Pollara Strategic Insights – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Fri, 01 Nov 2024 12:14:54 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png Pollara Strategic Insights – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 Les clients apprécient les relevés du MRCC2 https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/les-clients-apprecient-les-releves-du-mrcc2/ Fri, 01 Nov 2024 12:14:54 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103741 Mais la compréhension des frais n’est toujours pas complète.

L’article Les clients apprécient les relevés du MRCC2 est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Un nombre croissant d’investisseurs se souviennent avoir reçu des relevés conformes au Modèle de relation client-conseiller – Phase 2 (MRCC2) et les trouvent généralement faciles à comprendre, selon un sondage annuel commandé par l’Institut des fonds d’investissement du Canada (IFIC).

L’enquête de l’IFIC, menée par Pollara Strategic Insights, a également révélé une baisse des investissements en raison de l’inflation et une hausse de la confiance dans les cryptomonnaies.

Les investisseurs étaient plus susceptibles de se souvenir d’avoir reçu leur relevé MRCC2 cette année (65 %) que l’année dernière (60 %), le taux lié à ce souvenir étant plus élevé chez les investisseurs en fonds communs de placement (71 %) que chez les investisseurs en fonds négociés en Bourse (FNB) (66 %). Les investisseurs plus âgés, les hommes et ceux qui se sentent bien informés en matière d’investissement et qui ont des portefeuilles d’investissement plus importants étaient plus susceptibles de se souvenir d’avoir reçu les relevés et de les avoir lus.

La plupart des répondants ont déclaré que les informations étaient faciles à comprendre (82 %) et qu’elles leur fournissaient toutes les informations dont ils avaient besoin (86 %). Ces deux statistiques sont en légère amélioration par rapport à 2023.

Environ trois investisseurs sur dix (31 %) ont apporté des modifications à leur compte sur la base des informations fournies dans le relevé.

Bien que 79 % des répondants aient jugé la présentation des frais sur le relevé MRCC2 comme bonne ou excellente, seule une minorité de 19 % se dit très confiante quant à la compréhension des frais de RFG (ratio des frais de gestion) qui leur sont facturés.

Les frais des conseillers et des courtiers n’étaient que légèrement plus clairs, 23 % des répondants ayant déclaré qu’ils étaient sûrs de comprendre ces frais.

Malgré cela, les investisseurs continuent d’avoir une bonne opinion de leurs conseillers, 94 % d’entre eux se déclarant au moins assez satisfaits en 2024, contre 91 % l’année dernière. Les personnes interrogées qui entretiennent de bonnes relations avec leurs conseillers sont plus susceptibles d’être sûres de leur connaissance des frais.

De même, les conseillers sont plus enclins à discuter de l’adéquation des produits avec leurs clients en 2024, après un recul par rapport à l’année précédente.

Sur le plan macroéconomique, l’inflation a eu un impact plus négatif sur les niveaux d’investissement que les taux d’intérêt, selon le rapport. Alors qu’environ un tiers (35 %) des investisseurs ont déclaré que les taux d’intérêt les avaient amenés à investir moins, près de la moitié (49 %) ont déclaré que c’était l’augmentation du coût de la vie qui les avait amenés à investir moins.

« Les investisseurs en fonds communs de placement constatent un impact plus négatif, en particulier lorsqu’il s’agit de l’inflation », note le rapport.

Malgré l’impact de l’inflation sur les niveaux d’investissement, les cryptomonnaies ont gagné en popularité. Un quart des investisseurs en FNB et 15 % des investisseurs en fonds communs de placement détiennent des cryptomonnaies en 2024, contre 19 % et 10 % respectivement l’année dernière.

L’enquête a été menée entre le 15 mai et le 4 juin 2024 auprès de 4 077 investisseurs en fonds communs de placement et de 1 523 investisseurs en FNB au Canada, âgés de 18 ans ou plus.

