Fundata Canada – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 05 Jul 2024 11:27:00 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Fundata Canada – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Fonds spéculatifs et actifs liquides non conventionnels au Canada https://www.finance-investissement.com/zone-experts_/aima/fonds-speculatifs-et-actifs-liquides-non-conventionnels-au-canada/ Fri, 05 Jul 2024 11:27:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101688 ZONE EXPERTS – État de la situation et des tendances.

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L’AIMA a récemment organisé des événements présentant les dernières statistiques et tendances en matière de fonds spéculatifs et d’actifs liquides non conventionnels au Canada. Ces événements ont permis de fournir un aperçu complet de l’état actuel de ces classes d’actifs, en mettant en évidence leur croissance, leurs stratégies et leurs performances.

Nous explorons ci-dessous les dernières les conclusions à tirer de ces données, et comparons le marché canadien avec ses homologues mondiaux.

Une force croissante sur le marché mondial  

Le secteur canadien des fonds spéculatifs affiche plus de 77 milliards de dollars (G$) d’actifs sous gestion, selon Preqin. Le Canada abrite plus de 246 fonds spéculatifs gérés par 130 gestionnaires différents, selon Fundata. La catégorie la plus importante dans ce secteur est le fonds non conventionnel, principalement de crédit du CIFSC, suivi par les fonds Alternatifs multi-stratégies et les fonds non conventionnels principalement de crédit.

Le Canada accueille un large éventail de stratégies de fonds spéculatifs gérées à l’intérieur de ses frontières, les actions, le crédit et la valeur relative étant les plus répandues. Ces stratégies ont permis au Canada de représenter environ 2,4 % du marché mondial des fonds spéculatifs, ce qui correspond étroitement au poids du pays dans l’indice MSCI World (3,06 %).

Les gestionnaires émergents, définis comme ceux dont l’actif sous gestion est inférieur à 1 G$ américains, représentent 39,1 % du marché canadien des fonds spéculatifs. En revanche, 8,9 % des gestionnaires gèrent des fonds supérieurs à 1 G$.

Depuis 2015, toutes les stratégies de fonds spéculatifs déclarées à Preqin ont dégagé des rendements positifs. Cela démontre leur capacité à remplir leurs différents mandats, tout en offrant des rendements ajustés au risque avec une volatilité plus faible et une protection contre les baisses. Au troisième trimestre 2023, notamment, les fonds spéculatifs canadiens ont atténué le risque de baisse en ne capturant que 12 % de la baisse du marché tout en sécurisant 36 % de la hausse sur une période de 12 mois.

Les mesures de performance à long terme favorisent également les fonds spéculatifs canadiens. Les ratios de Sharpe sur 3 et 5 ans de ces fonds dépassent légèrement l’indice S&P 500 PR. Les indices de fonds spéculatifs canadiens de la Banque Scotia, qu’ils soient pondérés en fonction de l’actif ou à pondération égale, ont toujours offert des rendements positifs et souvent plus stables depuis 2004.

Les fonds spéculatifs canadiens ont offert une diversification, une protection contre les baisses et une corrélation plus faible, l’indice pondéré des actifs des fonds spéculatifs canadiens de la Banque Scotia affichant moins des deux tiers de la volatilité de l’indice composé S&P/TSX et une corrélation de seulement 0,29 avec l’indice S&P 500.

Cinq ans d’actifs liquides non conventionnels au Canada

Alors que les fonds non conventionnels liquides franchissent le cap des cinq ans d’existence au Canada, leur croissance s’inscrit dans une tendance plus large à la vente au détail d’investissements non conventionnels, les sociétés traditionnellement axées sur les institutions consacrant leur temps, leur attention et leurs forces de marketing à la vente au détail.

