BMO – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 20 Feb 2025 12:32:24 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png BMO – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Les Canadiens estiment avoir besoin de 1,5 M$ pour leur retraite https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-canadiens-estiment-avoir-besoin-de-15-m-pour-leur-retraite/ Thu, 20 Feb 2025 12:32:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105675 Ils épargnent plus que jamais, mais s’inquiètent pour leur avenir.

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L’inflation continue de peser lourdement sur le moral des Canadiens, mais ne les empêche pas de battre des records en matière d’épargne retraite. Selon le 15e sondage annuel de BMO sur la retraite, les cotisations moyennes aux REER devraient atteindre un sommet historique de 7 447 $ cette année, soit une hausse de 14 % par rapport à l’année précédente.

Cette augmentation significative intervient paradoxalement dans un contexte où plus des trois quarts des Canadiens (76 %) expriment leurs inquiétudes quant à leur capacité à maintenir un niveau de vie convenable à la retraite face à la hausse des prix. Le montant jugé nécessaire pour une retraite confortable s’établit désormais à 1,54 million de dollars (M$) en moyenne, en légère baisse par rapport aux 1,67 M$ estimés en 2023.

Les répercussions de l’inflation se font particulièrement sentir chez 63 % des répondants, qui affirment que la hausse des prix au cours des douze derniers mois a affecté leur capacité d’épargne.

Pour faire face à cette situation, les Canadiens adoptent diverses stratégies :

  • certains réduisent leurs autres dépenses pour maintenir leur niveau d’épargne retraite,
  • d’autres diminuent leurs cotisations,
  • tandis que les derniers envisagent de prolonger leur vie active ou de reporter leur épargne retraite.

« De nombreux Canadiens continuent de faire preuve de résilience faisant de l’épargne et de l’investissement en vue de leur retraite une priorité absolue », souligne Brent Joyce, stratège en chef, Placements et premier directeur général de BMO Gestion privée de placements, qui recommande d’adopter une stratégie de portefeuille adaptée pour contrer les effets de l’inflation à long terme.

Le sondage a été mené par Pollara auprès de 1 500 adultes canadiens en novembre 2024.

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Des FNB pour investir dans l’économie américaine https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/des-fnb-pour-investir-dans-leconomie-americaine/ Tue, 18 Feb 2025 12:04:10 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105560 PRODUITS – Pour 11 grands secteurs du S&P 500.

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BMO Gestion d’actifs lance une nouvelle gamme de fonds indiciels négociés en Bourse (FINB) sectoriels sélectionnés SPDR. Ces produits visent à offrir aux investisseurs canadiens un accès simplifié aux secteurs du marché américain en permettant d’ajuster l’allocation stratégique d’actifs et de saisir des opportunités tactiques en fonction de leurs objectifs d’investissement.

Les investisseurs pourront désormais négocier des FINB couvrant les 11 secteurs de la norme de classification industrielle mondiale (GICS) du S&P 500, en versions couverte et non couverte, directement sur une bourse canadienne.

Chaque FINB BMO sectoriel sélectionné SPDR a clôturé son placement initial et a débuté sa cotation à la Bourse de Toronto. Voici la liste des nouveaux fonds disponibles :

  • Services de communications — Indice : Communication Services Select Sector SPDR Fund
  • Consommation discrétionnaire — Indice : Consumer Discretionary Select Sector SPDR Fund
  • Biens de consommation essentiels — Indice : Consumer Staples Select Sector SPDR Fund
  • Énergie — Indice : Energy Select Sector SPDR Fund
  • Services financiers — Indice : Financial Select Sector SPDR Fund
  • Santé — Indice : Health Care Select Sector SPDR Fund
  • Produits industriels — Indice : Industrial Select Sector SPDR Fund
  • Matières premières — Indice : Materials Select Sector SPDR Fund
  • Immobilier — Indice : Real Estate Select Sector SPDR Fund
  • Technologies — Indice : Technology Select Sector SPDR Fund
  • Services aux collectivités — Indice : Utilities Select Sector SPDR Fund

« Nous sommes ravis d’offrir aux investisseurs canadiens ces nouveaux FINB, qui leur permettent d’accéder plus facilement aux marchés américains et de renforcer leurs portefeuilles », a souligné Bipan Rai, chef des stratégies de FNB chez BMO Gestion mondiale d’actifs, dans un communiqué.

