Internal Revenue Service (IRS) – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Tue, 27 Aug 2024 11:08:15 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Internal Revenue Service (IRS) – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Taxer les millionnaires pour réduire la dette https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/taxer-les-millionnaires-pour-reduire-la-dette/ Tue, 27 Aug 2024 11:08:15 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102444 PLANÈTE FINANCE – La proposition du PDG de JP Morgan Chase.

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Avec une dette nationale atteignant les 35 000 milliards de dollars, les États-Unis sont confrontés à un défi de taille. De nombreux économistes considèrent que la croissance actuelle n’est pas suffisante pour couvrir les futurs remboursements de cette dette.

Ce n’est pas l’avis de Jamie Dimon, PDG de JPMorgan Chase. Le ténor de Wall Street propose une solution qui pourrait ne pas plaire aux plus riches du pays : une réforme fiscale qui augmenterait la contribution des plus fortunés, selon Fortune.com.

Dans une récente entrevue accordée à PBS News, le banquier a exposé sa vision pour réduire la dette nationale tout en maintenant la prospérité économique. Selon lui, le chemin vers la réduction de la dette américaine passe par une stratégie en deux volets : stimuler la croissance économique et rééquilibrer le système fiscal pour alléger la charge des familles à revenus moyens.

Cette approche inclut des investissements ciblés dans des domaines clés comme les infrastructures, les crédits d’impôt pour les revenus du travail (EITC) et les dépenses militaires pour créer des emplois, tout en réformant le système fiscal pour le rendre plus équitable.

Une réforme fiscale pour favoriser la croissance

L’homme d’affaires propose de concentrer les investissements sur les infrastructures, qui sont essentielles pour soutenir une croissance économique à long terme. En améliorant les routes, les ponts et les réseaux de transport, les États-Unis pourraient renforcer leur compétitivité mondiale, a-t-il déclaré à PBS News.

Il préconise également d’augmenter les crédits d’impôt pour les revenus du travail (EITC). Ce programme permet de redistribuer des revenus aux travailleurs à faibles et moyens revenus. Selon lui, cette réforme est essentielle pour soutenir les communautés les plus vulnérables du pays, en plus d’instaurer « un système fiscal international compétitif ».

En parallèle, le PDG de JP Morgan Chase plaide pour une augmentation des dépenses militaires. Il estime que les tensions géopolitiques représentent la plus grande menace pour l’économie mondiale. En renforçant les capacités militaires des États-Unis, il pense que le pays pourra mieux se protéger contre les risques externes tout en stimulant des secteurs économiques stratégiques.

La « règle Buffett » : taxer les millionnaires pour alléger la dette

Ces initiatives seraient financées en taxant davantage les plus riches. Jamie Dimon s’appuie sur la « règle Buffett », qui stipule qu’aucun ménage gagnant plus d’un million de dollars par an ne devrait payer en taxes une part de ses revenus inférieure à celle des familles de la classe moyenne.

Cette règle tire son nom de Warren Buffett, le PDG de Berkshire Hathaway, qui a souligné à plusieurs reprises l’iniquité du système fiscal américain. Malgré sa fortune estimée à 138 milliards de dollars selon Bloomberg, le milliardaire a révélé qu’il paie un pourcentage d’impôts similaire à celui de sa secrétaire.

Dans les faits, Buffett paie un taux d’imposition fédéral plus élevé, tandis que sa secrétaire contribue proportionnellement plus en taxes de sécurité sociale. Cette situation crée une disparité fiscale importante entre les classes sociales.

En 2024, le taux de la taxe de sécurité sociale américaine pour les employés est fixé à 7,65 %, tandis que les travailleurs indépendants doivent payer 15,3 %. Au-delà d’un plafond de revenu annuel de 168 000 $, les revenus ne sont plus soumis à cette taxe, signale Fortune.

Les inégalités fiscales se creusent

Les disparités ne s’arrêtent pas là, mentionne l’article. Selon des données de 2023 publiées par l’Internal Revenue Service (IRS), le top 1 % des Américains les plus riches paie 26 % de ses revenus en impôt fédéral, tandis que les 5 % les plus riches en paient 22,4 %. À l’opposé, les 50 % des Américains les plus pauvres ne paient que 3,1 % de leurs revenus en impôts.

Un rapport de la Maison-Blanche publié la même année a révélé que les 400 familles les plus riches du pays ne paient en réalité que 8,2 % de leurs revenus en impôts, grâce à des failles dans le système de taxation des gains en capital.

