BMO – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Mon, 14 Apr 2025 11:10:55 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png BMO – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Climat : la BMO défend ses efforts https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/climat-la-bmo-defend-ses-efforts/ Mon, 14 Apr 2025 11:10:55 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106745 Ceux-ci sont remis en cause après l’accueil de la conférence de l’ACPP par l’institution.

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Le chef de la direction de la Banque de Montréal (BMO) a défendu les efforts climatiques de la banque, alors qu’elle était confrontée à des résolutions d’actionnaires lors de son assemblée générale annuelle, qui demandaient plus de transparence sur ses projets.

Des investisseurs et des militants avaient exhorté la banque à divulguer sa stratégie de lobbying et ses efforts politiques en faveur du climat, ainsi que la comparaison de son financement des énergies renouvelables avec celui des combustibles fossiles.

Cette assemblée a eu lieu la semaine même où BMO accueillait la conférence annuelle de l’Association canadienne des producteurs pétroliers (ACPP) à Toronto, ce qui, selon les défenseurs du climat, a remis en question l’engagement de la banque en faveur de l’action climatique.

« S’associer à l’ACPP a profondément entamé votre crédibilité auprès des parents de tout le pays », a déclaré lors de l’assemblée, vendredi, Gabrielle Willms, représentante du groupe de défense « For Our Kids ».

« Cette décision remet en question l’engagement de BMO à atteindre ses objectifs de carboneutralité et contrevient à sa propre politique de lobbying visant à s’aligner sur l’Accord de Paris », a-t-elle ajouté.

Le chef de la direction de BMO, Darryl White, a mentionné que la banque s’engageait à être le partenaire principal des entreprises dans la transition énergétique, ce qui implique notamment de rencontrer les défenseurs de l’énergie des deux côtés.

« Nous sommes impliqués dans de nombreuses associations, qui ont des points de vue différents, et nous reconnaissons qu’il y a également des points de vue divergents lors de cette assemblée », a souligné Darryl White.

L’engagement de BMO dans diverses associations vise avant tout à être le partenaire principal de la transition pour ses clients et à garantir un dialogue sur cette transition, a-t-il ajouté.

« Tout cela mène au même objectif : la capacité à organiser un dialogue et à ne pas renvoyer ces points de vue divergents dans des impasses, ce qui, selon nous, est absolument crucial dans la transition que nous avons engagée à l’horizon 2050 et au-delà », a-t-il précisé.

La résolution d’actionnaires proposée par Investors for Paris Compliance visait à ce que BMO divulgue mieux la nature de ses différentes associations et les domaines dans lesquels elle concentre ses actions.

La banque se contredit quelque peu, selon Matt Price, directeur général du groupe climatique, dans la mesure où BMO incite ses propres clients à mieux divulguer leurs travaux politiques tout en négligeant de faire les siens.

« La banque comprend parfaitement ce principe, car elle est présente sur le marché pour le promouvoir, mais elle ne fait pas elle-même ce qu’elle demande aux autres de faire, a indiqué Matt Price lors d’une entrevue. Il y a une certaine hypocrisie. »

BMO, qui a exhorté ses actionnaires à voter contre la proposition, a déclaré dans sa réponse par procuration qu’elle respectait déjà toutes les exigences de divulgation.

La proposition a reçu 20 % de soutien lors de l’assemblée générale annuelle.

L’autre proposition, concernant la publication par la banque de la comparaison de ses financements pour les énergies à faible et à forte teneur en carbone, a recueilli 32 % de soutien.

Proposée par SHARE, la proposition a également été présentée à la TD et à la CIBC. Une proposition similaire à la Banque Scotia a été retirée, car la banque a accepté de divulguer le ratio, tandis que RBC avait accepté de le faire l’an dernier.

Dans sa réponse, BMO a indiqué qu’il n’existait aucun moyen standardisé d’établir ce ratio et qu’elle communiquait déjà d’autres informations.

Selon un rapport BloombergNEF publié en janvier, BMO affichait le pire ratio de toutes les grandes banques mondiales, avec un ratio de 23 cents consacrés aux énergies bas carbone pour chaque dollar consacré aux combustibles fossiles en 2023.

