Harvest ETF – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 09 Jan 2025 17:45:49 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Harvest ETF – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Harvest renforce son équipe de spécialistes des FNB https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/harvest-renforce-son-equipe-de-specialistes-des-fnb/ Fri, 10 Jan 2025 11:40:26 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104878 NOUVELLES DU MONDE – La firme recrute Laura Tase et Chris Heaks chez BMO.

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Harvest a annoncé l’arrivée de deux spécialistes chevronnés des fonds négociés en Bourse (FNB) pour solidifier sa présence sur le marché.

Laura Tase se joint à Harvest en tant que vice-présidente des ventes institutionnelles. Spécialiste des FNB et des fonds d’investissement, elle occupait auparavant le poste de vice-présidente chez FNB BMO pour l’Ontario, fonctions qu’elle a occupées pendant sept ans. Avant cela, elle est entrée chez BMO Gestion mondiale d’actifs en février 2012 comme vice-présidente des ventes régionales pour le centre-ville de Toronto. Laura Tase évolue dans le secteur des services financiers depuis 2004. Elle a occupé divers rôles dans les programmes d’actifs gérés, les fonds distincts et les FNB. Elle est titulaire d’un MBA en finance de l’Université de Windsor en Ontario et porte le titre d’analyste financier agréé (CFA).

Chris Heaks rejoint quant à lui Harvest après une décennie passée comme gestionnaire de portefeuille chez FNB BMO. Spécialiste des FNB axés sur les actions et les produits dérivés, il possède une expertise reconnue dans la gestion et la stratégie de portefeuille. Titulaire d’une maîtrise en finance de la Rotman School of Management de l’Université de Toronto et du titre de CFA, il jouera un rôle clé dans le développement des solutions de portefeuille de Harvest. « Son expérience approfondie et sa connaissance du marché seront des atouts majeurs pour accompagner la croissance de Harvest », a déclaré Michael Kovacs, président-directeur général de la firme.

Ces deux nominations s’inscrivent dans la stratégie d’expansion d’Harvest dans le secteur des FNB au Canada. En décembre dernier, la société a déposé un prospectus préliminaire auprès des autorités canadiennes de réglementation des valeurs mobilières pour lancer six nouveaux FNB.

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Les frais les moins bien compris par les conseillers https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/les-frais-les-moins-bien-compris-par-les-conseillers/ Wed, 08 Jan 2025 11:10:22 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101751 FI TV — Michael Chung, responsable régional des ventes Québec, Harvest ETFs parle des frais les moins bien compris par les conseillers en matière de FNB.

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Finance et investissement : Quels frais sont les moins bien compris par les conseillers, selon vous, et pourquoi pensez-vous qu’ils le sont ? 

Michael Chung : Selon nous, les frais les plus mécompris par les conseillers sont principalement ceux liés à l’imposition sur les distributions, et ce, pour plusieurs raisons.

Tout d’abord, les changements fréquents dans la législation fiscale rendent difficile pour les conseillers de rester constamment à jour, étant donné la complexité et la variabilité de ces changements.

Ensuite, les différents traitements fiscaux appliqués à chaque type de distribution ajoutent un autre niveau de complexité à la gestion fiscale des investissements.

De plus, dans le cas des fonds négociés en Bourse (FNB), la présence de titres étrangers introduit un niveau supplémentaire de complexité en matière de questions fiscales transfrontalières.

Et enfin, chaque situation fiscale individuelle va varier considérablement, ce qui signifie que les conseillers doivent comprendre et adapter leur approche pour chaque client en fonction de sa situation spécifique.

Les opinions exprimées sont celles de Michael Chung, responsable régional des ventes Québec, Harvest ETFs en date du 8 juillet 2024, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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L’année s’est terminée en force pour les FNB canadiens https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/lannee-sest-terminee-en-force-pour-les-fnb-canadiens/ Wed, 08 Jan 2025 10:40:55 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104861 FOCUS FNB – Avec des créations nettes de plus de 10 milliards de dollars en décembre.

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Pour la première fois de leur histoire, les fonds négociés en Bourse (FNB) canadiens ont franchi en décembre le seuil des 10 milliards de dollars (G$) de créations nettes en un seul mois (10,6 G$). Ce nouveau record dépasse les 9,2 G$ enregistrés en novembre, selon un rapport de Banque Nationale Marchés financiers (BNMF).