Une étude du National Bureau of Economic Research, révisée en décembre 2021, a également mis en lumière que l’évasion fiscale parmi les Américains les plus fortunés est largement sous-estimée. En la prenant en compte, la part de contribution fiscale des plus riches augmenterait d’un point de pourcentage.

Le rêve américain en péril

Dans une lettre d’opinion adressée à Donald Trump publiée le 2 août dans le Washington Post, Jamie Dimon a souligné l’importance de préserver le rêve américain en offrant des chances égales à tous. Cependant, les inégalités se creusent : le 1 % des Américains les plus riches gagne 100 fois plus que les 20 % les plus pauvres.

Par ailleurs, il est intéressant de noter que la rémunération de Jamie Dimon a elle-même augmenté de 4,3 % en 2023, atteignant 36 millions de dollars. Sa valeur nette est estimée à 1,7 milliard de dollars, selon Forbes.

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Le fisc traque les riches Américains qui se livrent à l’évasion fiscale https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/le-fisc-traque-les-riches-americains-qui-se-livrent-a-levasion-fiscale/ Thu, 07 Mar 2024 12:26:12 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99487 PLANÈTE FINANCE – Grâce à la loi sur la réduction de l’inflation.

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Le fisc américain, l’Internal Revenue Service (IRS), est à la poursuite de 125 000 Américains fortunés qui ont omis de déclarer leurs impôts, certains depuis 2017.

Grâce à des fonds dégagés dans le cadre de la loi sur la réduction de l’inflation, l’IRS a lancé une campagne de recouvrement, ciblant 25 000 individus gagnant des revenus non déclarés dépassant un million de dollars US (M$), ainsi que 100 000 personnes avec des revenus compris entre 400 000 et un million de dollars américains.

L’agence prévoit d’envoyer entre 20 000 et 40 000 avis de réclamation chaque semaine, selon Reuters.

7000 nouveaux employés

L’IRS a entrepris des campagnes similaires par le passé, mais elles ont été mises en veilleuse en raison de coupes budgétaires.

Cependant, grâce à un financement de 80 G$US sur une décennie provenant de la loi sur la réduction de l’inflation de 2022, l’IRS a pu embaucher 7 000 nouveaux employés au service à la clientèle, gestionnaires de comptes et chargés du recouvrement.

Elle a également mis en place une technologie d’automatisation pour détecter plus efficacement les contribuables à hauts revenus en défaut de déclaration.

Équité pour tous

Danny Werfel, commissaire de l’IRS, a souligné que cette injection de fonds a permis à l’agence de « remplir sa mission fondamentale et de garantir l’équité pour tous ».

Pour la saison des impôts de cette année, à la suite des mesures mises en place, l’IRS déclare avoir constaté une réduction du temps d’attente téléphonique des contribuables et réussi à récupérer près de 500 M$US auprès de 1 600 « millionnaires » non déclarés.

La prochaine phase consistera à cibler les non-déclarants dont le revenu est inférieur à 400 000 $ US. L’objectif est de les aider à remplir leur déclaration de revenus, en leur faisant bénéficier des avantages fiscaux auxquels ils ont droit, tels que le crédit de taxe sur les enfants et le crédit d’impôt sur les revenus gagnés pour les bas salaires, a rapporté Danny Werfel.

Pénalités

Aux États-Unis, le défaut de déclaration peut entraîner une pénalité de 5 % du montant dû chaque mois, jusqu’à un maximum de 25 % de la facture fiscale totale. Des mesures telles que des prélèvements sur les salaires ou les comptes bancaires, ainsi que des poursuites civiles ou pénales, peuvent également être envisagées.

Le commissaire de l’IRS invite les personnes à hauts revenus qui n’ont pas encore rempli leur déclaration d’impôts à examiner leur situation sans tarder. Il recommande de consulter les informations disponibles sur le site Internet de l’agence et de faire appel à un professionnel de l’impôt pour se conformer aux obligations fiscales.

Selon un rapport récent du Congressional Budget Office, l’annulation de 20 G$ provenant de la loi sur la réduction de l’inflation entraînerait une diminution des recettes fédérales de 44 G$ sur 10 ans, contribuant à un déficit budgétaire accru de 24 G$ aux États-Unis au cours de cette période.

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Informations bancaires transmises à l’IRS https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/informations-bancaires-transmises-a-lirs/ Tue, 18 Jul 2023 11:15:19 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=95085 La Cour suprême refuse d’entendre une contestation.

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La Cour suprême du Canada n’entendra pas la contestation d’une loi fédérale qui permet de partager avec le fisc américain des renseignements sur les comptes détenus par des Américains dans des institutions financières canadiennes.

