RBC – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com Source de nouvelles du Canada pour les professionnels financiers Thu, 14 Nov 2024 13:16:12 +0000 fr-CA hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.3 https://www.finance-investissement.com/wp-content/uploads/sites/2/2018/02/cropped-fav-icon-fi-1-32x32.png RBC – Finance et Investissement https://www.finance-investissement.com 32 32 L’Institut de planification financière félicite ses 88 nouveaux diplômés https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/linstitut-de-planification-financiere-felicite-ses-88-nouveaux-diplomes/ Thu, 14 Nov 2024 12:42:38 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=104105 Le nombre de pl. fin. continue de stagner.

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L’Institut de planification financière a célébré sa première cohorte de diplômés automnaux sous sa nouvelle identité. Ce trimestre, 88 étudiants ont terminé avec succès le Cours de formation professionnelle, la dernière étape afin d’obtenir le titre de planificateur financier (Pl. Fin.).

La cérémonie de remise de diplôme s’est tenue le samedi 9 novembre sous la présidence d’honneur de Lorena Biason, Vice-présidente régionale, Planification financière pour le Québec auprès de la RBC Banque Royale.

L’Institut de planification financière regroupe près de 5 000 planificateurs financiers. Chaque année entre 200 à 300 diplômés rejoignent la profession, mais ce nombre stagne depuis plusieurs années, alors que la demande pour ces experts ne cesse de croître.

« Depuis plusieurs années, l’Institut considère la relève comme un enjeu majeur, souligne Chantal Lamoureux, présidente-directrice générale de l’Institut de planification financière. Nous y mettons beaucoup d’énergie, et un événement comme la cérémonie de remise des diplômes est d’autant plus important pour souligner comme il se doit l’arrivée de ces nouvelles personnes dans la communauté des Pl. Fin. »

Pour répondre à cet enjeu, l’Institut de planification financière a entrepris une refonte de son image de marque en décembre dernier, ce qui a notamment conduit au changement de son nom. L’Institut québécois de planification financière (IQPF) est désormais connu sous le nom d’Institut de planification financière.

Des étudiants honorés

Lors de la cérémonie de remise des diplômes, l’Institut de planification financière a mis en lumière l’excellence de Marc-André Lavergne, qui a su le mieux respecter les exigences de passation de l’examen, notamment en matière de cadre d’intégration situationnelle, d’analyses et de recommandations. En reconnaissance de sa performance, il a reçu la bourse Charles-Pelletier — RBC Banque Royale.

À cette occasion, l’Institut a également décerné le prix de la Recrue de l’année, une distinction lancée en 2023 par le conseil d’administration, qui récompense les planificateurs financiers ayant connu un début de carrière exceptionnel. Le prix de Recrue de l’année 2024 a été attribué à Gabriel Vézina.

Enfin, l’Institut a décerné un prix « Coup de cœur » à un diplômé ayant particulièrement marqué ses formateurs et formatrices au cours de sa formation. Pour la promotion du printemps 2024, ce prix a été attribué à Raymond Bahr, qui a su se distinguer par son engagement et son excellence.

Parmi les 88 nouveaux diplômés de cette promotion, 55 % exercent dans les institutions financières, 22 % dans le secteur du placement, 15 % dans l’assurance et 9 % dans d’autres secteurs.

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Relations parfois inefficaces avec des assureurs https://www.finance-investissement.com/edition-papier/barometre-de-lassurance/relations-parfois-inefficaces-avec-des-assureurs/ Mon, 11 Nov 2024 05:10:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103859 Des conseillers déplorent leurs erreurs.

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L’efficacité des conseillers en sécurité financière est mise à l’épreuve en raison des défis auxquels ils sont confrontés lors de leur collaboration avec les assureurs, d’après un segment de sondés à l’occasion du Baromètre de l’assurance. Alors que l’industrie se numérise de plus en plus, des conseillers leur reprochent leurs erreurs administratives, leurs délais de traitement et leurs outils parfois inadaptés.

Certains représentants se plaignent du volume de documents à traiter et des délais administratifs pour qu’un assureur leur réponde ou effectue un suivi demandé. Bien comprendre et utiliser les propositions électroniques, qui varient d’un assureur à l’autre, augmente également cette charge.

« Les suivis de dossier sont déficients. Les assureurs manquent de personnel et ceux-ci sont souvent incompétents », dit un répondant. Cette inefficacité se traduit par un gaspillage de temps. Dans les cas complexes, obtenir une réponse peut parfois prendre jusqu’à 12 jours ouvrables, ce qui nuit au service clients. « Lorsque vous posez des questions difficiles, ils ont tendance à raccrocher », affirme un conseiller. « Corriger les erreurs des assureurs au quotidien est ce qui nous occupe le plus », résume un sondé.

« Les assureurs nous transfèrent des tâches administratives qu’ils géraient autrefois eux-mêmes », déplore un représentant. Cette délégation de travail les ralentit.

Malgré ces défis, certains assureurs se démarquent par leurs efforts pour moderniser leurs systèmes électroniques, comme le montre le tableau ci-dessous. Le télétravail a poussé plusieurs compagnies à améliorer leurs plateformes pour faciliter les transactions en ligne. Par exemple, UV Assurance propose un espace conseiller apprécié pour sa simplicité d’utilisation. Empire Vie, quant à elle, offre un processus de livraison électronique intégré, ce qui simplifie la gestion des polices d’assurance vie. Quand un client opte pour la livraison électronique de sa police, le processus est rapide. Les modifications apportées et la réception de la police se font dans un seul et même processus.

