Desjardins Gestion internationale d’actifs – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Tue, 24 Sep 2024 11:01:43 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Desjardins Gestion internationale d’actifs – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Isabelle Laprise passe chez DGIA https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/isabelle-laprise-passe-chez-dgia/ Tue, 24 Sep 2024 11:01:43 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103080 NOUVELLES DU MONDE – Et devient directrice et cheffe de l’investissement responsable.

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Après plusieurs années auprès de Jarislowsky Fraser, dont plus récemment à titre de vice-présidente, gestionnaire de portefeuille institutionnel et Stratégie d’investissement durable, Isabelle Laprise passe chez Desjardins Gestion internationale d’actifs (DGIA) et devient directrice et cheffe de l’investissement responsable.

Isabelle Laprise apporte avec elle plus de 20 ans d’expérience en investissement, notamment en recherche, en investissement responsable et en gestion d’actifs institutionnels. Au cours de sa carrière, elle a occupé divers postes clés à la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ).

Reconnu pour son savoir-faire, son leadership, mais également ses qualités humaines et son engagement à l’égard de l’investissement responsable, il semble logique que celle-ci prenne la tête de l’équipe d’investissement responsable de DGIA.

« La volonté de l’organisation, combinée à la qualité et à l’expertise des membres de l’équipe, a été un élément clé de ma décision, assure Isabelle Laprise. Ensemble, nous allons continuer d’apprendre, de partager et de faire avancer les enjeux clés reliés à l’investissement responsable dans l’intérêt des membres et clients. »

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DGIA lance un nouveau fonds pour les investisseurs institutionnels canadiens https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/dgia-lance-un-nouveau-fonds-pour-les-investisseurs-institutionnels-canadiens/ Tue, 30 Jul 2024 11:52:54 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101909 PRODUITS – Celui-ci offre un accès à l’immobilier canadien.

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Desjardins Gestion internationale d’actifs (DGIA) propose aux investisseurs institutionnels un accès à l’immobilier commercial canadien avec le lancement du Fonds DGIA Immobilier Privé Canadien.

Ce produit est introduit avec une transaction initiale de portefeuille immobilier diversifié de type « core », comprenant plus de 300 millions de dollars d’actifs répartis dans différents secteurs, soit :

  • multirésidentiel,
  • industriel
  • et centres commerciaux.

Axée sur un faible niveau d’endettement et visant à générer des revenus, cette solution alternative cherche à présenter une faible corrélation avec les catégories d’actifs traditionnelles.

« Le nouveau fonds immobilier de Desjardins Gestion Internationale d’actifs offre des opportunités de croissance et de stabilité permettant aux investisseurs de participer à la dynamique d’un marché immobilier commercial canadien prisé par les grands investisseurs institutionnels. Nous sommes fiers de lancer ce fonds qui vient bonifier notre offre dans les marchés privés et témoigne de notre expertise et de notre engagement envers nos clients », commente Nicolas Richard, président et chef de l’exploitation de DGIA.

Le fonds sera dirigé par Tony Roy, vice-président et chef des placements immobiliers, sous la supervision de Frédéric Angers, vice-président et chef des placements, Marchés privés. L’équipe de Tony Roy compte dix experts en investissement. Depuis 26 ans, l’équipe de placements immobiliers a établi un solide historique de performance auprès de grands clients institutionnels canadiens, ayant accumulé près de 4 milliards de dollars d’actifs immobiliers au cours de cette période.

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Populaires, les FNB d’actions américaines https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/populaires-les-fnb-dactions-americaines/ Wed, 08 May 2024 09:30:24 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100699 FOCUS FNB — Ils stimulent les créations nettes en avril.

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Le secteur des fonds négociés en Bourse (FNB) canadiens connaît de fortes créations nettes en avril. Durant ce mois, les FNB canadiens ont cumulé des entrées nettes de 5,3 milliards de dollars (G$), comparativement à 4 G$ le mois précédent, selon un rapport de Banque Nationale Marchés financiers (BNMF). Toutes les catégories d’actifs ont connu des apports de capitaux, à l’exception des FNB de cryptomonnaie.

Au chapitre des créations nettes, avril constitue le deuxième meilleur mois depuis le début de l’année après celui de février. Depuis janvier, les FNB canadiens ont engrangé 19 G$ de créations nettes. L’actif sous gestion total en FNB canadiens s’élève à 415,3 G$.

La demande pour les FNB d’actions continue à croître, avec des créations nettes totalisant 4 G$ en avril, soit une augmentation de plus de 1 G$ par rapport à mars.

Les FNB d’actions américaines arrivent en tête avec des entrées nettes de 2,1 G$. Les actions américaines bénéficient de l’engouement pour les FNB qui suivent l’indice S&P 500, notamment VFV et ZSP. Ces deux FNB ont surclassé plus tôt cette année le XIU d’iShares en tant que plus importants FNB au Canada sur le plan de l’actif sous gestion, signale BNMF.

