Les courtiers veulent que davantage de représentants en aient un.
Même si la pandémie et le confinement ont été le sujet d’intérêt numéro un des conseillers liés à un cabinet multidisciplinaire en 2020, ceux-ci ont continué de se préoccuper d’un enjeu criant: assurer leur relève.
Les conseillers cherchent à associer la haute technologie au contact humain.
La pandémie actuelle semble gripper la distribution d’assurance de personnes.
GFM Groupe financier, qui a récemment reçu la certification de l’Association pour l’investissement responsable (AIR), en a profité pour lancer une gamme de portefeuilles de placement intégrant les critères ESG.
FI RELÈVE - Réal Parent, un des pionniers québécois des cabinets intégrés en services financiers, a complété le processus de transmission de son cabinet à son fils Jean-Michel. Père et fils nous entretiennent sur l'art d'une transmission gagnante.
FI RELÈVE - Le conseiller mise sur la qualité de l'analyse des gestionnaires.
FI RELÈVE - «En faisant appel à l'expérience des meilleurs, on coupe les cycles d'apprentissage de moitié. Et on augmente nos ventes !», affirme Antoine Chaume.
ZONE EXPERTS - Le 14 septembre dernier, Finance et Investissement publiait un article intitulé « Investia : seuil de 75% en comptes autogérés ». Bien que cet article ne faisait que mettre en lumière, preuves à l’appui, une pratique connue dans l’industrie, il n’en représente pas moins une occasion pour questionner le recours aux comptes autogérés par les courtiers en épargne collective et leurs impacts indirects sur les clients, les conseillers et les organisations.
Depuis le 1er septembre dernier, les conseillers affiliés au réseau Investia doivent maintenir un minimum de 75 % de leurs clients en comptes autogérés, sans quoi ils se voient imposer des frais administratifs de 100$ par mois.