Pour voir ce tableau en plus grand, cliquez ici.

Un conseiller salue l’ajout récent de propositions électroniques en assurance invalidité par RBC.

Tous les assureurs ne sont pas au même niveau en matière de technologie. Certains demandent une signature électronique pour chaque document, rendant le processus plus long et complexe.

« Le système d’iA Groupe financier est plus rationalisé pour les transactions électroniques », note un conseiller.iA utilise la plateforme EvoWeb, qui permet de gérer efficacement les tâches courantes. Samuel Lajoie, vice-président régional, ventes, Agences de carrière chez iA, souligne que cette technologie maintient son entreprise à la pointe, car les clients s’y sont rapidement habitués.

Selon lui, toute erreur d’iA est prise au sérieux. Or, l’avantage des conseillers du réseau carrière est qu’ils n’ont qu’un seul écosystème technologique à maîtriser, ce qui simplifie leurs tâches.

Les conseillers indépendants constatent que l’avancement techno des assureurs pour la signature et les propositions électroniques varie considérablement. Certains ont modernisé leurs outils, tandis que d’autres restent à la traîne. « Certains assureurs n’ont toujours pas de plateforme en ligne », déplore Adrien Legault, vice-président, directeur général pour le Québec du Réseau d’assurance IDC Worldsource. Il cite l’exemple de compagnies qui continuent d’envoyer des informations par courriel dans des fichiers Excel, un procédé devenu obsolète.

Cette différence de maturité techno entre les assureurs frustre des conseillers. Dans certains cas, la rapidité des propositions électroniques engendre des erreurs de synchronisation des informations entre l’assureur et l’agent général. Ce décalage peut créer un sentiment de délai injustifié pour les conseillers, soutient Adrien Legault.

Pour les propositions électroniques, IDC utilise le logiciel APEXA. La firme en est satisfaite et ne prévoit pas y apporter d’améliorations à court terme. Les changements se font plutôt du côté de l’accompagnement des conseillers grâce à la formation des employés de soutien pour aider les représentants à venir à bout des tâches administratives faites avec le logiciel.

« Beaucoup de nouveaux développements s’en viennent et vont nous aider, dont l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) chez les assureurs pour aider au marketing », dit Christian McGuire, vice-président régional, ventes — Québec à Conseils PPI. Pour accroître l’efficacité des conseillers, PPI teste la plateforme Copilot de Microsoft, qui pourrait aider à optimiser le service aux conseillers en automatisant certaines tâches. Cela permettrait aux conseillers de se concentrer sur des activités à forte valeur ajoutée, laissant l’IA gérer les tâches répétitives.

Par ailleurs, plusieurs conseillers se plaignent du manque de personnel et du taux de roulement élevé chez certains assureurs, qui entraînent des erreurs dans la gestion des dossiers. « Nous devons souvent fournir les mêmes informations et documents à plusieurs reprises », affirme un sondé. Ces erreurs nuisent à la productivité des conseillers, qui se retrouvent à corriger des dossiers au lieu de se concentrer sur le service à leurs clients.

Pour limiter ce problème, PPI a mis en place des liens rapides vers les pages web de plus d’une vingtaine d’assureurs sur son portail pour les conseillers qui leur permet de chercher, filtrer et avoir accès aux services les plus demandés, directement sur la plateforme de PPI. Cela permet notamment d’éviter les erreurs de formulaires ou de tomber sur une mauvaise information.

Adrien Legault rappelle qu’il y a dix ans, tous les dossiers étaient soumis au service de tarification des assureurs. Aujourd’hui, beaucoup de dossiers sont automatiquement acceptés à l’étape de la vente. « Les représentants sont peut-être plus impatients à l’égard des dossiers qui vont en tarification, car ils les comparent avec la réalité des nouveaux dossiers », avance-t-il.

Face à ces défis, une question se pose : pourquoi ne pas uniformiser les plateformes transactionnelles des assureurs ? Cela simplifierait les processus pour les conseillers et améliorerait leur productivité, suggère un sondé. « C’est un rêve partagé par tous, mais cela ne se fera jamais », estime Adrien Legault. Selon lui, le modèle d’affaires des firmes indépendantes repose sur l’autonomie des conseillers, qui ne veulent pas être contraints par des outils imposés.

En revanche, les conseillers affiliés à des réseaux carrières bénéficient généralement d’outils adaptés qui permettent de standardiser certaines tâches.

La signature électronique est un autre enjeu dans la transition numérique des assureurs. Pour Samuel Lajoie, il s’agit d’un élément clé pour fluidifier les opérations. « Les clients s’attendent à des processus entièrement électroniques », souligne-t-il. De plus, la signature électronique réduit les risques d’erreurs par rapport à la signature papier, car elle est accompagnée de plusieurs étapes de validation.

Certains conseillers suggèrent également de donner plus d’autonomie aux clients pour effectuer des modifications mineures sur leurs dossiers, comme un changement d’adresse. Patrick Cloutier, président du Groupe Cloutier, a des réserves. « Un changement d’adresse peut sembler anodin, mais s’il n’est pas bien géré, le client pourrait ne plus être couvert s’il ne reçoit pas son avis de prime à temps », explique-t-il.

Une telle autonomie pourrait être envisagée, mais sous certaines conditions. Seules les modifications de base devraient être accessibles aux clients afin de limiter les risques d’erreurs, estime Patrick Cloutier.

