Placements iA Clarington – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Wed, 11 Sep 2024 11:02:18 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Placements iA Clarington – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 iA Clarington annonce un partenariat avec Dan Janis https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/ia-clarington-annonce-un-partenariat-avec-dan-janis/ Wed, 11 Sep 2024 11:02:18 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102775 Et consolide ses relations avec Loomis Sayles.

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Placements iA Clarington annonce un partenariat avec Dan Janis, un expert renommé en titres à revenu fixe et consolide ses liens avec Loomis, Sayles & Company, un leader mondial en gestion de placements basé à Boston.

« Cette excellente nouvelle témoigne de notre engagement à établir des relations durables avec des gestionnaires de portefeuille de premier plan. Dan Janis est une référence dans notre profession qui a aidé les investisseurs à atteindre leurs objectifs pendant plus de trois décennies. Nous sommes ravis qu’il ait choisi, avec son équipe chevronnée, de servir iA Clarington. Nos partenaires de Loomis Sayles se sont bâti une réputation d’excellence depuis presque un siècle et la récente consolidation de nos relations reflète notre reconnaissance de la valeur qu’ils apportent aux investisseurs canadiens », souligne Catherine Milum, présidente et chef de la direction, iA Clarington.

Ces annonces auront des impacts sur trois Fonds iA Clarington :

  • en effet, Agile Investment Management, le nouveau cabinet de Dan Janis, agira à titre de sous-conseiller du Fonds IA Clarington d’obligations de base plus. Ce produit conservera comme priorité la génération d’un revenu et la préservation du capital, mais l’approche différenciée retenue par l’équipe d’Agile permet d’enrichir l’univers de placement du Fonds pour inclure l’ensemble des opportunités mondiales en titres à revenu fixe.;
  • et Loomis, Sayles & Company agira à titre de sous-conseiller du Fonds IA Clarington de revenu à taux variable et du Fonds IA Clarington de revenu à taux variable en dollar US. Ces fonds continueront de privilégier la génération d’un revenu mensuel attrayant en investissant principalement dans des prêts à taux variable, mais, grâce à ce partenariat, les fonds pourront désormais profiter de l’expertise de pointe de Loomis Sayles dans ce domaine, ainsi que des compétences solides en recherche de crédit de son équipe.

« Je suis ravi de revenir dans la profession en créant mon cabinet, accompagné d’une équipe triée sur le volet qui a fait ses preuves, et pour un partenaire aussi stable et reconnu qu’iA Clarington. Le niveau élevé des taux d’intérêt et la forte volatilité actuellement sur les marchés révèlent aux investisseurs à revenu fixe actifs et agiles des opportunités comme il n’y en a pas eu depuis près de 20 ans. Nous visons à exploiter tous les avantages de cette situation afin d’aider les investisseurs canadiens à atteindre leurs objectifs de revenu et de création de richesse », souligne Dan Janis.

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Une ancienne de Manuvie à la tête de Placements iA Clarington https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/une-ancienne-de-manuvie-a-la-tete-de-placements-ia-clarington/ Thu, 07 Sep 2023 10:17:15 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=96079 NOUVELLES DU MONDE - Elle succède à Adam Eliott.

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Une nouvelle dirigeante prend les rênes de Placements iA Clarington à la suite du départ de l’ancien président et chef de la direction, Adam Elliott, qui assurait l’intérim depuis avril dernier. Celui qui a dirigé iA Clarington depuis 2021 reste président de iA Gestion privée de patrimoine.

Catherine Milum, qui a été nommée présidente et chef de la direction de Placements iA Clarington, était jusqu’à récemment responsable de la distribution au détail chez Gestion d’investissements Manuvie. Elle a travaillé à ce poste pendant un an, après avoir occupé diverses fonctions de direction au sein de l’institution, où elle a fait carrière pendant une vingtaine d’années, entre autres comme responsable des ventes pour la gestion de patrimoine de 2013 à 2022 et en tant que directrice régionale des ventes de l’Ontario pendant 10 ans.

En entrevue avec Investment Executive, la dirigeante a déclaré privilégier les sociétés qui ont des modèles de distribution indépendants et des conseillers qui ont l’esprit d’entreprise, sur le modèle de Manuvie. Celle qui a été nommée l’une des 100 femmes les plus influentes du Canada en 2019 par le Réseau des femmes exécutives a dit également apprécier le lien entre iA Clarington et la division de l’assurance de l’entreprise au sens large.

