BMO – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Mon, 31 Mar 2025 11:08:02 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png BMO – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 L’argent reste la principale source de stress pour les Canadiens https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/largent-reste-la-principale-source-de-stress-pour-les-canadiens/ Mon, 31 Mar 2025 11:08:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106333 Le coût élevé de la vie et la peur de prendre des décisions financières, des obstacles à la gestion des finances.

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L’argent demeure la principale cause de stress pour 42 % les Canadiens, selon le dernier indice de stress financier de FP Canada.

Cette proportion représente une légère baisse par rapport aux 44 % l’an dernier, mais une tendance à la hausse sur les cinq dernières années. L’argent a dépassé la santé (21 %), les relations (17 %) et le travail (17 %) en tant que principale source de stress.

Les principaux facteurs affectant les finances personnelles sont le prix des produits alimentaires et l’inflation, cités respectivement par 64 % et 54 % des répondants. D’une génération à l’autre, les jeunes répondants étaient plus enclins que leurs aînés à citer le prix de l’immobilier comme facteur affectant leurs finances personnelles (45 % des 18-34 ans, contre 26 % des 35-54 ans et 15 % des 55 ans et plus).

Pour faire face au stress financier, les répondants estiment qu’il serait utile d’épargner davantage (48 %), de rembourser leurs dettes (40 %) et de constituer un fonds d’urgence (37 %). Cependant, ils n’ont pas mis ces solutions en pratique en raison du coût de la vie élevé (68 %), de la crainte de prendre de mauvaises décisions financières (52 %) et du manque de revenus disponibles (51 %).

Le manque d’éducation financière a également été cité — en particulier par les jeunes répondants — comme un obstacle à une gestion positive des finances. Les personnes âgées de 18 à 24 ans ont déclaré que le fait de ne pas savoir où obtenir des conseils financiers fiables (49 %), comment commencer à améliorer leurs finances (49 %) ou comprendre les concepts financiers (37 %) étaient les principaux obstacles. Pour les personnes âgées de 35 à 54 ans, ces chiffres étaient respectivement de 36 %, 41 % et 23 %.

L’année dernière, un sondage réalisé par BMO a révélé que 45 % des Canadiens utilisaient l’intelligence artificielle (IA) pour obtenir des informations sur les finances personnelles. Cependant, une majorité des répondants (68 %) a également souligné que l’IA ne parvient pas à saisir l’impact des émotions sur la planification financière.

Le dernier sondage de FP Canada a montré que les répondants bénéficiant d’une aide professionnelle en matière de finances sont généralement plus optimistes quant à leur avenir financier que ceux qui n’en reçoivent pas, avec 60 % contre 48 %. Cet écart de 12 points de pourcentage constitue la différence la plus marquée observée au cours des trois derniers sondages annuels.

Léger a réalisé l’indice de stress financier de FP Canada entre le 6 et le 13 janvier en utilisant le panel en ligne de Léger et en recevant les réponses de 2 010 Canadiens. L’organisme professionnel de l’industrie des sondages, le Canadian Research Insights Council, affirme que les sondages en ligne ne peuvent être assortis d’une marge d’erreur parce qu’ils ne constituent pas un échantillon aléatoire de la population.

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Les Canadiens se sont enrichis en 2024 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-canadiens-se-sont-enrichis-en-2024/ Mon, 31 Mar 2025 11:07:57 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106240 Mais l’incertitude entourant les tarifs douaniers pourrait annuler les gains.

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La valeur nette totale des ménages canadiens a augmenté durant les quatre trimestres de 2024, atteignant 17 500 milliards de dollars (G$) au dernier trimestre, selon Statistique Canada. Cela représente une hausse de près de 1 200 G$ par rapport à la fin de 2023.

Le dernier bilan national de Statistique Canada révèle que la valeur nette des ménages a progressé de 1,4 % (236,3 G$) au quatrième trimestre par rapport au troisième trimestre, principalement en raison de la croissance des actifs financiers, qui ont atteint un niveau record de 10 830 G$.