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Les avantages de la position de BMO https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/les-avantages-de-la-position-de-bmo/ Wed, 09 Apr 2025 10:59:55 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106284 FI TV — Erika Toth, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, explique les avantages de la position de leader de BMO Gestion mondiale d’actifs.

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Finance et Investissement : Selon Valeurs mobilières TD, BMO détient la plus grande part de marché en termes d’actifs sous gestion dans les fonds négociés en Bourse (FNB) de titres à revenu fixe cotés au Canada, avec 31 %. Quel avantage concurrentiel cette position de leader offre-t-elle à BMO Gestion mondiale d’actifs, et comment un conseiller en placement peut-il en faire bénéficier ses clients?

Erika Toth : Nous gérons un actif de 44 milliards de dollars en FNB obligataires. Cela présente plusieurs avantages :

  • les ratios de frais de gestion (RFG) auront tendances à être très compétitifs dès le départ ;
  • vous profiterez des économies d’échelle ;
  • et vous profiterez d’une tarification institutionnelle, d’écarts acheteurs/vendeurs beaucoup plus serrés par rapport à d’autres fournisseurs.

L’avantage sera encore meilleur si l’on compare à l’achat d’obligation à la pièce où les écarts peuvent être énormes. Et le client ne gagnerait pas le même rendement à échéance qu’avec un FNB.

Avec les FNB obligataires de BMO, vous aurez une excellente liquidité de transaction, garantissant la meilleure exécution et permettant même une utilisation très active, voire tactique des FNB.

Vous aurez le choix entre de nombreuses exécutions. Vous pourrez être très précis et pourrez déterminer avec exactitude l’exposition au risque de crédit ou de durée que vous souhaitez.

Les opinions exprimées sont celles d’Erika Thot, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, en date du 5 mars 2025, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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Créations nettes record en mars pour les FNB canadiens https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/creations-nettes-record-en-mars-pour-les-fnb-canadiens/ Wed, 09 Apr 2025 10:40:33 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106608 FOCUS FNB – La guerre tarifaire stimule la demande de FNB d’actifs non américains.

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En mars, les fonds négociés en Bourse (FNB) canadiens ont enregistré des créations nettes record de 13,6 milliards de dollars (G$), dépassant de 28 % le précédent record d’entrées nettes mensuel établi en décembre 2024, selon un rapport de Banque Nationale Marchés financiers (BNMF).

Les entrées nettes de mars dépassent de près de 4 G$ celles de février (9,5 G$). D’après BNMF, les actifs en FNB canadiens totalisaient 545 G$ à la fin du premier trimestre. Depuis le début de l’année, les créations nettes atteignent 32 G$.

En mars, les FNB de titres à revenu fixe arrivent en tête des entrées nettes avec 6,3 G$ (comparativement à 4,5 G$ en février) devançant celles des FNB d’actions (5,9 G$). Les FNB multiactifs ont reçu 787 M$ et les FNB à effet de levier ou à levier inversés 393 M$, tandis que les FNB de matières premières ont attiré 165 M$, principalement dans les FNB de lingots d’or. Les FNB de cryptoactifs affichent des entrées nettes de 8 M$.

La guerre tarifaire entre les États-Unis et le reste du monde a influé sur les préférences d’achats des clients, comme l’indique BNMF : « Les FNB d’actions internationales ont connu une explosion soudaine de la demande de 3,8 G$, les investisseurs se tournant vers l’étranger pour éviter une guerre commerciale potentiellement préjudiciable déclenchée par les annonces de tarifs douaniers du président au début de l’année. Bien que cette tendance ait existé à plus petite échelle au cours des derniers mois, elle a été motivée par un nouveau désir de se diversifier par rapport au marché des actions américaines, potentiellement surévalué, alors que son cycle haussier de deux ans est en train de subir une correction. »

En conséquence, les créations nettes de mars dans les FNB d’actions américaines ont continué à ralentir. Elles ont totalisé 737 M$ comparativement à 1 G$ le mois précédent, tandis qu’en janvier, elles représentaient 3,3 G$.

Forte demande pour les actions internationales

Les créations nettes dans les actions internationales représentent en mars plus du double de celles de février. Les investisseurs se sont tournés vers les FNB d’actions internationales et les actions canadiennes pour éviter les impacts potentiellement négatifs d’une guerre commerciale avec les États-Unis, commentent les analystes de BNMF Daniel Straus, Tiffany Zhang et Linda Ma.