La nomination de Catherine Milum intervient au cours d’une année de changement pour la Financière iA et ses filiales de gestion de patrimoine : iA Placements Clarington, Investia Services Financiers, iA Marchés des Capitaux et iA Gestion privée de patrimoine.

Stephan Bourbonnais a été nommé vice-président exécutif de iA Gestion de patrimoine en janvier, en provenance de iA Gestion privée de patrimoine, où il a été remplacé par Adam Elliott. Il a déclaré avoir sélectionné Catherine Millum parmi plus de 20 candidats au poste de président-directeur général de iA Clarington. « Elle a une bonne compréhension de ce que signifie traiter avec des conseillers indépendants et travailler au sein d’une compagnie d’assurance, a-t-il déclaré, ainsi qu’une passion et une expertise en matière de distribution de patrimoine. Nous avons eu une adéquation naturelle et [elle est] la prochaine pièce dont nous avions besoin pour notre équipe de direction. »

Pour le trimestre clos le 30 juin, iA groupe financier a déclaré un bénéfice net de 196 millions de dollars (M$), en baisse par rapport aux 270 M$ du trimestre précédent, mais en hausse par rapport aux 152 M$ de l’année précédente.

Au 31 juillet, iA Clarington administrait 12,5 milliards de dollars (G$) d’actifs, iA Gestion privée de patrimoine 48 G$ et Investia 57 G$. iA gestion privée de patrimoine compte plus de 460 équipes de conseillers et Investia plus de 1 500 conseillers.

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iA Clarington lance deux nouveaux produits https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/ia-clarington-lance-deux-nouveaux-produits/ Thu, 23 Jul 2020 12:10:58 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=67799 PRODUITS – Ces deux produits à revenu fixe sont gérés activement.

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Placements IA Clarington enrichit sa gamme à revenu fixe du Fonds IA Clarington Loomis d’obligations mondiales multisectorielles, dont le sous-conseiller est Loomis, Sayles & Company, L.P. et du Mandat d’obligations améliorées IA Gestion de patrimoine, géré par iA Gestion de placements inc.

« Ces mandats enrichissent notre gamme déjà bien fournie de solutions à revenu fixe et permettent aux investisseurs de disposer d’une sélection élargie de stratégies à forte conviction pour faire face à des conditions boursières de plus en plus complexes », assure Kos Lazaridis, vice-président principal, Produits et solutions, iA Gestion de patrimoine.

Le Fonds IA Clarington Loomis d’obligations mondiales multisectorielles offre une exposition aux obligations de sociétés de catégorie d’investissement et aux créances d’État. Ce fonds est géré de façon active et est assez flexible pour s’adapter à l’évolution de la conjoncture boursière.

La sélection des titres et la répartition sectorielle qui en découle se font selon un processus d’analyse ascendant. Les décisions de placements sont effectuées selon une optique de placement de trois à cinq ans.

« Nous sommes ravis de mettre ce mandat à la disposition des investisseurs canadiens grâce à notre fructueux partenariat avec iA Clarington, lequel a récemment célébré sa cinquième année », a déclaré Elaine Stokes, vice-présidente directrice et gestionnaire de portefeuille, Loomis Sayles.

Le Mandat d’obligations améliorées IA Gestion de patrimoine offre la même exposition à revenu fixe que le Mandat d’obligations de base IA Gestion de patrimoine. Il utilise une approche multi-gestionnaire activement gérée rassemblant les expertises en revenu fixe d’iA Gestion de placements, iA Clarington, Loomis Sayles, PIMCO Canada Corp. et Wellington Square.

Le portefeuille de catégorie d’investissement est complété d’une exposition diversifiée aux titres à revenu fixe non traditionnels, pour un potentiel de rendement supérieur tout en atténuant le risque.

« La délicate conjoncture boursière qui prévaut actuellement nécessite une approche flexible et active ainsi qu’une compréhension approfondie du contexte macro-économique, deux aspects maîtrisés par ce nouveau mandat qui procure aux investisseurs l’occasion d’augmenter la stabilité et le potentiel de rendement de leurs portefeuilles à revenu fixe », a déclaré Clément Gignac, premier vice-président, Fonds diversifiés, et économiste en chef, iA Gestion de placements.

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Les investisseurs en FNB : bien informés et indépendants https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/les-investisseurs-en-fnb-bien-informes-et-independants/ Tue, 04 Feb 2020 20:11:04 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=63815 FOCUS FNB - Analyse en profondeur de la personnalité de l’investisseur en FNB.

