Une étude en arrive à cette conclusion.
L'évasion fiscale pratiquée par les gens d'affaires, qui fait perdre à l'État de précieuses sources de revenus, est un phénomène aussi répandu que difficile à endiguer.
Le ministre des Finances, Eric Girard, a tenu à se faire rassurant, vendredi, devant ceux qui craignent qu'un retour à l'équilibre budgétaire en cinq ans lui impose d'augmenter le fardeau fiscal ou d'imposer des mesures d'austérité.
Il pourrait dépasser 8 milliards de dollars (G$) l'an prochain.
Les Québécois sauront dans quel état se retrouvent les finances publiques.
Après huit mois de pandémie, les Québécois sauront dans quel état se retrouvent les finances publiques le 12 novembre.
Il faut se faire à l'idée que le virus de la COVID-19 va attaquer les finances publiques du Québec pendant plusieurs années.
Le premier trimestre de l'année financière en cours s'est soldé par un déficit d'environ 4,9 milliards de dollars (G$) pour l'État québécois, alors que la pandémie de COVID-19 a engendré d'importantes dépenses et fait plonger les revenus puisque l'économie tournait au ralenti.
Si la deuxième vague attendue de COVID-19 frappe fort cet automne, l'économie du Québec en subira le contrecoup, tout comme le trésor public.
Dans quelle mesure la pandémie a-t-elle ébranlé les objectifs énoncés par Québec ?