Le gouvernement devrait dégager des déficits plus importants que prévu pour chacune des prochaines années, révèle une nouvelle analyse réalisée par l'organisme de surveillance du budget fédéral.
L'Institut économique de Montréal (IEDM) revient à la charge et réclame à nouveau une baisse de l'impôt sur le revenu des entreprises.
Le gouvernement libéral de Justin Trudeau a affiché un déficit budgétaire de 19 milliards de dollars (G$) pour l'exercice annuel terminé le 31 mars 2018.
Le gouvernement Trudeau a reçu un plan ambitieux visant à combler plusieurs lacunes dans le filet de sécurité sociale des Canadiens malades et sans emploi, qui prévoit notamment la création d'un nouveau programme visant à aider ceux dont l'assurance-emploi ou les prestations de maladie sont sur le point de disparaître.
Par rapport à plusieurs autres pays industrialisés, le Canada accuse du retard en matière d’examen et de réforme de son régime fiscal, et son « inaction » risque de lui coûter cher, avertissent les Comptables professionnels agréés du Canada.
La vigueur du secteur manufacturier a permis à l'économie canadienne de croître plus rapidement que prévu en juillet, ce qui augmente la probabilité que la Banque du Canada procède à une hausse de son taux d'intérêt directeur le mois prochain.
ZONE EXPERTS - Le 27 février 2018, le ministre fédéral des Finances, M. Bill Morneau, présentait son budget au Parlement. Ce budget propose diverses mesures visant la fiscalité internationale, notamment un changement des exigences en matière de déclaration de renseignements (« déclaration ») touchant les sociétés étrangères affiliées.
AJOUTS - Le Centre québécois de formation en fiscalité (CQFF) revient à la charge en mettant en lumière une nouvelle série d’erreurs commises par le ministère fédéral des Finances.
Le ministre des Finances, Bill Morneau, envisage des mesures ciblées pour accroître la compétitivité du Canada plutôt que de plus larges réductions d'impôt pour les sociétés, affirment des sources.
Le gouvernement de Justin Trudeau a levé le voile, mardi, sur ce qu'il a qualifié de plan « audacieux » pour réduire la pauvreté au Canada d'ici deux ans, mais la stratégie ne prévoit aucune nouvelle dépense ou politique publique pour juguler ce problème par la suite jusqu'en 2030.