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L’essor des fonds négociés en Bourse (FNB) ces dernières années reflète une modification des comportements dans le marché de l’investissement de détail au Canada.

Les investisseurs de détail qui ont adopté les FNB ont tendance à être moins fidèles à leurs conseillers et à les remettre davantage en question que les détenteurs de fonds communs de placement. Ils ont tendance à être mieux informés. Ils sont plus conscients de l’impact des frais et plus sensibles aux prix. Par ailleurs, ils sont plus à l’aise avec l’investissement autonome en ligne.

Pollara Strategic Insights, de Toronto, a effectué un sondage d’opinion, parrainé par l’Institut des fonds d’investissement du Canada (IFIC) et publié en septembre 2019, dont les résultats documentent ces tendances. Pour la première fois depuis la création en 2006 de ce sondage annuel, Pollara a interrogé des investisseurs en FNB tout comme des détenteurs de fonds communs de placement. Au total, 500 investisseurs en FNB et 1024 investisseurs en fonds communs de placement ont participé aux entretiens téléphoniques menés de la fin mai à la mi-juin.

Pollara a constaté que les investisseurs en FNB ont des préférences plus larges quant aux types de fonds d’investissement qu’ils détiennent. Parmi les investisseurs en FNB sondés, 66 % détenaient également des fonds communs. Par contre, seulement 19 % des répondants détenant des fonds communs possédaient aussi des FNB. Le sondage a également montré qu’il existe de grandes possibilités de croissance des ventes pour les manufacturiers de FNB. Un quart des investisseurs en fonds communs sondés prévoient augmenter leurs participations en FNB. Il faut noter également un écart entre les sexes : les hommes ont en général davantage confiance dans les FNB que les femmes.

Toutefois, les conseillers ne devraient pas supposer que les plus jeunes investisseurs, qui sont en général plus à l’aise avec la technologie et dont les manières d’investir sont moins ancrées, sont plus réceptifs aux FNB que les baby-boomers. Il est faux de croire que ce sont seulement les plus jeunes qui vont sur Internet et qui préfèrent les FNB, dit Lesli Martin, vice-présidente, relations publiques chez Pollara. Alors que 22 % des investisseurs en FNB sondés avaient moins de 35 ans, c’était le cas de 20 % des investisseurs en fonds communs. Vers l’extrémité la plus âgée du spectre démographique, 43 % des investisseurs en FNB avaient 55 ans ou plus, alors que 49 % des investisseurs en fonds communs se situaient dans cette tranche d’âge.

« La différence n’est pas énorme », remarque Lesli Martin.

Parmi les investisseurs qui ont un conseiller, on constate des niveaux de satisfaction plus ou moins semblables chez les détenteurs des deux types de structures de fonds. Ainsi, de ceux qui se sont dits satisfaits ou totalement satisfaits de leur conseiller, 81 % étaient des investisseurs en fonds communs, et – pourcentage plus fort –, 91 % détenaient des FNB. « Les investisseurs en fonds communs et les investisseurs en FNB démontrent des degrés de confiance très élevés dans le conseil qu’ils reçoivent, dit Ian Bragg, directeur, Recherche et statistiques, à l’IFIC. De plus, les investisseurs en FNB et les investisseurs en fonds communs attribuent une valeur quasi aussi importante à leur conseiller. »

Toutefois, les investisseurs en FNB étaient beaucoup plus susceptibles d’être des investisseurs autonomes que les investisseurs en fonds communs, et moins susceptibles de reconnaître la valeur de leur conseiller. « La façon dont ils font l’acquisition de leurs produits est une des principales différences [entre ces deux types d’investisseurs] », dit Ian Bragg. L’un des résultats du sondage qu’il a noté montre que 80 % des plus récents achats de fonds communs étaient faits par l’intermédiaire de conseillers, alors que seulement 46 % des achats de FNB étaient faits par l’intermédiaire de conseillers. Le groupe des investisseurs autonomes a également tendance à posséder plus de connaissances en investissement et à faire davantage confiance à l’utilisation du courtage en ligne.

Bien que les méthodes de livraison électronique soient de plus en plus acceptées, le sondage a indiqué que les conseillers en placement en ligne, également connus sous l’appellation robots-conseillers, ne sont pas largement acceptés. Seulement 18 % des investisseurs en FNB et 16 % des investisseurs en fonds communs ont dit à Pollara qu’ils étaient susceptibles ou très susceptibles d’utiliser un robot-conseiller.