Les entrées nettes dans les FNB d’actions internationales ont surtout été stimulées par les FNB indiciels des marchés développés (TPE, DMEI, ZEA, XEF), en raison d’une demande institutionnelle plus forte, indique le rapport.

Les FNB d’actions canadiennes ont quant à elles attiré 1,4 G$ le mois dernier, alors que ce type de fonds subissait des rachats nets en janvier.

Les FNB d’actions thématiques ont attiré 131 M$. Les FNB d’actions sectorielles ont quant à eux reçu 1,6 G$ en créations nettes. Le secteur financier (ZEB) enregistre la quasi-totalité des entrées (1,3 G$), tandis que le secteur de l’énergie affiche des rachats (69 M$).

Dans le revenu fixe, les créations nettes des FNB du marché monétaire (ZMMK, CASH, CBIL, CMR) ont atteint 2,2 G$, dépassant de peu celles des FNB d’obligations canadiennes agrégées (ZAG, ZCPB), qui se sont élevées à 2,0 G$. Toutes les catégories de FNB à revenu fixe ont reçu des entrées nettes, à l’exception des FNB d’obligations étrangères (XGGB, XEB) et d’actions privilégiées.

Les entrées dans les FNB de cryptoactifs se sont élevées à 8 M$ par rapport à 15 M$ en février et à 98 M$ en janvier.

24 nouveaux FNB

En mars, les principaux émetteurs de FNB ont enregistré des créations nettes, à l’exception de CI qui a affiché des rachats nets de 24 M$. BMO arrive en tête avec 3,5 G$, RBC iShares suit avec 2,2 G$, puis TDAM (1,3 G$) et Desjardins (1,2 G$). Fidelity se positionne avec 877 M$. En termes de croissance mensuelle des actifs pour les différents émetteurs, Desjardins, CIBC, FNB Capital Group et JPMorgan ont enregistré les pourcentages les plus élevés.

Le FNB BMO Equal Weight Banks Index (ZEB) a attiré les plus importantes entrées nettes du mois (1,1 G$). Le FNB BMO S&P 500 Index (ZSP) a enregistré pour un deuxième mois consécutif les rachats les plus notables (1 G$).

Une vague de 24 nouveaux FNB est arrivée sur le marché canadien en mars. Evolve et Harvest sont à l’origine de plus de la moitié des lancements. Les autres sont le fruit de BMO, JPMorgan, Starlight et Guardian. Plusieurs des nouveaux FNB lancés en mars sont à effet de levier. On retrouve également des FNB axés sur les obligations à date cible, sur les facteurs uniques et sur les options d’achat couvertes.

Les FNB ESG tirés par les actions

Après un mois de février record sur le plan des créations nettes (325 M$), les FNB axés sur les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) cotés au Canada ont attiré 172 M$ en mars, ce qui porte les créations nettes du premier trimestre à 766 M$.

Les entrées nettes ont été dominées par les FNB ESG d’actions (106 M$), notamment les actions mondiales (89 M$), ainsi que le secteur de l’environnement (67 M$). Le NBI Sustainable Global Equity FNB (NSGE) et le Desjardins RI EM Multifactor — Net Zero Emissions (DRFE) ont reçu les plus importantes entrées nettes. Aucune nouvelle inscription ou radiation de FNB ESG n’a eu lieu le mois dernier.

Selon le rapport de BNMF, « l’hiver de l’investissement ESG » de 2024 tire à sa fin. Il considère que les élections fédérales canadiennes pourraient dicter l’appétit des investisseurs pour l’ESG pour le reste de l’année 2025, en raison des différences importantes entre les programmes des partis libéral et conservateur dans les politiques environnementales et de carbone.

Croissance équilibrée

L’année 2025 commence sur une note plus équilibrée que 2024, alors que les entrées nettes du premier trimestre avaient été nettement dominées par les FNB d’actions. Pour les trois premiers mois de 2025, le portrait est plus équilibré : 14,3 G$ ont été investis dans les FNB d’actions et 13,2 G$ dans les FNB de titres à revenu fixe, signale BNMF.