L’entourage du représentant est aussi important. Un conseiller qui a un adjoint n’évite pas les erreurs potentielles, mais il peut se concentrer sur des activités à valeur ajoutée et laisser le soin à son adjoint de régler ces ennuis, indique Patrick Cloutier.

Avec la collaboration d’Alizée Calza et Guillaume Poulin-Goyer

Pour accéder à ce tableau, cliquez ici.

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Une passionnée à la tête de RBC Québec https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/une-passionnee-a-la-tete-de-rbc-quebec/ Wed, 16 Oct 2024 11:58:16 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=103495 Marjolaine Hudon est touchante d’authenticité.

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Avec les superbes bureaux du 41e étage de la Place Ville-Marie, offrant une vue sur Montréal et le Saint-Laurent, il est difficile de ne pas se sentir impressionné avant même de rencontrer la nouvelle Présidente, Direction du Québec, RBC Banque Royale.

Cependant, dès l’entrée de Marjolaine Hudon, la glace est brisée. Pleine de joie de vivre et d’entrain, cette Montréalaise de naissance sait comment mettre tout le monde à l’aise.

Loin de se reposer sur son nouveau titre, Marjolaine Hudon est touchante d’authenticité et répète à qui veut bien l’entendre qu’elle se trouve « privilégiée » d’avoir ce rôle-là. « Tous les matins, je me pince », assure-t-elle.

Effectivement, il y a 30 ans, quand elle a débuté chez RBC, rien ne laissait présager qu’elle occuperait cette position. « Quand j’ai commencé, il y avait seulement une femme à la banque qui était exécutive, et elle n’avait pas d’enfants. Moi, je ne parlais pas anglais et je voulais des enfants. Je ne pensais pas qu’un jour je pourrais avoir une carrière comme ça », rapporte celle qui voulait pourtant déjà changer le monde et aider les gens.

Marjolaine Hudon a débuté sa carrière chez RBC dans une petite succursale à Montréal. Au fil des années, elle a toutefois accepté des mandats impliquant toujours un peu plus de responsabilités.

Marjolaine Hudon ne s’est pourtant pas laissée portée par les événements. Loin de là. Elle qui avait pour ambition de changer le monde, a décidé de bouleverser sa vie et celle de sa famille et de quitter Montréal pour découvrir d’autres facettes de son entreprise et « ouvrir ses horizons ».

« C’était également à la suggestion de la banque, afin de pouvoir penser et voir les choses différemment, pour avoir une perspective différente des choses », rapporte-t-elle.

Ce saut était loin d’être une petite affaire pour cette maman de trois enfants. « Lorsque tu dis à trois jeunes filles, en quatrième année, sixième année et secondaire 2, qu’on déménage, tu n’es pas la mère la plus populaire en ville », plaisante celle qui a pourtant décidé d’aller de l’avant.

Cette décision lui a été très bénéfique. Car, en plus d’avoir occupé de nombreux postes au sein de l’institution, Marjolaine Hudon peut également se vanter d’avoir travaillé dans plusieurs régions du Canada, notamment à Toronto, Calgary et Ottawa.

« Je connais bien le Canada, je connais bien la banque, et je comprends aussi la réalité des équipes, car j’ai vécu et exercé dans différents postes », déclare celle qui est toutefois heureuse de retrouver sa ville natale, de renouer avec ses anciens collègues et surtout, de retrouver sa langue maternelle.

Une grande philanthrope

Malgré ses expériences, après 30 ans, rien n’a changé, Marjolaine Hudon reste très ancrée dans la réalité et conserve ses objectifs de début de carrière. Encore aujourd’hui, elle se lève chaque matin avec la volonté de changer le monde et d’aider les gens.

« Je suis privilégiée. Et je pense qu’avec cela vient la responsabilité d’être présente et de redonner », insiste-t-elle.

En plus d’avoir à cœur le bien-être des clients de RBC, la nouvelle présidente régionale de RBC est très impliquée dans la société. Dans son ancien poste, en tant que Présidente, Région Ontario Nord & Est, RBC Banque Royale, elle siégeait sur le conseil d’administration de la fondation du Centre hospitalier de l’Est de l’Ontario, mais aussi sur le conseil stratégique de l’école de Telfer.

« C’est sûr que tout ce qui concerne les jeunes, ça vient chercher mon cœur de maman », confie-t-elle.

Si avec son déménagement, elle a dû laisser tomber sa place sur les deux conseils d’administration, elle rapporte qu’elle considère déjà plusieurs autres propositions à Montréal.

Marjolaine Hudon est ainsi loin d’être inactive. Elle est encore impliquée dans le milieu artistique et de la musique, la « langue universelle », comme le décrit celle qui siège au conseil d’administration du Centre national des Arts.

En plus de tout ça, Marjolaine Hudon est marraine du régiment des Royal Canadian Dragoons. « Plus j’en apprends sur les militaires, plus je suis renversée de constater qu’il existe des personnes au grand cœur, très dévouées, qui sont souvent mal comprises ou sont considérées comme acquises », affirme-t-elle.

Une transition rapide

Si elle se laisse un peu de temps pour choisir ses nouvelles activités philanthropiques, Marjolaine Hudon n’a pas perdu de temps pour prendre les rênes du bureau régional.

En à peine deux mois, cette « boule d’énergie », comme la décrivent certains collègues, a pris le temps de rencontrer une grande partie des 7500 employés de RBC à travers le Québec.

