQ),
  • le iShares Core S&P 500 Index ETF (XUS)
  • et le iShares S&P/TSX Capped Consumer Staples Index ETF (XST)

Chaque fraction de parts sera payée le 8 août 2024 aux porteurs de parts enregistrés des FNB iShares au 7 août 2024. Les parts seront négociées sous forme d’« effets payables » dès l’ouverture de la TSX du 7 au 8 août. La négociation de chaque FNB iShares, ajustée pour refléter le fractionnement, débutera à la TSX le 9 août 2024.

Le ratio de fractionnement ci-dessous indique combien de parts un porteur de parts d’un FNB iShares détiendra après le fractionnement par rapport au nombre de parts qu’il détenait avant le fractionnement :

iShares NASDAQ 100 Index ETF (CAD-Hedged) 3:1
iShares Core S&P 500 Index ETF — parts en $ CA 2:1
iShares Core S&P 500 Index ETF — parts en $ US 2:1
iShares S&P/TSX Capped Consumer Staples Index ETF 2:1

Afin que le fractionnement des parts n’ait aucune incidence sur la valeur totale de la position de l’investisseur en parts, la valeur liquidative par part diminue selon le ratio de fractionnement après le fractionnement. Le coût par part pour un investisseur diminue également en fonction du même ratio de fractionnement, même si le coût total demeure inchangé.

Notez bien que la procédure de négociation des « effets payables » de la TSX s’appliquera au fractionnement des parts de chaque FNB iShares.

Les porteurs de parts n’ont aucune mesure à prendre relativement au fractionnement de parts.

L’article Fractionnement de parts de certains FNB iShares est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Fiera Capital entend rayonner davantage aux États-Unis https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/fiera-capital-entend-rayonner-davantage-aux-etats-unis/ Thu, 18 Jul 2024 10:52:57 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101832 NOUVELLES DU MONDE — Le gestionnaire d’actifs nomme une personne chargée de nourrir les relations avec les consultants américains.

L’article Fiera Capital entend rayonner davantage aux États-Unis est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Corporation Fiera Capital a nommé Miriam Tai au poste de cheffe, Relations avec les consultants, États-Unis. Établie à New York, elle est entrée en fonction le 8 juillet dernier et relève d’Eric Roberts, directeur exécutif et chef de la direction de Fiera États-Unis.

Ce poste vise à permettre à Fiera Capital d’étendre davantage sa présence aux États-Unis et de continuer à établir et à faire évoluer des relations étroites avec un réseau mondial de consultants.

Miriam Tai travaillera en partenariat avec Mandy Adamou, directrice générale et cheffe, Relations avec les consultants, EMOA et Asie, et Claude Lockhead, chef, Relations avec les consultants, Canada. Leur objectif consiste à optimiser les relations de Fiera avec les consultants et d’assurer les meilleurs résultats pour les clients du monde entier. À cette fin, Miriam Tai collaborera également beaucoup avec les parties prenantes internes de la direction et avec l’équipe de distribution institutionnelle pour les États-Unis.

« En tant que dirigeante chevronnée qui a entretenu des relations étroites avec des consultants dans diverses classes d’actifs, Miriam constitue un atout exceptionnel pour Fiera Capital, alors que nous cherchons à étendre davantage nos activités aux États-Unis, a déclaré Eric Roberts. Je suis convaincu que le vaste réseau de Miriam et sa crédibilité exceptionnelle au sein du marché étatsunien la rendent bien préparée pour nous aider à atteindre nos objectifs de croissance interne. »

Miriam Tai est titulaire d’un MBA de la Haas School of Business, UC Berkeley, et d’un A.B. en sciences politiques de l’Université de Chicago. Elle est aussi titulaire des titres CFA et CAIA et met au service de Fiera Capital près de 20 ans d’expérience dans les relations avec les consultants pour des institutions financières mondiales.

Dans ses plus récentes fonctions, elle était directrice, Relations avec les consultants chez Putnam Investments, qu’elle avait rejoint en 2017, un gestionnaire de placements des États-Unis racheté par Franklin Templeton en janvier 2024. Auparavant, elle a été directrice générale chez CIFC Asset Management, responsable mondiale des relations avec les consultants chez Itau Asset Management, responsable des relations avec les consultants américains chez Man Investments et directrice des relations avec les consultants chez BlackRock. Avant de se consacrer à la gestion d’actifs, elle a travaillé dans le domaine de la finance structurée et du conseil en gestion.