Les FNB d’actions canadiennes ont reçu des entrées nettes de 831 M$ en avril. Les FNB d’actions des marchés émergents, qui avaient suscité l’intérêt des investisseurs au cours des mois précédents, voient leur étoile pâlir : ils enregistrent des rachats de 142 M$.

Après d’importantes sorties nettes en mars, les FNB sectoriels renouent avec les créations nettes en avril. Les fonds du secteur financier, en particulier, remontent la pente. Après avoir connu des rachats de près de 1 G$ en mars, ils renversent la vapeur et enregistrent des créations nettes de 722 M$ en avril. Les FNB des secteurs des matières premières, de l’énergie et de l’immobilier sont également dans le vert, tandis que les soins de santé et la technologie subissent des rachats.

Rachats de FNB du marché monétaire

Les résultats des FNB canadiens de titres à revenu fixe restent stables en avril. Ils enregistrent des créations nettes de 868 M$, par rapport à 776 M$ en mars. Ce sont les FNB du marché monétaire qui ont subi les plus importants rachats du mois (865 M$). Les analystes de BNMF considèrent même la performance des FNB canadiens à revenu fixe comme « impressionnante », compte tenu des résultats des FNB du marché monétaire. Les FNB de liquidité enregistrent quant à eux leurs plus importants rachats mensuels.

Les FNB détenant des titres du marché monétaire avaient enregistré des entrées nettes depuis le début de l’année, tandis que les FNB « de comptes d’épargne à intérêt » avaient subi des rachats au cours des trois derniers mois en raison d’une différence dans le rendement des distributions, commentent les analystes de BNMF. Ils signalent que les FNB d’épargne, basés sur les dépôts, ont vu leurs rendements baisser de 30 à 50 points de base à la suite de la décision du Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF) d’imposer un traitement plus rigoureux des dépôts des FNB en matière de liquidité, tandis que les FNB du marché monétaire ont affiché des rendements concurrentiels. De plus, les FNB d’obligations canadiennes pourraient également avoir attiré une partie de l’argent qui a quitté les FNB de liquidités, expliquent-ils.

Pour expliquer les rachats dans la catégorie des FNB d’obligations à long terme (ZFL, TULB), les analystes de BNMF signalent que ces produits attirent habituellement les actifs lorsque les investisseurs prévoient des baisses de taux et des périodes économiques difficiles. La résistance de l’économie américaine a plutôt fait grimper la courbe des rendements en avril.

Le rythme des rachats dans les FNB de cryptoactifs, qui était plus prononcé en début d’année, a ralenti en avril. Ils se sont élevés à 46 M$ le mois dernier comparativement à 139 M$ en mars.

Ce ralentissement des rachats est attribuable aux FNB de bitcoin américains en détention physique, qui ont reçu l’approbation de la Securities and Exchange Commission (SEC) en janvier. L’engouement des investisseurs pourrait toutefois se calmer au cours des prochains mois, étant donné que « les actifs à risque se sont vendus et que le prix du bitcoin s’est éloigné de ses sommets historiques », estiment les analystes de BNMF.

Les FNB ESG portefeuille en croissance

Les FNB axés sur les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) canadiens ont moins performé en avril par rapport à mars. Ils ont connu des rachats nets de 107 M$, alors qu’ils avaient enregistré des créations nettes de 509 M$ en mars. Quelques FNB ESG ont toutefois tiré leur épingle du jeu.

Les FNB ESG à revenu fixe et les FNB ESG d’allocation d’actifs ont attiré de nouveaux actifs. La sous-catégorie ESG qui connaît la croissance la plus rapide au Canada depuis le début de l’année est celle des FNB d’allocation d’actifs.

Lancés par iShares en 2020, les FNB portefeuille avec une touche ESG permettent aux investisseurs soucieux des questions ESG de gérer de petits comptes. Cette sous-catégorie affiche actuellement 242 M$ d’actifs sous gestion contenus dans sept produits offerts par trois fournisseurs, selon le rapport de BNMF.

Le mois d’avril a été prolifique au chapitre du lancement de nouveaux FNB : 30 produits ont été mis sur le marché, un record depuis le début de l’année. RBC et TD ont lancé de nouvelles séries de FNB d’obligations à échéance cible comportant respectivement 8 et 6 titres. Par ailleurs, depuis le 1er mai, les anciens FNB Horizons portent la marque Global X à l’exception de la famille de produits BetaPro.

En avril, c’est BMO qui a connu les plus fortes créations nettes (1,9 G$), suivie de Vanguard (1,3 G$), RBC iShares (794 M$), Desjardins (702 M$), Fidelity (476 M$) et TD (409 M$). Pour les quatre premiers mois de 2024, Vanguard prend la tête des entrées nettes (5,3 G$), suivie de RBC iShares (4,7 G$), BMO (3,9 G$), Fidelity (2,5 G$), TD (2,0 G$) et Desjardins (1,1 G$).