« Je veux aller à la rencontre des gens : aller à la rencontre de nos équipes, de mes collègues, de nos clients et de la communauté. C’est important de prendre le pouls et d’apprendre à connaître nos clients et nos collègues, de voir ce qui fonctionne bien et ce qui nécessite quelques ajustements, et surtout, de comprendre comment je peux les aider dans ce processus », dit-elle.

Comme à l’époque, son métier reste ainsi le même : « écouter et aller au-delà ».

Dans son nouveau rôle, la nouvelle présidente régionale de RBC Québec s’est donné pour mission de faire rayonner son institution. « RBC, c’est une solide organisation qui a plus de 150 ans d’histoire, une organisation qui vient de faire une acquisition de 13,5 milliards de dollars avec HSBC Canada. Mais derrière ce logo corporatif, il y a des gens de cœur qui veulent aider et faire une différence », souligne-t-elle.

Bien que RBC soit la plus grande banque au Canada, Marjolaine Hudon veut montrer aux Québécois que leur institution a leurs intérêts à cœur. « Quand le président de la banque te regarde dans les yeux et te dit “Marjolaine, le Québec est important pour RBC”, ça fait quelque chose. Et ce ne sont pas que des paroles, ce sont des gestes concrets aussi ! », assure-t-elle, désireuse de partager ce message avec la province.

Faire une différence dans la vie des gens

Dans son nouveau rôle, Marjolaine espère pouvoir faire encore plus pour aider son prochain et aussi redorer le blason des banquiers. « Le poste de présidente régionale ça m’allume, c’est un poste pour moi. J’adore les gens. Le rôle de banquier aussi, on fait une différence dans la vie des gens. Malgré tout ce qu’on peut penser, on a un impact dans leur vie. On est là dans les bons, dans les moins bons moments. Ce qui est stimulant [c’est de pouvoir aider et faire la différence]. »

Elle espère ainsi profiter de son nouveau titre pour, oui, faire connaître l’institution, mais aussi faire rayonner les employés de celle-ci. Une des premières choses qu’elle a perçues lors de ses rencontres c’est l’engagement de l’équipe en général, pour la communauté, mais aussi pour les clients.

« Quand tu arrives comme leader, c’est très rassurant de voir que les gens veulent faire une différence pour leurs clients. Il y a des étincelles dans les yeux. Nos gens sont passionnés pour aider », constate-t-elle avec joie.

« Tu ne peux pas forcer des gens à redonner dans la communauté, mais les gens le font parce qu’ils veulent le faire. Il y a des t-shirts bleus partout. Nos employés partagent leur expertise et aider la communauté. On est 7500 employés au Québec et c’est renversant de voir ce qui se fait », complète-t-elle.

Si cet engouement pour le bien-être des clients réjouit Marjolaine Hudon, elle souligne que c’est aussi ça le travail d’un banquier : être là dans les bons comme dans les moins bons moments. Et même si RBC a beaucoup investi en technologie, elle décrit l’organisation comme une « banque relationnelle à ère numérique ». Les gens peuvent compter sur la technologie, mais ils peuvent encore parler à un professionnel s’ils en ont besoin, promet-elle.

« C’est important que les gens comprennent qu’ils ne sont pas tout seuls. S’ils ont besoin, ils peuvent parler à quelqu’un. Nous sommes là, à l’écoute », martèle-t-elle.

« Je pense que c’est important de dire, oui on est la banque des grandes familles, mais on est aussi la banque de Monsieur et Madame Tout-le-Monde. On n’est pas là juste pour les grandes entreprises, on est aussi là pour les petites entreprises qui veulent grandir », conclut-elle.

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RBC nomme une nouvelle cheffe des finances https://www.finance-investissement.com/nouvelles/produits-et-assurance/rbc-nomme-une-nouvelle-cheffe-des-finances/ Wed, 25 Sep 2024 11:06:00 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102996 NOUVELLES DU MONDE – Katherine Gibson a été nommée à ce titre.

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Katherine Gibson est promue au poste de cheffe des finances de la Banque Royale du Canada (RBC), avec prise d’effet immédiat.

Cette dernière occupait ce poste par intérim depuis début avril. Avant cela, elle était première vice-présidente, Finances RBC, et contrôleuse, responsable de l’ensemble des activités du groupe Finances, Siège social, notamment de la communication de l’information à l’externe, au Conseil d’administration et à la direction, des normes comptables et des systèmes de gestion financière.

« Katherine est une dirigeante exceptionnelle, dotée d’une vision financière globale et de capacités de leadership, qui peut continuer de faire progresser nos priorités stratégiques et de positionner RBC pour l’avenir, affirme Dave McKay, président et chef de la direction de RBC. C’est une leader respectée et expérimentée qui possède une grande expertise dans le domaine du financement des entreprises à l’échelle mondiale, et elle a été une formidable collaboratrice et conseillère stratégique à titre de cheffe des finances intérimaire au cours des cinq derniers mois. Nous sommes fiers que Katherine se soit imposée comme la meilleure candidate après une recherche à l’échelle internationale, ce qui témoigne de la force des talents à RBC. »

À ce poste, Katherine Gibson supervise les finances de toutes les unités opérationnelles et fonctionnelles, ainsi que la planification financière de RBC. Elle est responsable de l’analyse et de la production de rapports, et dirige les équipes en Fiscalité, Trésorerie générale, Relations avec les investisseurs, Gestion du rendement et Expansion.