« Je suis ravie de me joindre à Fiera Capital à cette étape passionnante du parcours de l’entreprise, a affirmé Miriam Tai. En tant que personne axée sur les résultats et engagée envers l’excellence du service à la clientèle, je m’identifie fortement à la culture et à la vision de Fiera Capital. Je suis enthousiaste à l’idée de travailler avec une équipe mondiale talentueuse pour atteindre les objectifs stratégiques de la firme. »

L’article Fiera Capital entend rayonner davantage aux États-Unis est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
BlackRock met à jour ses niveaux de risque https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/blackrock-met-a-jour-ses-niveaux-de-risque/ Fri, 12 Jul 2024 10:43:37 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101591 PRODUITS – Et rend permanente une renonciation partielle aux frais.

L’article BlackRock met à jour ses niveaux de risque est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Gestion d’actifs BlackRock Canada modifie ses niveaux de risque en plus de rendre permanente une renonciation partielle aux frais.

Ainsi le niveau de risque de quatre produits a augmenté :

  • Le niveau de risque du iShares S&P/TSX Capped REIT Index ETF et du iShares Core S&P U.S. Total Market Index ETF (CAD-Hedged) est passé de « moyen » à « moyen à élevé ».
  • Celui du iShares S&P U.S. Small-Cap Index ETF (CAD-Hedged) est passé de « moyen à élevé » à « élevé ».
  • Et celui du iShares Core Canadian 15+ Year Federal Bond Index ETF est passé de « faible à moyen » à « moyen »

À partir du 27 juin 2024, BlackRock Canada rendra permanente la renonciation aux frais de gestion pour le iShares MSCI Min Vol Emerging Markets Index ETF (XMM). Avant cette date, la renonciation partielle permettait à BlackRock Canada de percevoir des frais de gestion annuels de 0,40 % pour le XMM. Désormais, les frais de gestion annuels du XMM seront ajustés en conséquence, et la renonciation permanente vise à maintenir cette tarification avantageuse pour les investisseurs.

Les frais de gestion annuels seront donc de 0,40 %.

L’article BlackRock met à jour ses niveaux de risque est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Quelles seront les retombées de l’achat de Preqin par BlackRock ? https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/quelles-seront-les-retombees-de-lachat-de-preqin-par-blackrock/ Fri, 12 Jul 2024 10:43:33 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101710 Cette opération pourrait, selon la firme, lui permettre d’offrir des indices, des FNB et des fonds de placement privés.

L’article Quelles seront les retombées de l’achat de Preqin par BlackRock ? est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
L’acquisition par BlackRock du fournisseur de données sur les actifs alternatifs Preqin pourrait permettre à la société de gestion d’actifs de disposer d’indices et de fonds du marché privé. Selon les professionnels du secteur, cela s’accompagnerait à la fois d’opportunités et de défis.

« Les FNB offrent fondamentalement aux investisseurs une liquidité à la minute près en termes d’accès à l’exposition », souligne Pat Chiefalo, responsable des fonds négociés en Bourse (FNB) et des stratégies indexées chez Invesco Canada, à Toronto.

« À mesure que l’on s’éloigne des actifs plus liquides, il devient de plus en plus difficile d’offrir ce type de liquidité et d’exposition dans le cadre d’un FNB actif. [Il en va de même pour les placements alternatifs, et certainement pour les placements privés. »

BlackRock a annoncé l’acquisition de Preqin pour un montant de 3,2 milliards de dollars (G$) le 30 juin, déclarant qu’elle « ajoute une activité de données très complémentaire à la technologie d’investissement de BlackRock, marquant une expansion stratégique dans le segment des données sur les marchés privés, qui connaît une croissance rapide ».

Ce rachat intervient après que BlackRock a acheté Global Infrastructure Partners (GIP) pour 12,5 G$ plus tôt cette année, ainsi qu’eFront, un fournisseur de logiciels d’investissement alternatif, pour 1,3 G$ en 2019 — des mesures qui soulignent les tentatives de la société de renforcer son exposition à l’espace des actifs privés.