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Modifications apportées à la gamme de FCP de Desjardins https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/modifications-apportees-a-la-gamme-de-fcp-de-desjardins/ Tue, 07 May 2024 10:59:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=100596 PRODUITS – Plafonnement d’un portefeuille et changement de sous-gestionnaire sont au programme.

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Desjardins Société de placement (DSP) apporte des changements à sa gamme de fonds communs de placement (FCP). Le gestionnaire de Fonds de Desjardins compte notamment remplacer un sous-gestionnaire de portefeuille, modifier les stratégies de placement du Fonds Desjardins Actions canadiennes valeur et changer le nom du fonds.

DSP a décidé de modifier son Fonds Desjardins Actions canadiennes valeurs. La première chose est que c’est désormais le gestionnaire de portefeuille des Fonds Desjardins, Desjardins Gestion internationale d’actifs (DGIA), qui assumera la gestion des actifs en portefeuille du Fonds, remplaçant ainsi le sous-gestionnaire de portefeuille, LSV Asset Management.

Afin de refléter la philosophie d’investissement de DGIA, les stratégies de placement du Fonds ont été modifiées. Désormais les actifs du Fonds seront investis dans des titres ciblées reflétant une approche à forte conviction de DGIA.

De plus, le nom du produit a été revu suite à ces changements. Il sera renommé Fonds Desjardins Actions canadiennes ciblées et ce vers le 3 juin 2024, dès que les autres changements prendront effet, sous réserve de l’approbation des autorités réglementaires.

À noter que l’objectif fondamental de placement et le niveau de risque du Fonds demeurent inchangés

DSP a également décidé de procéder au plafonnement du Portefeuille FNB Avisé de Revenu fixe le 26 avril à 16 h. Depuis cette date, le Portefeuille est fermé à tout nouvel investisseur et tout investissement additionnel, à l’exception des investissements par versements périodiques.

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Ausculter un FNB spécialisé https://www.finance-investissement.com/fi-releve/strategie-daffaires/ausculter-un-fnb-specialise-2/ Fri, 01 Sep 2023 00:15:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95755 DÉVELOPPEMENT - Éléments d’une vérification diligente pour certains FNB.

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Avant de choisir un fonds négocié en ­Bourse (FNB) spécialisé, les conseillers devraient effectuer une vérification diligente du produit et de son émetteur. Voici des éléments de vérification pour certains types de ­FNB spécialisés qui ont été abordés à l’occasion de la ­Conférence sur les ­FNB organisée par le ­Cercle de la finance du ­Québec, le 31 mai dernier.

Liquidité

Lorsqu’on envisage d’investir dans un ­FNB spécialisé, on doit bien comprendre ce qui peut influencer sa liquidité. Notons d’abord que les ­FNB ont deux niveaux principaux de liquidité. La liquidité primaire du fonds, c’­est-à-dire la facilité avec laquelle on peut négocier ses actifs ­sous-jacents à un prix qui est juste. Il s’agit de la liquidité intrinsèque d’un ­FNB. Le deuxième niveau de liquidité concerne le marché secondaire du ­FNB ­lui-même, qui peut être négocié avec d’autres participants du marché, comme des investisseurs individuels, institutionnels ou des mainteneurs de marché.

« ­Même si un ­FNB n’a pas de marché secondaire actif, a peu de volume de transactions, parfois même n’a pas négocié depuis quelques jours et même si la taille de son actif sous gestion est petite, le ­FNB peut tout de même être très liquide, dépendamment de la liquidité du marché sous-jacent », a précisé ­Pierre-Luc ­Vachon, chef des produits, ­Stratégies de placement, chez ­Desjardins ­Gestion internationale d’actifs. En somme, un ­FNB est au moins aussi liquide que ses titres ­sous-jacents.

Parfois, un ­FNB peut également être considérablement plus liquide que ses titres ­sous-jacents, comme ça a été le cas en mars 2020 alors que certaines obligations de sociétés ont cessé d’être négociées, le marché étant en pénurie d’acheteurs.

Dans le secteur des ­FNB de titres à revenu fixe, on ne devrait pas porter trop d’attention au volume de négociation d’un ­FNB, mais plutôt examiner son écart cours ­acheteur-cours vendeur, dit Erika Toth, directrice BMO ­FNB, ­BMO ­Gestion mondiale d’actifs : « L’écart entre le cours acheteur et le cours vendeur constitue un bon indicateur de la liquidé d’un ­FNB. » ­Selon elle, pour bien des investisseurs, cet écart est souvent plus restreint que lorsqu’on tente d’acheter des obligations individuelles.

Par ailleurs, pour accéder à certains fonds spécialisés dans les dettes de pays émergents, il est parfois plus économique de passer par l’intermédiaire d’un ­FNB afin d’éviter des écarts trop élevés. « ­Si on voulait acheter à la pièce des obligations de marchés émergents, on devrait ouvrir des comptes dans chacun de ces pays, faire face à des fourchettes de prix très larges parce que ce ne sont pas des titres qui se négocient forcément et composer avec les enjeux de taxation et de paperasse », a indiqué Hadiza Djataou, gestionnaire de portefeuille, ­Placements Mackenzie.

