Intact Corporation financière – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 19 Dec 2024 18:28:40 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Intact Corporation financière – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Nouveau chef des finances à Intact Corporation financière https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/nouveau-chef-des-finances-a-intact-corporation-financiere/ Fri, 13 Dec 2024 12:09:18 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104252 NOUVELLES DU MONDE – Louis Marcotte quittera son poste en février 2025.

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Ken Anderson prendra la relève de Louis Marcotte au poste de premier vice-président exécutif et chef des finances à Intact Corporation financière.

Louis Marcotte a annoncé qu’il quitterait son poste après la publication des résultats du quatrième trimestre de 2024, soit le 13 février 2025. Il continuera toutefois de travailler à Intact Corporation financière, mais en tant que vice-président conseiller à la direction. À ce titre, il supervisera les activités de l’entreprise en Europe dans l’équipe des Solutions spécialisées mondiales.

« Je tiens à remercier Louis pour son dévouement envers Intact au cours des 18 dernières années et son importante contribution à notre stratégie et à notre croissance. Durant son mandat à titre de chef des finances, la capitalisation boursière d’Intact Corporation financière a triplé pour atteindre 47 milliards de dollars grâce à une croissance de plus de 10 % du bénéfice d’exploitation et à une surperformance de près de 700 points de base du rendement des capitaux propres », souligne Charles Brindamour, chef de la direction d’Intact.

Louis Marcotte a été distingué à trois reprises par Brendan Wood comme l’un des meilleurs dirigeants financiers du Canada, en raison de sa contribution à la transmission de l’histoire de l’entreprise aux investisseurs. Il a également joué un rôle clé dans la création d’une équipe des finances, reconnue pour son professionnalisme en matière d’information financière et de relations avec les investisseurs.

« Louis a été un acteur de premier plan dans le financement de toutes nos acquisitions durant son mandat et il a su garder l’attention de l’organisation sur la performance et la discipline financières, ces deux éléments ayant aidé Intact à devenir l’une des plus importantes sociétés d’assurance de dommages au monde. Je lui suis reconnaissant de sa décision de continuer d’apporter son leadership et son expertise à Intact », précise Charles Brindamour.

Pour le remplacer au poste de premier vice-président exécutif et chef des finances, Intact Corporation financière s’est tournée vers l’actuel premier vice-président exécutif et chef des finances des activités de RSA au Royaume-Uni et en Irlande, Ken Anderson.

Ce dernier travaille pour la firme depuis près de 20 ans. Il possède une grande expérience en trésorerie, en développement des affaires, en relation avec les investisseurs et en information financière. Parmi ses réalisations, il a notamment joué un rôle clé dans la coordination de l’acquisition de RSA, la plus grande transaction d’Intact à ce jour.

« Ken est la personne toute désignée pour devenir le prochain chef des finances d’Intact, ayant travaillé aux côtés de Louis pendant plus de dix ans, commente Charles Brindamour. Sa grande expérience de nos activités et sa connaissance approfondie de notre stratégie font de lui le successeur idéal. Je suis convaincu que notre situation financière restera solide avec Ken comme chef des finances et nous permettra de poursuivre notre croissance et de continuer à surclasser l’industrie. »

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IA : 3 messages clés pour les conseillers https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/ia-3-messages-cles-pour-les-conseillers/ Wed, 04 Dec 2024 12:27:47 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104185 L’intelligence artificielle (IA) présente des risques et des occasions.

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Les conseillers en services financiers devraient augmenter leur littératie numérique et bien comprendre les limites et les biais que l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) peut induire dans leurs activités.

Voilà quelques messages clés qui découlent du Symposium sur l’impact de l’intelligence artificielle sur les professions de la planification financière et fiscale, qui se déroulait à Drummondville et virtuellement en mai dernier. L’événement, organisé par la Chaire IG Gestion de patrimoine à l’Université Laval, visait à permettre à l’industrie de mieux comprendre les effets de l’IA sur le travail des conseillers spécialisés en planification financière et fiscale. En voici quelques enseignements.

«Intéressez-vous à l’IA»

L’un des principaux avantages de l’IA est qu’elle abaisse le coût marginal d’effectuer une prédiction, a exposé Vincent Bérubé, Associé senior, McKinsey & Compagnie, Montréal. La technologie peut anticiper les prochaines actions d’un client en analysant l’historique de clients semblables ou peut prédire les ajustements à faire à un portefeuille en fonction de données pertinentes.