L’article Les clients apprécient les relevés du MRCC2 est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les Canadiens manquent de connaissances financières et de confiance dans la gestion de leur argent https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/les-canadiens-manquent-de-connaissances-financieres-et-de-confiance-dans-la-gestion-de-leur-argent/ Wed, 30 Oct 2024 11:14:53 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103726 Inclure la nouvelle génération dans les discussions familiales peut aider les conseillers à instaurer la confiance et à fidéliser leurs clients.

L’article Les Canadiens manquent de connaissances financières et de confiance dans la gestion de leur argent est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La plupart des Canadiens estiment qu’ils manquent d’éducation financière et de confiance dans la gestion de leur argent, selon les résultats d’un sondage publié le 21 octobre par Edward Jones.

Près des deux tiers (64 %) des Canadiens interrogés ont déclaré qu’ils n’avaient pas reçu d’éducation financière à l’école et qu’ils cherchaient des moyens d’améliorer leurs connaissances, selon le sondage. De plus, 84 % des répondants croient que l’apprentissage de l’argent à l’école les aurait aidés à gérer leurs finances personnelles avec moins de stress.

Plus des trois quarts des répondants (78 %) qui ont dit avoir appris au moins un peu de choses sur la gestion de l’argent considèrent que leurs compétences en la matière sont bonnes, comparativement à 59 % de ceux qui n’ont pas acquis ces connaissances.

Les adolescents peuvent ouvrir un compte d’épargne libre d’impôt (CELI) et un compte d’épargne pour la première maison à l’âge de 18 ans, et accumuler des droits de cotisation à un Régime enregistré d’épargne-retraite (REER) dès qu’ils gagnent un revenu et commencent à produire des déclarations de revenus, souligne Julie Petrera, stratège principale, besoins des clients, chez Edward Jones, lors d’une entrevue avec Investment Executive. Il est important que les Canadiens aient des connaissances financières de base pour comprendre ces comptes et leur fonctionnement, précise-t-elle.

Edward Jones a créé quatre modules gratuits d’éducation financière en ligne sur la gestion des dettes, les impôts, l’achat d’une maison et les conversations sur l’argent avec la famille, informe l’entreprise dans un communiqué.

Idéalement, l’éducation financière devrait être intégrée au programme scolaire, car chaque élève a le droit d’apprendre à gérer son argent, affirme Julie Petrera. « Certains parents ne sont pas en mesure d’éduquer leurs enfants en matière d’argent », rappelle-t-elle, tout en soulignant qu’il peut exister des différences culturelles quant à la manière dont les familles parlent de l’argent.

L’enquête a également révélé que les personnes interrogées qui ont reçu une éducation financière à l’école sont plus susceptibles de dire qu’elles géreraient mieux leur argent avec un conseiller en services financiers (78 %) que celles qui n’ont pas reçu cette éducation (69 %).

Les conseillers peuvent établir une relation de confiance avec les membres de la famille de leurs clients en les encourageant à assister aux réunions qui pourraient avoir un impact sur eux, suggère Julie Petrera.

Par exemple, lorsqu’un client établit un plan successoral, les membres de sa famille devraient être inclus, recommande-t-elle, et le conseiller peut informer les parents les plus proches de la façon dont le plan les affectera.

« Un conseiller peut être une grande source de continuité », précise Julie Petrera. Ces discussions familiales peuvent aider les conseillers à conserver leurs clients lorsque les actifs sont transmis à la génération suivante.

Le sondage en ligne a été réalisé par Pollara Strategic Insights entre le 30 août et le 3 septembre 2024, auprès de 1 516 Canadiens âgés de 18 ans ou plus. Les résultats ont été pondérés à l’aide des données de Statistique Canada afin d’être représentatifs de la population canadienne.

L’article Les Canadiens manquent de connaissances financières et de confiance dans la gestion de leur argent est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Planification fiscale à l’année https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/planification-fiscale-a-lannee/ Thu, 04 Apr 2024 10:50:31 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99907 Seuls 27 % des Canadiens et 29 % des Québécois en profitent.