Frais

En plus de l’écart cours ­acheteur-cours vendeur, qui entraîne souvent des frais importants à l’achat et à la vente d’un titre, on doit considérer les frais de négociation de FNB en tant que tel. Ces frais varient en fonction de la taille de l’ordre. Bien qu’on puisse se procurer des parts d’un ­FNB avec une somme modeste, ­celle-ci peut entraîner des coûts de négociation importants qu’on devrait aussi considérer, selon ­Pierre-Luc ­Vachon.

Le ratio des frais de gestion et le ratio des frais d’exploitation constituent également une mesure à prendre en compte, estime ­Erika ­Toth. Bien qu’il existe des ­FNB indiciels dont les frais de ce genre sont inférieurs à 10 points de base, c’est rarement le cas pour des ­FNB spécialisés, dont la fourchette de frais peut évoluer entre 30 points de base et 130 points de base.

Évaluer l’ensemble des frais est donc particulièrement important pour un ­FNB spécialisé. Durant la présentation, on a insisté sur l’importance de bien lire les documents des émetteurs de fonds afin de déterminer les forces et les faiblesses de la stratégie. Il importe aussi de tenir compte de l’expérience de l’émetteur du fonds ainsi que de son degré de transparence. Il a aussi été question de certaines vérifications propres aux ­FNB axés sur l’investissement socialement responsable et sur les stratégies d’options d’achats couvertes, soit deux stratégies qui ont été populaires en 2022 et 2023.

Comprendre l’ESG

Une autre tendance forte du marché des ­FNB concerne ceux qui sont axés sur les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Ce segment de marché représente des actifs de 13,2 G$ et des créations nettes de 1,6 G$ de janvier à avril 2023, selon ­Banque ­Nationale Marchés financiers. Ces ­FNB sont populaires, mais occasionnellement remis en question, parfois par manque de connaissance de la stratégie ­ESG.

D’abord, il faut comprendre qu’il y a une panoplie d’approches en investissement responsable. Certains fonds visent principalement à exclure des titres dans certains secteurs d’activité, par exemple le charbon, a expliqué Pierre-Luc ­Vachon. D’autres choisissent les meilleurs acteurs sur le plan ­ESG dans leur catégorie, sans exclure aucun secteur. Certains fonds visent des thématiques comme les énergies vertes.

« C’est important de maintenir cette diversité dans les stratégies et les approches pour répondre aux besoins variés des investisseurs. Je ne crois pas qu’on veuille nécessairement qu’une seule approche soit acceptée et que tous les fonds tendent vers celle-ci », ­a-t-il dit.

Hadiza ­Djataou a vu l’arrivée sur le marché d’une panoplie d’obligations dites vertes. Selon elle, il est donc d’autant plus important d’avoir l’expertise et l’équipe qui permettent de découvrir les failles dans la documentation. Par exemple, certaines entreprises vont émettre des obligations afin d’atteindre des cibles qui le sont déjà. Il est donc important de comprendre ce que l’entreprise fera avec les liquidités dégagées.

Selon ­Erika ­Toth, l’éducation des clients et la divulgation des émetteurs du fonds sont essentielles.

Options d’achat couvertes

Ces ­FNB ont été populaires depuis le début de l’année et en 2022. Par contre, il faut faire une bonne diligence raisonnable avant d’investir dans ces titres et saisir les stratégies mises en place par les émetteurs.

« ­Il faut comprendre la méthodologie du gestionnaire et comment [est généré] le taux de distribution », a souligné Erika ­Toth.

Un ­FNB d’options d’achat couvertes vendra une option d’achat à parité (at the money) de 2 $ sur une action se négociant actuellement à 100 $, et recevra 200 $ sur un contrat de 100 actions. L’acheteur de l’option paie une prime pour avoir le droit d’acheter au prix de levée de 100 $ le bloc d’actions. Le gestionnaire du ­FNB parie que, pour la durée de l’option, habituellement entre un et deux mois, le prix de l’action ­sous-jacente ne montera pas de plus de 2 $.

Si la valeur de l’action ­sous-jacente baisse, l’option ne sera pas exercée. Tant que le prix ne franchit pas le seuil de 98 $, le revenu de la vente d’option couvre la perte encourue. Or, si le titre tombe sous les 98 $, les pertes ne sont pas stoppées et le portefeuille est entièrement exposé à toute baisse supplémentaire.

À l’inverse, si le cours de l’action augmente, les gains sont plafonnés. En effet, ­au-dessus du prix de 100 $, la valeur de l’action augmente mais l’option sera exercée, ce qui nécessitera la vente de la  position à l’acheteur de l’option. Si l’action se négocie entre 100 $ et 102 $, la prime reçue fait plus que compenser l’augmentation du capital à laquelle on renonce. Or, une fois que les actions se
négocient ­au-dessus de 102 $, le ­FNB a renoncé à une partie de l’appréciation du capital.