Tout d’abord, la taille du marché : le Canada peut s’enorgueillir de posséder plus de 26 G$ canadiens d’actifs liquides non conventionnels, répartis entre 129 fonds communs de placement non conventionnels et 122 fonds négociés en Bourse (FNB) non conventionnels provenant de plus de 40 émetteurs. Ce chiffre est à comparer aux 86 G$ d’actifs sous gestion des fonds spéculatifs (en hausse de près de 9 % par rapport à l’année précédente), répartis entre 246 fonds spéculatifs, selon les statistiques de Preqin et Fundata. Avec 670 G$ d’actifs sous gestion dans les OPCVM non conventionnels en Europe (en hausse de 42 % par rapport à l’année précédente) et plus de 376 G$ d’actifs sous gestion dans les fonds américains de l’Alternative 40 Act (en hausse de 4 % par rapport à l’année précédente), la croissance des fonds non conventionnels liquides au Canada ne fait que commencer.

Nous n’avons pas encore vu les fonds équilibrés atteindre l’allocation de 10 % autorisée par le Règlement 81-102, ce qui stimulerait encore la croissance des actifs liquides non conventionnels.

Les stratégies axées sur les actions et les stratégies multiples ont continué à dominer en tant que catégories plus larges pour les lancements, à l’exception d’un grand nombre de fonds dans la catégorie des fonds non conventionnels principalement de crédit et non homogènes.

Les données de performance de l’indice des fonds communs de placement non conventionnels de la Banque Scotia indiquent des rendements positifs pour les fonds non conventionnels liquides, avec un ratio de Sharpe de 0,46 et une corrélation de 0,85 en mars 2024. Au sein des catégories CIFSC, les stratégies non conventionnelles axées sur les actions, le crédit et la neutralité par rapport au marché ont toutes affiché des performances positives au cours des dernières périodes.

Les mesures de risque/rendement sur trois ans montrent une dispersion importante entre les gestionnaires, en particulier dans la catégorie des stratégies alternatives axées sur les actions. Cette variation souligne l’importance d’un contrôle préalable approfondi lors de la sélection des fonds en fonction des objectifs spécifiques du portefeuille.

De plus, les fonds non conventionnels liquides au Canada continuent d’offrir des structures de frais compétitives. Actuellement, les actifs liquides non conventionnels canadiens ont des frais de gestion moyens de 1,18 % et des frais de performance moyens de 16,7 %, ce qui est légèrement inférieur non seulement à leurs homologues canadiens de fonds spéculatifs, mais aussi aux OPCVM non conventionnels, qui ont des frais moyens de 1,39 % et des frais de performance de 6,37 %, et aux fonds non conventionnels de la Loi 40, dont les frais de gestion moyens sont de 1,62 %, un peu plus élevés pour tenir compte du fait que les frais de performance ne sont généralement pas facturés dans ce régime. 38 % des fonds non conventionnels liquides canadiens ont des commissions de performance, 53% d’entre eux incluant un taux de rendement minimal.

Cadre réglementaire et perspectives d’avenir

L’évolution du marché des produits non conventionnels liquides s’accompagne d’une évolution du cadre réglementaire. Les récentes mises à jour des réglementations des Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) au-delà du Règlement 81-102 ont été mises en œuvre pour faciliter la croissance et réduire les charges réglementaires. L’AIMA continue de plaider en faveur de nouvelles codifications réglementaires afin de rationaliser les processus, de réduire les coûts d’exploitation et de soutenir les acteurs du secteur.

Dans l’ensemble, les marchés canadiens des fonds spéculatifs et des actifs non conventionnels liquides présentent divers avantages pour les investisseurs, car ils offrent une gamme de stratégies et de rendements ajustés au risque pour des portefeuilles équilibrés. Grâce à un soutien réglementaire continu et à l’intérêt croissant des investisseurs individuels, ces catégories d’actifs sont appelées à connaître une croissance importante à l’avenir.

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Bilan positif pour le CGE https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/bilan-positif-pour-le-cge/ Tue, 28 May 2024 10:48:29 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101109 Et encore de nombreux projets sur la table.