La croissance de l’indice composé de la Bourse de Toronto (S&P/TSX) a progressé de moins d’un tiers de sa hausse du trimestre précédent (3 %), mais il a tout de même surpassé la performance de l’indice S&P 500. La dépréciation rapide du dollar canadien a par ailleurs contribué à augmenter la valeur des investissements étrangers détenus par les ménages.

La hausse des actifs immobiliers a également soutenu la croissance de la richesse des ménages au cours du dernier trimestre de 2024, portant la valeur des actifs non financiers à 9 745 G$ (+0,6 %).

Maria Solovieva, économiste à la Banque Toronto-Dominion (TD), a déclaré au Financial Post que les résultats du quatrième trimestre étaient le fruit de l’effet cumulatif des cinq baisses de taux d’intérêt de la Banque du Canada en 2024, qui ont incité davantage de Canadiens à contracter des prêts hypothécaires.

Cependant, la croissance des ventes immobilières, qui a marqué un ralentissement en début d’année, pourrait se stabiliser au cours des prochains mois, car les occasions les plus accessibles liées à la baisse des taux hypothécaires ont déjà été saisies, prévient l’économiste.

Shelly Kaushik, économiste principale et vice-présidente à la Banque de Montréal (BMO), souligne pour sa part que le ratio dette/revenu des ménages a augmenté pour la première fois en près de deux ans au dernier trimestre, alors que l’endettement a progressé plus rapidement que les revenus.

Cette situation pourrait faire en sorte de freiner la progression de la richesse des ménages en 2025, car les turbulences du marché déclenchées par l’incertitude tarifaire ont grugé environ 1 % du S&P/TSX et 5 % du S&P 500 depuis le début de l’année.

Même si la Banque du Canada ramène son taux directeur à 2,25 % d’ici le milieu de l’année, les risques liés au commerce international pourraient éclipser les réductions de taux et les gains récents de la richesse des ménages, signale Nathan Janzen, économiste en chef adjoint à la Banque Royale du Canada (RBC).

Il souligne que les ménages à revenu moins élevé pourraient être plus durement affectés par une guerre commerciale par rapport à ceux qui gagnent un revenu plus élevé, car ils ont moins de capacité d’épargne et consacrent une plus grande part de leurs revenus à la consommation.

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BMO élargit sa gamme de CCAÉ https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bmo-elargit-sa-gamme-de-ccae/ Wed, 19 Mar 2025 11:45:47 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106116 PRODUITS – En lançant dix nouveaux produits de ce type.

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La Banque de Montréal (BMO) élargit sa gamme de certificats canadiens d’actions étrangères (CCAÉ) avec l’ajout de dix nouveaux produits. Ces derniers sont négociés à la bourse Cboe Canada depuis le 10 mars.

Ces nouveaux CCAÉ ciblent cinq entreprises allemandes, trois suisses et deux japonaises, soit :

  • Allianz SE (ALIZ)
  • Bayerische Motoren Werke AG (BMWY)
  • Deutsche Telekom AG (DTEL)
  • Siemens AG (SIEM)
  • Volkswagen AG (VWA)
  • ABB Ltd (ABB)
  • Lonza Group AG (LON)
  • Zurich Insurance Group AG (ZUR)
  • Hitachi, Ltd. (HTCI)
  • Sony Group Corporation (SONY)

Il s’agit du deuxième lancement de ce type pour l’institution, qui avait ainsi lancé cinq nouveaux CCAÉ au mois de février.

Ces derniers ciblaient également des entreprises renommées, dont deux européennes — Mercedes-Benz (MB) et Nestlé (NEST) — et trois japonaises : Toyota (TOYM), Honda (HNDA) et Nintendo (NTDO).

