Bien que l’adoption comme stratégie d’investissement des fonds négociés en Bourse (FNB) se trouve encore à des années-lumière de celle des fonds communs de placement (FCP) au Canada, ce n’est plus un outil marginal, tant s’en faut.
La nouvelle présidente et chef de la direction de Gestion Financière PWL se concentre sur l’adoption des technologies et sur l’apport de jeunes conseillers pour aider la firme à attirer des clients.
Bon, on est encore loin de Noël, mais j’aimerais quand même vous partager la liste de souhaits que j’ai pour le marché canadien des fonds négociés en Bourse (FNB). Bien que ce marché offre déjà plus de 600 FNB, il existe encore quelques stratégies passives qui sont mal servies par les FNB existants.
Un mythe colle à la peau des fonds négociés en Bourse (FNB) : celui que leur volume de négociation élevé aurait une influence importante sur le prix des actifs qu’ils détiennent. Or, cette idée reçue est fausse, selon Daniel Straus, vice-président et chef de la recherche et de la stratégie sur les FNB à la Financière Banque Nationale.
Entre le 1er et le 14 février derniers, trois fonds négociés en Bourse (FNB) consacrés au marché de la marijuana ont vu le jour au Canada. C’est le reflet d’un marché du «pot» devenu très «hot» grâce à la légalisation de l’usage récréatif du cannabis prévue pour septembre.
En 1996, lorsque les fondateurs de PWL Capital ont démarré une firme indépendante de conseil en placement n'offrant aucun produit maison et dont le revenu repose sur les honoraires que les clients particuliers paient, ils devaient avoir de solides convictions et les reins tout aussi solides.