Les FNB d’actions renforcent leur position

Les FNB d’actions continuent de dominer le marché, avec des créations nettes de 7,8 G$ en décembre, comparativement à 6,9 G$ en novembre. Toutes les catégories de fonds d’actions ont enregistré des entrées nettes. Sur le plan géographique, les fonds d’actions canadiennes et américaines se distinguent avec plus de 3 G$ d’entrées nettes chacun, suivis par les FNB d’actions mondiales (1,6 G$).

Les FNB pondérés par la capitalisation boursière ont capté l’essentiel des apports de capital (5 G$). Par secteur, les FNB de titres de sociétés de l’énergie ont enregistré les plus importantes entrées nettes (326 M$), tandis que les fonds des sociétés des soins de santé sont les seuls à avoir affiché des rachats nets.

Les titres à revenu fixe se redressent

Après plusieurs mois en demi-teinte, les FNB de titres à revenu fixe ont redressé la tête avec des entrées nettes de 2,3 G$ en décembre, contre à 1,4 G$ en novembre. Cette performance est largement attribuée à un regain d’intérêt pour les obligations canadiennes, selon les analystes de BNMF.

Cependant, les FNB du marché monétaire, moteurs de cette catégorie pendant une grande partie de l’année, ont marqué le pas avec seulement 46 M$ d’entrées nettes en décembre, bien en deçà des 646 M$ du mois précédent. En revanche, les FNB d’obligations canadiennes agrégées se sont démarqués, attirant 798 M$ de créations nettes, le plus haut niveau de la catégorie en décembre.

Performance contrastée des autres catégories

Les FNB multiactifs (ou de répartition d’actifs) ont enregistré des entrées nettes solides de 897 M$, confirmant leur attrait auprès des investisseurs. Les FNB de matières premières ont attiré des entrées nettes de 20 M$ en raison de l’attrait pour l’or qui se poursuit, mais qui ralentit, comparé aux entrées nettes de 216 M$ de novembre.

À l’inverse, les FNB de cryptomonnaies ont continué à subir des rachats massifs, avec des sorties nettes de 606 M$, soit les plus importantes de l’année.

Les émetteurs et les nouvelles offres dominent la scène

Les principaux fournisseurs de FNB ont connu un mois de décembre fructueux sur le plan des créations nettes. RBC iShares mène la charge avec 4 G$ d’entrées nettes. BMO suit avec 2 G$ et Vanguard se positionne avec 1,7 G$. Global X et TD complètent le top 5 avec respectivement 501 G$ et 413 M$ en créations nettes en décembre. CI GAM et Evolve ont connu des rachats nets de 362 M$ et 155 M$ respectivement.

Côté innovations, LongPoint Asset Management a lancé quatre FNB à effet de levier ou inverse sur le pétrole brut et le gaz naturel, basés sur les indices Solactive. Par ailleurs, Harvest prévoit élargir sa gamme en 2025. La firme a déposé un prospectus préliminaire pour la création de six FNB auprès des régulateurs canadiens.

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Pas évident de sélectionner un FNB pour un client https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/pas-evident-de-selectionner-un-fnb-pour-un-client/ Wed, 11 Dec 2024 11:32:37 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101750 FI TV — Michael Chung, responsable régional des ventes Québec, Harvest ETFs, parle des aspects à considérer avant de sélectionner un FNB pour un client outre les aspects de vérification diligente.

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Finance et investissement (FI) : Outre les vérifications habituelles liées à la stratégie de placement, quels sont les autres aspects de la vérification diligente auxquels les conseillers devraient accorder le plus d’attention lorsqu’ils sélectionnent un fonds négocié en Bourse (FNB) pour leurs clients ?

Michael Chung (MC) : Lorsqu’on examine les stratégies d’options d’achat couvertes, le point le plus important en matière de diligence est la compréhension du processus et des risques associés au FNB.
Ainsi, pour les stratégies impliquant des options, il est essentiel de bien comprendre le processus, car il constitue une composante intégrale du fonctionnement du FNB.

FI : Quels éléments de la vérification diligente liés à l’émetteur de FNB sont les moins bien compris ou méritent une meilleure compréhension ?

MC : Les éléments de diligence raisonnable les moins compris par les conseillers pour les stratégies d’options d’achat couvertes, c’est que le conseiller doit vraiment regarder au-delà du rendement (yield en anglais) des FNB et comprendre vraiment comment ce rendement est réellement généré.

Cela signifie que le conseiller doit vérifier que la distribution payée par le FNB correspond bien à ce que le FNB peut générer grâce aux primes d’options. Sinon, cela pourrait entraîner une érosion du capital, ce qui n’est pas souhaitable pour les investisseurs.