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Les avantages à sélectionner un FNB à la bourse canadienne https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/les-avantages-a-selectionner-un-fnb-a-la-bourse-canadienne/ Wed, 12 Mar 2025 10:05:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106061 FI TV - Erika Toth, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, explique les avantages et inconvénients de sélectionner un FNB coté à la Bourse canadienne par rapport à un FNB américain.

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Finance et Investissement : Pour un conseiller travaillant avec des clients canadiens, quels sont les avantages et les inconvénients de sélectionner un fond négocié en Bourse (FNB) coté à la Bourse canadienne par rapport à un FNB américain?

Erika Toth : Il y a maintenant beaucoup plus de FNB disponibles sur le marché canadien. On excède 1500 produits, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Les frais de gestion sont rendus maintenant très compétitifs et la liquidité est très bonne.

Enfin, il y a plusieurs avantages pour un investisseur canadien d’aller avec un FNB coté sur la Bourse canadienne :

  • premièrement, on épargne énormément sur les coûts de conversion de devise en achetant la version qui est transigée sur la bourse de Toronto;
  • deuxièmement, le conseiller évite d’exposer ses clients aux impôts successoraux américains;
  • et troisièmement, le client n’aura pas à compléter de formulaire de vérification des biens étrangers, le formulaire T11-35, chaque année sur les FNB cotés ici, car ce sont des fiducies canadiennes.

Les opinions exprimées sont celles d’Erika Thot, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, en date du 5 mars 2025, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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Revenus en hausse pour BMO, Scotia et Desjardins https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/revenus-en-hausse-pour-bmo-scotia-et-desjardins/ Wed, 26 Feb 2025 14:41:44 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105904 Pour le premier trimestre 2025.

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Le bénéfice net de Groupe financier BMO a bondi au premier trimestre de 2025 par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Il est passé de 1,292 milliard de dollars (G$) à 2 138 G$. Le bénéfice net par action comptable a grimpé de 1,73 $ à 2,83 $.

Au cours de la même période, le bénéfice net ajusté a augmenté de 1 893 G$ à 2 289 G$. Le bénéfice net ajusté par action est passé de 2,56 $ à 3,04 $.

Quant au total des revenus, il a progressé de 1,6 G$ en un an, de 7 672 G$ à 9 266 G$.

La dotation à la provision pour pertes sur créances de Groupe financier BMO a augmenté d’un premier trimestre à l’autre de 627 millions de dollars (M$) à 1 011 G$.

Le rendement des capitaux propres s’est élevé au premier trimestre de 2025 à 7,2 %, comparativement à 0,6 % un an plus tôt.

Le chef de la direction de BMO Groupe financier, Darryl White, croit que la diversification géographique et commerciale a permis au groupe de bien se positionner pour faire face à la concurrence et croître dans un contexte opérationnel dynamique.

Au cours du premier trimestre, Groupe financier BMO a racheté 1,2 million d’actions ordinaires aux fins d’annulation aux termes d’une offre publique de rachat dans le cours normal des activités. Un dividende de 1,59 $ par action ordinaire a été déclaré pour le deuxième trimestre de 2025, en hausse de 0,08 $, ou de 5 %, par rapport à l’exercice précédent.

Du côté de BMO Gestion de patrimoine, le bénéfice net comptable a augmenté pour atteindre 369 M$, soit 129 M$ de plus par rapport à l’exercice précédent. Le bénéfice net ajusté a quant à lui progressé de 130 M$ pour se situer à 371 M$. Le bénéfice net comptable de la division Gestion d’actifs et de patrimoine a augmenté pour sa part de 52 % (99 M$) pour totaliser 286 M$, en raison du raffermissement des marchés mondiaux et la croissance des ventes nettes, précise le groupe.

La division Marchés des capitaux a enregistré un bénéfice net comptable de 587 M$, en hausse de 49 %, par rapport à l’exercice précédent. Le bénéfice net ajusté s’est fixé à 591 M$, en hausse de 183 M$. La croissance de ce secteur a cependant été tempérée par la hausse des charges et la dotation à la provision pour pertes sur créances plus élevée.