La démocratisation de l’IA est ainsi synonyme d’occasions d’affaires, mais aussi de risque concurrentiel. « Le plus grand service hôtelier au monde n’a pas d’hôtel. Le plus grand service de taxi n’a pas de voiture. Qu’est-ce que ça prendrait pour que le plus gros gestionnaire d’actif dans le monde ou le plus gros courtier n’ait pas de conseiller ? » a-t-il souligné.

Selon Vincent Bérubé, l’enjeu avec l’IA est qu’elle mène à la concentration du pouvoir et risque de donner un avantage aux premiers venus dans ce marché. Il donne l’exemple de la médecine, où le fait de poser un diagnostic sera probablement délégué à des machines, mais le fait de juger ces diagnostics reviendra au professionnel.

« Quand le diagnostic va être posé par les machines, soudainement on va se mettre à centraliser cette influence. Parce que de bonnes IA amènent plus de clients, plus de données et de meilleures décisions, ça devient à peu près impossible de rattraper cela. Le coût marginal de la prédiction étant de zéro et compétitionner devient difficile quand tu n’as pas l’échelle des quelques premiers joueurs. »

La distribution des actifs entre les acteurs de l’industrie qui adoptent l’IA dans leurs activités et ceux qui ne le font pas pourrait changer de manière importante, d’où l’importance de penser les tâches qui pourrait être redistribuées à l’IA et celles qui devraient être confiées à des conseillers en chair et en os.

« Augmentez votre niveau de littératie numérique est fondamental. Comprenez dans quel monde vous vivez », a souligné Vincent Bérubé. Et percevez l’IA comme une occasion d’accroître votre productivité.

Selon lui, le jour où un conseiller se présentera devant un client avec un assistant virtuel qui analysera sa conversation en temps réel et lui dictera ses prochaines actions en fonction du profil du client et sa sensibilité aux frais n’est pas si lointain.

Certaines entreprises de technologie financière offrent déjà à l’international des solutions aux courtiers afin d’être plus productifs, a noté Pascale Nguyen, Associée opérationnelle, chez Sia Partenaires, stratégie-conseil. Par exemple, certaines applications permettent la ludification de l’évaluation de la tolérance du risque des clients. D’autres mettent à la disposition un agent conversationnel capable de vulgariser le relevé de compte trimestriel des clients.

Selon Vincent Bérubé, l’IA risque d’accroître la pression sur les marges bénéficiaires des courtiers et des conseillers, les plus productifs pouvant abaisser leurs frais d’administration tout en servant plus de clients, car ils seront plus productifs. « Je ne sais pas si les nouveaux actifs vont se diriger vers les nouveaux joueurs ou vers les joueurs déjà établis », a-t-il noté.

L’IA n’est pas toujours la solution

Malgré le fait que l’IA soit prometteuse, la technologie ne peut pas régler tous les problèmes, selon Samuel Lévesque, scientifique de données principal chez Intact : «Votre expertise peut amener un certain frein aux initiatives où l’humain ne sera pas remplacé. Quand on parle de la relation avec le client, l’IA peut aider par exemple au cold starting, mais ça prend une partie d’accompagnement et de jugement (pour la suite des choses). »

Les compétences interpersonnelles des conseillers afin de comprendre la complexité d’une situation d’un client et être empathique envers lui sont parfois la clé afin d’acquérir et de fidéliser un consommateur.

« L’IA est un bel outil, un beau marteau, mais il ne faut pas voir des clous partout. Pour couper une planche, le marteau ne sera pas super utile », a-t-il ajouté.

Selon Samuel Lévesque, de nombreuses personnes citent la proportion suivante : 85 % des projets d’IA n’ont pas l’effet attendu. « C’est un chiffre énorme », a-t-il lancé.

Il attribue trois causes à ce faible taux de réussite. La première est le manque de données adéquates. Selon lui, souvent, on veut entamer un projet d’IA et on constate que la donnée n’est pas bonne, n’est pas nettoyée ou est absente. À ce moment, la bonne réponse est souvent de « changer la façon de collecter les données et revenir avec de meilleures données dans un an ou deux ans ».

La deuxième est une analyse coût-bénéfice inadéquate. D’après Samuel Lévesque, l’IA peut faire des choses fantastiques, mais crée des attentes irréalistes. « Il faut casser le party dans certains projets d’IA », a-t-il dit.

Par exemple, certains ont tendance à sous-estimer les coûts de maintenance d’un projet d’IA. Selon lui, certains croient à tort qu’une fois qu’un projet d’IA est construit et qu’il fonctionne bien, c’est la fin. Or, c’est plutôt le début d’un long processus. « Ça prend de l’expertise pour monitorer, pour savoir si le modèle continue de bien fonctionner. Est-ce qu’il y a des changements de marché qui fait que mon modèle est inadéquat ? Un modèle d’IA est un peu comme une plante d’intérieur, il faut l’arroser, la transplanter et, des fois elle, meurt même si on lui donne bien de l’amour », a-t-il illustré.