Les opinions exprimées sont celles de Michael Chung, responsable régional des ventes Québec, Harvest ETFs en date du 8 juillet 2024, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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Le marché canadien des FNB est de plus en plus encombré https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/le-marche-canadien-des-fnb-est-de-plus-en-plus-encombre/ Wed, 11 Dec 2024 11:10:56 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104614 FOCUS FNB — Plus de 180 nouveaux FNB ont fait leur entrée sur les marchés boursiers canadiens jusqu’à présent en 2024.

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Dans un marché des FNB déjà très encombré, le rythme des lancements de nouveaux produits est incessant. Au cours des 11 premiers mois de l’année, plus de 180 nouveaux fonds négociés en Bourse (FNB) ont fait leur entrée sur les marchés boursiers canadiens. C’est environ 40 de plus qu’au cours de la même période de l’année précédente.

Plusieurs fonds offrant une exposition à l’intelligence artificielle (IA), le thème le plus en vogue de 2024, sont venus s’ajouter à la gamme des FNB thématiques existants. Le premier à sortir du lot en janvier a été l’Invesco Morningstar Global Next Gen AI Index ETF (TSX : INAI).

Au milieu de l’année, le FNB intelligence artificielle mondiale CI (TSX : CIAI), l’Evolve Artificial Intelligence Fund (TSX : ARTI) et le FNB Global X Indice intelligence artificielle et technologie (TSX : AIGO) se sont joints à eux.

« Bien qu’elle en soit encore à ses débuts, l’IA est une véritable mégatendance qui transforme déjà les entreprises, les industries et l’économie mondiale », constate Jennifer Sinopoli, vice-présidente exécutive et responsable de la distribution pour Gestion mondiale d’actifs CI.

Cette année, deux nouveaux venus ont fait leur apparition parmi les manufacturiers : Capital International Asset Management (Canada). (Capital Group Canada) et JPMorgan Asset Management (Canada) (JPMAM), toutes deux filiales de grandes sociétés américaines.

Capital Group Canada, qui propose des fonds communs de placement aux particuliers au Canada depuis novembre 2002, a lancé quatre FNB gérés activement, comprenant des actions mondiales et internationales, ainsi que des obligations mondiales. JPMAM a démarré avec une paire de FNB d’actions américaines axés sur le revenu. Les deux nouveaux venus ont déjà annoncé qu’ils allaient étendre leurs activités au-delà de leurs offres initiales lancées en octobre.

Dans l’ensemble, cependant, l’expansion des FNB a principalement été menée par les émetteurs de fonds déjà présents sur le marché. Et à l’exception notable des thématiques liées à l’IA, il y a eu davantage d’imitation que d’innovation dans le secteur des FNB canadiens.

Parmi les FNB obligataires à échéance cible, RBC Gestion mondiale d’actifs (RBC GMA), leader de longue date du marché et premier émetteur à se spécialiser dans ces FNB, a dû faire face à trois nouveaux concurrents sur ce segment des titres à revenu fixe. Contrairement aux fonds obligataires et aux FNB classiques, ceux qui ont un mandat d’échéance cible détiennent des obligations jusqu’à des dates précises, date à laquelle les fonds sont clôturés et le produit de la liquidation restitué aux investisseurs.

RBC GMA propose des FNB à échéance cible depuis 2011 et n’avait pas de concurrent direct jusqu’à janvier dernier, lorsque Guardian Capital a lancé quatre FNB investissant dans des obligations canadiennes de bonne qualité.

Gestion de Placements TD (GPTD) s’est jointe à la concurrence en avril avec trois FNB d’obligations canadiennes à échéance cible et trois autres FNB investissant dans des obligations américaines. En juillet, une autre société appartenant à une banque, Gestion d’actifs CIBC, a ajouté six FNB d’obligations canadiennes à échéance cible et trois autres FNB investissant dans des obligations américaines.

RBC GAM n’est pas en reste en ce qui concerne les nouveaux lancements. Elle a élargi la portée de sa gamme d’échéances cibles avec six FNB d’obligations américaines, chacun étant disponible en dollars américains ou en dollars canadiens.

Dans une catégorie spécialisée relativement nouvelle, les FNB à titre unique, Harvest ETFs est devenu le deuxième émetteur de fonds. En août, il a lancé sept FNB Harvest High Income Shares basés sur des actions américaines, chacun étant disponible sous forme de parts libellées au Canada ou aux États-Unis. La stratégie consiste à détenir des actions de qualité et à vendre des options d’achat couvertes pour générer des revenus, selon Michael Kovacs, président-directeur général de Harvest.