Katherine Gibson est une vétérane de RBC avec plus de 20 ans d’expérience au sein de l’entreprise. Elle a occupé divers postes, y compris celui de première vice-présidente, Finances, Gestion de patrimoine, Assurance, Services aux investisseurs et Trésorerie, ainsi que celui de vice-présidente, Optimisation. Elle a également été membre du conseil d’administration de filiales de RBC tant au Canada qu’à l’international, présidente du Comité informationnel ESG, et a siégé au Conseil de direction sur la diversité.

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Une application de gestion financière pour les jeunes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/une-application-de-gestion-financiere-pour-les-jeunes/ Thu, 19 Sep 2024 10:58:35 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102994 Pour aider les parents à inculquer la responsabilité financière à leurs enfants.

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Nombre de parents québécois (85 %) admettent qu’il est complexe d’inculquer certaines notions financières à leurs enfants, notamment le budget, l’épargne, la valeur de l’argent et la consommation responsable, révèle un nouveau sondage réalisé par Mydoh, une application de gestion de l’argent pour enfants et adolescents propulsée par RBC.

L’application Mydoh aide les familles du Québec à se doter d’outils efficaces pour instaurer ensemble de saines habitudes financières. Celle-ci offre ainsi une plateforme numérique et une carte à puce (une carte Visa prépayée) afin d’aider les enfants à dépenser de manière réfléchie.

« Les parents jouent un rôle crucial dans l’éducation financière de leurs enfants, mais ils n’ont pas à le faire seuls, déclare Brigitte Felx, planificatrice financière, RBC. De la budgétisation à la valeur de l’argent, enseigner la gestion financière aux enfants peut sembler accablant pour les parents, dont beaucoup n’ont eux-mêmes pas reçu d’éducation financière précoce. Avec un outil numérique sûr et facile à utiliser comme Mydoh, les enfants peuvent comprendre la valeur de l’argent et cela les aide à développer des compétences de littératie financière essentielles. »

Les bienfaits des petits boulots

Les premiers petits boulots sont un rite important pour les jeunes Québécois. Ces derniers permettent d’acquérir de l’expérience en matière d’éthique de travail tout en leur inculquant la valeur de l’argent. Ces derniers peuvent également être une bonne excuse pour se lancer dans des discussions familiales sur la valeur de l’argent.

Selon le sondage de Mydoh, 24 % des jeunes de la génération Z mettent de côté l’argent gagné grâce à leurs petits boulots pour financer un achat important à venir. Dans ce contexte, les jeunes utilisant l’application Mydoh peuvent tirer parti des outils et des ressources pédagogiques de la plateforme pour réaliser leurs projets d’achat.

« Parler d’argent a longtemps été un sujet délicat chez nous, mais je tiens à enseigner à mes enfants la valeur de l’argent dès le plus jeune âge. Associer l’application Mydoh à leurs tâches à la maison a été un excellent moyen de renforcer ces premières leçons financières. Mydoh est facile à utiliser, colorée et donne envie aux ados de l’utiliser, c’est un gros plus ! », assure Mélissa Bédard, mère de trois filles et ambassadrice Mydoh.

L’application sans frais mensuels disponible en français sur iOS et Android peut être utile aux parents qui désirent organiser des tâches avec leurs enfants, en leur versant une allocation hebdomadaire le samedi pour simuler un jour de paie.

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Les erreurs en matière d’argent sont courantes https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/les-erreurs-en-matiere-dargent-sont-courantes/ Wed, 11 Sep 2024 10:22:34 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102821 Pourtant les Canadiens ont confiance en leurs habitudes financières.

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Bien que la grande majorité des Canadiens (75 %) croient avoir de bonnes habitudes financières, un nouveau sondage de RBC révèle que nombre d’entre eux commettent encore des erreurs en matière d’argent.

S’agit-il d’un abus de confiance de la part des Canadiens ? On pourrait se poser la question alors que 62 % d’entre eux affirment avoir de meilleures habitudes financières que la moyenne, bien que la majorité n’ont pas posé les gestes de base au bien-être financier.

Ainsi, dans la dernière année :

  • 38 % des sondés avouent ne pas avoir fixé d’objectifs financiers ;
  • 37 % n’ont d’ailleurs pas consacré de temps à leur planification financière ;
  • et 34 % n’ont même pas surveillé leurs dépenses.

En fait, 21 % des répondants avouent ignorer les problèmes financiers lorsque ces derniers se présentent.

« Il y a un écart inquiétant entre la confiance dont témoignent les Canadiens envers leurs habitudes financières et les mesures qu’ils prennent dans ce domaine », résume Peter Tilton, chef du numérique, Services bancaires aux particuliers et aux entreprises, RBC.

Bonnes habitudes financières et bien-être

La majorité des Canadiens (81 %) reconnaissent pourtant que de bonnes habitudes financières ont un impact positif sur leur bien-être en général. Un autre 76 % reconnaît que le fait d’avoir de bonnes habitudes financières permet d’être plus résilient en période d’incertitude économique.

Mais plus du tiers (39 %) disent manquer de temps pour cultiver de telles habitudes. Sans compter que 34 % avouent avoir du mal à maintenir de telles habitudes.

« Bien que l’établissement d’objectifs financiers et l’adoption de bonnes habitudes financières prennent du temps et semblent difficiles au départ, vous n’êtes pas obligé de faire ce parcours seul », indique Peter Tilton, en songeant aux applications qui permettent d’automatiser l’épargne et de faire un suivi de budget.

Dans ce sens, RBC offre ainsi NOMI, une application qui s’appuie sur l’intelligence artificielle pour fournir des renseignements personnalisés afin d’aider ses utilisateurs à gérer leur argent en toute confiance.