Les FNB à faible volatilité ont tiré les marrons du feu, recueillant depuis le début de l’année 1 G$ en raison de leurs bonnes performances lors des baisses de marché.

Dans le revenu fixe, les FNB d’obligations totales de marché large ont été les plus demandés, avec des créations nettes de 5,3 G$, suivis de ceux du marché monétaire (4,4 G$ en créations nettes), réparties également entre les FNB de titres du marché monétaire et les FNB de liquidités.

Pour le premier trimestre de 2025, BMO affiche les plus importantes créations nettes (6,2 G$), suivie de RBC iShares (5,7 G$), Vanguard (3,8 G$), Fidelity (2,5 G$) et TD (2,3 G$).

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BMO lance de nouveaux FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bmo-lance-de-nouveaux-fnb-2/ Fri, 04 Apr 2025 11:06:35 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106411 PRODUITS – Il s’agit de produits à échéance cible.

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BMO Gestion d’actifs lance trois nouveaux fonds négociés en Bourse (FNB) d’obligations à échéance cible, soit :

  • le BMO FNB obligations de sociétés canadiennes Objectif 2027 (TSX : ZXCO),
  • le BMO FNB obligations de sociétés canadiennes Objectif 2028 (TSX : ZXCP),
  • et le BMO FNB obligations de sociétés canadiennes Objectif 2029 (TSX : ZXCQ).

Ces trois produits sont négociés à la Bourse de Toronto depuis le 21 mars.

Les FNB d’obligations à échéance cible de BMO combinent les avantages des FNB d’obligations traditionnels, soit diversification et gestion professionnelle, aux avantages des obligations individuelles, notamment les échéances définies.

Cela permet aux investisseurs de fixer des objectifs ou à faire coïncider les dates d’échéance avec les horizons d’investissement, comme le financement des études des enfants ou l’achat d’une propriété.

À noter que les FNB d’obligations à échéance cible de BMO diffèrent des FNB d’obligations à échéance cible traditionnels sur plusieurs points. Alors que les FNB d’obligations à échéance cible traditionnels sont assujettis au risque de réinvestissement, les FNB d’obligations à échéance cible de BMO sont conçus pour procurer un revenu pendant une période fixe au cours de l’année d’échéance et pour minimiser le risque de réinvestissement.

« Les FNB d’obligations à échéance cible de BMO offrent aux investisseurs une autre option de revenu fixe, ce qui leur permet d’adapter plus efficacement leur combinaison globale de placements à revenu fixe, décrit Matt Montemurro, chef, FINB de titres à revenu fixe et d’actions, BMO Gestion mondiale d’actifs. Les FNB d’obligations à échéance cible de BMO offrent aux investisseurs une expérience semblable à celle des obligations, avec les avantages de liquidité et de diversification d’un FNB. »

Objectifs des fonds

Le BMO FNB Obligations de sociétés canadiennes Objectif 2027 vise à générer un revenu jusqu’à la fin de la période, prévue autour du 19 novembre 2027. Pour ce faire, il investit essentiellement dans des titres de créance de qualité émis par des entités canadiennes, dont la date d’échéance effective est en 2027. Il utilise également des produits dérivés pour mettre en place une stratégie de couverture afin de minimiser le risque de réinvestissement lié aux échéances échelonnées des obligations en 2027.

Le BMO FNB obligations de sociétés canadiennes Objectif 2028 et le BMO FNB obligations de sociétés canadiennes Objectif 2029 poursuivent le même objectif, soit de générer un revenu jusqu’à la fin de la période, qui se termine respectivement le 24 novembre 2028 pour le premier et le 30 novembre 2029 pour le second.

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L’argent reste la principale source de stress pour les Canadiens https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/largent-reste-la-principale-source-de-stress-pour-les-canadiens/ Mon, 31 Mar 2025 11:08:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106333 Le coût élevé de la vie et la peur de prendre des décisions financières, des obstacles à la gestion des finances.

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L’argent demeure la principale cause de stress pour 42 % les Canadiens, selon le dernier indice de stress financier de FP Canada.

Cette proportion représente une légère baisse par rapport aux 44 % l’an dernier, mais une tendance à la hausse sur les cinq dernières années. L’argent a dépassé la santé (21 %), les relations (17 %) et le travail (17 %) en tant que principale source de stress.

