Ce Fonds de pension est un organisme de placement collectif de revenu viager conçu pour les Canadiens à la retraite. Il se distingue des autres organismes de placement collectif en incorporant le groupement des risques liés à la longévité pour procurer un revenu à vie aux retraités canadiens.

« Le défi de transformer des actifs financiers en un revenu de retraite durable est considérable et ne fait que s’aggraver avec la diminution du nombre de Canadiens ayant un régime de retraite à prestations déterminées auprès de leur employeur, affirme Fraser Stark, président, Plateforme de retraite Longévité à Purpose Investments. Nous avons conçu Longevité dans le but d’obtenir des résultats semblables à ceux d’un régime à prestations déterminées, mais l’avons démocratisé pour qu’il soit accessible à tous. Aujourd’hui, nous franchissons une étape importante, car grâce à notre partenariat avec LifeWorks, nous sommes ravis d’offrir cette innovation à encore plus de personnes. »

Ce partenariat vient solidifier la relation qui existait déjà entre Purpose et LifeWorks. Avant ce lancement, LifeWorks effectuait des examens actuariels du fonds ce qui lui a permis de confirmer que ce produit pouvait réaliser les taux de revenu viager initiaux et que ces taux devraient augmenter au fil du temps dans la plupart des cas.

Comme le fonds est accessible sur la plateforme de LifeWorks, il sera plus facile pour les promoteurs de régimes d’intégrer une solution de désaccumulation au régime de leurs participants qui n’ont pas accès à un régime de retraite à prestations déterminées.

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Un score qui se situe entre 50 et 79 indique une santé mentale précaire.

Le moral des Canadiens a donc décliné en l’espace d’un mois dans toutes les provinces à l’exception de la Colombie-Britannique et de la Saskatchewan.

Stressés au travail et à la maison

En ces années pandémiques, le stress affecte les gens autant dans leur vie professionnelle que personnelle, avec 26 % des répondants dans chacune de ces sphères, révèle le sondage.

Au total, près de trois Canadiens sur quatre (74 %) disent être affectés par le stress dans leur emploi ou à la maison.

Au travail, les sources de stress découlent principalement du volume de travail (25 %), des exigences en matière de rendement (14 %) et du manque de soutien (12 %).

Ceux qui sont stressés dans leur vie personnelle éprouvent des problèmes de sommeil (31 %), ont du mal à se détendre (28 %) et vivent des changements émotionnels, comme l’anxiété et la dépression (27 %).

« On accorde beaucoup d’importance aux problèmes au travail comme source de stress, mais les difficultés personnelles affectent tout autant les gens, soutient Stephen Liptrap, président et chef de la direction de LifeWorks.

« Par ailleurs, même si de nombreuses organisations ont amorcé ces derniers mois un retour vers un semblant de normalité, il est clair qu’on n’est pas encore au bout de nos peines, ajoute-t-il. C’est le plus bas score de santé mentale collective depuis janvier, signe qu’il faut poursuivre de plus belle les conversations entourant le mieux-être des employés et le soutien au lieu de s’y désintéresser. »

Soutien des employeurs

Les mesures adoptées par les employeurs en faveur du bien-être de leurs employés font une grande différence. Les travailleurs qui ont pu en bénéficier affichent un score supérieur de 7 points comparativement à la moyenne nationale et de près de 15 points à celui des participants n’ayant pas eu l’impression que leur employeur favorisait leur santé mentale.

Les modalités de travail flexibles (51 %) et la communication d’informations sur les services et les ressources en santé mentale (41 %) apparaissent comme des mesures efficaces pour le moral des troupes.

En juin 2022, 33 % des Canadiens présentaient un risque élevé de problème de santé mentale, 43 % un risque modéré et 23 % un risque faible.

Parmi ceux les plus à risque, ils sont 30 % à avoir reçu un diagnostic d’anxiété ou de dépression (7 % chez ceux présentant un risque modéré).

C’est sensiblement les mêmes proportions qu’en avril 2020, au lancement de l’Indice et lors de la première vague de COVID-19, alors que 34 % des répondants étaient à risque élevé, 45 % à risque modéré et 21 % à faible risque.

Pour consulter le rapport complet de l’Indice de santé mentale, cliquez ici.

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Le montant des versements sera déterminé par le revenu personnel de chaque médecin et son nombre d’années au service de leur société médicale. Le régime reposera sur la mise en commun des placements et le partage du risque de longévité et du risque économique par les participants.

« Les médecins réclament la création d’un régime de retraite depuis longtemps. Nous sommes donc très enthousiastes à l’idée de leur offrir cette solution tant désirée, fruit de la solide expérience technique de la Banque Scotia en régimes de retraite, en gouvernance et en placements ainsi que de l’expertise exclusive de MD en sécurité financière des médecins », assure Daniel Labonté, président et chef de la direction de l’entreprise.