En résumé, pour la stratégie de vente d’options d’achat couvertes, les gains à la hausse sont  plafonnés, et les pertes n’ont aucun filet de sécurité.

La portion du portefeuille du ­FNB qui fait l’objet de vente d’options d’achat varie selon le manufacturier et le produit. Par exemple, elle est de 50 % à ­BMO, de 33 % à Harvest et de 25 % à CI. Plus cette proportion est élevée, plus la part du portefeuille plafonnée en cas de gain est grande.

Lors de la conférence en ligne, ­Erika ­Toth a mis en lumière certains éléments à examiner : « ­Si le niveau de distribution semble trop beau pour être vrai – on parle de produits qui affichent un taux de distribution de 13 % ou 14 % – c’est probablement le cas. Il est possible que ces rendements ne soient pas durables et aient un impact négatif sur la performance à long terme. »

Un investisseur devrait aussi vérifier si le fournisseur utilise ou non un effet de levier pour augmenter son taux de distribution. « ­Nous recommandons d’éviter des stratégies d’options d’achat couvertes qui ont un levier. Ça peut augmenter le taux de distribution, mais en fait les covered call, c’est une stratégie défensive. Lorsqu’on utilise un effet de levier, les rendements sont amplifiés à la baisse. Et on n’est pas en mesure d’aller profiter pleinement de la hausse des titres à cause de la vente d’options d’achat. On n’utilise jamais un effet de levier dans nos ­FNB », a expliqué ­Erika Toth.

On devrait également savoir si les options sont vendues hors cours. « ­Pour nous, le choix du prix d’exercice de l’option dépendra de la disponibilité des primes et des conditions générales du marché. Nous faisons l’analyse sur chaque titre. Nous allons prendre des options qui sont davantage hors du cours quand la volatilité augmente et nous vendrons davantage des options plus près du cours lorsque la volatilité diminue. »

On devrait enfin tenir compte de l’échéance des options. Plus une option se rapproche de son échéance, plus elle perd de la valeur « et cela, c’est avantageux pour le vendeur de l’option et l’investisseur dans les stratégies de covered call », a fait observé ­Erika ­Toth.

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Desjardins repense ses FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/desjardins-repense-ses-fnb/ Fri, 14 Jul 2023 10:11:30 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95064 PRODUITS – Nouveaux objectifs de placement et réduction de frais de gestion : des modifications sont apportées à de nombreux fonds.

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Desjardins Gestion internationale d’actifs inc. (DGIA), le gestionnaire et conseiller en valeurs des fonds négociés en Bourse (FNB) Desjardins, annonce des changements pour plusieurs de ses FNB.

La société de gestion prévoit demander l’approbation des porteurs de parts afin de modifier les objectifs de placement des fonds suivants :

  • FNB Desjardins IR Canada multifacteurs faible en CO2
  • FNB Desjardins IR États-Unis multifacteurs faible en CO2
  • FNB Desjardins IR Marchés développés ex É.-U. ex Canada multifacteurs faible en CO2
  • FNB Desjardins IR Marchés émergents multifacteurs faible en CO2
  • FNB Desjardins IR Mondial multifacteurs sans réserves de combustibles fossiles
  • FNB Desjardins IR Indice Canada faible en CO2
  • FNB Desjardins IR Indice États-Unis faible en CO2
  • FNB Desjardins IR Actif obligations canadiennes faible en CO2
  • FNB Desjardins IR Indice Marchés développés ex-É.-U. ex-Canada faible en CO2
  • FNB Desjardins IR Indice Marchés émergents faible en CO2

Selon DGIA, les modifications proposées auront pour effet d’améliorer le processus de construction de portefeuille et de moderniser l’approche de placement responsable, ce qui serait bénéfique pour les porteurs de parts.

La décision finale quant à l’adoption de ces modifications dépendra du vote des porteurs de parts lors des assemblées extraordinaires, qui se tiendront virtuellement le 13 septembre à 9h30 (heure de Montréal). Les personnes éligibles à voter seront celles inscrites comme porteurs de parts à la date de clôture des registres, fixée au 31 juillet 2023.

Les porteurs de parts recevront une circulaire d’information détaillant les modifications proposées. Si elles sont approuvées, les modifications proposées seront mises en œuvre vers le 15 septembre 2023.

Réduction de frais de gestion

En outre, Desjardins a annoncé que les frais de gestion de certains FNB seraient réduits si les modifications proposées étaient approuvées et mises en œuvre. Les autres frais liés aux FNB ne seraient pas affectés. Les changements concerneraient les fonds suivants :

Pour consulter ce tableau en grand format, veuillez cliquer ici.

Changements de nom

Par ailleurs, si les modifications proposées sont approuvées et sont mises en œuvre, le nom de certains FNB sera modifié comme suit à la date de prise d’effet :

Pour consulter ce tableau en grand format, cliquer ici.