« NOMI a connu un énorme succès auprès de nos clients, jouant un rôle important pour personnaliser leur expérience dans l’appli mobile RBC, Peter Tilton. Tous les renseignements sont fondés sur des données, et ils sont hyperpersonnalisés en fonction de la situation financière individuelle de chaque client. L’objectif est de les aider à gérer leurs finances courantes en éliminant les difficultés liées à l’adoption de bonnes habitudes financières. »

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Le licenciement de la directrice financière de RBC expliqué https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/le-licenciement-de-la-directrice-financiere-de-rbc-explique/ Thu, 29 Aug 2024 11:52:15 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102552 La firme expose des documents judiciaires.

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La Banque Royale du Canada a exposé dans des documents judiciaires les raisons pour lesquelles elle a congédié son ancienne directrice financière et un autre employé pour avoir prétendument entretenu une relation intime ayant entraîné des conflits d’intérêts.

La plus grande banque du Canada a déclaré dans des documents déposés vendredi et une semaine plus tôt qu’il existe des preuves accablantes que l’ancienne directrice financière Nadine Ahn et Ken Mason ont enfreint la politique de l’entreprise et que leur licenciement était justifié.

RBC répondait aux poursuites intentées par Nadine Ahn et Ken Mason plus tôt en août pour demander des dizaines de millions de dollars d’indemnisation pour licenciement abusif.

Nadine Ahn et Ken Mason ont affirmé dans leur poursuite que les allégations selon lesquelles ils entretenaient une relation étroite ou que Nadine Ahn avait utilisé sa position pour faire avancer indûment la carrière de Ken Mason n’étaient pas fondées, et que les accusations étaient basées sur des spéculations et des preuves déficientes.

Les deux ont affirmé que les accusations étaient basées en partie sur des stéréotypes sexistes concernant l’amitié entre les femmes et les hommes.

Dans sa réponse, RBC a indiqué avoir lancé une enquête après avoir reçu une plainte anonyme selon laquelle quelqu’un avait vu l’homme et la femme s’embrasser et se serrer dans les bras en sortant des ascenseurs de l’hôtel Fairmont Royal York au centre-ville de Toronto.

« Nous avons reçu des allégations d’un lanceur d’alerte anonyme et avons immédiatement commencé une enquête approfondie menée par un conseiller juridique externe », a affirmé la porte-parole Gillian McArdle dans une déclaration écrite.

« Nous avons été déçus d’apprendre que les allégations étaient vraies », a-t-elle ajouté.

La banque a déclaré dans des documents déposés que, avec d’autres preuves, l’enquête a révélé que l’homme et la femme avaient envoyé des milliers de messages, y compris des messages dans lesquels ils prévoyaient une sortie autour d’un verre pour souligner leur anniversaire, utilisaient les surnoms Prickly Pear et KD l’un pour l’autre et disaient qu’ils s’aimaient.

La banque a affirmé que Nadine Ahn avait envoyé un courriel tard dans la nuit exprimant son désir d’être avec Ken Mason, alors qu’il commandait deux albums photo commémoratifs « LoveBook » à son bureau pour célébrer leur 10e anniversaire, que les deux partageaient de la poésie romantique et se rencontraient pour des verres chaque mois.

« Contrairement aux déclarations de Nadine Ahn et Ken Mason, l’enquête a montré qu’il existait une relation personnelle étroite non divulguée et que Nadine Ahn avait abusé de son autorité en tant que directrice financière pour apporter un bénéfice direct à Ken Mason », a déclaré Gillian McArdle.

Dans sa réponse et sa demande reconventionnelle, la banque a déclaré que Nadine Ahn avait utilisé sa position pour aider Ken Mason et lui garantir des augmentations de salaire, ce qui a conduit à une hausse de son salaire d’environ 70 % depuis sa promotion au poste de directrice financière en novembre 2021.

RBC demande à Ken Mason un remboursement et à Nadine Ahn des dommages et intérêts pour ce que la banque appelle les 1,14 million de dollars de « rémunération excédentaire » provenant des augmentations de salaire, ainsi que des millions de dollars de remboursements des deux parties pour les paiements incitatifs qui leur ont été versés en raison de prétendues violations de l’obligation fiduciaire.

RBC a déclaré que lorsqu’elle les a confrontés séparément le 5 avril avec ses preuves, tous deux ont maintenu qu’ils étaient amis, mais ont nié être dans une relation amoureuse ou intime, tout comme ils l’ont fait dans leurs poursuites.

Nadine Ahn et Ken Mason ont demandé dans leurs documents que ces allégations soient jugées devant un tribunal de Toronto.

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RBC, la BN et la CIBC augmentent leur bénéfice https://www.finance-investissement.com/nouvelles/economie-et-recherche/rbc-la-bn-et-la-cibc-augmentent-leur-benefice/ Thu, 29 Aug 2024 11:50:55 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102625 Au troisième trimestre.

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La Banque Royale du Canada a annoncé une hausse de ses bénéfices au troisième trimestre, dépassant largement les attentes des analystes. Elle n’a enregistré qu’une augmentation modeste des fonds mis de côté pour les prêts potentiellement douteux, tandis que ses revenus ont grimpé.

La banque a dévoilé mercredi des bénéfices de 4,49 milliards de dollars (G$) au troisième trimestre, en hausse par rapport à 3,86 G$ un an plus tôt.