L’article Planification fiscale à l’année est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Seuls 27 % des Canadiens et 29 % des Québécois profitent d’une planification fiscale à l’année, révèle l’étude annuelle sur la fiscalité réalisée par IG Gestion de patrimoine (IG).

Cette étude, menée en collaboration avec Pollara Strategic Insights auprès de 1 229 Canadiens de 18 ans et plus entre le 15 et 28 février 2024, indique également que :

  • un tiers seulement (33 %) des Canadiens et des Québécois ont la conviction qu’ils profitent de tous les allègements fiscaux possibles ;
  • dix-sept pour cent seulement des Canadiens et 24 % des Québécois s’estiment très bien informés sur l’incidence fiscale de certaines étapes ou certains événements de la vie.

En fait, si 57 % des Canadiens et 53 % des Québécois reconnaissent l’importance de la planification fiscale tout au long de l’année, peu d’entre eux en font une priorité.

« En priorisant votre planification fiscale en dehors de la seule période des impôts, vous pouvez réduire votre facture fiscale, maximiser les crédits et les déductions d’impôt auxquels vous avez droit et, ultimement, conserver et faire fructifier une plus grande partie de votre patrimoine », déclare Damon Murchison, président et chef de la direction d’IG Gestion de patrimoine.

 

Des incidences fiscales négligées

L’étude d’IG montre aussi que de nombreuses personnes négligent ou ne comprennent pas les incidences fiscales d’achats ou d’événements majeurs de la vie. De fait,

  • seul un tiers des Canadiens et 31 % des Québécois ont déclaré avoir pris en compte les incidences fiscales d’un achat important avant de le faire (maison, résidence secondaire ou voiture), ou d’un investissement dans la rénovation de leur domicile.
  • encore moins de Canadiens (17 %) et de Québécois (24 %) disent bien connaître les incidences fiscales de certaines étapes ou certains événements de la vie (mariage, naissance d’un enfant, départ à la retraite ou transmission de la succession).

Des conseillers peu sollicités

Enfin, l’étude a également révélé que si 54 % des Canadiens (49 % des Québécois) sollicitent des conseils fiscaux professionnels, seuls 17 % des Canadiens (15 % des Québécois) obtiennent ces conseils auprès d’un conseiller en services financiers.

« Un conseiller ou une conseillère fournit un service unique en adoptant une approche globale de la planification financière, et en élaborant un plan intégré et personnalisé qui tient compte de tous les aspects de votre vie financière, d’une manière aussi avantageuse que possible sur le plan fiscal », conclut Damon Murchison.

L’article Planification fiscale à l’année est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Épargne-retraite : près d’un Canadien sur deux sans plan précis https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/epargne-retraite-pres-dun-canadien-sur-deux-sans-plan-precis/ Thu, 22 Feb 2024 13:01:42 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=99264 Une étude révèle le décalage entre épargne et préparation.

L’article Épargne-retraite : près d’un Canadien sur deux sans plan précis est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Dans un contexte économique de plus en plus incertain, les Canadiens de 35 ans ou plus affichent clairement une volonté d’épargner pour l’après-carrière. Selon l’étude annuelle sur la retraite d’IG Gestion de patrimoine, près des trois quarts (72 %) de cette tranche d’âge ont déjà investi dans leur épargne-retraite.

Toutefois, un peu moins de la moitié (42 %) de ces épargnants n’ont pas de plan de retraite défini. Beaucoup (45 %) ne savent donc pas le montant dont ils auront besoin pour vivre confortablement une fois qu’ils auront quitté le marché du travail.

L’étude a aussi révélé que seul un quart (26 %) des personnes sondées prend en compte des facteurs tels que l’inflation et les fluctuations économiques dans leur stratégie d’épargne-retraite.