Le total des dotations à la provision pour pertes sur créances de BMO s’est chiffré à 1, 011 G$, comparativement 627 M$ à l’exercice précédent. La dotation liée aux prêts douteux a augmenté de 386 M$ en un an, s’établissant à 859 M$, poussée par les secteurs des services bancaires aux grandes entreprises et du crédit à la consommation non garanti.

Banque Scotia : des progrès malgré l’incertitude

Le bénéfice net de la Banque Scotia a diminué en un an au premier trimestre, de 2 199 G$
à 993 M$ en raison d’une perte de valeur de 1 355 M$ liée à la vente annoncée des activités bancaires de la Scotia en Colombie, au Costa Rica et au Panama. Le bénéfice par action dilué s’est établi à 0,66 $, comparativement à 1,68 $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Malgré cela, le bénéfice net ajusté de la banque est en hausse pour le premier trimestre. Il s’est établi à 2 362 G$ comparativement à 2 212 G$ au T1 2024. Le bénéfice par action dilué a augmenté de 1,69 à 1,76 $, tandis que le rendement des capitaux propres s’est établi à 11,8 %, comparativement à 11,9 % au premier trimestre 2024.

Le président et chef de la direction de la Banque Scotia, Scott Thomson, croit que, compte tenu de l’incertitude économique, la banque progresse vers la réalisation de ses objectifs financiers à court terme, notamment grâce à la diversification de ses activités et à l’approfondissement des relations avec les clients.

Le secteur Gestion de patrimoine mondiale a dégagé un bénéfice net ajusté de 416 M$, en augmentation de 22 % sur un an. Ce résultat est dû à la hausse des honoraires liés aux fonds communs de placement, des commissions de courtage et des revenus d’intérêts nets dans les activités de gestion de patrimoine au Canada et à l’international, précise la banque. Les actifs sous gestion ont progressé de 16 % pour s’élever à 396 G$.

Le réseau canadien de la Scotia a enregistré une baisse du bénéfice net ajusté de 6 %, ce qui le porte à 914 M$, grâce à l’augmentation de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances et des charges autres que d’intérêts. La division des services bancaires et marchés mondiaux est celle qui affiche la plus forte hausse du bénéfice net, soit 33 % au premier trimestre, à 517 M$.

La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances de la Scotia s’est chiffrée à 1 162 G$, soit une hausse de 200 M$ en un an. Le montant brut des prêts douteux a quant à lui augmenté pour s’établir à 7 064 G$ au 31 janvier 2025, par rapport à 6 739 G$ au trimestre précédent. Pour le réseau canadien de la banque, des prêts nouvellement classés comme douteux ont fait grimper ce montant de 87 M$ au premier trimestre pour atteindre 1 588 G$.

Desjardins met plus d’argent de côté pour les pertes de crédits

Le Mouvement Desjardins a augmenté ses excédents de plus de 1 G$ en 2024. Malgré une forte croissance, la coopérative met de côté plus d’argent pour d’éventuelles pertes dans un contexte économique incertain.

L’excédent avant ristourne, l’équivalent des profits pour une coopérative, atteint 3,4 G$ au cours de l’exercice 2024, selon les résultats dévoilés mardi en début d’après-midi. Il s’agit d’une augmentation de 32,7 %. La coopérative a souligné que les revenus d’intérêts et les revenus du secteur de l’assurance-dommages sont en croissance.

Desjardins met toutefois plus d’argent de côté en cas de pertes. La dotation pour pertes de crédit en 2024 atteint 597 M$, en hausse de 68 M$.

La coopérative avait déjà augmenté significativement sa dotation pour perte en 2023. Elle avait presque doublé pour atteindre 529 M$, tandis qu’on observait un ralentissement dans les secteurs les plus touchés par la baisse des dépenses discrétionnaires.