Troisièmement, certains projets d’IA échouent par déséquilibre dans la multidisciplinarité des équipes de conception, selon Samuel Lévesque : « Des fois on a des équipes super techniques, qui connaissent mal le milieu d’affaires. Ils livrent un outil dont personne ne veut. Ou on a une super bonne idée qui règlerait un problème, mais on manque d’expertise technique, ce qui fait qu’on manque la cible et que l’outil ne gagne pas du terrain. »

Malgré ce taux d’échec des projets d’IA, les organisations de l’industrie financière devraient embrasser l’IA afin de demeurer concurrentielles, selon Pascale Nguyen. « Si vous voulez que votre pratique demeure pérenne, si votre objectif est de garder cette loyauté des clients et employés et conserver l’actif sous gestion que vous avez déjà et qui va être transféré à la prochaine génération, il va falloir développer les bonnes approches et les bonnes solutions. La question n’est pas si on embarque dans le train ou non, c’est quand et comment », a-t-elle dit.

L’IA peut induire certains biais

Comprendre les capacités et les limites de l’IA pour une organisation lui permettra d’éviter de se faire dépasser par un concurrent, selon Kevin Moore, président-directeur général et fondateur
de Vooban. Par contre, l’expérience des gens dans l’industrie financière afin de déceler les problèmes, erreurs et biais d’un modèle d’IA est importante.

« Vos données vont refléter vos choix passés. Vous allez entraîner un modèle qui va réagir comme vous l’avait fait dans le passé et va laisser de côté certaines tendances et certaines gens (ou clients potentiels) », a noté Kevin Moore.

Ce risque de discrimination de certains groupes minoritaires ou racisés par les modèles ou d’aveuglement par rapport à de nouvelles occasions crée des risques organisationnels, sociétaux et d’industrie, selon lui.

« L’IA apprend des gens. Les gens sont imparfaits donc l’IA est imparfaite », a-t-il résumé. Il a noté que l’IA effectuera des corrélations entre les données disponibles, qu’une organisation en soit consciente ou non.

« Les enjeux liés à l’éthique ne sont pas quelque chose qui est assez regardé (dans les organisations). Mais le risque n’est pas égal partout. Si tu t’occupes d’une chaine d’approvisionnement et que tu introduis des biais, ça n’a pas le même impact que si tu introduis une discrimination » dans la souscription d’une police d’assurance ou de l’octroi de prêts hypothécaires, selon Vincent Bérubé.

Le risque peut provenir justement de l’absence de regard critique envers les biais historiques d’une entreprise, découlant de l’inexpérience des concepteurs de l’outil d’IA.

« Ça va être important que les régulateurs se positionnent rapidement », a dit Pascale Nguyen. Par contre, l’IA peut également favoriser l’élimination de biais humain dans l’octroi d’un prêt si elle est bien conçue, d’après elle.

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Un nouveau chef des relations avec les investisseurs à Great-West Lifeco https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/un-nouveau-chef-des-relations-avec-les-investisseurs-a-great-west-lifeco/ Wed, 12 Jun 2024 10:25:58 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=101159 NOUVELLES DU MONDE – Shubha Khan a été nommé à ce poste.

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Depuis le 3 juin, Shubha Khan occupe le poste de vice-président principal et chef des relations avec les investisseurs à Great-West Lifeco. À ce titre, il dirige la stratégie pour les investisseurs de la firme et s’occupe des interactions avec les investisseurs et les analystes en actions.

Avant de rejoindre la Great-West, Shubha Khan était à l’emploi à Intact Corporation financière à titre de vice-président depuis deux ans et demi. Il s’occupait alors également des relations avec les investisseurs.

Avant cela, il a travaillé pendant près de cinq ans à la Financière Manuvie. Il a également travaillé comme analyste axé sur le secteur canadien des services financiers, sept ans auprès de la Banque Nationale du Canada, près de trois ans à Credit Suisse et près de deux ans à PPPC.

Shubha Khan est diplômé d’une Maîtrise en économie de l’Université de McGill.

« Great-West Lifeco a une solide feuille de route en matière de croissance durable et de création de valeur à long terme pour nos actionnaires et nos investisseurs. La nomination de Shubha viendra encore renforcer nos relations avec les principales parties prenantes des marchés des capitaux, a déclaré Jon Nielsen, vice-président exécutif et chef des services financiers, Great-West Lifeco. J’ai hâte de travailler avec Shubha et je suis convaincu qu’il apportera une contribution très positive à notre équipe. »

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Intact Corporation : bénéfices en hausse au T3 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/intact-corporation-benefices-en-hausse-au-t3/ Thu, 11 Nov 2021 13:08:17 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=83589 Malgré le contexte toujours incertain.