Des résultats inquiétants aux yeux de Christine Van Cauwenberghe, cheffe de la planification financière à IG Gestion de patrimoine. Selon elle, un plan de retraite efficace doit intégrer divers éléments, dont le style de vie souhaité, les objectifs de revenus, les sources de revenus, les dépenses prévues, et une stratégie d’épargne qui englobe la gestion des actifs et des risques.

Le rapport souligne également un manque de soutien en planification de retraite parmi ceux qui consultent un conseiller : seulement 36 % d’entre eux déclarent recevoir de l’aide dans ce domaine précis.

Christine Van Cauwenberghe appelle à une responsabilité accrue du secteur financier pour aller au-delà de la gestion de portefeuille et offrir une planification financière intégrée, essentielle pour naviguer dans un environnement économique volatil.

L’étude en ligne a été réalisée avec Pollara Strategic Insights en janvier auprès de 1 305 personnes de 35 ans ou plus.

L’article Épargne-retraite : près d’un Canadien sur deux sans plan précis est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Plus de 2 M$ pour la retraite https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/plus-de-2-m-pour-la-retraite/ Tue, 20 Feb 2024 12:21:10 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=98953 C’est ce dont les millénariaux pensent avoir besoin.

L’article Plus de 2 M$ pour la retraite est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les millénariaux pensent qu’ils auront besoin d’environ 2,1 millions de dollars (M$) pour prendre leur retraite, un chiffre bien plus élevé que la moyenne de toutes les générations. En effet, pour la deuxième année de suite, l’ensemble des Canadiens pensent avoir besoin d’environ 1,7 M$ pour leur retraite.

À noter que ce sont les jeunes générations qui font monter la moyenne. Car si les millénariaux pensent avoir besoin de 2,1 M$, les membres de la génération Z estiment avoir toute de même besoin de 1,6 M$, contre 1,3 M$ pour les membres de la génération X et les baby-boomers et 1,2 M$ pour les 71 ans et plus.

« Il n’existe pas de plan de retraite unique ni de chiffre universel quant au montant que les Canadiens devraient épargner en vue de leur retraite, souligne Nicole Ow, chef, Placements de particuliers, BMO. Nous encourageons les gens à commencer à planifier tôt et à tenir compte de tous les facteurs qui influeront sur leur style de vie idéal à la retraite, y compris les obligations familiales, les objectifs en matière de santé et de bien-être, les passe-temps et les intérêts, ainsi que les projets de voyage. »

À noter que pour les Canadiens, l’épargne n’est pas négligée, ainsi plus de 62 % d’entre eux ont déjà cotisé à leur régime enregistré d’épargne-retraite (REER) en 2023 ou prévoient de le faire. Le montant moyen que les gens prévoient de cotiser à leur REER a également augmenté, passant de 5 753 $ en 2022 à 6 512 $ en 2023.

Toutefois, la valeur des REER a baissé depuis ses niveaux élevés enregistrés au cours des deux années précédentes. Le montant moyen détenu à l’échelle nationale a chuté de 28 %, passant de 144 613 $ en 2022 à 113 070 $ en 2023. Malgré cette baisse, la valeur totale des comptes est conforme aux moyennes historiques, avec une augmentation notable de l’épargne-retraite au cours de la pandémie de COVID-19.

Cette baisse peut être attribuable à la situation économique actuelle. En effet, 63 % des Canadiens affirment que les conditions économiques actuelles ont un impact négatif sur leur capacité à épargner en vue de la retraite. Ainsi :

  • 37 % des Canadiens consacrent moins d’argent à l’épargne-retraite ;
  • 44 % des baby-boomers ont déclaré qu’ils compensent leur capacité réduite à épargner pour la retraite en travaillant plus longtemps que prévu ;
  • et 38 % des sondés de la génération Z remettent à plus tard l’épargne-retraite.

Un écart entre les sexes

Comme entre les générations, on voit un clivage entre les réponses des hommes et des femmes lorsqu’on leur demande combien ils pensent devoir épargner pour la retraite.