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« La gestion de portefeuille est une super belle business. Nous avons beaucoup de talents au Québec, nous aimerions intéresser encore plus de jeunes diplômés à cette pratique et pouvoir évidemment trouver des emplois pour tous ces jeunes-là », lance Charles Lemay, président du Conseil des gestionnaires en émergence (CGE).

Amorçant la dernière année d’un deuxième mandat de deux ans à la tête de l’OBNL fondé en 2014, Charles Lemay est tout sourire. Il dresse un bilan plutôt positif de la dernière année d’activités du CGE, dont la mission est de soutenir la croissance des firmes de gestion de portefeuille canadiennes en démarrage ou de plus petite taille.

« L’objectif, lorsque j’ai pris la présidence, était d’améliorer les communications, et d’éduquer les gens sur la business de gestion de portefeuille », explique Charles Lemay, dans les minutes précédant son adresse aux membres et aux invités présents au traditionnel cocktail du printemps, le 23 mai dernier au Musée McCord, à Montréal.

Un grand pas a été fait en ce sens, selon lui. Il évoque la mise en ligne d’un site Internet complètement revu en 2024. On y retrouve notamment un calendrier des événements pertinents offerts aux membres de l’industrie, ainsi que des informations utiles aux gestionnaires, et un répertoire de fournisseurs.

Au cours des prochains mois, le site sera enrichi d’une section qui va permettre aux firmes d’afficher des postes et de recruter des jeunes qui pourront aussi y déposer leur profil. Il contiendra également des guides à l’intention des futurs entrepreneurs, par exemple sur la marche à suivre permettant de s’inscrire auprès de l’Autorité des marchés financiers, illustre le dirigeant.

La nouveauté la plus notable du site est toutefois la publication d’un classement visant à montrer « quels sont les gestionnaires les plus performants et à pouvoir les mettre en valeur », signale Charles Lemay.

Trois classements sont ainsi proposés dans les catégories Gestion alternative, Gestion traditionnelle — actions, et Gestion traditionnelle à revenu fixe, avec le soutien de Fundata. En date du 30 avril 2024, ces classements sont respectivement dominés, avec des rendements « à ce jour », par Les investissements Rivemonts et son fonds Rivemont Crypto Fund Series B (40,2 %); Tonus Capital et son fonds Tonus Partners’ Fund Class A (16,8 %); ainsi que par Nymbus Capital et son fonds Nymbus Sustainable Enhanced Bonds Fund Class F (3,79 %).

Ce classement de fonds a remplacé les indices CGE qui étaient auparavant publiés dans le but de montrer la performance consolidée de fonds gérés par les membres.

Événements

« Il était important, aussi, d’offrir plus de soutien aux membres », ajoute Charles Lemay, concernant les services proposés par le CGE.

Le 16 février dernier, le CGE a envoyé une délégation à Albany, dans l’État de New York, afin d’assister à la 17e Conférence de l’Annual Emerging Manager & MWBE de New York. « C’est l’équivalent de la Caisse de dépôt de l’État de New York, avec un fonds de pension de 220 G$. Leur programme de gestionnaires en émergence à lui seul est de 10 G$, explique Charles Lemay. Lors de leur événement, ils accueillent 1000 personnes et on peut y rencontrer, par exemple, le “Eric Girard” Newyorkais, pour se présenter et échanger. C’est une belle façon d’ouvrir des portes. Ensuite, c’est à toi de faire ta chance ».

En plus d’organiser ce type de « visites », le CGE a accentué son offre en matière de formation. Le 14 mai, par exemple, le Conseil a tenu une conférence sur la conformité, en collaboration avec Alpha CCO. Finalement, le CGE entend bien sûr continuer à miser sur des valeurs sûres et tiendra de nouveau son événement annuel d’introduction aux capitaux. Fort couru, ce rendez-vous met en relation des gestionnaires avec des allocateurs d’actifs du Québec, mais aussi de l’Ontario et des États-Unis. « Nous en sommes à notre neuvième année. C’est notre événement phare », mentionne Charles Lemay.