Les principaux facteurs affectant les finances personnelles sont le prix des produits alimentaires et l’inflation, cités respectivement par 64 % et 54 % des répondants. D’une génération à l’autre, les jeunes répondants étaient plus enclins que leurs aînés à citer le prix de l’immobilier comme facteur affectant leurs finances personnelles (45 % des 18-34 ans, contre 26 % des 35-54 ans et 15 % des 55 ans et plus).

Pour faire face au stress financier, les répondants estiment qu’il serait utile d’épargner davantage (48 %), de rembourser leurs dettes (40 %) et de constituer un fonds d’urgence (37 %). Cependant, ils n’ont pas mis ces solutions en pratique en raison du coût de la vie élevé (68 %), de la crainte de prendre de mauvaises décisions financières (52 %) et du manque de revenus disponibles (51 %).

Le manque d’éducation financière a également été cité — en particulier par les jeunes répondants — comme un obstacle à une gestion positive des finances. Les personnes âgées de 18 à 24 ans ont déclaré que le fait de ne pas savoir où obtenir des conseils financiers fiables (49 %), comment commencer à améliorer leurs finances (49 %) ou comprendre les concepts financiers (37 %) étaient les principaux obstacles. Pour les personnes âgées de 35 à 54 ans, ces chiffres étaient respectivement de 36 %, 41 % et 23 %.

L’année dernière, un sondage réalisé par BMO a révélé que 45 % des Canadiens utilisaient l’intelligence artificielle (IA) pour obtenir des informations sur les finances personnelles. Cependant, une majorité des répondants (68 %) a également souligné que l’IA ne parvient pas à saisir l’impact des émotions sur la planification financière.

Le dernier sondage de FP Canada a montré que les répondants bénéficiant d’une aide professionnelle en matière de finances sont généralement plus optimistes quant à leur avenir financier que ceux qui n’en reçoivent pas, avec 60 % contre 48 %. Cet écart de 12 points de pourcentage constitue la différence la plus marquée observée au cours des trois derniers sondages annuels.

Léger a réalisé l’indice de stress financier de FP Canada entre le 6 et le 13 janvier en utilisant le panel en ligne de Léger et en recevant les réponses de 2 010 Canadiens. L’organisme professionnel de l’industrie des sondages, le Canadian Research Insights Council, affirme que les sondages en ligne ne peuvent être assortis d’une marge d’erreur parce qu’ils ne constituent pas un échantillon aléatoire de la population.

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Les Canadiens se sont enrichis en 2024 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-canadiens-se-sont-enrichis-en-2024/ Mon, 31 Mar 2025 11:07:57 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106240 Mais l’incertitude entourant les tarifs douaniers pourrait annuler les gains.

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La valeur nette totale des ménages canadiens a augmenté durant les quatre trimestres de 2024, atteignant 17 500 milliards de dollars (G$) au dernier trimestre, selon Statistique Canada. Cela représente une hausse de près de 1 200 G$ par rapport à la fin de 2023.

Le dernier bilan national de Statistique Canada révèle que la valeur nette des ménages a progressé de 1,4 % (236,3 G$) au quatrième trimestre par rapport au troisième trimestre, principalement en raison de la croissance des actifs financiers, qui ont atteint un niveau record de 10 830 G$.

La croissance de l’indice composé de la Bourse de Toronto (S&P/TSX) a progressé de moins d’un tiers de sa hausse du trimestre précédent (3 %), mais il a tout de même surpassé la performance de l’indice S&P 500. La dépréciation rapide du dollar canadien a par ailleurs contribué à augmenter la valeur des investissements étrangers détenus par les ménages.

La hausse des actifs immobiliers a également soutenu la croissance de la richesse des ménages au cours du dernier trimestre de 2024, portant la valeur des actifs non financiers à 9 745 G$ (+0,6 %).

Maria Solovieva, économiste à la Banque Toronto-Dominion (TD), a déclaré au Financial Post que les résultats du quatrième trimestre étaient le fruit de l’effet cumulatif des cinq baisses de taux d’intérêt de la Banque du Canada en 2024, qui ont incité davantage de Canadiens à contracter des prêts hypothécaires.