En plus de procurer une exposition aux sociétés du S&P 500, la version couverte de ces FINB offre une protection efficace contre le risque de change. « Ces fonds ont été conçus en s’appuyant sur les meilleures idées de notre équipe, afin de répondre aux besoins variés des investisseurs », a-t-il ajouté.

BMO signale par ailleurs que les stratégies sectorielles visent à permettre aux investisseurs d’adapter leurs portefeuilles en fonction des tendances économiques, des changements dans les fondamentaux des entreprises et des indicateurs techniques.

Chaque FINB BMO sectoriel sélectionné investira la majeure partie de ses actifs, directement ou indirectement, dans l’indice de référence, en reproduisant sa composition dans des proportions similaires. Son objectif est de répliquer la performance d’un indice exposé aux grandes capitalisations américaines dans un secteur donné, avant déduction des frais et dépenses.

Les investissements dans les fonds négociés en Bourse peuvent entraîner des frais de courtage, des frais de gestion et d’autres coûts, rappelle BMO, qui recommande aux investisseurs de consulter la documentation officielle avant toute décision d’investissement.

Des certificats canadiens d’actions étrangères
BMO a par ailleurs dévoilé ses deux premiers nouveaux certificats canadiens d’actions étrangères (CCAÉ), désormais négociables sur la bourse de croissance Cboe Canada. L’offre initiale a été clôturée, et les certificats sont disponibles sous les symboles suivants :

  • Mercedes-Benz (MB) : actions ordinaires de Mercedes-Benz Group AG
  • Nestlé (NEST) : actions nominatives de Nestlé SA

Couverts en dollars canadiens, ils sont émis en euros pour MB et en francs suisses pour NEST. Les titres MB sont liés à la Bourse de Francfort (FWB), tandis que les titres NEST reposent sur la Bourse suisse (SIX).

Ces certificats offrent aux investisseurs une alternative à la négociation directe sur les marchés internationaux, tout en leur permettant de bénéficier d’une exposition mondiale. En étant couverts contre le risque de change, ils atténuent les fluctuations monétaires auxquelles un investisseur serait exposé en détenant directement les actions étrangères, souligne BMO.

BMO prévoit d’élargir cette gamme avec d’autres certificats canadiens d’actions de sociétés internationales, notamment ABB, Adidas, BMW, Nintendo, Novartis, Siemens et Toyota, couvrant ainsi les marchés allemand, japonais et suisse.

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L’amour au temps de l’inflation https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/lamour-au-temps-de-linflation/ Fri, 14 Feb 2025 12:03:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105551 Dur, dur pour Cupidon !

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Selon un rapport spécial sur la Saint-Valentin de l’Indice de BMO sur l’amélioration des finances, 56 % des Canadiens disent que la hausse du coût de la vie entraîne des répercussions sur les fréquentations.

Le sondage révèle ainsi que 42 % des répondants célibataires ont modifié leurs projets de fréquentations pour des raisons financières, 30 % d’entre eux ayant même annulé un rendez-vous pour économiser de l’argent.

Le coût de la recherche de l’amour

D’après le sondage, les répondants dépensent en moyenne 173 $ par rendez-vous.

En moyenne, les Canadiens en couple ont eu entre 10 et 21 rendez-vous avant de s’engager dans une relation, ce qui suggère des dépenses pouvant aller jusqu’à 3 621 $ avant d’officialiser leur relation.

Par rapport à leurs finances, 38 % affirment que les coûts associés aux rencontres amoureuses ont nui à leur capacité d’atteindre leurs objectifs financiers.

Plus de deux célibataires sur cinq (41 %) ont souvent quitté un premier rendez-vous avec le sentiment d’avoir perdu temps et argent.

Quant aux applications ou agences de rencontres, 60 % des répondants ne sont pas disposés à dépenser de l’argent.

Ceux qui sont prêts à investir pour ces services ne dépenseront en moyenne que 16 $ par an.

Les rencontres en perte de vitesse

Si les célibataires ont eu en moyenne trois rendez-vous au cours des 12 derniers mois, 55 % d’entre eux déclarent n’avoir eu aucun rendez-vous au cours de l’année écoulée.

Les hommes célibataires ont eu quatre rendez-vous en moyenne au cours des 12 derniers mois, comparativement à trois pour les femmes.

