Les AG vivent la leur en plus de composer avec celle des assureurs.
En distribution de produits d'assurance de personnes, l'avenir appartient-il aux agents généraux virtuels et aux regroupements de conseillers performants, familièrement appelés «gros producteurs» ?
Dans l'univers de l'assurance de personnes, la forte vague des départs à la retraite ne crée pas toujours des occasions en or pour la relève. Trop souvent, les blocs d'affaires (books) des vétérans n'ont plus grande valeur.
La Canada Vie suscite de vives inquiétudes chez les agents généraux. Ils craignent que leur propre fournisseur de produits d'assurance leur dérobe de bonnes affaires par l'intermédiaire du Groupe Financier Horizons. La Canada Vie est propriétaire de cet agent général depuis 2017.
Dominic Demers a fait souffler un vent de renouveau à la Financière S_entiel.
En assurance de personnes, les concours de vente et autres activités de récompense de ce genre provoquent un certain malaise. Beaucoup qualifient ce sujet de «délicat» et «sensible», au point que certains doutent de leur avenir chez les agents généraux.
Ces séries à barèmes de cinq ans seraient un piège pour les agents généraux.
Sans frais d'entrée ni de sortie, les séries de fonds distincts avec récupération possible de commissions, aussi appelés fonds en rétrofacturation, provoquent une certaine inquiétude.
Les promesses d'avenir du logiciel APEXA sont grandes. Toutefois, son chemin est cahoteux et le mécontentement est manifeste chez des agents généraux.
Des agents généraux déplorent que la Loi visant principalement à améliorer l'encadrement du secteur financier, dont le projet de loi 141 a été sanctionné en juin 2018, ne fasse pas mention de leur rôle d'intermédiaire dans la chaîne de distribution. Ces regrets soulèvent la question du rôle des agents généraux par rapport à la conformité des représentants.