Le prochain Cap Intro est prévu le 14 novembre à Montréal. Le CGE caresse l’idée d’en organiser un également à Toronto. Il faut dire que sur les 75 gestionnaires qui sont membres du CGE, près de la moitié provient de l’extérieur du Québec, principalement de l’Ontario, mais aussi de villes comme Calgary, Winnipeg et Vancouver.

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Revenu fixe : bon moment pour allonger la durée? https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/revenu-fixe-bon-moment-pour-allonger-la-duree/ Fri, 23 Feb 2024 12:19:17 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98955 FOCUS FNB – Après une année 2022 désastreuse, le paysage semble plus favorable aux FNB obligataires à long terme.

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Après avoir été un investissement désastreux pendant la forte hausse des taux d’intérêt qui s’est amorcée en mars 2022, les fonds négociés en Bourse (FNB) d’obligations canadiennes à long terme se sont rachetés en partie en 2023 avec des rendements moyens supérieurs à 8 %. La majeure partie de ce rendement a été enregistrée en décembre, dans un contexte d’optimisme croissant quant au fait que la Banque du Canada et la Réserve fédérale américaine (Fed) avaient fini d’augmenter les taux d’intérêt et qu’elles apporteraient le soulagement tant attendu en 2024.

Étant donné que les prix des obligations évoluent en sens inverse des taux d’intérêt, les obligations à long terme sont celles qui ont le plus à perdre en cas de montée en flèche des taux du marché. C’est ce qui s’est produit en 2022. Ces FNB ont subi des pertes importantes se chiffrant à 22,8 % en moyenne, selon Fundata Canada.

Personne ne prévoit un rebond d’une telle ampleur. Mais le paysage du marché semble plus favorable pour une poussée plus loin sur la courbe des taux. Sur l’influent marché américain, les prix des contrats à terme indiquent que les opérateurs s’attendent à ce que la Fed commence à réduire ses taux dès le mois de mars, et certainement d’ici le milieu de l’année.

En novembre, Placements Mackenzie est entré sur le marché des obligations à long terme en lançant le FINB Obligations à long terme du gouvernement canadien Mackenzie, ainsi qu’un FNB d’obligations à long terme américaines.

« Compte tenu de l’activité potentielle de la Banque du Canada et de la Fed, nous prévoyons un intérêt accru pour les obligations à long terme jusqu’en 2024, déclare Prerna Mathews, vice-présidente de la stratégie des produits FNB chez Mackenzie, basée à Toronto. Le sentiment général est que nous allons assister à des baisses de taux. Il s’agit simplement de savoir dans quelle mesure et à partir de quand. »

Avec une baisse des taux à partir de 2024, les conseillers et leurs clients doivent réexaminer leurs positions en matière de revenu fixe. « Toute baisse des taux signifie qu’il faut commencer à réfléchir au rendement futur de ces solutions obligataires à ultra-court terme, rappelle Prerna Mathews, et aux avantages que l’on peut tirer d’une appréciation du prix des obligations et du rendement potentiel que l’on tirerait d’allonger l’échéance de ses obligations détenues . »

Alfred Lee, gestionnaire de portefeuille et stratège en investissement chez BMO Gestion mondiale d’actifs (GMA), considère que les obligations à long terme jouent un rôle de soutien dans le cadre d’une allocation diversifiée de titres à revenu fixe.

Il recommande ce que l’on appelle une approche haltère (barbell), qui consiste à s’exposer à la fois aux obligations à court terme et à celles à long terme. Cependant, il préfère surpondérer l’extrémité courte de la courbe de rendement.

Cela permet aux investisseurs de tirer parti de l’inversion actuelle de la courbe des rendements, puisque les émissions à court terme génèrent toujours des rendements plus élevés. Il s’agit d’une anomalie par rapport à une courbe normale dans laquelle les échéances plus longues offrent des rendements plus élevés que les titres à court terme.