La nouvelle gamme de produits de Harvest fait suite aux FNB actions à revenu d’Investissements Purpose, offertes pour la première fois en décembre 2022, et qui emploient également des options d’achat couvertes sur des titres uniques.

Les offres de Purpose et de Harvest sont toutes deux des concurrentes des certificats canadiens d’actions étrangères (CCAÉ) négociés en bourse et gérés par la CIBC. Lancés en juillet 2021, les CCAÉ offrent une exposition aux actions américaines couverte contre le risque de change, mais n’utilisent pas d’options sur actions.

Des dizaines d’autres nouveaux FNB utilisent des options d’achat couvertes et d’autres stratégies d’options pour générer des rendements plus élevés. L’une des sociétés les plus actives dans ce domaine est Global X Investments Canada. En mai, elle a ajouté sept produits à sa gamme de FNB axés sur le revenu, dont certains utilisent également l’effet de levier. Deux autres FNB obligataires à rendement amélioré ont suivi en novembre.

Hamilton ETFs a ajouté sept FNB à sa gamme Yield Maximizer, et Harvest a complété sa vaste gamme de FNB d’options d’achat couvertes avec des fonds à revenu fixe, des fonds équilibrés et des fonds sectoriels industriels.

Evolve Funds Group, Fidelity Investments Canada, Invesco Canada, JPMAM et Gestion de placements Manuvie ont également contribué à la prolifération des produits assortis d’options.

Autres ajouts notables à l’univers des FNB en 2024 :

  • Franklin Templeton Canada est entré dans la compétition des FNB à faible volatilité avec des stratégies d’actions canadiennes, américaines et internationales qui recherchent également des dividendes supérieurs à la moyenne. « Cette stratégie combinée de recherche de dividendes élevés et durables et de faible volatilité offre aux conseillers le meilleur des deux mondes et complète un portefeuille de stratégies actives et passives en visant à fournir un revenu plus élevé et à réduire le risque global », décrit le premier vice-président Ahmed Farooq, responsable de la distribution des FNB aux particuliers chez Franklin Templeton. La société a également rejoint les rangs des fournisseurs de portefeuilles de FNB, dont les actifs sont constitués d’autres FNB, en lançant des portefeuilles conservateurs, de base, de croissance et entièrement composés d’actions.
  • Une variante de d’indicialisaiton passive sur le marché boursier américain est l’iShares S&P 500 3 % Capped Index ETF (TSX : XUSC), qui limite chaque participation, quelle que soit sa capitalisation boursière. Le plafonnement à 3 % réduit l’exposition aux actions dites « les sept Magnifiques », telles que Nvidia, Apple et Microsoft, qui ont connu une croissance impressionnante, mais se négocient à des valorisations élevées par rapport à l’ensemble du marché.
  • Fidelity a lancé une série de FNB de fonds acheteur/vendeurs et de fonds neutres par rapport au marché. Il s’agit notamment du fonds Fonds Fidelity Alternatif canadien à positions longues/courtes (Cboe : FCLS), axé sur le marché intérieur, et d’une stratégie long-short mondiale. Fonds Dynamic est intervenu avec deux produits de stratégies alternatives à revenu fixe lancés en novembre.

Les changements de produits survenus dans l’industrie en 2024 n’ont pas tous impliqué un lancement. Depuis le début de l’année, une quarantaine de FNB ont été supprimés. GPTD, par exemple, s’est débarrassé des cinq FNB de sa gamme TD Morningstar ESG. Cette suppression, intervenue en juin, reflète la baisse de popularité des mandats environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Le FNB Global X sur les obligations d’entreprises ESG, qui a été supprimé en février, est une autre victime de ce type de stratégie.

Parmi les stratégies thématiques, Evolve et Fidelity ont tous deux mis fin à leurs FNB métavers, tandis que CI et Global X ont maintenu les leurs. Cependant, les victimes de l’élagage des produits de Global X comprenaient des produits de niche investissant dans la marijuana, les psychédéliques et l’hydrogène aux États-Unis.

À la fin du mois de novembre, il y avait plus de 1 500 FNB cotés au Canada.

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Comment intégrer une stratégie de vente d’options d’achat couvertes dans les portefeuilles ? https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/comment-integrer-une-strategie-de-vente-doptions-dachat-couvertes-dans-les-portefeuilles/ Wed, 13 Nov 2024 11:34:25 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101749 FI TV — Michael Chung, responsable régional des ventes Québec, Harvest ETFs, identifie les éléments à considérer avant d’intégrer une stratégie de vente d’options d’achat couvertes dans les portefeuilles de ses clients.