Des perceptions différentes selon les sexes

Lorsque les célibataires évaluent les finances de leur partenaire potentiel, les traits financiers les plus attrayants sont :

  • le sens des responsabilités financières (95 %) ;
  • la capacité à discuter de leurs finances avec leur partenaire (88 %) ;
  • le fait d’avoir un bon plan financier (87 %) ;
  • et une trajectoire professionnelle réussie (83 %).

Cela dit, les femmes célibataires sont plus enclines que les hommes à considérer qu’une faible cote de crédit (7 % de plus) et que des revenus moins élevés pour leur partenaire (5 % de plus) constituent des facteurs de rupture financière.

Pour leur part, 50 % des hommes célibataires reconnaissent que leur valeur nette influence leurs perspectives de rencontre, soit 12 % de plus que les femmes. En outre, ils se sentent davantage obligés (20 %) que les femmes d’organiser des rendez-vous coûteux.

Une source de conflits

Un tiers des Canadiens en couple déclare que les dépenses provoquent souvent des conflits, et 38 % estiment que leur partenaire ou conjoint dépense trop.

En outre, 27 % pensent que des revenus différents créent des tensions dans la relation.

Enfin, 11 % admettent n’avoir pas dit la vérité à leur partenaire sur leurs finances.

En moyenne, les couples discutent de leurs finances deux fois par mois.

Par ailleurs, 82 % des répondants en couple pensent que les finances devraient être abordées au début d’une relation, 37 % lorsque la relation devient officielle, 32 % lorsque l’on prévoit d’emménager ensemble, 10 % après les premiers rendez-vous et 11 % au moment des fiançailles et/ou du mariage.

On combine ou pas ?

Selon le sondage, 76 % des répondants en couple partagent ou ont intégré leurs finances avec leur partenaire ou conjoint et se sentent à l’aise d’en discuter avec eux (86 %).

Quant au moment idéal pour combiner les finances, 46 % pensent que c’est lors des fiançailles ou du mariage, de l’emménagement ou de l’achat d’une maison ensemble (32 %) et de l’officialisation de la relation (7 %).

Enfin, 24 % des Canadiens en couple ne partagent pas ou n’intègrent pas leurs finances avec celles de leur partenaire ou conjoint.

La prévoyance s’impose

Quel que soit le statut de la relation, il est crucial de se préparer à faire face à des dépenses imprévues comme la perte d’un emploi, des problèmes de santé ou même la rupture de la relation ou le divorce.

Il est recommandé de disposer d’un fonds d’urgence assez liquide couvrant de trois à six mois de frais de subsistance.

Il est important de comprendre l’état d’esprit de chacun concernant les finances, y compris les actifs qui devraient être combinés et rester séparés, les objectifs communs et les dettes en cours, et de résoudre les divergences éventuelles.

Gare aux arnaques amoureuses !

Les sites et applications de rencontres attirent de nombreux célibataires à la recherche d’un partenaire, mais aussi des criminels utilisant l’intelligence artificielle (IA) pour escroquer leurs victimes.

Ces fraudeurs affichent de fausses intentions romantiques pour gagner la confiance de leurs victimes dans le but d’accéder à leur argent (argent liquide, cartes-cadeaux, informations sur les cartes de crédit), à leurs informations personnelles et/ou à leurs comptes bancaires.

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Changements apportés à des fonds BMO https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/changements-apportes-a-des-fonds-bmo/ Thu, 13 Feb 2025 11:54:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105369 PRODUITS – Des réductions de frais et d’administration sont au programme.

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BMO Investissements réduit les frais de gestion et d’administration de deux fonds BMO, soit le Fonds de rendement d’actions stratégiques BMO et le Fonds de rendement à revenu fixe stratégique BMO. De plus, les titres de Série S deviennent désormais admissibles pour le Fonds de rendement d’actions stratégiques BMO.

BMO Investissements procède à une réduction des frais de gestion pour les titres de Série A, Série F et Série Conseiller de chaque fonds, selon les modalités suivantes :

Frais de gestion annuels actuels Nouveaux frais de gestion annuels
Séries de titres du Fonds de rendement d’actions stratégiques BMO
Série A 1,55 % 1,45 %
Série F 0,55 % 0,45 %
Série Conseiller 1,55 % 1,45 %
Séries de titres du Fonds de rendement à revenu fixe stratégique BMO
Série A 1,05 % 0,95 %
Série F 0,55 % 0,45 %
Série Conseiller 1,05 % 0,95 %

Désormais, BMO Investissements prendra en charge les frais d’administration relatifs aux titres de Série A, Série F et Série Conseiller du Fonds de rendement d’actions stratégiques BMO.