Les premiers estiment avoir besoin en moyenne de 2 M$ pour pouvoir prendre leur retraite, alors que les secondes calculent nécessiter 1,3 M$.

À noter que les hommes sont plus optimistes que les femmes. En effet, 67 % estiment qu’ils auront assez d’argent pour prendre leur retraite comme prévu contre seulement 56 % des femmes.

Âge de la retraite

Interrogée sur l’âge de retraite idéal, la population canadienne estime que celui-ci serait 55 ans.

Pour les plus jeunes, cet âge est plus bas. Les membres de la génération Z estiment que l’âge idéal est 50 ans. Les millénariaux parlent quant à eux de 53 ans.

Pourtant l’âge moyen de départ à la retraite est 62 ans.

Cette étude a été réalisée par Pollara Strategic Insights par le biais d’un sondage en ligne auprès de 1 510 adultes canadiens, entre le 3 et le 8 novembre 2023.

L’article Plus de 2 M$ pour la retraite est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les investisseurs souhaitent une expérience client plus numérisée https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-investisseurs-souhaitent-une-experience-client-plus-numerisee/ Tue, 13 Apr 2021 12:08:28 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=78979 Et veulent que le service qu’on leur offre soit amélioré.

L’article Les investisseurs souhaitent une expérience client plus numérisée est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les Canadiens s’attendent à une expérience client plus numérique et moderne de la part du secteur de la gestion de patrimoine, révèle une étude récente d’IG Gestion de patrimoine menée par Pollara Strategic Insights.

Ainsi, la majorité des sondés qui travaillent avec un conseiller (62 %) estiment que le service qui leur est offert pourrait être amélioré. Plus de la moitié (59 %) aimeraient que leur conseiller adopte des solutions numériques plus modernes et 87 % estiment qu’à l’avenir il deviendra plus important que les conseillers offrent des expériences avant-gardistes à leurs clients.

« Les Canadiens veulent de la part de leur conseiller le même type d’expérience numérique qu’ils sont habitués d’avoir dans d’autres segments de leur vie », résume Damon Murchison, président et chef de la direction, IG Gestion de patrimoine.

Parmi les Canadiens ne faisant pas encore affaire avec un conseiller, ces derniers cherchent un professionnel capable de présenter leur plan financier d’une façon claire, simple et convaincante visuellement, et d’offrir différents scénarios de finances personnelles rapidement.

« Les Canadiens veulent faire appel à des conseillers qui sont en mesure de combiner leurs vastes connaissances et expérience de la planification financière avec les meilleurs outils, pour offrir une expérience moderne et harmonieuse. Nous sommes bien placés pour le faire », conclut Damon Murchison.

L’article Les investisseurs souhaitent une expérience client plus numérisée est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Les REER grands incompris des investisseurs https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/les-reer-grands-incompris-des-investisseurs/ Mon, 22 Feb 2021 13:12:06 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=78008 Mais les avoirs moyens des comptes augmentent.

L’article Les REER grands incompris des investisseurs est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Malgré les défis imposés par la pandémie, le montant que les Canadiens détiennent dans leur REER est en hausse, constate BMO Groupe financier dans son 11e sondage annuel sur le REER. Toutefois, les résultats montrent également que les connaissances des avantages et des caractéristiques de ce compte enregistré sont en baisse.

En 2020, le montant moyen détenu dans les comptes REER s’élevait à 112 295 $, une hausse de 3,3 % par rapport à 2019 et de 41 % par rapport à 2015. Toutefois, 12 % des Canadiens n’ont pas cotisé cette année du fait de la COVID-19.

« Les investisseurs doivent tenir compte des facteurs à long terme, comme l’augmentation du coût de la vie et l’allongement de l’espérance de vie moyenne, lorsqu’ils planifient leur retraite, a rappelé Robert Armstrong, directeur général, Solutions d’investissement multiactif, BMO Gestion mondiale d’actifs. Compte tenu de ces défis, il est encourageant de constater une augmentation à l’échelle nationale des montants détenus dans les REER. »

Déclin des connaissances

Si ces chiffres sont rassurants, le sondage annuel de la BMO montre toutefois que les connaissances des Canadiens sur le REER diminuent. Il s’agit de la cinquième année de déclin, un résultat pour le moins préoccupant.