Le président et chef de la direction du Mouvement Desjardins, Guy Cormier, a souligné que la menace de tarifs brandie par l’administration Trump est une source d’incertitude pour ses membres et clients.

« Ce n’est pas la première fois que nous faisons face à une telle situation, et nous continuerons d’accompagner nos membres et clients, peu importe le contexte », assure-t-il dans un communiqué.

Guy Cormier doit tenir une conférence de presse plus tard en après-midi.

La coopérative a augmenté sa ristourne de 25 M$ pour atteindre 437 M$, toujours au cours de l’exercice 2024. En ajoutant les commandites, dons et bourses d’études, Desjardins a remis 557 M$ à la collectivité.

Avec la collaboration de La Presse Canadienne

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BMO veut dissoudre certains fonds https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bmo-veut-dissoudre-certains-fonds/ Mon, 24 Feb 2025 12:00:20 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105653 PRODUITS – Six produits sont concernés.

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BMO Gestion d’actif et BMO Investissements ont décidé de mettre fin à quatre fonds négociés en Bourse (FNB) et deux fonds aux alentours du 25 avril, soit :

  • le FINB BMO ESG obligations de sociétés américaines à haut rendement ;
  • le BMO Fonds d’actions américaines de croissance CMF ;
  • le FINB BMO TIPS américains ;
  • le BMO Fonds d’actions américaines de valeur CMF ;
  • le FNB BMO de banques canadiennes à rendement majoré ;
  • et le FNB BMO d’actions américaines à rendement majoré couvert en dollars canadiens.

Les souscriptions directes de parts ne sont d’ailleurs plus acceptées depuis le 12 février dernier. Les parts des FNB et fonds dissous feront l’objet d’un rachat obligatoire le 25 avril.

Les biens de ces produits seront distribués au prorata entre les porteurs de parts respectifs à la date de dissolution, en fonction de la valeur liquidative par part du FNB dissous ou du fonds dissous en question.

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Les Canadiens estiment avoir besoin de 1,5 M$ pour leur retraite https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-canadiens-estiment-avoir-besoin-de-15-m-pour-leur-retraite/ Thu, 20 Feb 2025 12:32:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105675 Ils épargnent plus que jamais, mais s’inquiètent pour leur avenir.

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L’inflation continue de peser lourdement sur le moral des Canadiens, mais ne les empêche pas de battre des records en matière d’épargne retraite. Selon le 15e sondage annuel de BMO sur la retraite, les cotisations moyennes aux REER devraient atteindre un sommet historique de 7 447 $ cette année, soit une hausse de 14 % par rapport à l’année précédente.

Cette augmentation significative intervient paradoxalement dans un contexte où plus des trois quarts des Canadiens (76 %) expriment leurs inquiétudes quant à leur capacité à maintenir un niveau de vie convenable à la retraite face à la hausse des prix. Le montant jugé nécessaire pour une retraite confortable s’établit désormais à 1,54 million de dollars (M$) en moyenne, en légère baisse par rapport aux 1,67 M$ estimés en 2023.

Les répercussions de l’inflation se font particulièrement sentir chez 63 % des répondants, qui affirment que la hausse des prix au cours des douze derniers mois a affecté leur capacité d’épargne.

Pour faire face à cette situation, les Canadiens adoptent diverses stratégies :

  • certains réduisent leurs autres dépenses pour maintenir leur niveau d’épargne retraite,
  • d’autres diminuent leurs cotisations,
  • tandis que les derniers envisagent de prolonger leur vie active ou de reporter leur épargne retraite.

« De nombreux Canadiens continuent de faire preuve de résilience faisant de l’épargne et de l’investissement en vue de leur retraite une priorité absolue », souligne Brent Joyce, stratège en chef, Placements et premier directeur général de BMO Gestion privée de placements, qui recommande d’adopter une stratégie de portefeuille adaptée pour contrer les effets de l’inflation à long terme.