Le Fonds de rendement d’actions stratégiques BMO continuera de régler directement les frais liés au fonds.

Quant aux frais d’administration fixes de 0,10 % que le Fonds de rendement à revenu fixe stratégique BMO versait à BMO Investissements pour les titres de Série A, Série F et Série Conseiller, ceux-ci seront supprimés.

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BMO mise sur l’informatique quantique https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/bmo-mise-sur-linformatique-quantique/ Wed, 12 Feb 2025 12:11:58 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105581 Pour optimiser ses services.

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BMO devient la première institution financière canadienne à accéder au réseau IBM Quantum Network, un collectif mondial qui favorise les collaborations en matière de recherche quantique. L’adoption de cette technologie permettra à la banque de renforcer son leadership technologique et d’améliorer les finances de ses clients en Amérique du Nord.

Grâce à l’accès à l’infrastructure quantique avancée d’IBM, l’institution financière pourra déployer des solutions utilisant cette technologie dans l’ensemble de ses activités. Cet investissement stratégique vise également à combiner expertise humaine et technologie de pointe pour générer des résultats à grande échelle, a précisé la banque.

BMO mise sur l’informatique quantique entre autres pour accélérer le développement de nouvelles approches de service client, optimiser les stratégies de portefeuille d’investissement et améliorer la gestion des risques.

« L’accès aux systèmes quantiques d’IBM représente une avancée audacieuse dans le cadre de notre stratégie numérique, a indiqué Kristin Milchanowski, chef de l’intelligence artificielle et des données chez BMO, ajoutant que l’informatique quantique offre un potentiel de transformation important qui permettra à la banque de stimuler l’innovation dans ses processus.

Scott Crowder, vice-président, adoption quantique et développement commercial chez IBM Quantum, souligne que de nombreuses institutions financières dans le monde intègrent déjà cette technologie dans leur stratégie. Selon lui, les systèmes quantiques et leurs ressources peuvent ouvrir la voie à de nouvelles applications commerciales dans le secteur bancaire.

Le réseau IBM Quantum Network permet à des entreprises, des universités, des laboratoires et des entreprises à travers le monde de bénéficier des dernières avancées en informatique quantique en les faisant profiter de ressources d’apprentissage, de conseils d’experts et d’événements dédiés pour accélérer la recherche.

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BMO lance de nouveaux CCAÉ https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bmo-lance-de-nouveaux-ccae/ Mon, 10 Feb 2025 12:12:19 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105256 PRODUITS – Ces derniers visent les entreprises internationales d’Europe et du Japon.

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La Banque de Montréal (BMO) lance cinq nouveaux certificats canadiens d’actions étrangères (CCAÉ). Le lancement initial de BMO inclut deux entreprises européennes, soit Mercedes-Benz (MB) et Nestlé (NEST), et trois grandes sociétés japonaises : Toyota (TOYM), Honda (HNDA) et Nintendo (NTDO).

Ces nouveaux produits permettent aux investisseurs canadiens de s’exposer à des entreprises internationales en dollars canadiens, ce qui limite ainsi le risque associé aux variations des devises.

BMO prévoit déjà lancer d’autres CCAÉ destinés aux investisseurs canadiens dans les prochains mois.

« Les CCAÉ de BMO sont une solution canadienne qui offre aux investisseurs un meilleur accès aux sociétés qui négocient sur les marchés étrangers, tout en minimisant le risque de change associé aux investissements à l’étranger, expliqué Bill Bamber, chef de la direction, BMO Gestion mondiale d’actifs. Nous sommes impatients d’élargir notre gamme de CCAÉ au Canada afin de répondre aux besoins des investisseurs qui cherchent à accéder plus facilement à des sociétés de classe mondiale. »

Ces nouveaux CCAÉ seront cotés sur Cboe Canada. Ceux liés aux entreprises Mercedes-Benz et Nestlé commenceront à être négociés dès le 6 février. Les trois autres, concernant les entreprises Toyota, Honda et Nintendo, le seront quatre jours plus tard (le 10 février), sous réserve de l’approbation finale de la bourse.

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Une leader « passionnée des gens » arrive chez IG https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/une-leader-passionnee-des-gens-arrive-chez-ig/ Wed, 05 Feb 2025 12:03:17 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105203 NOUVELLES DU MONDE — Léa Saadé est nommée VP régionale Montréal — Rive Sud.