Néanmoins, ce faible niveau d’acceptation laisse entendre que la part de marché des robots-conseillers poursuivra sa croissance. À la mi-2019, les actifs sous gestion du robot-conseil au Canada totalisaient 5,9 G$, soit une hausse de 88 % par rapport à l’année précédente, selon le rapport « Fintech Advisory Service » publié par Investor Economics.

La popularité croissante des FNB a mené la plupart des principales sociétés de fonds, et de nombreuses sociétés de fonds moins importantes, à offrir des choix entre les deux structures. Manufacturiers de FNB et manufacturiers de fonds communs, c’est de plus en plus du pareil au même. Ainsi, en décembre 2019, selon l’IFIC, 28 manufacturiers de fonds communs offraient également des FNB.

Placements iA Clarington, de Toronto, est l’une des sociétés de fonds qui a récemment développé son offre de FNB. Elle a créé des séries en FNB à partir de trois de ses fonds communs – les séries en FNB ayant le même actif sous-jacent que les autres séries de fonds communs – en octobre 2018, et en a ajouté trois de plus en novembre 2019.

« Si elle ne l’a pas encore fait, presque chaque société de fonds importante va dire : “Pourquoi voudrait-on fermer la porte à l’investisseur en FNB ?”, dit Adam Elliott, vice-président principal et directeur national des ventes chez Placements iA Clarington. Ce n’est pas un choix à faire entre deux possibilités qui s’excluent. Ceci peut nous rendre accessibles aux deux types de clients. »

L’opinion du client prend davantage d’importance ces dernières années, dit Adam Elliott, ce qui concorde avec les résultats du sondage de Pollara. « Nous avions l’habitude d’entendre les conseillers dire souvent : “Mon client se tourne vers moi pour que je lui fasse des recommandations en matière de placement, alors c’est moi qui tiens le volant”, dit-il. Mais nous entendons de plus en plus souvent, particulièrement de la part des investisseurs en FNB, qu’une grande partie de l’activité est axée sur le client et que celui-ci dit : “Je veux des FNB” et tout aussi souvent : “Je ne veux pas de fonds communs”. »

Le rapport sur les ventes de fonds d’investissement de l’IFIC 2019, confirme que les ventes nettes de FNB ont dépassé les ventes nettes de fonds communs pour la deuxième année de suite, et ce, avec une marge considérable. En effet, selon ce rapport, les ventes nettes de fonds communs de placement ont atteint 16,9 G$ en 2019, et les ventes nettes de FNB ont atteint 27,9 G$. Après 2008, 2009 et 2018, l’année 2019 a été la quatrième année civile où les ventes nettes de FNB ont dépassé celles de fonds communs de placement.

Un des défis pour les conseillers vient du fait que les périodes de détention des FNB peuvent être plus courtes que celles des fonds communs, puisqu’il n’existe aucun effet dissuasif significatif aux transactions fréquentes. À la différence des fonds communs, il n’y a pas de frais pour les opérations à court terme avec les FNB. « Si nos activités en FNB continuent à s’effectuer principalement par l’intermédiaire des conseillers, espérons que les conseillers insisteront sur le fait que négocier fréquemment des titres, des FNB ou des actions n’est généralement pas judicieux », dit Adam Elliott.

L’augmentation du choix de structures de produits dans le secteur des fonds de détail ne se limite pas exclusivement à la création de FNB. Evolve Funds Group, de Toronto, qui a fait son entrée dans le marché des FNB en septembre 2017, a lancé la première série de fonds communs de ses fonds en avril 2019.

« Personnellement, je crois que l’avenir appartient aux FNB, dit Raj Lala, président et chef de la direction d’Evolve Funds Group. Mais nous avons créé une catégorie de fonds communs, parce que nous voulons permettre aux gens d’accéder à la structure avec laquelle ils sont beaucoup plus à l’aise. » Tout en remarquant que la plupart des courtiers en fonds communs de placement ne peuvent pas vendre des FNB, Raj Lala affirme que certains courtiers en valeurs mobilières préfèrent utiliser les fonds communs parce qu’ils n’aiment pas composer avec les écarts entre le cours acheteur et le cours vendeur et que leurs clients n’ont pas besoin de liquidité d’échange intrajournalière.

En offrant le choix entre les structures de fonds, dit Raj Lala, les sociétés doivent assurer que les frais de gestion des parts de fonds communs à honoraires ne sont pas plus élevés que ceux des parts de FNB. « La plupart des courtiers n’approuveraient même pas les fonds communs s’il existait une catégorie de FNB qui facturait des frais plus bas que les fonds communs [de catégorie F]. »

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