Cependant, la croissance des ventes immobilières, qui a marqué un ralentissement en début d’année, pourrait se stabiliser au cours des prochains mois, car les occasions les plus accessibles liées à la baisse des taux hypothécaires ont déjà été saisies, prévient l’économiste.

Shelly Kaushik, économiste principale et vice-présidente à la Banque de Montréal (BMO), souligne pour sa part que le ratio dette/revenu des ménages a augmenté pour la première fois en près de deux ans au dernier trimestre, alors que l’endettement a progressé plus rapidement que les revenus.

Cette situation pourrait faire en sorte de freiner la progression de la richesse des ménages en 2025, car les turbulences du marché déclenchées par l’incertitude tarifaire ont grugé environ 1 % du S&P/TSX et 5 % du S&P 500 depuis le début de l’année.

Même si la Banque du Canada ramène son taux directeur à 2,25 % d’ici le milieu de l’année, les risques liés au commerce international pourraient éclipser les réductions de taux et les gains récents de la richesse des ménages, signale Nathan Janzen, économiste en chef adjoint à la Banque Royale du Canada (RBC).

Il souligne que les ménages à revenu moins élevé pourraient être plus durement affectés par une guerre commerciale par rapport à ceux qui gagnent un revenu plus élevé, car ils ont moins de capacité d’épargne et consacrent une plus grande part de leurs revenus à la consommation.

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BMO élargit sa gamme de CCAÉ https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bmo-elargit-sa-gamme-de-ccae/ Wed, 19 Mar 2025 11:45:47 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106116 PRODUITS – En lançant dix nouveaux produits de ce type.

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La Banque de Montréal (BMO) élargit sa gamme de certificats canadiens d’actions étrangères (CCAÉ) avec l’ajout de dix nouveaux produits. Ces derniers sont négociés à la bourse Cboe Canada depuis le 10 mars.

Ces nouveaux CCAÉ ciblent cinq entreprises allemandes, trois suisses et deux japonaises, soit :

  • Allianz SE (ALIZ)
  • Bayerische Motoren Werke AG (BMWY)
  • Deutsche Telekom AG (DTEL)
  • Siemens AG (SIEM)
  • Volkswagen AG (VWA)
  • ABB Ltd (ABB)
  • Lonza Group AG (LON)
  • Zurich Insurance Group AG (ZUR)
  • Hitachi, Ltd. (HTCI)
  • Sony Group Corporation (SONY)

Il s’agit du deuxième lancement de ce type pour l’institution, qui avait ainsi lancé cinq nouveaux CCAÉ au mois de février.

Ces derniers ciblaient également des entreprises renommées, dont deux européennes — Mercedes-Benz (MB) et Nestlé (NEST) — et trois japonaises : Toyota (TOYM), Honda (HNDA) et Nintendo (NTDO).

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Les avantages à sélectionner un FNB à la bourse canadienne https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/les-avantages-a-selectionner-un-fnb-a-la-bourse-canadienne/ Wed, 12 Mar 2025 10:05:27 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=106061 FI TV - Erika Toth, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, explique les avantages et inconvénients de sélectionner un FNB coté à la Bourse canadienne par rapport à un FNB américain.

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Finance et Investissement : Pour un conseiller travaillant avec des clients canadiens, quels sont les avantages et les inconvénients de sélectionner un fond négocié en Bourse (FNB) coté à la Bourse canadienne par rapport à un FNB américain?

Erika Toth : Il y a maintenant beaucoup plus de FNB disponibles sur le marché canadien. On excède 1500 produits, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Les frais de gestion sont rendus maintenant très compétitifs et la liquidité est très bonne.

Enfin, il y a plusieurs avantages pour un investisseur canadien d’aller avec un FNB coté sur la Bourse canadienne :

  • premièrement, on épargne énormément sur les coûts de conversion de devise en achetant la version qui est transigée sur la bourse de Toronto;
  • deuxièmement, le conseiller évite d’exposer ses clients aux impôts successoraux américains;
  • et troisièmement, le client n’aura pas à compléter de formulaire de vérification des biens étrangers, le formulaire T11-35, chaque année sur les FNB cotés ici, car ce sont des fiducies canadiennes.