Une grande majorité de Canadiens (71 %) savent comment cotiser à un REER, toutefois, il s’agit d’une diminution de 8 % par rapport à 2015. Dans le même sens, 61 % des Canadiens connaissent le plafond de cotisation au REER, une baisse de 12 % par rapport à cinq ans auparavant.

Seule la moitié des sondés savent quels placements peuvent être détenus dans un REER, une baisse de 10 % par rapport à 2015, ainsi seuls 44 % des Canadiens savent que les REER peuvent contenir des fonds négociés en Bourse (FNB), mais 79 % savent qu’ils peuvent y mettre des fonds d’investissement.

« Le REER est une solution de placement importante dans la boîte à outils de planification de la retraite des Canadiens. Compte tenu de la complexité inhérente au REER, des conseils professionnels s’avèrent judicieux pour aider les investisseurs à atteindre leurs objectifs financiers à long terme », note Robert Armstrong.

Les femmes moins informées

Les résultats varient selon le sexe des répondants. Ainsi, les femmes sont 9 % moins susceptibles que les hommes de savoir comment cotiser à un REER et 10 % moins susceptibles de connaître la différence entre CELI et REER.

Également, un pourcentage moins élevé de femmes que d’homme connaissent la date limite de cotisation (62 % contre 70 %) et savent combien elles peuvent cotiser au compte (55 % contre 67 %).

Ainsi, il est peu étonnant de voir que les femmes sont 18 % moins confiantes que les hommes vis-à-vis de leurs projets de retraite. Toutefois, elles sont moins susceptibles que les hommes de retirer des fonds de leur REER avant l’âge de 71 ans. Ainsi seuls 25 % d’entre elles le font contre 31 % pour les hommes.

Ce sondage a été réalisé en ligne entre le 17 et le 23 novembre auprès de 1500 Canadiens par l’intermédiaire de Pollara Strategic Insights pour le compte de BMO.

L’article Les REER grands incompris des investisseurs est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
La pandémie stimule l’intérêt des Québécois face à leur avenir financier https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/la-pandemie-stimule-linteret-des-quebecois-face-a-leur-avenir-financier/ Fri, 18 Dec 2020 13:12:02 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=76967 Ils accordent davantage d’importance à leurs finances personnelles.

L’article La pandémie stimule l’intérêt des Québécois face à leur avenir financier est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Depuis le début de la pandémie, les Québécois s’intéressent davantage à la planification financière et leur avenir financier en général, révèle une étude récente publiée par IG Gestion de patrimoine.

L’étude révèle ainsi qu’environ la moitié des Canadiens (45 %) qui ne possèdent pas encore de plan financier comptent en bâtir un prochainement. De plus, 46 % des sondés qui ont déjà un tel plan sont engagés à le revoir ou l’ajuster pour mieux se préparer aux imprévus.

Ce regain d’intérêt vis-à-vis de la planification financière peut s’expliquer par l’effet dévastateur de la COVID-19 sur l’économie et les finances des consommateurs, selon l’étude. La pandémie a effectivement eu un effet sur le bien-être financier de bien des Canadiens.

Depuis le début de la pandémie, environ le quart des répondants (27 %) estiment gérer efficacement leurs finances, bien que seuls 25 % aient établi un budget qu’ils suivent scrupuleusement alors que 20 % estiment pouvoir épargner pour leurs dépenses futures. Côté assurances, un pourcentage encore plus faible de répondants (22 %) affirment avoir une protection adéquate pour eux et leur famille.

Finalement, moins de la moitié des sondés sont confiants quant à leur approche de placements pour leur retraite et leurs stratégies fiscales. En fait, 21 % des Canadiens interrogés pensent avoir une bonne connaissance de leur bien-être financier global.