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Finance et investissement (FI) : Comment intègre-t-on une stratégie de vente d’options d’achat couvertes dans le portefeuille d’un client ?

Michael Chung : Avant de considérer l’intégration d’une stratégie d’options d’achat couvertes, un investisseur devrait se poser deux questions fondamentales.

Tout d’abord, en regardant le portefeuille sous-jacent, est-ce que je veux être exposé aux titres détenus par ce fonds négocié en Bourse (FNB) ?

Si la réponse est « oui », alors l’investisseur devrait se poser cette deuxième question : est-ce que je cherche à obtenir du revenu provenant de ces titres ou bien, est-ce que je vise simplement l’appréciation du capital ?

Si la réponse à cette deuxième question est encore « oui », il est alors pertinent d’explorer les options offertes par Harvest.

En revanche, si l’investisseur privilégie principalement l’appréciation du capital, il pourrait être judicieux d’examiner d’autres options d’investissement.

FI : Quel type de client devrait envisager cette stratégie, et lequel devrait l’éviter ?

MC : En discutant avec la majorité de nos investisseurs, nous avons observé que ceux qui valorisent le revenu sont ceux qui en bénéficient le plus et qui en retirent la plus grande satisfaction.

Cette stratégie convient également aux clients prêts à accepter une exposition aux actions tout en générant des flux de trésorerie mensuels.

Pour un client qui souhaite éviter cette exposition ou qui n’est pas intéressé par les revenus, il est probable qu’il préférera explorer d’autres options d’investissement.

FI : Est-il recommandé de détenir ce type de produits à long terme ?

MC : Comme pour toute solution d’investissement, la question de savoir combien de temps garder l’investissement va dépendre des objectifs poursuivis par l’investisseur.

Ainsi, tant que les objectifs d’investissement de l’investisseur correspondent à ceux du FNB, il est généralement bénéfique pour lui de le détenir.

Cependant, les investisseurs doivent aussi évaluer leurs propres tolérance aux risques et leurs objectifs d’investissement, et ajuster ces derniers au fur et à mesure de l’évolution de leurs objectifs personnels.

 

Les opinions exprimées sont celles de Michael Chung, responsable régional des ventes Québec, Harvest ETFs en date du 8 juillet 2024, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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Comment les entreprises conçoivent-elles les ticker ? https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/comment-les-entreprises-concoivent-elles-les-ticker/ Tue, 15 Oct 2024 05:07:19 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103511 Les produits financiers dont les noms sont mémorables attirent davantage d’investisseurs

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Stephanie Wolfe se réjouit chaque fois que sa société s’apprête à inscrire un nouveau fonds négocié en Bourse (FNB) à la cote, car cela lui donne l’opportunité de contribuer à trouver un ticker —, un code alphanumérique unique désignant une action ou un FNB — astucieux. Elle estime que ce processus requiert une grande réflexion.

« Pour en arriver là, il faut faire preuve de réflexion et de créativité », explique Stephanie Wolfe, vice-présidente exécutive et responsable du marketing chez Global X Investments Canada, à Toronto. « C’est très amusant. »

Avec la prolifération des produits financiers, les gestionnaires d’actifs font jouer leurs muscles mentaux pour trouver des symboles mémorables.

Prenez CASH, qui est le nom du FNB Global X Épargne à intérêt élevé. C’est l’un des symboles les plus échangés à la Bourse de Toronto (TSX) depuis le début de l’année, selon le Groupe TMX, qui gère la bourse principale et la Bourse de croissance TSX.

« CASH s’est très bien comporté pour nous […] parce qu’un bon symbole est celui qui peut communiquer ce que fait le produit en seulement quatre lettres », affirme Stephanie Wolfe.

Un effort de collaboration

Environ 1 000 FNB sont cotés à la Bourse de Toronto et 200 à Cboe Canada. Chaque mois, de nouveaux FNB entrent en scène.

« C’est pourquoi il est de plus en plus difficile d’attirer l’attention des investisseurs sur les indices de prix », explique Stephanie Wolfe.

Son équipe de professionnels du marketing a tendance à trouver des tickers, puis de recueillir l’avis des équipes chargées des produits, des questions juridiques et de la conformité.

« Nous travaillons en collaboration avec les autres équipes pour nous assurer que nous obtenons les meilleures idées », rapporte Stephanie Wolfe.