RBC a noté que l’inclusion des résultats de HSBC Canada a fait croître son bénéfice net de 259 M$ pour le trimestre.

Sur une base ajustée, RBC a gagné 3,26 $ par action, en hausse par rapport à un bénéfice ajusté de 2,83 $ par action il y a un an.

Les analystes s’attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 2,97 $ par action, selon LSEG Data & Analytics.

« Bien que le degré d’incertitude et de volatilité géopolitiques soit plus élevé, nos activités diversifiées sont bien positionnées pour les changements macroéconomiques dans l’environnement opérationnel », a déclaré le président et chef de la direction, Dave McKay, lors d’une conférence téléphonique sur les résultats mercredi.

Les revenus ont totalisé 14,63 G$, en hausse par rapport à 12,98 G$ il y a un an, tandis que la provision pour pertes sur créances s’est élevée à 659 G$, en hausse par rapport à 616 M$ au même trimestre l’an dernier.

Bien que la banque ait mis de côté plus d’argent au total, la proportion de prêts faisant l’objet de provisions a diminué de 0,02 point de pourcentage par rapport à l’année dernière et de 0,14 point de pourcentage par rapport au trimestre précédent.

Le ratio de 0,27 % de prêts qui préoccupent la banque est bien inférieur à celui de 0,38 % attendu par les analystes, ce qui a contribué à la forte progression des bénéfices.

« Le crédit a été un point fort pour RBC, avec des provisions bien inférieures aux attentes », a déclaré l’analyste de Jeffries John Aiken dans une note.

La performance du crédit contraste fortement avec celle d’autres banques qui ont publié leurs résultats jusqu’à présent, comme BMO, où l’aggravation de la situation des provisions a lourdement pesé sur les résultats.

Les emprunteurs toujours sous tension

Le chef de la gestion du risque de RBC, Graeme Hepworth, a toutefois averti que la banque constatait un stress financier chez les emprunteurs qui ne disparaîtra pas du jour au lendemain. La meilleure performance du trimestre était davantage liée au financement de gros, à la fois sur les marchés de capitaux et dans ses segments City National, par rapport aux trimestres précédents.

« Je ne lirais pas cela comme une indication définitive que nous avons maintenant franchi le cap. (…) Les tendances dans le commerce de détail sont toujours négatives », a-t-il déclaré.

Il a indiqué que la banque observe une augmentation des tensions sur presque tous les produits et s’attend à ce que cela se poursuive en 2025, car le chômage augmente et de plus en plus de consommateurs renouvellent leurs prêts hypothécaires à des taux plus élevés.

« Nous constatons toujours que le consommateur fait face à de nombreux vents contraires avec l’environnement actuel des taux. (…) Ce sont tous des facteurs qui nous rendent encore assez prudents jusqu’à la fin de cette année et au début de l’année prochaine », a-t-il fait valoir.

RBC n’a cependant pas seulement fait bonne figure sur le crédit, elle a aussi vu ses revenus d’intérêt augmenter dans sa division de banque de détail et ses bénéfices de gestion de patrimoine progresser grâce à la croissance des revenus.

RBC a déclaré que ses activités bancaires aux particuliers et aux entreprises ont généré 2,49 G$, en hausse par rapport à 2,13 G$ au même trimestre de l’exercice précédent.

La branche de gestion de patrimoine de la banque a généré 862 M$, en hausse par rapport à 663 M$ un an plus tôt, tandis que ses activités d’assurance ont enregistré 170 M$, en baisse par rapport à 215 M$ au même trimestre de l’année dernière.

Les activités de marchés de capitaux de RBC ont généré 1,17 G$ au cours de son dernier trimestre, en hausse par rapport à 949 M$ il y a un an.

L’institution financière a indiqué que son bénéfice net s’est élevé à 3,09 $ par action pour le trimestre clos le 31 juillet, comparativement à un bénéfice de 2,73 $ par action au même trimestre l’année dernière.

Prudence sur les acquisitions

Dave McKay a déclaré que la banque progressait dans le redressement de sa division City National établie aux États-Unis, et que la banque n’aborderait toute nouvelle acquisition aux États-Unis qu’avec une grande prudence.

« Je dirais que la barre est très haute, a affirmé le président et chef de la direction. C’est un marché très concurrentiel. »

RBC travaille également toujours à l’intégration de HSBC Canada, avec d’autres synergies à annoncer.

Et même si la banque accélère ses rachats d’actions et enregistre des bénéfices en hausse, Dave McKay prévient que l’environnement économique reste très incertain.

« Nous sommes en mesure d’absorber cette volatilité et de continuer à réaliser de bonnes performances à l’avenir, mais nous voulons nous assurer que vous êtes conscients que nous n’avons pas encore fait atterrir cet avion », a-t-il exposé.

Banque Nationale : croissance du bénéfice

La Banque Nationale a réalisé un bénéfice de 1,03 G$ au troisième trimestre, en hausse par rapport à 830 M$ à la même période il y a un an, grâce à la vigueur de ses activités.

La banque montréalaise a indiqué que son bénéfice net s’est élevé à 2,89 $ par action pour le trimestre qui a pris fin le 31 juillet, en hausse par rapport à 2,33 $ par action un an plus tôt.

Ses revenus ont totalisé 3,00 G$ au troisième trimestre, en hausse par rapport à 2,49 G$ au même trimestre l’année dernière.

La provision pour pertes sur créances, soit le montant qu’une banque met de côté pour couvrir les créances douteuses, s’est élevée à 149 M$, en hausse par rapport à 111 M$ un an plus tôt.