L’affaire avait commencé lorsque deux femmes nées aux États-Unis, mais qui vivent maintenant au Canada ont contesté les dispositions canadiennes d’une loi qui met en œuvre un accord bilatéral de 2014 rendant possible un tel partage d’informations avec le fisc américain (IRS).

Les deux femmes ont soutenu en vain devant les tribunaux que ces dispositions enfreignaient la Charte canadienne des droits et libertés, qui garantit notamment que chacun a droit « à la protection contre les saisies abusives ».

La loi américaine sur la conformité fiscale pour les comptes à l’étranger oblige les institutions financières situées dans des pays autres que les États-Unis à déclarer à l’IRS des informations sur les comptes détenus par des Américains, y compris des Canadiens qui ont la double nationalité américaine.

Le gouvernement canadien avait plaidé en Cour d’appel fédérale que le non-respect des mesures américaines aurait eu de graves répercussions sur les institutions financières canadiennes, leurs clients et l’économie en général.

Les institutions financières au Canada partagent notamment avec le fisc américain les noms et adresses des détenteurs de comptes, les numéros de compte et leurs soldes, ainsi que des détails tels que les intérêts, les dividendes et autres revenus de placement.

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L’IRS veut entourer davantage les cryptomonnaies https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/lirs-veut-entourer-davantage-les-cryptomonnaies/ Tue, 10 Aug 2021 12:04:56 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=81463 PLANÈTE FINANCE - Les investisseurs doivent s’attendre à davantage de contrôles.

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En raison d’une nouvelle initiative du Congrès, les courtiers en cryptomonnaies devront déclarer leurs transactions à l’Internal Revenue Service (IRS). En vertu de celle-ci, les entreprises devraient divulguer les échanges d’actifs numériques de plus de 10 000 $.

Bien que cela risque de créer des factures d’impôt indésirables, cette initiative devrait clarifier les règles pour les négociants et utilisateurs de cryptomonnaies renforçant ainsi le système, analyse le Financial Planning.

Cela fait déjà un moment que l’IRS tente de davantage encadrer les cryptomonnaies. Déjà depuis plusieurs années, les contribuables sont dans l’obligation de déclarer leurs transactions en cryptomonnaies dans leurs impôts. Plus récemment, l’agence a clairement indiqué que la lutte contre l’évasion fiscale par le biais des monnaies numériques était une priorité absolue.

L’année dernière, l’agence gouvernementale a ajouté une question à la première page du formulaire d’impôt sur le revenu 1040 demandant si les déclarants avaient vendu ou échangé des monnaies virtuelles.

Cependant, l’IRS n’a qu’une portée limitée et certains se réfugient dans des bourses offshore pour lui échapper. Toutefois, il est bon de se souvenir que les États-Unis peuvent sévir contre l’évasion fiscale à l’étranger.

De plus, même si certaines parties de l’univers cryptographique restent cachées, il pourrait être difficile de déplacer ces actifs sur le territoire américain et de les transformer en richesse légitime.

« Si un contribuable américain s’intéresse à la cryptomonnaie pour la possibilité de sous-déclarer le revenu des ventes ou des transferts, il y a de fortes chances que quelqu’un dans une chaîne quelque part doive le divulguer », souligne Julio Jimenez, un avocat, directeur du groupe de services fiscaux chez Marks Paneth LLP.

Avec cette nouvelle initiative, les États-Unis montrent encore une fois leur intérêt à mieux entourer les cryptomonnaies.

Une déclaration complexe                                                                                                                      

Même pour ceux qui veulent se plier à la loi, déclarer les transactions de cryptomonnaies dans les impôts peut rapidement devenir complexe surtout pour ceux qui effectuent plusieurs transactions par année.

Si les maisons de courtage doivent envoyer des formulaires fiscaux détaillés à leurs clients, ce n’est pas le cas des bourses de cryptomonnaies.

De plus, les obligations fiscales peuvent s’appliquer n’importe où. Certaines personnes utilisent les monnaies numériques pour des achats – comme acquérir une Tesla ou autre -, cependant, il est bon de se rappeler que ces consommateurs sont censés payer des impôts sur toute augmentation de la valeur de la cryptomonnaie qu’elles dépensent. Ici, nous touchons à une différence essentielle entre les monnaies numériques et les monnaies fiduciaires réelles.

Pour s’éviter bien des casse-têtes, certains utilisent déjà des applications pour suivre leurs transactions en cryptomonnaies comme CoinTrackers.