Parfois, l’exposition ou le thème sous-jacent d’un FNB peut être une source d’inspiration, permettant à la société de dénicher des opportunités exceptionnelles. Par exemple, CHPS est le nom du FNB Global X Indice des semiconducteurs.

Michael Kovacs, président-directeur général de Harvest ETFs, explique que son entreprise a une stratégie similaire. Par exemple, le ticker du FNB Harvest indiciel Voyages et loisirs est TRVL.

« C’est davantage le thème ou le secteur que le code boursier qui détermine la réussite ou l’échec d’un investissement, avance Michael Kovacs. Le ticker est un moyen qui permet de se souvenir d’un élément accrocheur lorsqu’on décide de faire un investissement. »

La répétition aide également les fournisseurs à différencier leurs fonds de ceux de leurs concurrents.

La plupart des tickers de Harvest commencent par un H, comme le FNB Harvest de revenu Leaders des soins de santé (TSX : HHL), le FNB Harvest de croissance et de revenu Chefs de file des technologies (TSX : HTA) et le FNB Harvest équipondéré de revenu Services publics mondiaux (TSX : HUTL), ce qui permet à l’entreprise de se faire un nom sur le marché, souligne Michael Kovacs.

Hamilton ETFs utilise le mot « MAX » à la fin du nom des fonds de sa série de FNB maximisant le rendement, notamment le FNB Services publics maximiseur de rendement Hamilton (TSX : UMAX), le FNB Sociétés financières canadiennes maximiseur de rendement Hamilton (TSX : HMAX) et le FNB Fonds de Placement Immobilier maximiseur de rendement Hamilton (TSX : RMAX).

Des études ont montré que les produits financiers dotés de symboles boursiers significatifs sont plus performants en tant qu’investissements. Une étude réalisée en 2019 par le Pomona College a analysé les performances de 82 actions et a révélé que les entreprises dotées de symboles évocateurs ont surperformé le marché d’environ 8 % entre 2006 et 2018.

L’étude fait suite à une analyse réalisée en 2009 par les chercheurs Alex Head, Gary Smith et Julia Wilson, qui ont testé la même théorie de 1984 à 2005 et ont obtenu des résultats similaires.

Rob Marocco, responsable mondial de la cotation des FNB chez Cboe Global Markets à New York, a déclaré que les fonds thématiques dotés d’un ticker accrocheur « trouvent généralement un écho » auprès des investisseurs. De même, « avoir une symbologie commune dans les suites — je pense que c’est un autre domaine où nous avons vu [le succès] ».

Obtenir la cotation d’un ticker

Les sociétés doivent fournir à une bourse quelques options de ticker pour un FNB, et la bourse vérifie si elles sont déjà utilisées, rapporte Catherine Kee, porte-parole du Groupe TMX à Toronto.

« L’entreprise reçoit alors les tickers disponibles et fait son choix », explique Catherine Kee.

Les tickers sont partagés entre les bourses, précise Rob Marocco, « donc ce n’est pas parce qu’un ticker n’est pas utilisé aujourd’hui qu’il n’est pas réservé ou utilisé ailleurs dans l’écosystème ».

Le processus de recherche et de vérification peut prendre plusieurs mois, en fonction du produit.

« Les produits nouveaux et inédits, tels que les FNB détenant des bitcoins au comptant aux États-Unis, ont pris beaucoup plus de temps à être validés, dit Rob Marocco. Les délais varient vraiment en fonction de la nouveauté du produit et/ou de la valeur mobilière. »

Si un produit est retiré de la liste, il faut environ un an pour que son ticker soit réintroduit dans la liste des noms disponibles au Canada, déclarent Catherine Kee et Rob Marocco.

Un avenir à cinq lettres ?

La TSX a introduit des symboles de téléscripteur à quatre lettres en novembre 2016 en réponse à « l’énorme intérêt de nos clients des marchés des actions », a informé le Groupe TMX à l’époque. Auparavant, les symboles étaient limités à trois lettres ou moins.

Michael Kovacs croyait alors que quatre lettres produiraient suffisamment de variations pour les tickers « pour un certain temps ». Il préfère d’ailleurs les tickers avec un maximum de quatre lettres.

Selon Rob Marocco, il est inévitable que les bourses introduisent des tickers à cinq lettres au fur et à mesure que les produits prolifèrent, mais cela nécessitera un « effort de l’ensemble du secteur ».

Stephanie Wolfe pourrait, elle aussi, envisager la nécessité d’introduire un jour des codes à cinq lettres.