BlackRock a souligné lors d’un appel aux investisseurs qu’elle pourrait commencer à offrir des indices et des FNB qui suivent les marchés privés.

« Je sais que les investisseurs se tournent vers les produits alternatifs et même les produits privés pour obtenir une exposition aux investissements. Offrir cela dans un FNB présente certainement des défis, étant donné les attentes des clients en matière de liquidité », a souligné Pat Chiefalo.

BlackRock a reconnu lors d’une présentation qu’il y a moins de transparence dans les performances d’investissement, les risques et les valorisations des entreprises sur le marché privé que sur les marchés publics, mais espère rendre les données d’investissement détaillées largement disponibles pour accroître la transparence des valorisations, permettre des analyses avancées et améliorer les indices de référence.

Pat Chiefalo a affirmé qu’il n’écarterait « jamais rien de ce qui sera essayé sur le marché ».

« S’agit-il de solutions qui vont fonctionner ? Je suis sûr qu’à un moment ou à un autre, nous en aurons le cœur net, mais il s’agit certainement de défis importants que les fournisseurs doivent relever », a-t-il commenté.

Selon BlackRock, les actifs alternatifs devraient atteindre près de 40 000 G$ d’actifs sous gestion d’ici la fin de la décennie.

Brent Smith, directeur des investissements chez Kinsted Wealth, à Calgary, a constaté que BlackRock s’était concentré sur les actifs alternatifs au cours des dernières années et a qualifié l’acquisition de Preqin par la société de « nouvelle incursion sur les marchés privés ».

Il ajoute que l’acquisition de Preqin aidera BlackRock à fournir davantage de données sur les marchés privés aux investisseurs, en particulier lorsqu’elle est associée à son logiciel de gestion des investissements et d’évaluation des risques, Aladdin.

Mais Brent Smith s’est également demandé comment BlackRock parviendrait à lancer des FNB pour les marchés privés.

« J’ai réfléchi à la manière dont ils allaient créer un FNB basé sur les marchés privés, où l’accès à l’information est très, très limité », a-t-il déclaré.

« Je ne sais tout simplement pas comment ils vont s’y prendre. »

Selon Brent Smith, les sociétés de gestion de patrimoine comme Kinsted observeront ce que BlackRock sera capable de réaliser, tant en termes d’indices de marchés privés que de FNB, car cela permettra aux gestionnaires de patrimoine d’offrir à leurs clients un accès plus large aux investissements alternatifs.

« Nous cherchons toujours à déterminer le degré d’exposition aux stratégies à long terme et bloquées dans lesquelles nous pouvons investir, par rapport au degré de liquidité quotidienne et au degré de liquidité mensuelle ou trimestrielle des véhicules », explique-t-il.

« Disposer d’un FNB négocié quotidiennement qui, sous une forme ou une autre, peut reproduire la performance des actifs privés serait formidable pour une société comme la nôtre. »

Tout le monde n’est pas favorable à l’acquisition.

L’agence de notation Moody’s a abaissé la perspective de BlackRock de stable à négative « en raison de la taille et de l’ampleur des deux acquisitions qu’elle a annoncées en peu de temps cette année », à savoir GIP et Preqin.

Preqin, dont le siège est à Londres, fournit des informations sur le marché privé concernant 190 000 fonds, 60 000 gestionnaires de fonds et 30 000 investisseurs sur les marchés privés, et touche plus de 200 000 utilisateurs.

La transaction devrait être finalisée avant la fin de l’année, sous réserve des autorisations réglementaires et d’autres conditions de clôture.

L’article Quelles seront les retombées de l’achat de Preqin par BlackRock ? est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Intérêt pour les fonds de marchés émergents excluant la Chine https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/interet-pour-les-fonds-de-marches-emergents-excluant-la-chine/ Wed, 12 Jun 2024 10:06:18 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101285 FOCUS FNB - Les tensions géopolitiques et les préoccupations concernant les faibles rendements alimentent le désinvestissement.

L’article Intérêt pour les fonds de marchés émergents excluant la Chine est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les tensions géopolitiques, une perspective de croissance affaiblie et d’importantes barrières tarifaires jettent une ombre sur l’avenir économique de la Chine, et les marchés réagissent.

Plusieurs fonds ont été lancés au cours des deux dernières années qui réduisent l’exposition à la Chine au profit des marchés émergents (ME) présentant des perspectives de croissance plus solides, tels que l’Inde, la Corée du Sud et Taïwan.