En outre, lorsque les banques centrales commenceront à réduire les taux, Alfred Lee prévoit que ce soient les titres à court terme qui, dans un premier temps, gagneront le plus. Et pour les investisseurs qui ont une exposition considérable aux actions sensibles aux taux d’intérêt, telles que les banques, les pipelines et les services publics, il n’est pas judicieux, du point de vue de la diversification, de détenir trop de titres à revenu fixe à long terme, qui sont également vulnérables aux hausses de taux.

Cependant, dans certains scénarios de marché boursier baissier, les obligations à long terme aideraient à compenser le risque du marché des actions. C’est pourquoi les stratèges de BMO GMA privilégient une exposition modeste. Dans un portefeuille type 60/40 qui contient 40 % d’obligations, Alfred Lee a suggéré qu’une allocation raisonnable aux obligations à long terme serait de 3 % à 5 % de l’actif total.

Dans la catégorie des obligations canadiennes à long terme, des fonds comme le FINB BMO obligations fédérales à long terme et le nouveau FINB de Mackenzie investissent exclusivement dans des émissions gouvernementales. D’autres fonds à duration pure, qui ne prennent aucun risque de crédit provenant de sociétés, comprennent le Invesco Long Term Government Bond Index ETF, le iShares Core Canadian 15+ Year Federal Bond Index ETF et le FNB d’obligations fédérales canadiennes à long terme TD.

Les FNB iShares Core Canadian Long Term Bond Index ETF et Vanguard Canadian Long-Term Bond Index ETF adoptent une approche plus diversifiée du marché canadien, avec des titres constitués principalement d’émissions gouvernementales, mais aussi d’obligations de sociétés.

Les FNB d’obligations à long terme qui investissent dans les entreprises offrent des rendements plus élevés, tout en assumant un risque de crédit plus important. « Dès que l’on entre dans les obligations d’entreprises à long terme, on peut commencer à voir des émissions de très mauvaise qualité, prévient Prerna Mathews. Ce n’est pas pour rien qu’elles doivent émettre à si long terme. »

Le FINB BMO obligations de sociétés à long terme est un placement purement axé sur les entreprises. Il a récemment détenu près de 60 % de crédits A, tandis que la quasi-totalité du reste était notée BBB, ce qui est au bas de l’échelle de la qualité d’investissement. Ce portefeuille a récemment affiché un rendement à l’échéance de 4,8 %, ce qui est nettement plus élevé que les 3,1 % du FINB BMO obligations fédérales à long terme et de son portefeuille AAA.

Une variation sur le thème des FNB d’obligations à long terme est celle des FNB qui investissent dans le marché américain. Bien qu’il y ait une étroite corrélation à long terme avec les obligations canadiennes à long terme, il peut y avoir des divergences sur des périodes plus courtes.

Ce groupe comprend le plus ancien, le FINB BMO obligations du Trésor américain à long terme, les nouveaux venus de l’an dernier, le iShares 20+ Year U.S. Treasury Bond Index ETF et le FINB Mackenzie obligations du gouvernement américain à long terme, ainsi que le FINB TD obligations du Trésor américain à long terme.

Selon Alfred Lee, il peut être avantageux de détenir des obligations américaines à long terme lors d’une chute brutale du marché boursier ou d’un autre événement de type « cygne noir » au cours duquel le dollar américain s’apprécie, en raison de sa réputation de valeur refuge. Avec le FNB BMO américain, « vous obtenez également cette exposition au dollar américain, ce qui est un atout supplémentaire dans certaines circonstances où le risque diminue », estime-t-il.

Le Horizons Long-Term U.S. Treasury Premium Yield ETF, lancé en octobre, sera probablement le plus performant des FNB d’obligations à long terme. Ce FNB utilise des options d’achat et de vente, ce qui modifie le profil de risque du portefeuille tout en cherchant à générer des revenus bien plus élevés que les titres sous-jacents.

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