Le sondage a été mené par Pollara auprès de 1 500 adultes canadiens en novembre 2024.

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Des FNB pour investir dans l’économie américaine https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/des-fnb-pour-investir-dans-leconomie-americaine/ Tue, 18 Feb 2025 12:04:10 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105560 PRODUITS – Pour 11 grands secteurs du S&P 500.

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BMO Gestion d’actifs lance une nouvelle gamme de fonds indiciels négociés en Bourse (FINB) sectoriels sélectionnés SPDR. Ces produits visent à offrir aux investisseurs canadiens un accès simplifié aux secteurs du marché américain en permettant d’ajuster l’allocation stratégique d’actifs et de saisir des opportunités tactiques en fonction de leurs objectifs d’investissement.

Les investisseurs pourront désormais négocier des FINB couvrant les 11 secteurs de la norme de classification industrielle mondiale (GICS) du S&P 500, en versions couverte et non couverte, directement sur une bourse canadienne.

Chaque FINB BMO sectoriel sélectionné SPDR a clôturé son placement initial et a débuté sa cotation à la Bourse de Toronto. Voici la liste des nouveaux fonds disponibles :

  • Services de communications — Indice : Communication Services Select Sector SPDR Fund
  • Consommation discrétionnaire — Indice : Consumer Discretionary Select Sector SPDR Fund
  • Biens de consommation essentiels — Indice : Consumer Staples Select Sector SPDR Fund
  • Énergie — Indice : Energy Select Sector SPDR Fund
  • Services financiers — Indice : Financial Select Sector SPDR Fund
  • Santé — Indice : Health Care Select Sector SPDR Fund
  • Produits industriels — Indice : Industrial Select Sector SPDR Fund
  • Matières premières — Indice : Materials Select Sector SPDR Fund
  • Immobilier — Indice : Real Estate Select Sector SPDR Fund
  • Technologies — Indice : Technology Select Sector SPDR Fund
  • Services aux collectivités — Indice : Utilities Select Sector SPDR Fund

« Nous sommes ravis d’offrir aux investisseurs canadiens ces nouveaux FINB, qui leur permettent d’accéder plus facilement aux marchés américains et de renforcer leurs portefeuilles », a souligné Bipan Rai, chef des stratégies de FNB chez BMO Gestion mondiale d’actifs, dans un communiqué.

En plus de procurer une exposition aux sociétés du S&P 500, la version couverte de ces FINB offre une protection efficace contre le risque de change. « Ces fonds ont été conçus en s’appuyant sur les meilleures idées de notre équipe, afin de répondre aux besoins variés des investisseurs », a-t-il ajouté.

BMO signale par ailleurs que les stratégies sectorielles visent à permettre aux investisseurs d’adapter leurs portefeuilles en fonction des tendances économiques, des changements dans les fondamentaux des entreprises et des indicateurs techniques.

Chaque FINB BMO sectoriel sélectionné investira la majeure partie de ses actifs, directement ou indirectement, dans l’indice de référence, en reproduisant sa composition dans des proportions similaires. Son objectif est de répliquer la performance d’un indice exposé aux grandes capitalisations américaines dans un secteur donné, avant déduction des frais et dépenses.

Les investissements dans les fonds négociés en Bourse peuvent entraîner des frais de courtage, des frais de gestion et d’autres coûts, rappelle BMO, qui recommande aux investisseurs de consulter la documentation officielle avant toute décision d’investissement.

Des certificats canadiens d’actions étrangères
BMO a par ailleurs dévoilé ses deux premiers nouveaux certificats canadiens d’actions étrangères (CCAÉ), désormais négociables sur la bourse de croissance Cboe Canada. L’offre initiale a été clôturée, et les certificats sont disponibles sous les symboles suivants :

  • Mercedes-Benz (MB) : actions ordinaires de Mercedes-Benz Group AG
  • Nestlé (NEST) : actions nominatives de Nestlé SA

Couverts en dollars canadiens, ils sont émis en euros pour MB et en francs suisses pour NEST. Les titres MB sont liés à la Bourse de Francfort (FWB), tandis que les titres NEST reposent sur la Bourse suisse (SIX).