Placements AGF, BlackRock Asset Management Canada, Placements Mackenzie et RBC Gestion mondiale d’actifs figurent parmi les entreprises ayant lancé ces outils d’investissement.

Les gestionnaires de portefeuille affirment que ces fonds permettent aux investisseurs de récolter les avantages d’une croissance élevée dans des économies émergentes prometteuses. Et ce, à un moment où les préoccupations concernant les risques géopolitiques, la démographie défavorable et une période prolongée de faibles rendements dans la deuxième plus grande économie mondiale sont en augmentation.

Les actions chinoises et hongkongaises ont perdu plus de 6 billions de dollars de valeur entre février 2021 et janvier 2024. Elles ont depuis rebondi, l’indice Hang Seng et l’indice MSCI China étant tous deux en hausse de plus de 9 % cette année, mais des inquiétudes persistent quant à la volatilité. Les niveaux d’endettement élevés de la Chine et la crise immobilière sont également des préoccupations.

« À mon avis, un fonds des ME excluant la Chine offre une exposition aux plus grandes histoires restantes de croissance du PIB dans [les marchés émergents], ce qui inclut l’Inde, Taïwan, la Corée du Sud et beaucoup d’autres », avance Arup Datta, responsable de l’équipe mondiale d’actions quantitatives chez Placements Mackenzie.

Arup Datta est également le gestionnaire de portefeuille principal du Fonds d’actions des marchés émergents hors Chine Mackenzie, lancé le 25 avril et doté de frais de gestion de 0,8 %.

Il a déclaré que le fonds de 5,5 millions de dollars (M$) était né de la demande des clients à la suite de la guerre commerciale dirigée par les États-Unis contre la Chine, qui a commencé en 2018, lorsque Donald Trump était président des États-Unis.

Les tensions géopolitiques persistent sous l’administration du président Joe Biden, qui a récemment annoncé d’importantes nouvelles barrières tarifaires sur les produits chinois, notamment les véhicules électriques, les batteries avancées, les cellules solaires, l’acier, l’aluminium et les équipements médicaux. Donald Trump, quant à lui, a déclaré qu’il imposerait des tarifs de plus de 60 % sur les produits chinois s’il remportait l’élection présidentielle américaine en novembre.

« Depuis [2018] jusqu’à maintenant, les clients commencent à penser différemment à la Chine », rapporte Arup Datta.

Les deux plus grandes pondérations nationales dans le fonds des ME excluant Chine de Mackenzie sont l’Inde et Taïwan, à 24 % chacune, suivies de la Corée du Sud à 17 %.

Arup Datta estime que la meilleure croissance du PIB de l’Inde est probablement encore à venir. Les analystes de Morgan Stanley prévoient que ce pays d’Asie du Sud représentera un cinquième de la croissance mondiale dans la décennie à venir. Pendant ce temps, Taïwan est un leader dans la technologie des semi-conducteurs, qui alimente la transition vers les véhicules électriques, souligne-t-il.

« Donc, vous pouvez comprendre pourquoi dans ces marchés, les attentes de croissance seraient plus élevées […] que là où se trouve peut-être la Chine aujourd’hui », déclare Arup Datta.

Les fonds des ME excluant la Chine gagnent également en popularité, car certains investisseurs estiment que la Chine mérite une allocation propre en raison de sa taille et de la profondeur de son marché, rapporte Helen Hayes, responsable d’iShares Canada chez BlackRock.

« Ces investisseurs peuvent utiliser un FNB (fonds négocié en Bourse) des marchés émergents excluant la Chine en conjonction avec une allocation dédiée à la Chine pour obtenir une exposition globale aux marchés émergents sans chevauchement non intentionnel », explique-t-elle par courriel.

Helen Hayes mentionne également un récent document de recherche de BlackRock qui suggère que de nombreux marchés émergents pourraient connaître une surperformance, ce que les marchés ont déjà intégré. Leur population en âge de travailler croît, ce qui leur confère un avantage économique par rapport aux marchés développés et à la Chine, où l’espérance de vie augmente tandis que le taux de natalité diminue.