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Ausculter un FNB spécialisé https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/ausculter-un-fnb-specialise/ Wed, 14 Jun 2023 10:30:40 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=94407 FOCUS FNB - Éléments d’une vérification diligente pour certains FNB.

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Avant de choisir un fonds négocié en Bourse (FNB) spécialisé, les conseillers devraient établir une vérification diligente du produit et de son émetteur. Voici des éléments de vérifications pour certains types de FNB spécialisés qui ont été abordés à l’occasion de la Conférence sur les FNB organisée par le Cercle de la finance du Québec, le 31 mai dernier.

Liquidité

Lorsqu’on envisage d’investir dans un FNB spécialisé, on doit bien comprendre ce qui peut influencer sa liquidité. Notons d’abord que les FNB ont deux niveaux principaux de liquidité. La liquidité primaire du fonds, c’est-à-dire la facilité avec laquelle on peut négocier ses actifs sous-jacents à un prix qui est juste. Il s’agit de la liquidité intrinsèque d’un FNB. Le deuxième niveau de liquidité concerne le marché secondaire du FNB lui-même, qui peut être négocié avec d’autres participants au marché, comme des investisseurs individuels, institutionnels ou des mainteneurs de marchés.

« Même si un FNB n’a pas de marché secondaire actif, a peu de volume de transactions, parfois même n’a pas transigé depuis quelques jours et même avoir une petite taille d’actif sous gestion, le FNB peut tout de même être très liquide dépendamment de la liquidité du marché sous-jacent », a précisé Pierre-Luc Vachon, chef des produits, Stratégies de placement, chez Desjardins Gestion internationale d’actifs. En somme, un FNB est au moins aussi liquide que ses titres sous-jacents.

Parfois, un FNB peut également être significativement plus liquide que ses titres sous-jacents, comme ça a été le cas en mars 2020 où certaines obligations de sociétés ont cessé d’être négociées, le marché étant en pénurie d’acheteurs.

Dans le secteur des FNB de titres à revenu fixe, on ne devrait pas porter trop d’attention au volume de négociation d’un FNB, mais plutôt examiner son écart cours acheteur-cours vendeur, selon Erika Toth, directrice BMO FNB, BMO Gestion mondiale d’actifs : « L’écart entre le cours acheteur et le cours vendeur constitue un bon indicateur de la liquidé d’un FNB. » Selon elle, pour bien des investisseurs, cet écart est souvent plus restreint que lorsqu’on tente d’acheter des obligations individuelles.

Pour accéder à certains fonds spécialisés dans les dettes de pays émergents, il est parfois plus économique de passer par l’intermédiaire d’un FNB afin d’éviter des écarts trop élevés par ailleurs. « Si on voulait acheter à la pièce des obligations de marchés émergents, on devrait ouvrir des comptes dans chacun de ces pays, faire face à des fourchettes de prix très larges parce que ce ne sont pas des titres qui se négocient forcément et composer avec les enjeux de taxation et de paperasse », a indiqué Hadiza Djataou, gestionnaire de portefeuille, Placements Mackenzie.

Frais

En plus de l’écart cours acheteur-cours vendeur, qui constitue souvent des frais importants à l’achat et à la vente d’un titre, on doit considérer les frais de négociation du FNB en tant que tel. Ces frais varient en fonction de la taille de l’ordre. Bien qu’on puisse se procurer des parts d’un FNB avec une somme modeste, celle-ci peut faire que ces coûts de négociations peuvent être importants et on devrait ainsi les considérer, selon Pierre-Luc Vachon.

Le ratio des frais de gestion et le ratio des frais d’opérations constituent également une mesure à prendre en compte, selon Erika Toth. Bien qu’il existe des FNB indiciels ayant des frais du genre inférieur à 10 points de base, c’est rarement le cas pour des FNB spécialisés, dont la fourchette de frais peut évoluer entre 30 points de base et 130 points de base.

Évaluer l’ensemble des frais est donc particulièrement important pour un FNB spécialisé. Durant la présentation, on a insisté sur l’importance de bien lire les documents des émetteurs de fonds afin d’identifier les forces et les faiblesses de la stratégie. Il importe aussi de tenir compte de l’expérience de l’émetteur du fonds ainsi que de son degré de transparence. Il a aussi été question de certaines vérifications propres aux FNB axés sur l’investissement socialement responsable et sur les stratégies d’options d’achats couvertes, soit deux stratégies qui ont été populaires en 2022 et 2023.

Comprendre l’ESG

Ainsi, une autre tendance forte de marché des FNB concerne ceux axés sur les facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Ce segment de marché représente des actifs de 13,2 G$ et des créations nettes de 1,6 G$ de janvier à avril 2023, selon Banque Nationale Marchés financiers. Ces FNB sont populaires, mais occasionnellement remis en question, parfois par manque de connaissance envers la stratégie ESG.