Les opinions exprimées sont celles d’Erika Thot, Directrice générale, FNB BMO, Est du Canada, en date du 5 mars 2025, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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Revenus en hausse pour BMO, Scotia et Desjardins https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/revenus-en-hausse-pour-bmo-scotia-et-desjardins/ Wed, 26 Feb 2025 14:41:44 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105904 Pour le premier trimestre 2025.

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Le bénéfice net de Groupe financier BMO a bondi au premier trimestre de 2025 par rapport à la période correspondante de l’exercice précédent. Il est passé de 1,292 milliard de dollars (G$) à 2 138 G$. Le bénéfice net par action comptable a grimpé de 1,73 $ à 2,83 $.

Au cours de la même période, le bénéfice net ajusté a augmenté de 1 893 G$ à 2 289 G$. Le bénéfice net ajusté par action est passé de 2,56 $ à 3,04 $.

Quant au total des revenus, il a progressé de 1,6 G$ en un an, de 7 672 G$ à 9 266 G$.

La dotation à la provision pour pertes sur créances de Groupe financier BMO a augmenté d’un premier trimestre à l’autre de 627 millions de dollars (M$) à 1 011 G$.

Le rendement des capitaux propres s’est élevé au premier trimestre de 2025 à 7,2 %, comparativement à 0,6 % un an plus tôt.

Le chef de la direction de BMO Groupe financier, Darryl White, croit que la diversification géographique et commerciale a permis au groupe de bien se positionner pour faire face à la concurrence et croître dans un contexte opérationnel dynamique.

Au cours du premier trimestre, Groupe financier BMO a racheté 1,2 million d’actions ordinaires aux fins d’annulation aux termes d’une offre publique de rachat dans le cours normal des activités. Un dividende de 1,59 $ par action ordinaire a été déclaré pour le deuxième trimestre de 2025, en hausse de 0,08 $, ou de 5 %, par rapport à l’exercice précédent.

Du côté de BMO Gestion de patrimoine, le bénéfice net comptable a augmenté pour atteindre 369 M$, soit 129 M$ de plus par rapport à l’exercice précédent. Le bénéfice net ajusté a quant à lui progressé de 130 M$ pour se situer à 371 M$. Le bénéfice net comptable de la division Gestion d’actifs et de patrimoine a augmenté pour sa part de 52 % (99 M$) pour totaliser 286 M$, en raison du raffermissement des marchés mondiaux et la croissance des ventes nettes, précise le groupe.

La division Marchés des capitaux a enregistré un bénéfice net comptable de 587 M$, en hausse de 49 %, par rapport à l’exercice précédent. Le bénéfice net ajusté s’est fixé à 591 M$, en hausse de 183 M$. La croissance de ce secteur a cependant été tempérée par la hausse des charges et la dotation à la provision pour pertes sur créances plus élevée.

Le total des dotations à la provision pour pertes sur créances de BMO s’est chiffré à 1, 011 G$, comparativement 627 M$ à l’exercice précédent. La dotation liée aux prêts douteux a augmenté de 386 M$ en un an, s’établissant à 859 M$, poussée par les secteurs des services bancaires aux grandes entreprises et du crédit à la consommation non garanti.

Banque Scotia : des progrès malgré l’incertitude

Le bénéfice net de la Banque Scotia a diminué en un an au premier trimestre, de 2 199 G$
à 993 M$ en raison d’une perte de valeur de 1 355 M$ liée à la vente annoncée des activités bancaires de la Scotia en Colombie, au Costa Rica et au Panama. Le bénéfice par action dilué s’est établi à 0,66 $, comparativement à 1,68 $ pour le trimestre correspondant de l’exercice précédent.

Malgré cela, le bénéfice net ajusté de la banque est en hausse pour le premier trimestre. Il s’est établi à 2 362 G$ comparativement à 2 212 G$ au T1 2024. Le bénéfice par action dilué a augmenté de 1,69 à 1,76 $, tandis que le rendement des capitaux propres s’est établi à 11,8 %, comparativement à 11,9 % au premier trimestre 2024.

Le président et chef de la direction de la Banque Scotia, Scott Thomson, croit que, compte tenu de l’incertitude économique, la banque progresse vers la réalisation de ses objectifs financiers à court terme, notamment grâce à la diversification de ses activités et à l’approfondissement des relations avec les clients.