Ces certificats offrent aux investisseurs une alternative à la négociation directe sur les marchés internationaux, tout en leur permettant de bénéficier d’une exposition mondiale. En étant couverts contre le risque de change, ils atténuent les fluctuations monétaires auxquelles un investisseur serait exposé en détenant directement les actions étrangères, souligne BMO.

BMO prévoit d’élargir cette gamme avec d’autres certificats canadiens d’actions de sociétés internationales, notamment ABB, Adidas, BMW, Nintendo, Novartis, Siemens et Toyota, couvrant ainsi les marchés allemand, japonais et suisse.

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L’amour au temps de l’inflation https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/lamour-au-temps-de-linflation/ Fri, 14 Feb 2025 12:03:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105551 Dur, dur pour Cupidon !

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Selon un rapport spécial sur la Saint-Valentin de l’Indice de BMO sur l’amélioration des finances, 56 % des Canadiens disent que la hausse du coût de la vie entraîne des répercussions sur les fréquentations.

Le sondage révèle ainsi que 42 % des répondants célibataires ont modifié leurs projets de fréquentations pour des raisons financières, 30 % d’entre eux ayant même annulé un rendez-vous pour économiser de l’argent.

Le coût de la recherche de l’amour

D’après le sondage, les répondants dépensent en moyenne 173 $ par rendez-vous.

En moyenne, les Canadiens en couple ont eu entre 10 et 21 rendez-vous avant de s’engager dans une relation, ce qui suggère des dépenses pouvant aller jusqu’à 3 621 $ avant d’officialiser leur relation.

Par rapport à leurs finances, 38 % affirment que les coûts associés aux rencontres amoureuses ont nui à leur capacité d’atteindre leurs objectifs financiers.

Plus de deux célibataires sur cinq (41 %) ont souvent quitté un premier rendez-vous avec le sentiment d’avoir perdu temps et argent.

Quant aux applications ou agences de rencontres, 60 % des répondants ne sont pas disposés à dépenser de l’argent.

Ceux qui sont prêts à investir pour ces services ne dépenseront en moyenne que 16 $ par an.

Les rencontres en perte de vitesse

Si les célibataires ont eu en moyenne trois rendez-vous au cours des 12 derniers mois, 55 % d’entre eux déclarent n’avoir eu aucun rendez-vous au cours de l’année écoulée.

Les hommes célibataires ont eu quatre rendez-vous en moyenne au cours des 12 derniers mois, comparativement à trois pour les femmes.

Des perceptions différentes selon les sexes

Lorsque les célibataires évaluent les finances de leur partenaire potentiel, les traits financiers les plus attrayants sont :

  • le sens des responsabilités financières (95 %) ;
  • la capacité à discuter de leurs finances avec leur partenaire (88 %) ;
  • le fait d’avoir un bon plan financier (87 %) ;
  • et une trajectoire professionnelle réussie (83 %).

Cela dit, les femmes célibataires sont plus enclines que les hommes à considérer qu’une faible cote de crédit (7 % de plus) et que des revenus moins élevés pour leur partenaire (5 % de plus) constituent des facteurs de rupture financière.

Pour leur part, 50 % des hommes célibataires reconnaissent que leur valeur nette influence leurs perspectives de rencontre, soit 12 % de plus que les femmes. En outre, ils se sentent davantage obligés (20 %) que les femmes d’organiser des rendez-vous coûteux.

Une source de conflits

Un tiers des Canadiens en couple déclare que les dépenses provoquent souvent des conflits, et 38 % estiment que leur partenaire ou conjoint dépense trop.