D’abord, on doit comprendre qu’il y a une panoplie d’approches en investissement responsable. Certains fonds visent principalement à exclure des titres dans certains secteurs d’activité, par exemple le charbon, a expliqué Pierre-Luc Vachon. D’autres choisissent les meilleurs acteurs sur le plan ESG dans leur catégorie, sans exclure aucun secteur. Certains fonds visent des thématiques comme les énergies vertes.

« C’est important de maintenir cette diversité au niveau des stratégies et des approches pour répondre aux besoins variés des investisseurs. Je ne crois pas qu’on veuille nécessairement qu’il y ait une seule approche acceptée et que tous les fonds tendent vers cette approche », a-t-il dit.

Certains fonds vont exclure par exemple les compagnies du secteur de l’énergie, d’autres non et vont rester investi, tenter d’encourager la transition énergétique, dialoguer avec les entreprises pour amener du changement. « Ça n’en fait pas moins un fonds d’investissement responsable. Par contre, ce qui est très important, c’est d’être clair sur ce que le fonds offre et ce qui est visé par sa stratégie », a-t-il souligné.

Hadiza Djataou a vu l’arrivée sur le marché d’une panoplie d’obligations dites vertes. Selon elle, il est donc d’autant plus important d’avoir l’expertise et l’équipe qui permet de découvrir les failles DNS la documentation. Par exemple, certaines entreprises vont émettre des obligations afin de rencontrer des cibles qui sont déjà atteintes. Il est donc important de comprendre ce que l’entreprise fera avec les liquidités dégagées.

Selon Erika Toth, l’éducation auprès des clients et la divulgation des émetteurs du fonds sont essentielles. Parmi les éléments à vérifier dans un fonds ESG, on trouve une comparaison entre son indice de référence sur le plan des frais, de l’approche, du risque et, le cas échéant, de l’indice d’émission de carbone.

Options d’achats couvertes

Ces FNB ont été populaires depuis le début de l’année et en 2022. Par contre, il faut faire une bonne diligence raisonnable avant d’investir dans ces titres et comprendre les stratégies mises en place par les émetteurs.

« Il faut comprendre la méthodologie du gestionnaire et comment (est généré) le taux de distribution », a souligné Erika Toth.

Dans un récent article, Finance et Investissement expliquait la stratégie.

Un FNB d’options d’achat couvertes vendra une option d’achat à parité (at the money) de 2 $ sur une action se négociant actuellement à 100 $, et recevra 200 $ sur un contrat de 100 actions. L’acheteur de l’option paie une prime pour avoir le droit d’acheter au prix de levée de 100 $ le bloc d’actions. Le gestionnaire du FNB parie que, pour la durée de l’option, habituellement entre un et deux mois, le prix de l’action sous-jacente ne montera pas de plus de 2 $.

Si la valeur de l’action sous-jacente baisse, l’option ne sera pas exercée. Tant que le prix ne franchit pas le seuil de 98 $, le revenu de la vente d’option couvre la perte encourue. Or, si le titre tombe sous les 98 $, les pertes ne sont pas stoppées et le portefeuille est entièrement exposé à toute baisse supplémentaire.

À l’inverse, si le cours de l’action augmente, les gains sont plafonnés. En effet, au-dessus du prix de 100 $, la valeur de l’action augmente mais l’option sera exercée, ce qui nécessitera la vente de la position à l’acheteur de l’option. Si l’action se négocie entre 100 $et 102 $, la prime reçue fait plus que compenser l’augmentation du capital à laquelle on renonce. Or, une fois que les actions se négocient au-dessus de 102 $, le FNB a renoncé à une partie de l’appréciation du capital.

En résumé, pour la stratégie de vente d’options d’achat couvertes, les gains à la hausse sont plafonnés, et les pertes n’ont aucun filet de sécurité.

La portion du portefeuille du FNB qui fait l’objet de vente d’options d’achat varie selon le manufacturier et le produit. Par exemple, elle est de 50 % chez BMO, de 33 % chez Harvest et de 25 % chez CI. Plus cette proportion est élevée, plus la part du portefeuille plafonné en cas de gain est grande.

Lors de la conférence en ligne, Erika Toth a souligné certains éléments à examiner : « Si le niveau distribution semble trop beau pour être vrai – on parle de produits qui affichent un taux de distribution de 13 % ou 14 % – c’est probablement le cas. Il est possible que ces rendements ne soient pas durables et aient un impact négatif sur la performance à long terme. »

Un investisseur devrait aussi vérifier si le fournisseur utilise ou non un effet de levier pour augmenter son taux de distribution. « Nous recommandons d’éviter des stratégies d’options d’achat couvertes qui ont un levier. Ça peut augmenter le taux de distribution, mais en fait les covered call, c’est une stratégie défensive. Lorsqu’on utilise un effet de levier, les rendements sont amplifiés à la baisse. Et on n’est pas en mesure d’aller profiter pleinement de la hausse des titres à cause de la vente d’options d’achat. On n’utilise jamais un effet de levier dans nos FNB », a expliqué Erika Toth.