« La plupart des gens bénéficieraient d’un service de suivi pour les aider avec les impôts, témoigne ainsi Andrew Johnson, chef de projet dans une grande banque, et utilisateur de l’application. Pour moi, j’ai décidé que cela valait le coût de ne pas avoir à suivre manuellement toutes les transactions que je faisais – ce qui pouvait prendre des heures ou des jours. »

Une bonne chose pour les cryptomonnaies

Plus de réglementation n’est pas forcément une mauvaise nouvelle pour le secteur. Pour les investisseurs respectueux de la loi, c’est synonyme de règles plus claires et des déclarations annuelles plus faciles à comprendre de la part des sociétés de cryptomonnaies.

« Je pense que cela aura un effet positif sur le secteur, assure Brett Cotler, avocat chez Seward and Kissel LLP, spécialisé dans la blockchain et les cryptomonnaies au Financial Planning. Bien que les échanges et les entreprises fintech qui traitent les monnaies numériques puissent avoir à dépenser de l’argent pour mettre à niveau les systèmes de déclaration et de conformité, cela améliorera le service à la clientèle. »

Andrew Johnson estime également que les nouvelles règles aideront à légitimer l’écosystème et à favoriser la croissance internationale.

« Alors qu’au fond, les cryptomonnaies aient été conçues pour déplacer la valeur en dehors des rails contrôlés par le gouvernement, je comprends toujours la nécessité d’une réglementation dans l’espace crypto afin qu’une adoption plus large ait lieu », avance-t-il.

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Un assureur suisse admet avoir favorisé l’évasion fiscale aux États-Unis https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/un-assureur-suisse-admet-avoir-favorise-levasion-fiscale-aux-etats-unis/ Fri, 28 May 2021 12:09:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=80122 PLANÈTE FINANCE - Selon le département de la justice américaine, la société considérait l'intensification de la répression des banques aux États-Unis comme une opportunité commerciale.

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Un groupe de compagnies d’assurance suisse paie 77 millions de dollars américains (M$ US) dans le cadre d’un accord de poursuite différée avec les autorités américaines pour résoudre les allégations d’évasion fiscale offshore.

Diverses filiales de Swiss Life Holding AG – y compris ses unités au Liechtenstein, au Luxembourg et à Singapour – étaient accusées d’avoir conspiré avec des contribuables américains pour dissimuler à l’Internal Revenue Service (IRS) des polices d’assurance offshore d’une valeur d’environ 1,5 G$ US. Ce montant comprenait plus de 1 600 polices d’assurance enveloppantes et comptes d’investissement connexes dans des banques du monde entier.

Selon la plainte déposée contre les sociétés, celles-ci ont commencé à aider les contribuables américains à dissimuler des actifs et des revenus à l’étranger après que les autorités américaines aient intensifié leurs mesures d’exécution contre les banques suisses.

« Certains membres de la direction et du personnel de vente de Swiss Life […] ont considéré cette évolution comme une opportunité commerciale […] en intégrant des clients américains qui fuyaient UBS et d’autres banques suisses », a indiqué le ministère américain de la Justice (Department of Justice ou DoJ).

Les sociétés ont conclu un accord de poursuites différées avec le DoJ, en vertu duquel elles acceptent la responsabilité de leur conduite, acceptent de prendre des mesures correctives et paient 77,3 M$ US en pénalités et en restitution, soit la confiscation de 35,8 M$ US en frais, 16,4 M$ US en restitution à l’IRS et une pénalité de 25,3 M$ US.

« Comme elles l’admettent, Swiss Life et ses filiales ont recherché et offert leurs services à des contribuables américains pour les aider à devenir des fraudeurs fiscaux américains », a relevé Audrey Strauss, procureur des États-Unis pour le district Sud de New York, dans un communiqué.

« Les entités de Swiss Life ont proposé à des clients américains des polices d’assurance vie de type placement privé et des comptes de placement connexes, et ont fourni des services qui ont permis de dissimuler les polices et d’autres actifs à l’IRS, a-t-elle ajouté. En effet, les entités de Swiss Life ont vu dans l’intensification de la lutte contre la fraude fiscale à l’étranger par les autorités américaines une occasion de se présenter aux clients américains qui fraudent le fisc comme une alternative aux banques suisses. »

Le DoJ a déclaré que la sanction tient compte du fait que Swiss Life a apporté son concours à l’enquête et a mené sa propre enquête interne approfondie. Des mesures correctives ont été mises en œuvre pour se prémunir contre de futures fraudes fiscales offshore.

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