« Après tous les bouleversements de cette année, il n’est pas surprenant que les Canadiens réévaluent leurs finances, estime Damon Murchison, président et chef de la direction d’IG Gestion de patrimoine. Cela dit, il est encourageant de voir qu’ils sont nombreux à prendre l’initiative et à reconnaître le rôle important qu’un plan financier peut jouer quand il s’agit de préparer son avenir et de réaliser des objectifs à court et à long terme. »

Quelques pistes de solutions

Interrogé sur ces statistiques, Damon Murchison voit d’un œil positif que nombre de Canadiens remettent en question la gestion de leurs finances. Selon lui, c’est le premier pas pour améliorer son bien-être financier global à long terme.

Il rappelle qu’il existe de nombreuses applications pour avoir un aperçu de son plan financier. Chez IG Gestion de patrimoine, il y a par exemple l’Aperçu du Plan vivant IG.

Mais pour bâtir un plan financier adapté à ses besoins personnels, Damon Murchison conseille de se tourner vers un professionnel.

« Pour prendre des décisions financières éclairées, il faut se faire aider. L’expérience et la formation d’un professionnel des services financiers peuvent être inestimables, que ce soit pour élaborer la bonne stratégie fiscale, pour épargner suffisamment afin de concrétiser ses objectifs ou pour mieux se préparer à toute éventualité », précise-t-il.

« Personne n’aurait pu prédire les événements de cette année, mais il est possible de se préparer financièrement à l’inattendu grâce à une planification intégrée », conclut-il.

Cette étude a été menée par Pollara pour le compte d’IG Gestion de patrimoine. Elle a été menée en ligne du 22 au 25 octobre dernier, et ce auprès de 1508 Canadiens de plus de 18 ans. Les résultats ont été pondérés en fonction de l’âge, du sexe et de la région afin d’être représentatifs de la population canadienne.

L’article La pandémie stimule l’intérêt des Québécois face à leur avenir financier est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
FNB : les clients enclins à acheter local https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/fnb-les-clients-enclins-a-acheter-local/ Tue, 02 Jun 2020 19:35:08 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=66903 FOCUS FNB – Les clients seraient davantage enclins à acheter des fonds négociés en Bourse (FNB) provenant de manufacturiers canadiens.

L’article FNB : les clients enclins à acheter local est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
C’est ce que semble montrer un sondage de Pollara Strategic Insights qui a été réalisé auprès de 1500 répondants canadiens, pour le compte de Placements Mackenzie, un manufacturier canadien de fonds d’investissement.

Dans ce sondage, on a demandé aux répondants d’indiquer s’ils préféreraient acheter un FNB d’un manufacturier canadien ou d’un manufacturier étranger. En tout, 61 % ont coché le choix de réponse suivant : « Oui, j’ai tendance à faire davantage confiance aux fournisseurs canadiens – ils se concentrent davantage sur les besoins des investisseurs canadiens et la stabilité du système financier canadien me rend plus à l’aise ». À l’inverse, 4 % des répondants ont choisi : « Non, je préfère les fournisseurs étrangers lors de l’achat d’investissements tels que les FNB ». Pour le reste des répondants, 18 % ont dit que cela n’avait pas d’importance et 17 % ne savaient pas quoi répondre.

Parmi les répondants qui détiennent un portefeuille de 1 M$ et plus, 56 % ont dit préférer les manufacturiers canadiens et 27 % étaient indifférents. Sinon, 4 % préféraient les fournisseurs étrangers et 13 % ne savaient pas quoi répondre.

Les répondants qui sont déjà des détenteurs de FNB étaient aussi plus enclins à privilégier les FNB canadiens (56 %), mais une portion significative (40 %) a indiqué que cela n’avait aucune importance.