Pour l’instant, elle se contente de ce qu’elle compare à un jeu de Scrabble : « Vous essayez de prendre ce thème, cette idée, et de la rendre vraiment simple avec seulement quatre lettres — en espérant bien sûr que personne d’autre n’ait encore trouvé l’idée ».

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Les aspects des FNB Harvest mal compris par les investisseurs https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/les-aspects-des-fnb-harvest-mal-compris-par-les-investisseurs/ Wed, 09 Oct 2024 10:48:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101748 FI TV — Michael Chung, responsable régional des ventes Québec, Harvest ETFs, se penche sur les aspects des FNB d’Harvest qui sont le plus mal compris par les investisseurs et parle également des aspects les mieux compris.

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Finance et investissement : Quels aspects des FNB d’Harvest ont posé le plus de difficultés de compréhension aux conseillers en placement ? Et quels aspects ont été les plus facilement compris ?

Michael Chung : Le côté le plus facile à comprendre concerne les choix sectoriels. En mettant l’emphase sur un secteur spécifique, les conseillers en placement sont en mesure de surpondérer un secteur qu’ils jugent favorable, tout en générant du revenu à partir de celui-ci.

L’aspect plus complexe réside dans la compréhension de notre processus d’options. Notre approche est active et dynamique, conçue pour générer de manière organique des revenus distribués aux détenteurs de parts. Ça veut dire que notre yield (rendement) n’est pas toujours le plus élevé, mais nous nous concentrons sur la stabilité, la prévisibilité et la génération interne de ce yield.

Les opinions exprimées sont celles de Michael Chung, responsable régional des ventes Québec, Harvest ETFs en date du 8 juillet 2024, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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Beaucoup d’argent devrait affluer vers les FNB axés sur les dividendes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/beaucoup-dargent-devrait-affluer-vers-les-fnb-axes-sur-les-dividendes/ Wed, 09 Oct 2024 10:18:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103243 FOCUS FNB — Le contexte y est propice au retour.

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Au cours des deux dernières années, plus de 200 milliards de dollars (G$) ont été dirigés vers les titres de revenu à court terme comme les certificats de placement garanti (CPG) et les fonds négociés en Bourse (FNB) de marchés monétaires et de compte d’épargne à intérêt élevé, constate une récente étude de CIBC Marchés des capitaux. Mais la baisse des taux d’intérêt va atténuer l’attrait de ces produits d’épargne et favoriser un exode vers les produits susceptibles de donner de meilleurs rendements, notamment des FNB de divers types, parfois plus exotiques.

Les véhicules à dividendes sont ainsi susceptibles de retrouver leur attrait. « Historiquement, les dividendes ont produit un tiers du rendement total des actions au Canada et 20 % aux États-Unis », fait ressortir l’étude. Leur attrait est d’autant plus fort qu’au Canada, les rendements de dividendes sont sensiblement plus musclés qu’aux États-Unis. « Présentement, le dividende anticipé sur le S&P/TSX est de 3,0 %, le double de ce qu’offre le S&P 500 », rapporte CIBC.

Cette faveur historique accordée aux titres à dividendes ne s’est certainement pas vérifiée au cours des dernières années. La très forte performance des actions des cinq années récentes a réduit l’impact des rendements de dividende. Toutefois, avec la baisse des taux, « on s’attend à ce que les dividendes fassent une plus forte contribution à nouveau », écrivent les auteurs de l’étude.

Un retour en force

Le contexte est propice au retour des dividendes. En faisant l’hypothèse d’un retour vers des rendements généraux plus traditionnels (ce que CIBC juge plus probable), « les dividendes vont devenir plus importants, même en considérant leur attrait à titre de simples générateurs de flux de trésorerie ».

Évidemment, ceux qui sont allés vers les produits de revenu à court terme comptent parmi les investisseurs les plus conservateurs, de telle sorte que, s’ils sortent de ces produits, on peut s’attendre à ce qu’ils aillent vers les produits à dividende fondamentaux qui offrent une solide diversification et une part d’appréciation du capital à long terme. De façon typique, ces investisseurs cherchent une différence dans le rendement de l’ordre de deux points de pourcentage, évalue CIBC. Ils sont donc susceptibles de tarder à quitter les produits d’épargne très conservateurs et, quand ils le feront, ils préféreront plus probablement des produits à dividende avec une longue feuille de route plutôt que des produits nouveaux et affriolants.