Le secteur Gestion de patrimoine mondiale a dégagé un bénéfice net ajusté de 416 M$, en augmentation de 22 % sur un an. Ce résultat est dû à la hausse des honoraires liés aux fonds communs de placement, des commissions de courtage et des revenus d’intérêts nets dans les activités de gestion de patrimoine au Canada et à l’international, précise la banque. Les actifs sous gestion ont progressé de 16 % pour s’élever à 396 G$.

Le réseau canadien de la Scotia a enregistré une baisse du bénéfice net ajusté de 6 %, ce qui le porte à 914 M$, grâce à l’augmentation de la dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances et des charges autres que d’intérêts. La division des services bancaires et marchés mondiaux est celle qui affiche la plus forte hausse du bénéfice net, soit 33 % au premier trimestre, à 517 M$.

La dotation au compte de correction de valeur pour pertes sur créances de la Scotia s’est chiffrée à 1 162 G$, soit une hausse de 200 M$ en un an. Le montant brut des prêts douteux a quant à lui augmenté pour s’établir à 7 064 G$ au 31 janvier 2025, par rapport à 6 739 G$ au trimestre précédent. Pour le réseau canadien de la banque, des prêts nouvellement classés comme douteux ont fait grimper ce montant de 87 M$ au premier trimestre pour atteindre 1 588 G$.

Desjardins met plus d’argent de côté pour les pertes de crédits

Le Mouvement Desjardins a augmenté ses excédents de plus de 1 G$ en 2024. Malgré une forte croissance, la coopérative met de côté plus d’argent pour d’éventuelles pertes dans un contexte économique incertain.

L’excédent avant ristourne, l’équivalent des profits pour une coopérative, atteint 3,4 G$ au cours de l’exercice 2024, selon les résultats dévoilés mardi en début d’après-midi. Il s’agit d’une augmentation de 32,7 %. La coopérative a souligné que les revenus d’intérêts et les revenus du secteur de l’assurance-dommages sont en croissance.

Desjardins met toutefois plus d’argent de côté en cas de pertes. La dotation pour pertes de crédit en 2024 atteint 597 M$, en hausse de 68 M$.

La coopérative avait déjà augmenté significativement sa dotation pour perte en 2023. Elle avait presque doublé pour atteindre 529 M$, tandis qu’on observait un ralentissement dans les secteurs les plus touchés par la baisse des dépenses discrétionnaires.

Le président et chef de la direction du Mouvement Desjardins, Guy Cormier, a souligné que la menace de tarifs brandie par l’administration Trump est une source d’incertitude pour ses membres et clients.

« Ce n’est pas la première fois que nous faisons face à une telle situation, et nous continuerons d’accompagner nos membres et clients, peu importe le contexte », assure-t-il dans un communiqué.

Guy Cormier doit tenir une conférence de presse plus tard en après-midi.

La coopérative a augmenté sa ristourne de 25 M$ pour atteindre 437 M$, toujours au cours de l’exercice 2024. En ajoutant les commandites, dons et bourses d’études, Desjardins a remis 557 M$ à la collectivité.

Avec la collaboration de La Presse Canadienne

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BMO veut dissoudre certains fonds https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bmo-veut-dissoudre-certains-fonds/ Mon, 24 Feb 2025 12:00:20 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105653 PRODUITS – Six produits sont concernés.

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BMO Gestion d’actif et BMO Investissements ont décidé de mettre fin à quatre fonds négociés en Bourse (FNB) et deux fonds aux alentours du 25 avril, soit :

  • le FINB BMO ESG obligations de sociétés américaines à haut rendement ;
  • le BMO Fonds d’actions américaines de croissance CMF ;
  • le FINB BMO TIPS américains ;
  • le BMO Fonds d’actions américaines de valeur CMF ;
  • le FNB BMO de banques canadiennes à rendement majoré ;
  • et le FNB BMO d’actions américaines à rendement majoré couvert en dollars canadiens.

Les souscriptions directes de parts ne sont d’ailleurs plus acceptées depuis le 12 février dernier. Les parts des FNB et fonds dissous feront l’objet d’un rachat obligatoire le 25 avril.

Les biens de ces produits seront distribués au prorata entre les porteurs de parts respectifs à la date de dissolution, en fonction de la valeur liquidative par part du FNB dissous ou du fonds dissous en question.

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