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IG gestion de patrimoine a recruté Léa Saadé pour occuper le poste de vice-présidente régionale pour son bureau de Montréal — Rive-Sud. Léa Saadé a occupé des postes clés dans différentes institutions financières, chez BMO, à la Banque Nationale et à la Banque Scotia, avant de faire le saut à la Financière des professionnels, en 2018, comme vice-présidente régionale, Montréal centre, Rive-Nord, Gestion privée, où elle était en poste jusqu’à récemment.

« Forte de plus de 20 ans d’expérience en gestion financière, Léa se distingue par son leadership stratégique et son approche axée sur les résultats. Son engagement auprès d’organisations telles que l’Institut de planification financière, témoigne de sa volonté de faire progresser la profession. Sa vision et son expertise feront d’elle un atout majeur pour notre équipe et nos clients », a indiqué IG dans un communiqué.

Léa Saadé, qui se décrit comme une « leader d’influence passionnée des gens » qui aime propulser au quotidien le talent autour d’elle, a été élue vice-présidente du conseil d’administration de l’Institut de planification financière en 2024, où elle siège depuis 2021. Récipiendaire du prix Coup de cœur du jury lors du dernier gala de l’Association des femmes en finance du Québec (AFFQ), elle est titulaire d’un MBA en commerce de l’ESG UQAM et diplômée en finance et entrepreneuriat de l’Université Mc Gill. Elle porte les titres de planificatrice financière (Pl. Fin.) et d’administratrice agréée (Adm.A.), et est Fellow du Canadian Securities Institute (CSI).

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BMO modifie le risque de certains fonds https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/bmo-modifie-le-risque-de-certains-fonds/ Mon, 03 Feb 2025 12:15:37 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105156 PRODUITS – Huit fonds sont concernés par ces changements.

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À l’issue de son examen annuel, BMO Gestion d’actifs a révisé la cote de risque de huit de ses fonds, dont quatre ont vu leur risque augmenter et quatre autres ont vu ce dernier baisser.

Ainsi la cote de risque du FINB BMO équipondéré banques, celle du FINB BMO équipondéré de FPI et celle du FINB BMO S&P sociétés américaines à moyenne capitalisation est passé de « moyenne » à « moyenne à élevée ».

Celle du FINB BMO obligations fédérales à long terme est passé de « faible à moyenne » à « moyenne ».

À l’inverse, la cote de risque du FINB BMO obligations du Trésor américain à long terme est passé de « moyenne à élevée » à « moyenne » et celles du FINB BMO obligations du Trésor américain à long terme, du FNB BMO d’actions internationales à faible volatilité couvertes en dollars canadiens et du FNB BMO vente d’options d’achat couvertes de sociétés mondiales à dividendes élevés sont passées de « moyenne » à « faible à moyenne ».

Ces ajustements de cotes de risque sont basés sur la méthode normalisée de classification des risques établie par les Autorités canadiennes en valeurs mobilières.

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L’économie inquiète, mais la valeur des CELI augmente https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/leconomie-inquiete-mais-la-valeur-des-celi-augmente/ Thu, 30 Jan 2025 12:19:59 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=105143 Selon un sondage de BMO sur les placements.

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Les Canadiens affichent un pessimisme marqué face aux perspectives économiques de 2025, selon un récent sondage de BMO sur les placements. L’étude révèle que 63 % des investisseurs redoutent une récession dans les 12 prochains mois, tandis que près de la moitié des répondants (48 %) anticipent un affaiblissement de l’économie.

L’inflation demeure une préoccupation majeure, avec 67 % des Canadiens qui déclarent subir son impact négatif sur leurs finances. Selon les données, 44 % des répondants dépensent entre 100 $ et 300 $ de plus chaque mois pour leurs besoins essentiels, tandis que 38 % dépensent plus de 300 $ supplémentaires.

Des CELI en santé
Malgré ce climat d’incertitude, les comptes d’épargne libre d’impôt (CELI) affichent une performance robuste. Leur valeur moyenne atteint désormais près de 45 000 $, une augmentation de 8 % par rapport à 2023. Les baby-boomers se démarquent particulièrement avec des CELI moyens dépassant 72 000 $.

« Ce fut une bonne année pour de nombreux investisseurs, les deux principales catégories d’actifs, les actions et les obligations, ayant toutes deux enregistré de bons résultats en 2024, ce qui a probablement contribué à augmenter la valeur des comptes de nombreux Canadiens », affirme Brent Joyce, stratège en chef, Placements et premier directeur général de BMO Gestion privée de placements.