Le iShares MSCI Emerging Markets ex-China Index ETF (XEMC) a été l’un des premiers FNB des marchés émergents au Canada à exclure les actions chinoises. Lancé en février 2023, son ratio des frais de gestion est de 0,31 %.

Le fonds de 24 M$ investit dans des actions de grande et moyenne capitalisation dans les 23 pays que MSCI définit comme émergents en dehors de la Chine. Les principales expositions nationales dans le fonds sont Taïwan (24,6 %), l’Inde (24,4 %), la Corée du Sud (16,2 %) et le Brésil (6,4 %). Les services financiers et la technologie sont les principales expositions sectorielles, chacun pesant plus de 20 %.

« XEMC offre aux investisseurs un moyen d’accéder aux marchés émergents tout en conservant une flexibilité pour une approche sur mesure de l’investissement en Chine », résume Helen Hayes.

Placements AGF a lancé le Fonds des marchés émergents AGF (AEMX) en octobre 2023. Le fonds de 4,5 M$ a des frais de gestion de 0,9 %. Certaines de ses principales participations sont Taiwan Semiconductor Manufacturing Co, le Franklin FTSE India ETF et Samsung Electronics Co.

Regina Chi, vice-présidente et gestionnaire de portefeuille chez Placements AGF à Toronto, a dit qu’AGF avait lancé le fonds en raison de la domination de la Chine dans l’indice MSCI EM « et des vents contraires géopolitiques que nous observions avec la Chine et le reste du monde ».

Regina Chi estime que les fonds des ME excluant la Chine permettent aux investisseurs de participer à une croissance séculaire dans les marchés émergents. Cela inclut l’Inde, où la croissance réelle du PIB devrait augmenter d’environ 7 % en 2024, l’un des taux les plus élevés au monde. Là-bas, le gouvernement encourage la fabrication locale, ce qui permet de réduire les coûts, les délais de livraison et les émissions de carbone.

En conséquence, l’Inde représente 21,5 % du poids du Fonds des marchés émergents hors Chine AGF, juste derrière Taïwan à 21,7 %.

« Il existe également d’autres histoires séculaires qui sont plus petites, mais mieux exposées dans un indice des ME excluant la Chine parce qu’elles ont un poids plus élevé, [comme] l’Indonésie et le Mexique », rapporte Regina Chi.

Elle a noté que l’Indonésie est prête pour une forte croissance du PIB, car elle possède l’une des classes moyennes à la croissance la plus rapide au monde, tandis que le Mexique bénéficie de la délocalisation, ou de l’externalisation à courte distance, avec les États-Unis — une tendance qui a permis au Mexique de remplacer la Chine en tant que premier exportateur de marchandises vers les États-Unis.

Bien que l’indice des marchés émergents de MSCI ait déçu au cours de la dernière décennie, affichant des rendements nets de 2,96 % par rapport à l’indice mondial de MSCI avec 8,87 %, tant les catalyseurs à court terme que à long terme suggèrent que les investisseurs devraient revoir leur allocation, analyse Helen Hayes.

Regina Chi est d’accord.

« La Chine est confrontée à certains problèmes internes ainsi qu’à des tensions géopolitiques qui dissuaderont les investisseurs de s’intéresser à la Chine, et donc un fonds des ME excluant la Chine serait un moyen de diversification pour eux, surtout si les investisseurs essaient de rester agnostiques sur leur biais domestique, ainsi que si vous cessez de croire en l’exceptionnalisme américain », assure-t-elle.

Arup Datta estime que la sous-performance du marché boursier chinois au cours des dernières années penche en faveur des fonds excluant la Chine.

« Certaines personnes regardent cette perspective et se disent : “La Chine a entraîné la baisse des indices des marchés émergents ces cinq dernières années. Je ne veux pas que cela se reproduise. Donc, peut-être que je devrais investir dans les ME excluant la Chine”. »

L’article Intérêt pour les fonds de marchés émergents excluant la Chine est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les FNB Ethereum sur le point d’être approuvés par la SEC https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/les-fnb-ethereum-sur-le-point-detre-approuves-par-la-sec/ Fri, 07 Jun 2024 11:49:13 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101126 Cette avancée survient plusieurs mois après l’approbation par le régulateur des FNB Bitcoin.