En outre, 27 % pensent que des revenus différents créent des tensions dans la relation.

Enfin, 11 % admettent n’avoir pas dit la vérité à leur partenaire sur leurs finances.

En moyenne, les couples discutent de leurs finances deux fois par mois.

Par ailleurs, 82 % des répondants en couple pensent que les finances devraient être abordées au début d’une relation, 37 % lorsque la relation devient officielle, 32 % lorsque l’on prévoit d’emménager ensemble, 10 % après les premiers rendez-vous et 11 % au moment des fiançailles et/ou du mariage.

On combine ou pas ?

Selon le sondage, 76 % des répondants en couple partagent ou ont intégré leurs finances avec leur partenaire ou conjoint et se sentent à l’aise d’en discuter avec eux (86 %).

Quant au moment idéal pour combiner les finances, 46 % pensent que c’est lors des fiançailles ou du mariage, de l’emménagement ou de l’achat d’une maison ensemble (32 %) et de l’officialisation de la relation (7 %).

Enfin, 24 % des Canadiens en couple ne partagent pas ou n’intègrent pas leurs finances avec celles de leur partenaire ou conjoint.

La prévoyance s’impose

Quel que soit le statut de la relation, il est crucial de se préparer à faire face à des dépenses imprévues comme la perte d’un emploi, des problèmes de santé ou même la rupture de la relation ou le divorce.

Il est recommandé de disposer d’un fonds d’urgence assez liquide couvrant de trois à six mois de frais de subsistance.

Il est important de comprendre l’état d’esprit de chacun concernant les finances, y compris les actifs qui devraient être combinés et rester séparés, les objectifs communs et les dettes en cours, et de résoudre les divergences éventuelles.

Gare aux arnaques amoureuses !

Les sites et applications de rencontres attirent de nombreux célibataires à la recherche d’un partenaire, mais aussi des criminels utilisant l’intelligence artificielle (IA) pour escroquer leurs victimes.

Ces fraudeurs affichent de fausses intentions romantiques pour gagner la confiance de leurs victimes dans le but d’accéder à leur argent (argent liquide, cartes-cadeaux, informations sur les cartes de crédit), à leurs informations personnelles et/ou à leurs comptes bancaires.

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Changements apportés à des fonds BMO https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/changements-apportes-a-des-fonds-bmo/ Thu, 13 Feb 2025 11:54:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105369 PRODUITS – Des réductions de frais et d’administration sont au programme.

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BMO Investissements réduit les frais de gestion et d’administration de deux fonds BMO, soit le Fonds de rendement d’actions stratégiques BMO et le Fonds de rendement à revenu fixe stratégique BMO. De plus, les titres de Série S deviennent désormais admissibles pour le Fonds de rendement d’actions stratégiques BMO.

BMO Investissements procède à une réduction des frais de gestion pour les titres de Série A, Série F et Série Conseiller de chaque fonds, selon les modalités suivantes :

Frais de gestion annuels actuels Nouveaux frais de gestion annuels
Séries de titres du Fonds de rendement d’actions stratégiques BMO
Série A 1,55 % 1,45 %
Série F 0,55 % 0,45 %
Série Conseiller 1,55 % 1,45 %
Séries de titres du Fonds de rendement à revenu fixe stratégique BMO
Série A 1,05 % 0,95 %
Série F 0,55 % 0,45 %
Série Conseiller 1,05 % 0,95 %

Désormais, BMO Investissements prendra en charge les frais d’administration relatifs aux titres de Série A, Série F et Série Conseiller du Fonds de rendement d’actions stratégiques BMO.

Le Fonds de rendement d’actions stratégiques BMO continuera de régler directement les frais liés au fonds.

Quant aux frais d’administration fixes de 0,10 % que le Fonds de rendement à revenu fixe stratégique BMO versait à BMO Investissements pour les titres de Série A, Série F et Série Conseiller, ceux-ci seront supprimés.

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