Sur une base ajustée, la Banque Nationale a gagné 2,68 $ par action au cours de son dernier trimestre, en hausse par rapport à un bénéfice ajusté de 2,18 $ par action au même trimestre l’an dernier.

L’estimation moyenne des analystes était d’un bénéfice ajusté de 2,49 $ par action, selon LSEG Data & Analytics.

Banque CIBC : le bénéfice augmente aussi

Le bénéfice de la Banque CIBC a augmenté d’une année à l’autre au troisième trimestre, notamment parce que l’institution financière a mis moins d’argent de côté pour les créances douteuses.

La CIBC rapporte que son bénéfice net s’est élevé à 1,80 G$, soit 1,82 $ par action, lors du trimestre qui a pris fin le 31 juillet, en hausse par rapport à 1,43 G$, ou 1,47 $ par action, pour la même période l’an dernier.

Ses revenus ont totalisé 6,60 G$, comparativement à 5,85 G$ il y a un an. Sa provision pour pertes sur créances s’est établie à 483 M$, en baisse par rapport à 736 M$ un an plus tôt.

Sur une base ajustée, la CIBC a réalisé un bénéfice de 1,93 $ par action au cours de son dernier trimestre, en hausse par rapport à un bénéfice ajusté de 1,52 $ par action pour le troisième trimestre de 2023.

Les analystes s’attendaient en moyenne à un bénéfice ajusté de 1,74 $ par action, selon LSEG Data & Analytics

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Gestion inadéquate des demandes de subventions REEE sur 20 ans https://www.finance-investissement.com/nouvelles/actualites/gestion-inadequate-des-demandes-de-subventions-reee-sur-20-ans/ Fri, 23 Aug 2024 11:00:14 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102468 Un courtier est mis en cause.

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Un comité d’audience réglementaire examinera une entente de règlement avec Fonds d’investissement Royal concernant des allégations selon lesquelles, pendant près de 20 ans, la société a eu des systèmes inadéquats pour s’assurer que les demandes de subvention de REEE étaient adéquatement déposées.

L’Organisme canadien de réglementation des investissements (OCRI) a annoncé qu’une proposition de règlement sera examinée lors d’une audience prévue le 15 octobre.

Selon l’avis d’audience, le règlement proposé porte sur une allégation selon laquelle le courtier en valeurs mobilières a enfreint les règles d’autoréglementation entre octobre 2001 et mai 2021, en omettant « d’établir et de maintenir un système adéquat de contrôle et de supervision pour s’assurer que les demandes de versement de la Subvention canadienne pour l’épargne-études [SCEE] étaient présentées au nom des comptes de clients admissibles ».

La SCEE est une subvention du gouvernement fédéral qui peut atteindre 500 $ par année et qui est déclenchée par des cotisations annuelles à un REEE, jusqu’à concurrence de 7 200 $ à vie.

L’allégation n’a pas été prouvée.

Un porte-parole de la Banque Royale du Canada, dont Fonds d’investissement Royal est une filiale, a déclaré que l’institution ne commente pas les affaires dont sont saisis les organismes de réglementation.

Les détails de tout règlement ne seront divulgués que si le comité d’audience approuve l’accord conclu entre le personnel de l’OCRI et la société.

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Patrimoine Richardson mise sur la technologie https://www.finance-investissement.com/nouvelles/developpement-des-affaires/avis-de-nomination-developpement-des-affaires/patrimoine-richardson-mise-sur-la-technologie/ Wed, 07 Aug 2024 11:40:23 +0000 https://www.finance-investissement.com/?p=102059 NOUVELLES DU MONDE — Pour améliorer l’expérience des conseillers.

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Patrimoine Richardson a récemment recruté Marcus Chun, ancien cadre chez BMO, pour occuper le poste de chef des stratégies numériques et des services aux conseillers. Il succède à Scott Stennett, qui a été promu vice-président du conseil.

Depuis mai 2021, Marcus Chun était vice-président et directeur général, Gestion stratégique et initiatives chez BMO Gestion privée de patrimoine. Avant cela, il a occupé divers postes de direction chez RBC Gestion de patrimoine, notamment celui de directeur principal, Exécution stratégique et opérations au Canada, et de responsable de la conformité pour les marchés des capitaux et responsable de la surveillance des marchés. Il a également été vice-président chez Optima Canada. Marcus Chun détient un MBA de la Ivey Business School de l’Université Western Ontario et est diplômé de l’école de commerce de l’Université Stanford en Californie.

Dave Kelly, directeur de l’exploitation chez Patrimoine Richardson, a déclaré que Marcus Chun aura pour responsabilité d’améliorer le parcours numérique de la firme et de s’assurer que la technologie soutient la vision de l’entreprise.

Cette nomination confirme la volonté de l’entreprise d’améliorer l’expérience de ses conseillers et d’encourager une culture entrepreneuriale en leur sein. La société considère la technologie comme un atout clé pour attirer de nouveaux talents.

Kish Kapoor, président et chef de la direction de Patrimoine Richardson, a salué la contribution de Scott Stennett, notamment dans le soutien aux conseillers et dans la mise en place de la plateforme technologique. En tant que vice-président du conseil, Scott Stennet assurera la transition avec Marcus Chun et continuera à mettre son expertise au service du développement de l’entreprise, en particulier en évaluant les possibilités d’acquisition. Scott Stennet s’est joint à la firme en 2003, en provenance de Fidelity.

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