Pour mettre en place ce régime de retraite, les deux firmes travailleront avec plusieurs organisations partenaires représentant les intérêts des médecins partout au pays. Le régime de retraite Medicus aura un conseil composé en partie de représentants des médecins qui s’assureront du respect des exigences réglementaires applicables.

Celui-ci sera administré par Solutions Mieux-être LifeWorks (LifeWorks). Pour en savoir davantage sur ce régime, rendez-vous sur ce site.

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Selon l’étude, pour le quatrième trimestre (T4) de l’année, les gestionnaires de fonds communs diversifiés ont enregistré un rendement médian avant frais de gestion de 4,9 %, ce qui porte le rendement médian pour l’ensemble de l’année à 13,8 %.

Les marchés boursiers ont clos l’année en hausse :

• Le MSCI a enregistré un rendement de 7,5 % au T4 de 2021;
• Le S&P/TSX composé a obtenu un rendement de 6,5 %;
• Le S&P 500 a obtenu un rendement de 11,0 % en $ US et 10,5 $ en $ CA.

Seul l’indice des marchés émergents a reculé. Son rendement s’est ainsi élevé à -1,5 % et l’ensemble du marché obligataire canadien a enregistré un rendement de 1,5 %, rapporte Jean Bergeron, associé, investissement et risques chez Solutions Mieux-être LifeWorks.

Les caisses de retraite ont, pour la plupart, bénéficié de la combinaison des rendements boursiers élevés et de la hausse des taux de rendements obligataires. La hausse des taux a aidé à diminuer le passif de solvabilité et amélioré leur situation financière.

« Nous estimons que le ratio de solvabilité d’une caisse de retraite type a augmenté d’environ 12 % au cours de l’année 2021 », affirme Jean Bergeron.

Si pour le T4 le rendement médian des gestionnaires de fonds communs diversifiés a été plus ou moins équivalent à celui du portefeuille de référence, pour l’année, leur rendement médian a été supérieur de 3,9 % à celui-ci.

Du côté des obligations et des actions

Les gestionnaires d’obligations ont obtenu un rendement plus bas que ceux des fonds communs diversifiés, soit de 1,5 %. Un rendement donc égal à celui de leur indice de référence, alors que depuis le début de l’année, leur rendement médian était supérieur de 0,4 % à ce dernier.

Les gestionnaires d’actions à l’inverse ont produit un rendement médian de 7,1 %, soit 0,6 % supérieur à celui de l’indice S&P/TSX.

Quant aux rendements médians des gestionnaires de fonds d’actions étrangères, ces derniers sont en général plus bas que leur indice de référence. Ils sont ainsi de :

• 10,3 % pour les actions américaines contre 10,5 % pour l’indice S&P 500 ($ CA);
• 2,6 % pour les actions internationales contre 2,4 % pour l’indice MSCI EAEO ($ CA);
• 6,7 % pour les actions mondiales contre 7,5 % pour l’indice MSCI Monde ($ CA); et
• -1,5 % pour les actions des marchés émergents contre -1,5 % pour l’indice MSCI marchés émergents ($ CA).

Les résultats de cette étude sont basés sur les rendements fournis autant par des cabinets de gestion indépendants que des compagnies d’assurance, des fiducies et des institutions financières. Les rendements sont calculés avant déduction des honoraires de gestion.

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Ce dernier s’établit ainsi à -9,7 comparativement à niveau d’avant la pandémie. Il s’agit certes d’un score encore une fois négatif, mais c’est le score le plus élevé depuis le lancement de l’Indice de santé mentale en avril 2020. En fait, c’est la première fois que l’on passe au-dessus de la barre des -10.

Toutefois, le sentiment d’appartenance et d’acceptation au travail est en baisse. Ainsi un Canadien sur trois (35 %) dit ne pas avoir de sentiment d’appartenance ou d’acceptation au travail ou en est incertain. Ils n’étaient qu’un sur quatre à affirmer cela avant la pandémie. Les employés travaillant physiquement au bureau sont ceux qui ont un plus grand sentiment d’appartenance ou d’acceptation au travail, à l’inverse de ceux en télétravail ou qui travaillent selon un modèle hybride.

« Bien que le télétravail et les modèles hybrides offrent de la flexibilité et réduisent ou éliminent le temps de déplacement, les liens risquent de s’affaiblir au fil du temps entre les employés et leur organisation, et avec leurs collègues. Lors du passage à un environnement de travail virtuel durant la pandémie, de nombreux employés ont perdu la spontanéité des conversations qu’ils trouvaient peut-être revigorantes », constate Stephen Liptrap, président et chef de la direction de Solutions Mieux-être LifeWorks.

L’isolement nuit à la productivité 

Plus de la moitié des Canadiens (54 %) travaillent même s’ils ne se sentent pas bien. Ces derniers obtiennent des scores relatifs à l’isolement largement inférieurs à la moyenne nationale.