« Les investisseurs particuliers préfèrent les fournisseurs de FNB qui ont des connaissances et des connaissances spécifiques sur les nuances du marché local », indique Lesli Martin, vice-président chez Pollara Strategic Insights.

Un conseiller qui propose d’opter pour un FNB provenant d’un manufacturier étranger dans la construction de ses portefeuilles devrait donc bien expliquer à son client ce qui motive son choix, laisse donc supposer l’étude de Pollara.

L’article FNB : les clients enclins à acheter local est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Le chiffre FNB : 80 % https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/le-chiffre-fnb-80/ Tue, 05 May 2020 18:51:44 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=66197 FOCUS FNB – Les clients méconnaissent les fonds négociés en Bourse (FNB).

L’article Le chiffre FNB : 80 % est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>
Bien vulgariser ce qu’est un FNB et ses caractéristiques est un défi pour les conseillers, ainsi que pour l’industrie des FNB. Ce défi serait encore plus grand pour les conseillers faisant affaire avec des femmes.

C’est ce que semble montrer un sondage Pollara Strategic Insights, qui a été réalisé auprès de 1500 répondants canadiens, pour le compte de Placements Mackenzie.

Dans cette étude, les répondants devaient décrire leur degré de connaissance des FNB en général. Résultat, 31 % ont dit bien connaître ces produits, contre 69 % qui affirment ne pas les connaître. On peut cependant noter un écart entre les sondés masculins et féminins. En tout, 39 % des hommes interrogés ont dit connaître les FNB contre seulement 20 % pour les femmes.

De plus, 49 % des sondées par rapport à 34 % des sondés n’ont pas été capables d’identifier, parmi une liste d’avantages des FNB, lequel ils considèrent comme étant le plus important. Cette liste comprenait l’efficience fiscale, la diversification de portefeuille, les relativement faibles frais de gestion, les montants modestes d’investissement pour accéder à ces fonds, la forte liquidité et la transparence.

Après qu’on leur ait présenté les avantages liés aux FNB, on leur demandait s’ils étaient enclins à ajouter ces produits à leur portefeuille à l’avenir, soit d’ici les trois prochaines années. En tout, 47 % des répondantes étaient prêtes à le faire et 31 % ignoraient si elles allaient le faire, par rapport à, respectivement, 55 % et 23 % des hommes sondés.

« Étant donné la probabilité que les investisseurs particuliers ajoutent des FNB à leur portefeuille ou augmentent leurs avoirs, il existe une occasion d’affaires importante pour les conseillers partout au pays », indique Lesli Martin, vice-président chez Pollara Strategic Insights.

Or, les personnes interrogées partagent les mêmes avis sur différentes affirmations qu’on leur a présentées lors du sondage. Ainsi, autant de répondantes que de répondants (76 %) jugent qu’on devrait en faire davantage pour éduquer les investisseurs canadiens sur les FNB. De plus, 50 % des sondés et 46 % des sondées estimaient que les FNB étaient le secret le mieux gardé du monde de l’investissement.

Fait intéressant, 61 % des femmes sondées se considèrent comme les principales preneuses de décision en matière d’investissement au sein de leur ménage et 39 % disent partager équitablement cette prise de décision avec quelqu’un d’autre. Pour les hommes répondants, ces proportions sont respectivement de 73 % et 27 %.

Par ailleurs, on ne peut exclure que l’écart entre les réponses des hommes et des femmes découle des différences socio-économiques entre chacun des échantillons. En effet, par rapport à l’échantillon de répondantes, l’échantillon d’hommes sondés comprenait davantage de gens ayant 55 ans ou plus, qui ont 400 000 $ ou plus à investir dans leur portefeuille et de personnes faisant partie d’un ménage qui gagne 100 000 $ ou plus. Les répondants faisant partie de ces trois sous-groupes étaient en général plus susceptibles de posséder des FNB et, donc, d’en connaître les caractéristiques et les avantages.

L’article Le chiffre FNB : 80 % est apparu en premier sur Finance et Investissement.

]]>