On devrait également savoir si les options sont vendues hors cours. « Pour nous, le choix du prix d’exercice de l’option dépendra de la disponibilité des primes et des conditions générales du marché. Nous faisons l’analyse sur chaque titre. Nous allons prendre des options qui sont davantage hors du cours quand la volatilité augmente et on va vendre davantage des options plus près du cours lorsque la volatilité diminue. »

On devrait également tenir compte de l’échéance des options. Plus une option se rapproche de son échéance, plus elle perd de la valeur « et cela, c’est avantageux pour le vendeur de l’option et l’investisseur dans les stratégies de covered call », a expliqué Erika Toth.

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Nouveaux joueurs chez DGIA https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nouveaux-joueurs-chez-dgia/ Wed, 03 May 2023 11:03:05 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=93389 NOUVELLES DU MONDE - Frederic Angers et Tony Roy se joignent à l’équipe.

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Deux nouveaux joueurs viennent renforcer les troupes de Desjardins Gestion internationale d’actifs (DGIA). Frederic Angers a été nommé au poste de vice-président et chef des placements, Marchés privés. Tony Roy accède quant à lui aux fonctions de vice-président et chef des Placements immobiliers.

Dans le cadre de ses fonctions, Frederic Angers sera responsable de l’ensemble des marchés privés. Il continuera d’assurer le leadership du programme en infrastructure de l’institution, qui totalise 4,5 milliards de dollars (G$) en actifs sous gestion. Avant de se joindre à DGIA en 2021, il travaillait comme chef de l’infrastructure pour le régime des rentes du Mouvement Desjardins. Il a commencé sa carrière en 2003 au sein de la coopérative basée à Lévis comme analyste des placements alternatifs. Il y a occupé différents postes en gestion de portefeuille, notamment dans le secteur de l’immobilier.

Tony Roy compte plus de 25 années d’expérience en immobilier institutionnel mondial, tant au niveau transactionnel qu’en gestion d’actifs et de portefeuille ainsi que dans la performance globale corporative. Avant de se joindre à DGIA en 2022, il a fait carrière chez Ivanhoé Cambridge et à la SITQ, avant que celle-ci soit incorporée à Ivanhoé Cambridge. Dans le cadre de ses nouvelles responsabilités, il supervisera l’ensemble du programme immobilier de DGIA, qui regroupe des actifs de 4,1 (G$).

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Financière des professionnels : des changements à la gestion de portefeuille https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/financiere-des-professionnels-des-changements-a-la-gestion-de-portefeuille/ Tue, 04 Apr 2023 11:36:56 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92832 PRODUITS - Ils concernent le Portefeuille FDP Actions canadiennes.

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Financière des professionnels (FDP) a décidé de confier la sous-gestion du Portefeuille FDP Actions canadiennes à Desjardins Gestion internationale d’actifs (DGIA), qui remplace ainsi Gestion de portefeuille Triasima.

Chez DGIA, c’est Tommy Nguyen qui agira comme principal responsable des services de conseils en placement fournis au Fonds.

DGIA devient sous-gestionnaire des actifs du Portefeuille FDP Actions canadiennes avec Fidelity Investments Canada et Gestion d’actifs Manuvie.

FDP continue pour sa part d’assurer à l’interne la gestion de la balance des actifs du Fonds, à titre de gestionnaire de portefeuille.

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Nouveaux défis pour une leader de l’investissement responsable https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nouveaux-defis-pour-une-leader-de-linvestissement-responsable/ Wed, 01 Mar 2023 12:11:22 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=92169 NOUVELLES DU MONDE - Elle a quitté DGIA pour BNI.

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Solène Hanquier, qui était auparavant leader de pratique en stratégies ESG chez Desjardins, a décidé de relever un nouveau défi comme cheffe de l’investissement responsable chez Banque Nationale Investissement.

À ce titre, elle est responsable de la conception et de la mise en œuvre de la stratégie d’investissement responsable de BNI et représente l’équipe dans les collaborations stratégiques internes et externes. Elle a pris ses nouvelles fonctions au début du mois de février.

Solène Hanquier a participé au déploiement de l’investissement responsable (IR) chez Desjardins Gestion internationale d’actifs (DGIA) et au processus d’analyse ESG de la firme. Elle s’était jointe à Desjardins en 2015 comme conseillère en responsabilité sociale d’entreprise.

Auparavant, elle avait travaillé chez Bell Canada Entreprises à titre de conseillère en responsabilité d’entreprise. Elle a commencé sa carrière dans le secteur du développement durable et de l’investissement responsable en 2010 au ministère de la Défense nationale du Canada à titre d’agente environnementale.

Solène Hanquier détient un baccalauréat en administration des affaires de HEC Montréal et une maîtrise en gestion environnementale de l’Université de Sherbrooke. Elle a également terminé un programme de troisième cycle en vérification environnementale à l’Université de Sherbrooke.

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