Des investisseurs à la recherche de conseils
Face à ces défis économiques, les Canadiens se tournent davantage vers les conseils professionnels. Le sondage indique que 56 % des répondants considèrent qu’il est plus important de consulter un conseiller dans le contexte actuel. Cette tendance semble porter ses fruits, puisque 79 % des personnes ayant fait appel à un conseiller rapportent une amélioration de leur situation financière, soit une hausse de 12 points de pourcentage en un an.

Selon Brent Joyce, l’optimisme reste de mise. « Bien que les vents contraires de l’économie, y compris la perspective de tarifs douaniers, puissent inquiéter les ménages canadiens, nous croyons que les principaux marchés peuvent continuer à faire des gains en 2025 », soutient-il.

L’étude a été menée par Pollara auprès de 1 500 adultes canadiens en novembre 2024.

 

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Climat et finance : des banques américaines abandonnent l’alliance Net-Zero https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/climat-et-finance-des-banques-americaines-abandonnent-lalliance-net-zero/ Tue, 21 Jan 2025 12:58:09 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104933 Les institutions canadiennes suivent leur exemple.

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Un mouvement agite le secteur financier : les principales institutions financières américaines quittent tour à tour la Net-Zero Banking Alliance (NZBA), un regroupement international créé en 2021 lors de la COP26 à Glasgow. Morgan Stanley et BlackRock sont les dernières en date à annoncer leur départ, rejoignant ainsi Bank of America, Goldman Sachs, Citigroup, JP Morgan Chase et Wells Fargo qui ont déjà quitté l’alliance ces dernières semaines, rapporte bfmtv.com.

Cette vague de défections affaiblit considérablement la NZBA, qui rassemblait initialement plus de 140 banques issues d’une quarantaine de pays. L’alliance avait pour objectif d’atteindre zéro émission nette de gaz à effet de serre dans les activités de prêts, d’investissements et de marchés de capitaux d’ici 2050.

L’ESG, un terrain de bataille devenu politique
Ces départs s’expliquent principalement par un contexte politique tendu aux États-Unis, où l’ESG (environnement, social et gouvernance) est devenu un sujet de polarisation. Tandis que les progressistes soutiennent ces mesures, les conservateurs dénoncent un « capitalisme woke », relate un article de Zone Bourse. Les républicains accusent les banques de restreindre le financement des énergies fossiles, créant ainsi une distorsion de la concurrence. Certains États, notamment le Texas, menacent même d’entamer des poursuites judiciaires.

Dans ce climat de tensions, les banques américaines tentent de maintenir leur engagement environnemental tout en se distanciant de l’alliance. Morgan Stanley, par exemple, affirme vouloir « contribuer à la décarbonisation de l’économie réelle » et maintenir ses objectifs de réduction d’émissions pour 2030, mais en dehors du cadre de la NZBA.

Cette tendance dépasse le secteur bancaire : l’Alliance de Glasgow, regroupant les assureurs, a perdu deux tiers de ses membres récemment. Les gestionnaires d’actifs comme Vanguard réduisent également leur soutien aux résolutions ESG, illustrant un mouvement plus large de recul face aux pressions politiques.

À l’inverse, les principales banques françaises, dont BNP Paribas, Crédit Agricole SA, et Société Générale, maintiennent leur engagement au sein de la NZBA, marquant une différence d’approche significative entre les deux côtés de l’Atlantique.

Des banques canadiennes suivent le pas

Récemment, la Banque de Montréal (BMO), la Banque Toronto-Dominion (TD), la Banque canadienne impériale de commerce (CIBC) et la Banque Nationale (BNC) ont aussi annoncé leur retrait.

Leurs dirigeants avancent des arguments similaires à ceux de leurs homologues américains : l’alliance, bien qu’ambitieuse, n’est peut-être pas le meilleur mécanisme pour atteindre les objectifs climatiques. La BMO a affirmé son intention de poursuivre une stratégie indépendante, soulignant qu’elle possède les capacités nécessaires pour atteindre ses objectifs sans l’appui de la NZBA. La Banque Nationale, quant à elle, justifie sa décision par une volonté de rationaliser ses processus de reporting tout en continuant de collaborer avec des entreprises de tous secteurs, y compris celles fortement émettrices de gaz à effet de serre.

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