L’article Les FNB Ethereum sur le point d’être approuvés par la SEC est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Après de nombreuses attentes, la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis a donné le feu vert pour le déploiement éventuel de fonds négociés en Bourse (FNB) investissant dans la cryptomonnaie Ether.

L’agence a récemment déclaré qu’après un examen minutieux, elle avait approuvé les demandes de Nasdaq, de Cboe et de la Bourse de New York pour la cotation des FNB Ethereum, notant que les propositions des bourses étaient conformes à la loi sur les valeurs mobilières.

La décision survient seulement quelques mois après que le régulateur ait accepté à contrecœur les FNB Bitcoin.

Cependant, les FNB Ethereum ne pourront pas être négociés immédiatement. Les gestionnaires d’actifs devront toujours soumettre des demandes individuelles à la SEC pour lancer leurs fonds.

Les passionnés de cryptomonnaies et les gestionnaires d’actifs désireux de lancer ces fonds, tels que VanEck, ont applaudi cette avancée.

« Nous nous attendons à ce que le contexte politique amélioré entraîne de nouvelles victoires pour les investisseurs et les développeurs d’actifs numériques, via de nouvelles lois et dans les tribunaux, qui attirent les investissements vers Bitcoin, Ethereum et d’autres logiciels de blockchain open-source », a déclaré Matthew Sigel, responsable de la recherche sur les actifs numériques chez VanEck, dans un message sur X peu de temps après la décision de la SEC.

Les FNB Ethereum permettront aux investisseurs de s’exposer à l’Ether sans avoir à acheter et stocker directement l’actif numérique eux-mêmes.

Voici quelques autres choses à savoir sur les FNB Ethereum.

Pourquoi toute cette excitation autour des FNB Ethereum ?

L’Ether, qui alimente le réseau Ethereum, est le deuxième jeton numérique le plus populaire après le bitcoin, la cryptomonnaie originale. C’est également la deuxième plus grande cryptomonnaie en termes de capitalisation boursière.

Alors que le bitcoin a été créé comme une alternative à la monnaie physique, Ethereum est une plateforme qui permet de construire et d’exécuter des contrats intelligents et des applications décentralisées sur un réseau peer-to-peer plutôt que sur un ordinateur unique.

Depuis que les FNB Bitcoin ont obtenu le feu vert de la SEC en janvier, les passionnés de cryptomonnaie attendent l’approbation des FNB Ethereum. Cette approbation pourrait faire grimper le prix de l’Ether à un nouveau record. Cela pourrait également ouvrir la voie à une adoption accrue d’autres cryptomonnaies.

Combien de FNB Ethereum au comptant pourrait-il y avoir ?

La SEC a déclaré qu’elle finalisait l’approbation des demandes pour huit FNB Ethereum.

BlackRock, Franklin Templeton, Fidelity Investments et VanEck font partie des entreprises souhaitant lancer ces véhicules d’investissement.

Quand vaut-il mieux détenir de l’Ethereum réel ?

Un FNB ne mettra pas de cryptomonnaie réelle sur les comptes des investisseurs, ce qui signifie qu’ils ne peuvent pas l’utiliser.

De plus, un FNB ne fournirait pas aux investisseurs le même anonymat que la cryptomonnaie, ce qui est l’un des grands attraits pour de nombreux investisseurs en cryptomonnaie.

Quelles préoccupations les investisseurs devraient-ils avoir ?

La plus grande préoccupation pour un investisseur dans l’un de ces FNB est la volatilité associée aux cryptomonnaies.

Il existe également des préoccupations mitigées concernant les risques de fraude et de manipulation associés au réseau Ethereum.

Dans son dépôt, la SEC a noté que certains commentateurs ont affirmé que la Commission devrait désapprouver les FNB Ethereum parce que la nature de l’Ether et du réseau Ethereum les rend « intrinsèquement susceptibles à la fraude », tandis que d’autres commentateurs ont argumenté le contraire.

Ce que cela signifie pour le Canada

Les investisseurs canadiens ont pu s’exposer aux FNB Bitcoin et Ethereum au comptant dans leurs portefeuilles depuis 2021. Ces FNB comprennent le Purpose Ether ETF (ETHH), le Evolve Ether ETF ( ETHR) et le FNB d’Ethereum CI Galaxy (ETHX).

L’article Les FNB Ethereum sur le point d’être approuvés par la SEC est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>