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Pour Intact Corporation, le troisième trimestre (T3) de 2021 a été excellent. Le résultat opérationnel net est en hausse de 26 % par rapport à la même période l’an passé, s’établissant ainsi à 519 millions de dollars (M$).

Cette hausse du bénéfice est notamment attribuable à l’intégration de RSA, mais aussi aux nouvelles souscriptions, aux placements et à la distribution.

Les primes directes suscrites ont connu un véritable boom en un an. Elles ont atteint les 5,4 milliards de dollars (G$), en hausse de 68 % par rapport à 2020 où elles étaient de 3,3 G$. Le produit net des placements frôle les 200 M$ (191 M$), une hausse de 34 % par rapport aux 143 M$ de l’an dernier, principalement en raison de l’acquisition de RSA. Si l’on exclut l’incidence de l’acquisition de RSA, le produit net des placements a été stable.

« Une fois de plus, la vigueur de notre entreprise a été évidente ce trimestre grâce à un solide rendement opérationnel à l’échelle de la plateforme et malgré un niveau élevé de catastrophes. L’intégration de RSA progresse bien et des synergies sont réalisées conformément à nos prévisions. L’acquisition contribue déjà à la hausse du résultat opérationnel net par action (RONPA) de 9 % depuis la clôture le 1er juin, et nous demeurons en bonne voie d’atteindre notre cible de croissance de 15 % à 19 % dans un délai de 36 mois », a commenté Charles Brindamour, chef de la direction d’Intact Corporation.

Le RONPA s’est établi à 2,87, en hausse de 3 % par rapport au 2,78 $ du T3 de 2020. L’acquisition de RSA a contribué pour 8 % à l’augmentation du RONPA au T3 de 2021. En raison de ces excellents résultats, Intact Corporation estime pouvoir atteindre la hausse ciblée de 7 % à 9 % dans la première année suivant la clôture et de 16 % à 19 % dans un délai de 36 mois.

« Grâce à la solidité et à la résilience de notre bilan et à la dynamique dans l’ensemble des secteurs, nous augmentons les dividendes versés aux porteurs de nos actions ordinaires pour une seizième année consécutive », a annoncé Charles Brindamour.

Intact Corporation compte ainsi augmenter de 10 % (soit de 0,08 $ par action) son dividende trimestriel, qui est passé à 0,91 $ par action ordinaire.

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L’équipe de direction d’Humania s’est transformée https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/lequipe-de-direction-dhumania-sest-transformee/ Tue, 28 Jan 2020 13:06:30 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=63785 NOUVELLES DU MONDE - En décembre dernier, trois nouveaux vice-présidents se sont joints à l'équipe de direction d'Humania Assurance.

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Il s’agit de Nicolas Moskiou, vice-président, opérations d’assurance; Denis Lefebvre, vice-président technologies; et Isabel Portelance, vice-présidente, ressources humaines.

Ex-actuaire en chef de Banque Nationale Assurances, Nicolas Moskiou assumait également la fonction de responsable de la distribution numérique. Fin 2018, il avait participé au lancement d’un produit d’assurance-vie temporaire conçu avec la fintech Breathe Life. Diplômé de l’Université Concordia en actuariat (2001), Nicolas Moskiou a déjà été actuaire-chef à la Croix Bleue du Québec et actuaire principal chez Axa.

Le nouveau vice-président technologies d’Humania provient des rangs d’Intact Corporation financière. Denis Lefebvre y a passé la plus grande partie de sa carrière, notamment à titre de directeur principal. Entre 1998 et 2007, il a travaillé au siège social d’ING, en Hollande, en tant qu’expert en informatique.

Avant sa nomination en décembre au poste de vice-présidente, ressources humaines, Isabel Portelance était chez Humania à titre de vice-présidente adjointe, ressources humaines. Elle avait précédemment occupé les postes de directrice, ressources humaines chez Manuvie; directrice, ressources humaines chez Cogeco et chef des ressources humaines chez TC Media.

Outre Stéphane Rochon (président et chef de la direction), Nicolas Moskiou, Denis Lefebvre et Isabel Portelance, l’équipe de direction d’Humania comprend Marc Peliel, vice-président, finances (depuis 2016); Kim Oliphant, vice-présidente, ventes et marketing (depuis 2016); et Alina Dudau, actuaire en chef.

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