Toutefois, 65 % des Canadiens considèrent que leur organisation est un endroit où il fait bon travailler. Ces derniers ont, sans surprise, de meilleurs scores de santé mentale que les autres. Ces derniers ont un niveau de productivité supérieur à ceux qui ne recommanderaient pas leur organisation, soit de 86 % contre 75 %.

Parmi les travailleurs qui ont le moins bon score de santé mentale, on retrouve les gestionnaires. En août 2021, leur score s’établit à -10,8, contre -8,9 pour les non-gestionnaires. L’augmentation du stress mentale est également plus marquée chez les gestionnaires.

Malgré cette amélioration du score de santé mentale, le score secondaire relatif à la santé psychologique générale a décliné par rapport à juillet. Il est ainsi passé de -2,6 à -2,8.

D’autres chiffres à retenir :

• Depuis le lancement de l’Indice de santé mentale, les femmes ont un score de santé mentale plus bas que celui des hommes. Ce mois-ci, leur score est de -11,4 contre -8 pour les hommes.
• 13 % des sondés ont rapporté avoir subi une réduction de leur salaire ou de leurs heures de travail. Ces derniers ont le plus faible score de santé mentale, soit -21,2.
• Les travailleurs autonomes sont, à l’inverse, ceux ayant le plus haut score de santé mentale avec -6,7.
• Les répondants travaillants dans des entreprises comptant entre 51 et 100 employés ont un plus faible score de santé mentale que les autres travailleurs, soit -13,6.

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Pour arriver à ce nom, Morneau Shepell a mené une enquête exhaustive. Ce dernier a été annoncé officiellement à l’assemble générale annuelle et extraordinaire à l’intention des actionnaires, qui s’est tenue le 14 mai 2021.

« Au cours des derniers mois, nous avons travaillé de concert avec des équipes d’employés et avons sondé de nombreux clients des secteurs privé et public afin de définir une nouvelle identité qui reflète fidèlement les solutions que nous proposons aux organisations et à leurs employés partout dans la province », a expliqué Marie Pinsonneault, première vice-présidente et chef de la région du Québec.

Ce nouveau nom reflète la raison d’être de la firme, soit de veiller au mieux-être de ses clients et au succès des entreprises partout dans la province. Ce nom semble d’autant plus important pendant la pandémie puisque le mieux-être est devenu un enjeu incontournable pour la plupart des compagnies.

« Dès le départ, notre objectif était d’adopter une nouvelle marque internationale tout en ajoutant pour le Québec une touche particulière qui décrit parfaitement notre raison d’être. Le nom Solutions Mieux-être LifeWorks traduit bien notre mission, qui consiste à offrir des solutions qui font le pont entre la vie personnelle et la vie professionnelle des employés, réitérant notre raison d’être et notre engagement à veiller au mieux-être des gens et au succès des entreprises. Nous sommes ravis de mener désormais nos activités sous cette nouvelle identité et de continuer à fournir à nos clients du Québec les services de grande qualité auxquels ils s’attendent de notre part », a encore ajouté Marie Pinsonneault.

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Si le nom Morneau Shepell a fort bien représenté la firme depuis toutes ces années, cette dernière a reconnu la nécessité d’avoir une dénomination qui reflète davantage sa croissance en tant que leader mondial de la technologie en matière de bien-être global, selon Stephen Liptrap, président et chef de la direction.

« Le nom LifeWorks est directement lié à notre source de motivation en tant qu’entreprise — Mieux-être des gens, Succès des entreprises — en insistant sur la notion que si on améliore la vie d’une personne, on peut contribuer à son rendement au travail », a-t-il précisé.

Le changement de nom sera soumis à l’approbation des actionnaires lors de l’assemblée annuelle et extraordinaire de la société le 14 mai prochain.

Des revenus à la hausse 

En cette année pandémique, Morneau Shepell a enregistré une hausse de ses revenus de 10,2 %, soit 90,3 millions de dollars (M$), pour atteindre 979,2 M$.

« La capacité de nos effectifs et de nos systèmes à rapidement et efficacement passer au télétravail a constitué un facteur de réussite clé », a affirmé M. Liptrap. Si les services fournis en personne ont subi les effets du confinement, « la demande liée aux solutions technologiques a connu une forte hausse dans tous nos principaux secteurs d’activité, particulièrement dans les marchés de mieux-être en pleine croissance dans le numérique », a-t-il poursuivi.

Morneau Shepell a obtenu « d’excellents résultats » dans tous les marchés où elle est présente, notamment à l’extérieur du Canada (+10 %). Sa solution numérique de thérapie cognitivo-comportementale sur Internet (TCCi), adoptée par les gouvernements et les autorités de santé publique au pays, a enregistré une forte croissance, passant d’un chiffre d’affaires de 700 000 $ à plus de 8 M$ en 2020.

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