CIBC identifie une dizaine de FNB généraux de base où les rendements totaux sur douze mois, et notamment les rendements de dividendes sur la même période, ont été significatifs. C’est le cas au premier chef du FNB Global X actif actions privilégiées (HPR), lancé en novembre 2010, avec un rendement total de 33,1 % et un rendement en dividende de 4,5 %. Très proche, le Vanguard FNB indiciel FTSE canadien à dividende élevé (VDY), lancé en novembre 2012, affiche 22,2 % et 4,5 % respectivement.

Pour l’investisseur qui est prêt à se lancer dans les secteurs vedettes canadiens des financières, des services publics et des fiducies immobilières, un peu plus risqués parce que plus concentrés, CIBC repère une autre dizaine de candidats heureux. Dans les financières, le rendement total de 12 mois a été en moyenne de 27,2 % et le dividende, de 5,3 % ; dans les services publics, de 16,2 % et 5,9 % respectivement, dans les fiducies immobilières, de 19,2 % et 4,8 %.

L’attrait du synthétique exotique

Par contre, pour ceux qui sont prêts à prendre un peu plus de risque (et théoriquement à empocher plus de rendements), avec des FNB plus jeunes, l’offre est maintenant devenue diversifiée et attrayante, juge CIBC. Ici, l’investisseur plus entreprenant ne veut pas se contenter d’un rendement de 4 %, prêt à recourir aux options et à l’effet de levier pour amplifier les dividendes. Toutefois, dans ces produits, les performances sont inégales, certaines catégories de produit ayant bien fait, d’autres affichant des rendements inférieurs à leurs indices de référence.

Ici, les FNB avec ventes d’options d’achat couvertes se sont distingués. C’est le cas notamment du FNB Harvest de revenu Leaders des soins de santé (HHL) : rendement total sur 12 mois, 20,7 %, dividendes sur 12 mois, 8.0 %. Dans la catégorie des FNB alternatifs à effet de levier, CIBC repère le Fonds indiciel Rendement amélioré des banques et assureurs vie canadiens Evolve (BANK) : rendement total sur 12 mois, 24,9 %, dividendes sur 12 mois, 16,1 %.

« Ces produits spécialisés ont une utilité, soutient CIBC. Tout comme les FNB sectoriels constituent un véhicule utile pour la rotation sectorielle, ces produits peuvent être utiles aux investisseurs qui ont suffisamment d’appétit pour le risque, qui sont convaincus par la courbe des rendements et qui font confiance au gestionnaire de portefeuille pour prendre les bonnes décisions en matière d’effet de levier. Toutefois, ces produits peuvent se situer en dehors de la fourchette idéale pour un investisseur en dividendes typique qui penche du côté de l’aversion au risque. »

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Découvrez tous les détails de la méthodologie d’Harvest https://www.finance-investissement.com/fi-tv_/nouvelles-fi-tv/decouvrez-tous-les-details-de-la-methodologie-dharvest/ Wed, 11 Sep 2024 10:48:59 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101747 FI TV — Michael Chung, responsable régional des ventes Québec, Harvest ETFs, détaille les aspects de la méthodologie d’Harvest concernant la mise en œuvre de la stratégie de vente d’options d’achat couvertes.

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Finance et investissement : La façon dont est mise en place la stratégie de gestion active de vente d’options d’achat couvertes a un effet décisif sur la performance de la stratégie, selon divers observateurs, dont Valeurs mobilières TD.

Quels aspects de la méthodologie d’Harvest concernant la mise en œuvre de la stratégie de vente d’options d’achat couvertes un conseiller devrait-il connaître ?

Michael Chung : Notre stratégie de covered call est conçue pour générer un niveau de revenu supérieur.

Ce qui rend cette stratégie unique, c’est son approche active de la vente d’options d’achat.

En analysant la volatilité actuelle de chaque titre dans le portefeuille sous-jacent, l’équipe de gestionnaires Harvest est en mesure de générer des revenus à partir des primes d’options tout en maintenant une position acheteur sur le titre sur lequel on écrit.

Notre limite maximale d’écriture est de 33 % sur les actions, ce qui permet de maintenir une exposition au titre pour participer à l’appréciation du capital tout en générant un revenu.

Au niveau des options, nos gestionnaires vendent des options out of the money (hors du cours) avec une échéance d’autour de 30 jours en général. En moyenne, ces options sont écrites pour une durée de 30 jours, mais Harvest peut choisir de les racheter ou d’en émettre de nouvelles selon les conditions du marché.

Les opinions exprimées sont celles de Michael Chung, responsable régional des ventes Québec, Harvest ETFs en date du 8 juillet 2024, et elles peuvent changer selon la situation des marchés et d’autres conditions.

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